Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityDwiana's Wedding - You and I, we played a dangerous game (feat. Brynn) - Page 2
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Dwiana's Wedding - You and I, we played a dangerous game (feat. Brynn)

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Mais qu'est-ce qu'il m'avait pris ?! Je l'ignorais mais je venais de briser ma règle d'or concernant ma cachette secrète, ma cabane dans le jardin. En effet lorsque j'avais demandé à ce qu'elle soit construite, j'avais dit que je l'utiliserais à bon escient... C'était ici même que je me rendais lorsque j'avais le cafard, parfois même je dormais dans la cabane surtout lors des périodes estivales quand il faisait trop chaud dans ma chambre géante. C'était mon jardin secret et personne n'avait le droit d'y pénétrer, pas même ma propre soeur et encore moins mon grand frère ! Et ça faisait 18 ans c'était comme ça et ça ne devrait jamais changer mais il se trouvait que depuis que je connaissais Brynn, elle me faisait faire des choses qui allaient à l'encontre même de ce que j'avais planifié. Bref oui, je lui avais montrée ma cabane parce que j'en avais envie et elle m'intéressait beaucoup. Je ne pensais pas que nous pouvions avoir un avenir ensemble mais sincèrement je la voulais ! Qu'importe une fois là haut, elle me lançait que c'était magnifique avant de dire qu'elle avait l'impression d'être Jane et que j'étais Tarzan. " Je suis ton Tarzan alors ! " murmurai-je d'une voix douce tandis qu'elle venait se coller à moi. Elle me demanda alors si la cabane n'allait pas s'effrondrer. Je me mis à rire légèrement avant de répondre d'une voix amusée : " Ne t'inquiète pas ! Cette cabane a 18 ans de vie et elle ne s'est pas cassée une seule fois ! " je souris avant de la serrer contre moi. [color=steelblue]" Tu sais que tu es la première fille, voire même la première personne à monter ici ? Même ma famille n'a pas le droit !
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La cabane ne ressemblait clairement pas aux palaces dans lesquels tu avais l'habitude de séjourner. C'est justement ce qui en faisait tout son charme, créé de bric et de broc. Tu comprenais maintenant pourquoi Dwight l'aimait autant. D'ici tu pouvais voir le reste de la demeure, mais les invités ne pouvaient pas. Vous faisiez simplement partis des ombres, vous fondant parfaitement dans la noirceur de la nuit. C'était la cachette rêvé pour n'importe quel enfant, l'opportunité de s'échapper du quotidien, de vivre dans un monde imaginaire. "Tarzan en moins musclé, moins sauvages." répondis-tu avec ton rire cristallin pour le taquiner. Disons qu'il avait un charisme différent, plus propre, plus classe, contrairement à Tarzan qui donnait cet impression de férocité. Tu regardais avec émerveillement l'intérieur, tentant d'imaginer le jeune marié enfant jouer ici, tout seul. Ta coeur se serra, c'était trop triste comme image. Tu caressas les planches de bois, rugueuse, sale. Tant pis pour ta robe de princesse, elle n'allait surement pas en ressortir indemne. "Il y a une première fois à tout....puis on doit le faire le poids d'une baleine, enfin toi, pas moi." répondis-tu toujours un peu anxieuse. Il te prit dans les bras. La chaleur de ses mains, ses bras entouré autour de toi avait suffi pour calmer tes inquiétudes. C'était presque 'cliché' comme situation, à croire que vous étiez dans un épisode des Feux de l'Amour. Toi qui partait dans un coin obscur avec un homme qui venait de se marier. C'était plutôt moche comme comportement.Tu te promis intérieurement que rien n'allait se passer, tu ne savais pas si tu tentais de te convaincre aussi. "Vraiment? Je suis une VIP? Je n'en suis que plus flatté alors." t'exclamas-tu un sourire illuminant ton visage. Oui tu te sentais unique, contente de voir qu'il te faisait suffisamment confiance pour partager ses souvenirs, une infime partie de sa vie avec toi.  
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Alors que nous venions de monter dans ma cachette secrète, dans le plus gros arbre de la demeure, elle m'avait dit qu'elle se sentait comme Jane et que j'étais comme Tarzan alors je lui répondais que j'étais son Tarzan dans ce cas. Ce à quoi elle s'était empressée de dire que j'étais un Tarzan en moins musclé, moins sauvage... Je l'accompagnais dans son rire qui me charmait toujours autant ! Elle était vraiment belle et je devais avouer que si je ne faisais pas assez attention, je pourrais facilement nourrir des sentiments à l'égard de la Princesse. Nous jouions vraiment avec le feu cette nuit. " Qui dit que je ne peux être sauvage, Princesse ? Et je me ferais un plaisir de vous montrer ma musculature si vous le souhaitez " oui je la taquinais mais en réalité, je lui proposais vraiment de tater mes muscles et tout ! Son anxiété par rapport à la résistance de la cabine me faisait presque fondre de tendresse parce que c'était mignon à voir. Pour cela, je l'avais prise dans mes bras avant de lui expliquer qu'elle était bien la première personne à monter en ces lieux. Son sourire était magnifique et ça me donnait encore plus envie de l'embrasser, mais il fallait que je résiste à la tentation non ? Si je l'embrassais ce soir, il n'y aurait pas de retour en arrière possible... Enfin je ne sais pas... " Oui vraiment tu es la première. Il est rare que je ne montre ce côté de ma personnalité. En fin de compte, ce qu'on voit de moi ce n'est qu'un masque... Tout comme ce mariage qui cache bien plus de choses... C'est très politique en fin de compte " je ne savais pas ce qui m'avait poussé à dire tout ça mais toujours est-il que je venais de me confier lourdement à la jolie blondinette. Je me laissais noyer dans son beau regard
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Il n'y avait décidément pas un pour rattraper l'autre. Alors que vous étiez tous les deux censés agir comme des adultes matures,  vous retombiez en enfance, faisant référence à des dessins-animés, dans une cabane en haut d'un arbre. Ce n'était pas un comportement dès plus raisonnable. Tu avais cette petite boule de culpabilité qui persistait, s'enfonçant de plus en plus dans ton estomac. Faisiez vous quelque chose de mal? Tu ne savais pas trop, le doute persistait, tambourinant dans ta tête.Tu fermas les yeux quelques secondes, l'ignorant. Tu étais une grande fille, tu savais ce qui était le mieux pour toi, tu allais être capable de te gérer. Oui voilà. Douce illusion, éphémère. Combien de temps allais-tu pouvoir continuer à te leurrer?
"Je vois crois, je ne doute pas du tout de vos capacités....et en ce  qui concerne vos abdos je demande une vérification...avec le botox de nos jours....puis même Superman portait des abdos en mousse sous sa combinaison." dis-tu avec innocente, un petit ange incarné. Tu n'avais pas besoin qu'il se déshabille, même si cela n'aurait été qu'un plus. Vous étiez dans un espace confiné, ça aurait été une mauvaise idée. Tu posas une petite main hésitante sur son torse. C'était dur, chaud. Tu sentais même son coeur battre. Une légère teinte rosé apparue sur tes pommettes, tu espérais que le jeune homme n'avait rien remarqué, comptant sur la noirceur de la nuit pour les camoufler. "Bon d'accord c'est pas si mal..." admets-tu avec un petit sourire, contente de reposer ta main sur ta robe. Il ne fallait pas que tu fasses de bêtise, tu te devais de garder la tête froide et les idées claires. "Je crois que je te comprends, la Brynn de la société est bien différente de la vraie Brynn." concedas-tu pensive, plongeant les yeux dans les siens.  Concernant l'autre révélation, tu n'en restais pas plus stupéfaite que cela. Même si vous étiez en 2014, cela restait monnaie courante pour des personnes de votre rang, toi-même tu avais du passer à cette case. Heureusement pour toi, ton prétendant était bête comme ses pieds, tu avais pu facilement te débarrasser de lui. "Alors tu vas donc passer ta vie avec une femme que tu n'aimes pas?" demandas-tu avec franchise. C’était plutôt triste.
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C'était une étrange conversation que j'avais actuellement avec Brynn, en effet tantôt nous parlions comme des adultes avec une maturité digne de nos rangs dans la Société et tantôt nous pouvions parler comme des personnes retombant dans une enfance plus douce. Honnêtement je n'avais jamais eu vraiment d'enfance, parce que j'avais toujours été régi par une loi familiale qui était de toujours montrer que j'étais le meilleur. J'étais né pour devenir l'Homme le plus puissant du monde, le Président des Etats-Unis d'Amérique et j'avais toujours les moyens pour le faire d'ailleurs ! Ma famille était assurément la plus puissante et plus influente des familles présidentielles des USA par conséquent, je ne pouvais pas rêver de mieux comme éducation et surtout de formation. En fin de compte, mes cours de politique et de relations internationales à Harvard n'étaient qu'en réalité là pour que je puisse comptèter ce que je connaissais déjà. Fin bref, revenons à nos moutons... Brynn avait dit que je n'avais pas les muscles ni le côté sauvage de Tarzan alors je m'étais empressé de lui répliquer le contraire tout en lui disait qu'elle devrait vérifier d'elle-même pour ma musculature. Je la laissais me poser sur le torse sa petite main hésitante, le contact me fit l'effet d'une décharge électrique mais je restais calme. Je rougissais tellement c'était très déstabilisant comme situation... " Serait-ce la vraie Brynn que j'ai à mes côtés ? " puis je lui révélais finalement que mon mariage était arrangé alors que elle me demanda si j'allais passer ma vie avec une femme que je n'aimais pas... " J'ignore si ce mariage durera mais une chose est sûre, je n'aurais jamais consenti à épouser Ariana si elle n'avait pas été ma meilleure amie... Nous l'avions fait pour son père qui est... mourant... " ma voix était légèrement brisée tandis que je n'arrivais plus à me contrôler par rapport à la blondinette... Je me mis à lui caresser tendrement la joue, j'avais envie de l'embrasser... C'était difficile d'y résister à la tentation mais je devais le faire. " J'ai peur que si... je... ça brise ce qu'on a forgé ensemble. Je t'aime beaucoup Brynn "
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Vous étiez bien , tous les deux confinés au fond de cette cabane. Personne ne se doutait que vous étiez là, ou du moins pas encore. Le mariage semblait toujours battre à son plein, les invités n’ayant pas encore du remarquer vos absences. Tu étais bien contente de te retrouver là, au moins tu n’avais pas besoin d’être fausse, de faire semblant.  Puis c’était une bonne chose pour ta ligne, tu étais sûr que là à part de nourrir de feuille tu n’allais pas t’empiffrer. De toute façon l’étroitesse de ta robe ne te le permettait pas. Tu attrapas sa main, t’amusant à lui faire craquer les doigts avec douceur. Il ne semblait pas être déranger par un tel geste, et toi ç a te détendait. C’était un peu votre moment à vous, personne n’allait venir vous interrompre. Tu l’appréciais donc encore plus, vous alliez enfin pouvoir vous parler à cœur ouvert. Être honnête avec l’autre, dire la vérité, mettre une étiquette sur votre relation. Etait-ce bien ce que tu voulais, mettre une étiquette ? Tu n’en étais pas très sûr. « Je suppose que oui, au moins là nous n’avons pas besoin de faire semblant. » admets-tu pensive rejoignant sa théorie du masque.
Une petite boule se forgea dans le creux de ton ventre. Tu n’étais pas au courant de toute cette histoire, et cela te rendait triste. À le voir dans cet état, si vulnérable, tu avais les larmes aux yeux. Tu avais envie de le serrer dans les bras et lui dire que tout allait bien se passer. Tu comprenais ses motivations, du moins tu essayais. Tu eus une petite pensée pour Arianna, qui devait aussi souffrir de la situation. Tu lui lâchas la main, le regardant droit dans les yeux. «  Je vois…je comprends que tu es du faire un tel choix….alors les choses ne vont pas toujours rester comme cela hein ? J’espère juste que voilà….tu trouveras quelqu’un avec qui tu auras réellement envie de te marier….tu es une belle personne, tu le mérites Dwight. » répondis-tu avec émotion, tentant de le consoler comme tu le pouvais. Tu espérais que tes mots allaient apaiser son cœur, même si ton discours n’était pas forcément des plus convaincants. Il se mit à caresser avec tendresse ta joue, appréciant chaque contact de sa peau contre la tienne. Tu voyais parfaitement ce qu’il voulait dire, mais tu ne savais pas quoi répondre. Ta vie amoureuse était tellement chaotique en ce moment que ton cœur était perdu, ne sachant plus où donner de la tête. Il y avait Charlie, Alejandro et Dwight. Tout était bien trop compliqué, alors que ça devrait être si simple. « Dwight….je t’aime beaucoup aussi…..mais ma vie est tellement bordélique en ce moment…. » commenças-tu à dire, en attrapant sa main qui était posé sur ta joue. « Ta vie amoureuse semble aussi être compliquée, je ne sais pas si….voilà…. ». Tout n’était pas très clair, mais tu n’arrivais plus à faire des phrases.Tout ce que tu savais c'est que tu ne souhaitais pas le vexer, ou même lui faire du mal, à vous deux.
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Nous étions vraiment dans notre bulle à l'heure actuelle et personne ne parviendrait à nous en arracher parce que dans cette fameuse bulle, nous étions vraiment nous ! Il n'y avait vraiment plus de faux semblants et comment dire, c'était vraiment troublant ce genre de situations. Surtout celle-ci parce que je n'avais jamais autant parlé à coeur ouvert avec une fille, encore moins avec une fille qui me plaisait comme Brynn... Quelle était réellement la nature de notre relation en fin de compte ? Nous jouions vraiment à un jeu très dangereux actuellement mais ce n'était pas grave quoi ! Elle s'était mise à me faire craquer les doigts alors je la laissais faire docilement puis la voyant en larmes. Cela me faisait mal de la voir ainsi, je n'aimais pas qu'elle pleure... Ce qu'elle me répondit par la suite était ce qu'on essayait de me faire rentrer dans la tête depuis que j'avais accepté d'aller jusqu'au bout de ce mariage mais en fin de compte, je ne pouvais faire ça... Je la pris finalement dans mes bras pour la serrer tout contre mon coeur tout en lui caressant tendrement la joue. " Mon destin est déjà tout tracé... Parfois j'aimerais tant avoir une vie simple mais dans ce monde dans lequel nous vivons, je ne peux obtenir cette simplicité dont je rêve depuis ma plus tendre enfance... " puis par la suite, je lui dis les mots que je voulais prononcer depuis qu'on se trouvait ici dans ma cabane. Sa réponse était confuse mais je comprenais ce qu'elle essayait de me dire... Oui notre vie amoureuse respective était assez compliquée à l'heure actuelle. " Je sais... " je ne pouvais finir ma phrase parce que je pris vraiment l'initiave de l'embrasser tendrement, sachant pertinemment qu'elle pourrait m'en vouloir d'avoir fait ça mais j'en avais besoin...
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Chacun de ses mots se frayaient un chemin dans ton corps, trouvant une sonorité très particulière dans ton cœur. Ils sonnaient tout simplement juste à tes oreilles, ils te parlaient. Tu le comprenais, parce qu’au fond vous n’étiez pas très différent l’un de l’autre. Riche, beau, et tristement seul. Tu n’arrivais plus tellement à discerner les moments où vous jouiez au chat et à la sourie, avec les moments beaucoup plus sérieux comme celui-ci. Peut-être te racontait-il cela dans le seul but de t’affaiblir ? te rendre vulnérable et t’embrasser ? Tu savais comment cet homme fonctionnait, tu le connaissais depuis suffisamment longtemps pour savoir qu’un dom juan comme lui ne renonçait jamais lorsqu’il s’agissait de conquérir le lit d’une fille, même pour une seule nuit. Encore ici tu avais des doutes concernant la sincérité de ces gestes. Tu ne savais plus trop, tout se bousculait dans ta tête. Tu sentais que quelque chose d’important se passait sous tes yeux, mais tu n’arrivais pas à mettre le doigt dessus. Tu te contentas d’opiner, hochant simplement de la tête. Tu ne savais pas tellement quoi répondre, cela en était presque trop philosophique à ton goût.
Puis forcément lorsqu’il t’avoua le fond de ses pensées, laissant son cœur ouvert, tu te retrouvas là à bafouiller comme une débile. C’était tellement difficile d’exprimer ses sentiments à quelqu’un, trouver les bons mots. Il disait qu’il savait, mais tu en doutais. Tu n’as pas eu le temps de répliquer quelque chose, que le jeune homme t’embrassa avec tendresse. Sa langue s’entremêlant avec facilité à la tienne. Tu avais soudainement très chaud, ta peau prenant une jolie teinte rosée. Tu le repoussas gentiment, le souffle encore coupé. Tu avais envie de crier quelque chose comme ‘mais bordel tu fous quoi ?’ mais c’était simplement parce que tu étais énervé. L’expérience n’avait pas vraiment été désagréable. Tu le regardas fixement puis enchainas « Je crois que je ferais mieux d’y aller. » Tu tentas de te lever, mais te pris les pieds dans ta robe avant de retomber gauchement sur monsieur. « arg, j’suis même pas capable de partir avec un minimum de classe, sérieux ma vie craint. » boudas-tu, te retrouvant à moitié allongé sur monsieur. Tu ne bougeas même pas, regardant le plafond en bois. Osef si tu lui faisais mal.

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