become one of us ▽ arès

Je sais ce que je veux, et quand je veux quelque chose je fais tout pour l'obtenir. Mon père n'est malheureusement plus de ce monde, et je fais toujours mon possible pour ruiner la vie de Leevy, ma soeur si je peux la qualifier ainsi car en réalité elle n'est rien pour moi. Enfin, ce que je veux c'est agrandir mes rangs, et compter des nouveaux frères. Mais j'ai la faculté de ne choisir que les meilleurs, j'ai le flair pour trouver ceux qui valent le coup, et je sais qu'un de mes « amis » pourrait faire l'affaire. Arès me ressemble beaucoup caractériellement parlant, et je l'imagine bien avec une arme entre les mains, à appuyer sur la détente et à tuer une pauvre et regrettée personne.. Je sais qu'il aime manipuler, qu'il a un côté impulsif démesuré et qu'en plus il n'hésite pas à faire preuve d’orgueil et d'arrogance, tout ce que j'aime et et tout ce que j'admire, car ces traits de caractère sont aussi les miens. Je ne sais même plus comment je l'ai rencontré, je sais juste que dès les premiers instants où je lui ai parlé, j'ai su qu'il ferait un bon mafieux. Je lui ai donné rendez-vous au Craigie On Main, ce petit restaurant aux plats méditerranéens, très classe et surtout parfait pour l'occasion puisque je sais que l'on ne sera pas dérangé ici. Je m'arrête devant l'entrée, descends de la voiture tout en laissant la clé sur le contact faisant ronronner le moteur, puisque le voiturier va se charger de la garer, après tout il est payé pour ça. Je ne lui adresse pas un seul regard, et entre dans le restaurant me dirigeant directement vers la réception. « J'ai réservé une table. Cartwith. » dis-je alors de mon ton froid, habituel.  L'homme me fait un grand sourire après avoir vu mon nom sur la liste. Il m'emmène à ma table, celle dans le coin privé et me demande si je désire quelque chose. Je commande donc une bouteille de champagne hors de prix ainsi que deux coupes, lui donnant également le nom d'Arès qui ne devrait pas tarder à arriver. Je me pose sur la chaise, et inspecte les lieux qui sont irréprochables, tout comme ma tenue. Effectivement, loin de moi l'idée de venir mal vêtu, c'est pourquoi j'ai enfilé un costume chic, avec la cravate en prime. J'espère juste qu'Arès vienne aussi bien habillé, ici ce n'est pas comme manger dans un fast-food.

C'est bien rare quand je suis anxieux, ça ne m'arrive presque jamais à vrai dire. Mais ce soir, je suis un peu stressé à l'idée de voir Phoenix, car je sais pertinemment pourquoi il veut manger un morceau en ma compagnie. Ce n'est pas uniquement un repas entre potes, c'est une sorte d'entretien pour voir si je suis capable d'intégrer le monde de la mafia. Ça me fait flipper, c'est clair, mais ça m'attire étrangement. Je sais que cet univers est totalement différent de celui dans lequel je vis actuellement, et justement, j'ai envie d'en savoir davantage. Phoenix saura surement m'éclairer au mieux, j'en suis persuadé, et c'est aussi pourquoi j'ai répondu positivement à son invitation. Je m'apprête lentement dans la salle de bain, coiffant mes cheveux en arrière en mode italien. J'enfile un pantalon de costard noir et une chemise gris clair ainsi que des mocassins assortis. Je ne vais pas me ramener en short, le restaurant où nous allons est réputé pour sa classe entre autre. Je décide de prendre ma voiture pour une fois, même si mes vertèbres me font toujours souffrir. Il faut vraiment que cette douleur passe et que je puisse me remettre au surf car ça commence déjà à me manquer. Foutu crash. Clés de voiture en mains, je sors donc de mon appartement et fais ronfler le moteur de ma Mercedes. Quel plaisir de reconduire mon petit bijou, ça fait plus de deux mois. Du coup, je conduis assez vite jusqu'au Craigie même si ce n'est pas très loin de chez moi, et m'arrête devant le restaurant en donnant mes clés au voiturier. J'entre dans la somptueuse pièce qui s'offre à moi, donnant mon nom au réceptionniste qui m'amène à la table que Phoenix a réservé. Je lui adresse un petit sourire une fois devant lui et m'assois en face. « Salut mec. » dis-je d'un ton légèrement stressé, ne sachant pas trop à quoi m'attendre par rapport à toute cette histoire de mafia.

J'attends avec patience l'arrivée de mon ami, et lorsque je le vois enfin mon visage s'éclaircit, je fais instinctivement un sourire, me lève et lui sers la main. « Salut ! » J'inspecte sa tenue afin de voir si elle est correcte pour manger dans ce genre d'endroit, et je vois qu'il est parfaitement bien habillé, et surtout bien coiffé à l'italienne ce qui lui donne une certaine classe et davantage d'aisance dans sa démarche, et c'est ça que je recherche. Au plus je passe du temps avec lui, au plus je me rends compte qu'il m'est inconcevable de ne pas le compter dans mes rangs. Le serveur arrive avec la bouteille de champagne, et les deux coupes qu'il sert dans la foulée. Je lève mon verre en direction de mon jeune ami, face à moi et lui fais un sourire qui aux premiers abords peut paraitre froid mais qui en réalité, vient du coeur c'est simplement ma manière de faire et il me connait assez pour le comprendre je pense. Et puis de toutes les façons, un bon mafieux n'a pas de sentiments à donner, et cela à quiconque, encore moins à une gamine qui ne sait pas ce qu'elle veut, je dis ça par rapport à cette Marley, tellement entichée d'Arès. « Je te remercie d'avoir accepté mon invitation. J'espère que nous passerons une bonne soirée, et je n'en doute pas, cher ami. » J'ai dit ces derniers mots, en français, effectivement nous sommes dans un restaurant chic, qui sert des plats français alors je tente de me mettre à la hauteur, bien que je ne parle pas spécialement le français. Je lui adresse un sourire, trinque avec lui, puis bois une gorgée. Je fais un signe de tête au serveur lui indiquant qu'il peut partir, et que je le rappellerai plus tard pour commander. Avant de nous laisser, il dépose un petit bol de biscuits apéritifs, je ne le remercie pas, après tout, à quoi bon ? Je pose ma coupe sur la table, et regarde Arès avec un sourire malicieux sur les lèvres. « Alors, ton début d'année commence bien ? » Je fais mine de m'intéresser à sa vie, bien qu'en réalité je m'en fiche un peu, c'est une question de stratégie.

Je m'installe en face du jeune homme, dans ce somptueux restaurant que je ne connaissais pas, et où je pense qu'on va bien manger. Même si le but de ce resto n'est certainement pas fait pour goûter aux excellents plats que propose le Craigie. Phoenix m'intimide un peu, et pourtant, il est rare que quelqu'un m'intimide aussi facilement. Mais j'sais pas, il y a quelque chose chez lui qui m'intrigue, et vu dans quoi il baigne j'ai l'impression qu'il a un lourd passé. Bref, j'attrape la coupe de champagne que l'on vient de nous servir et esquisse un petit sourire en coin à ses paroles. J'imagine qu'il parle français à la fin, car je reconnais le mot "ami". Je n'ai pas fait énormément de français à l'école, enfin c'est surtout que je n'allais pas souvent en cours à l'époque. Je suis bien plus assidu maintenant. « J'en doute pas non plus. » Sur ce, nous trinquons et j'amène la coupe de champagne à mes lèvres pour en boire une petite gorgée. Excellent. Il doit coûter la peau du cul, mais Phoenix a l'air de pouvoir le payer. Moi aussi d'ailleurs, ce n'est pas un souci. Je hausse les épaules à sa question m'afessant un peu dans ma chaise, pour être davantage à l'aise. « Ouais ça va, les choses difficiles arriveront en temps et en heure j'ai envie d'dire. » répondis-je au jeune homme, buvant une nouvelle gorgée de cet excellent breuvage. « Et toi ? » Mon rythme cardiaque s'accélère un peu, j'ai peur de la suite des événements, et j'ai juste envie qu'il mette les choses sur le tapis une bonne fois pour toutes. Je n'aime pas qu'on y aille par quatre chemins.

J'aime tellement faire durer l'instant, le laisser en question encore et encore. Mais il ne doit pas se faire de doute, et doit certainement comprendre que je le veux. Je lui fais un sourire en guise de réponse, puis porte le verre à mes lèvres pour en boire une gorgée. Je me félicite intérieurement d'avoir eu ce choix de restaurant si parfait, en même temps un homme parfait, fait des choix parfaits. Alors qu'Arès est en train de m'expliquer sa rentrée, mes pensées se dirigent vers Poppy. Je ne pense jamais à elle habituellement, mais disons que cette coupe de champagne me fait penser aux bulles, et une bulle quand elle éclate elle fait "Pop", et "Pop" est le surnom que j'aime lui donner. En fait je n'écoute rien de ce qu'il me dit, mais je le regarde en hochant de la tête, me souvenant du petit sourire de Poppy, même s'il se faisait rare ces derniers temps. D'ailleurs les gens ne me sourient que très rarement, il faut dire le peu de personnes que je côtoie je les tue, donc c'est un mal pour un bien. Ah ! Enfin je peux parler de moi, je reprends ma coupe, comme si je n'attendais qu'une seule chose : qu'il me retourne la question pour pouvoir boire et dis. « Les affaires reprennent comme on dit. J'impose ma loi en apprenant la vraie. » Je lâche un petit rire assez sournois, fier de ma petite vanne, qui de source sûre pourrait faire rire Arès, après tout il pourra bientôt en faire du même genre. Je bois une gorgée, savourant le goût exquis. Je prends un petit gâteau et pose mon regard océan sur Arès. Ce dernier n'attend sûrement qu'une chose, que je lui dise ce que j'ai derrière la tête, que j'arrête de tourner autour du pot et que je lui clame que je le veux dans mes rangs, en oubliant Marley, son amie. D'ailleurs, une idée me vint à l'esprit. « Au fait, tu vois encore cette fille au nom de chien ? » Je ne pèse pas mes mots, car mes paroles sont vraies et il le sait, ou du moins va commencer à le savoir. Et cette fois ci, sa réponse m'intéresse alors j'ouvre grand mes oreilles et l'écoute avec un sourire sadique sur les lèvres.

Bon à priori, il n'a pas l'air de m'écouter des masses vu la tête qu'il tire. Ce que je dis n'a rien de drôle, ce sont de simples banalités mais Phoenix affiche ce sourire niais alors qu'il n'est d'aucune utilité actuellement. J'imagine qu'il pense à je ne sais quoi, une fille maybe, ou un gars qu'il a tué.. En réalité je m'en fiche complètement, tout comme il se fout de ce que je lui raconte. Pas que ça m'énerve, mais un peu, du coup je me contente de boire une gorgée de ce bon champagne en attendant qu'il daigne me répondre. Bien entendu, quand je lui retourne la question il en devient presque sympathique. Je fais mine de lui sourire bêtement comme il faisait il y a quelques secondes, après tout je peux faire pareil que lui et ignorer ses propos. Fin là, il me parle de mafia j'imagine, alors je ferais mieux d'ouvrir grand mes oreilles si je veux un jour entrer dans ses rangs. « Genre t'étais en vacances ? » Je arque un sourcil, doutant fortement que les gens comme lui aient droit à des vacances. Franchement, ça m'étonnerait, il y a tout le temps des gens à qui on doit régler des comptes. Je ne sais pas si je serais capable de tuer, c'est la question que je me pose depuis que je suis arrivé dans le resto. Phoenix me sort ensuite de mes pensées, pointant du doigt ma relation avec Marley j'imagine. Un nom de chien ? Je pense plutôt au chanteur qu'à un chien m'enfin.. chacun ses goûts. Et puis, en quoi ça le regarde ? A ce que je sache, je ne sors pas avec, on est amis rien de plus. « Ouais c'est une pote. » Plus précisément une ex qui me perturbe en ce moment, mais j'omet de le lui dire, j'imagine qu'il est déjà au courant de toute façon. J'ai l'impression que rentrer dans la mafia est plus dur qu'il n'y parait.

Je pense qu'il doit savoir que je ne suis pas du intéressé par ce qu'il me dit mais bon je m'en fiche pas mal, après tout il y a bien une partie de lui qui doit sûrement me craindre puisqu'il sait qui je suis, ce que je fais et encore il ne sait que la moitié, il en apprendra davantage quand il aura rejoins mes rangs. J'explose de rire en entendant sa question totalement débile, et je me demande si j'ai bien fait de vouloir l'engager, parce qu'il est vraiment crétin sur ce coup. « Non, je ne peux pas me permettre d'être en vacances. » Je me calme et prends une gorgée de ma coupe. Je ne manque pas de lui parler de cette Marley et il me répond que c'est une "pote", je crois qu'il tente de me prendre pour un imbécile. Je sais que cette fille est son ex, et je peux comprendre en voyant le regard perturbant qu'il fait, que cette fille, il n'arrive pas à l'oublier ça se voit clairement. Je soupire longuement afin de lui faire comprendre mon agacement face à ses mensonges. « D'accord, parce qu'il faudra que tu t'éloignes d'elle. » lui dis-je alors sur un ton méchant, mais en même temps il l'avait cherché à me mentir. Il a plutôt intérêt à se rattraper durant la soirée. Le serveur arrive avec les cartes, je prends celle qu'il me donne sans pour autant le remercier et lui lance un regard assez noir pour qu'il s'en aille très vite, ne voulant plus être embêté. J'ouvre le menu et commence à lire les plats, tentant de lire la partie français pour m'améliorer dans cette langue, sans grand succès. « C'est la première fois que je viens ici, pourtant ce restaurant a une très bonne renommée. » J'adresse un regard en direction de Arès, espérant qu'il me réponde, et que ma remarque ne l'a pas dérangé mais il faudra qu'il s'y habitue. Je fais la loi, il la respecte. J'ai bien renié mes sentiments amoureux pour la mafia, ce n'est pas difficile mais tout de même.

Je lève les yeux au ciel suite à son rire bien trop forcé à mon goût. S'il est venu là pour m'exaspérer, je vais vite décamper. Je n'y connais rien à son taf moi, et même si je pose des questions qui lui paraissent débiles, elles ne le sont pas forcément pour moi. Je me pose tellement de questions là, ça fuse dans tous les sens mais je n'ose rien lui demander clairement. En même temps, je ne saurais même pas quoi lui dire précisément.. Phoenix commence ensuite à me parler de Marley et je sens que ça ne va pas me plaire. Comme je m'y attendais, il me balance soudainement que je dois m'éloigner d'elle. What ? Si c'est pour perdre la plupart des gens avec qui je suis en contact, c'est même pas la peine. « Pourquoi ? » Oui, là je joue au con car je n'ai pas la moindre envie de m'éloigner de qui que ce soit. Surtout Marley spécifiquement. C'est peut-être une des premières fois que je commence vraiment à m'attacher à une fille, et honnêtement, je n'ai pas envie de tout gâcher pour aller tuer des gens. Même si le métier de mafieux pourrait potentiellement me plaire, ce n'est pas une décision à prendre à la légère. Le serveur du restaurant arrive ensuite pour nous donner les menus, je l'avais presque oublié celui-là. Je feuillette donc rapidement le menu, sans grande conviction, et lève mes yeux de la carte pour scruter Phoenix. « Vu le prix, ça peut être pas mal ouais. » Rien de bien exorbitant pour mes moyens, mais tout de même. Les gens à revenus moyens doivent économiser des mois pour venir manger ici à mon avis.

Je commence à comprendre que j'agace Arès, mais je m'en fiche s'il n'est pas content qu'il s'en aille je trouverai quelque d'autre, même s'il demeure un bon élément. Je lui dis donc d'oublier Marley, et cet imbécile à le culot de me demander pourquoi. Je lève les yeux au ciel et pousse un long soupire, pour lui montrer la bêtise de sa question. « Parce que c'est comme ça. T'es trop attaché à elle, et elle n'en vaut pas la peine. » De toute manière si j'apprends que malgré ma mise en garde, il reste en contact avec elle, je serais dans l'obligation de la tuer. Mais avant de la conduire aux portes de la mort, je ferais en sorte de partager quelques ébats avec elle, tant qu'à faire. Le serveur arrive enfin, et je peux enfin me lécher les papilles en attendant que mon plat arrive. Je fais un petit sourire en entendant la remarque d'Arès, c'est drôle quand on y pense car il a autant les moyens que moi et pourtant nous trouvons les prix trop abusifs. Le serveur vient enfin à nous pour prendre nos commandes, je parle le premier puisque visiblement le Johnson n'a pas fait son choix, ou il est trop long à répondre. Maintenant j'espère qu'il n'est pas comme ça avec un flingue dans la main, sinon je ne suis pas sorti de l'auberge ! « Je vais prendre des filets de rouget saisis avec sa tapenade et caviar d'aubergines en ravioles » J'adresse un bref regard au serveur et lui tends ma carte, tout en fixant Arès. Ce dernier fait son choix et avant que le serveur ne s'en aille je lui demande de nous apporter une bouteille de vin qui convient à nos deux plats. J'ai bizarrement hâte de déguster mon plat, tout comme j'ai hâte d'en finir avec l'homme face à moi. Je regarde mon téléphone, même si je n'attends aucun appel mais c'est parce que je ne sais pas comment tourner ça. Quand enfin, l'idée me vient. Celle de jouer au débile comme lui. « Tu sais pourquoi je t'ai invité ici ? » Je lui fais un sourire complice et termine ma coupe de champagne, pour m'en resservir une, ainsi qu'une autre à Arès.

Je baisse les yeux, malgré moi, car je ne suis pas certain d'être prêt à me détacher de Marley maintenant. Et bien que la mafia m'attire grandement, je devrais faire un choix entre les deux. Je ne veux pas mêler la jeune femme à des histoires sombres comme celles-ci, surtout que je ne sais pas si je veux moi-même rentrer là-dedans. « C'est quoi l'rapport ? Si on peut même pas s'amuser et profiter de la vie, je crois que c'est pas trop fait pour moi. » Même si phoenix n'a pas encore aborder réellement et clairement le sujet de la mafia, je commence à lui faire comprendre que j'ai vu de quoi il retournait. Le serveur du restaurant revient ensuite nous demander nos commandes, et je me contente de prendre la même chose que le jeune homme, trop bousculé pour réfléchir à ce que je désirais manger. A vrai dire, je n'ai pas extrêmement faim, je préfère juste que l'on entre dans le vif du sujet. D'ailleurs, Phoenix me pose la question que j'attendais depuis le début du repas. Je croise mes bras contre mon torse, plantant mon regard dans le sien. « J'pense savoir ouais. Pourquoi moi au fait ? » Je n'ai pas envie de prononcer le mot "mafia" ici, et je sais qu'il verra où je veux en venir. Mon coeur balance entre des tas d'options, et honnêtement, je ne sais pas si je peux être capable d'intégrer un clan aussi fermé. Et surtout tuer des gens, je dois avouer que ça me perturbe un peu. Quand même.