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Phoenix & Prue ► If I would know you, would you know me,

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Un point final et je terminais de recoudre la blessure de sa main. Jetant l’aiguille dans la poubelle, je me reculais, lui laissant le loisir de contempler sa cicatrise. De sa part, je ne m’attendais à aucun remerciement. Ses yeux bleus acier apparaissaient dans mon champ de vision, l’envahissant de cette froideur austère. Froideur qui cachait un mince filet de chaleur. Troublé. C’était le mot exacte qui convenait à mon ressentie. Pendant de longues secondes, je me perdais dans son regard. Détestant cette faiblesse, je m’apprêtais à faire demi-tour lorsque sa main m’arrêtait dans mon élan. Sa main sur ma peau, me transmettait un froid glacial, faisant disparaitre toute chaleur de mon corps. Pourtant, au fond de moi, je pouvais ressentir ce que son contact faisait naitre. Perdu, ses lèvres s’approchaient des miennes sans que je puisse me défier de cette interminable seconde. Capturant mes lèvres dans un baiser, ma raison me hurlait de le repousser, mais mon corps m’interdisait tout mouvement. De lui, je savais suffisamment de choses pour que cela me fasse fuir. Néanmoins, je n’arrivais pas à m’y résoudre. Devant moi, défilait l’une de nos nuits. Cette nuit même où j’avais faillis faire demi-tour, car je savais ce qu’il aurait pu me faire en apprenant la vérité. Pourtant, je n’avais pu m’y résoudre. A la lumière du clair de lune, ma conscience m’avait abandonné, tandis que j’étais resté à ses côtés. Peu importe ce qu’il c’était passé avant, cela n’avait plus d’importance. Sa présence tout entière m’avait manqué. Derrière moi, j’avais abandonné celui qui aurait pu m’accepter tout entière. Au final, je ne me sentais pas meilleur que lui. Malgré les différences, j’étais au fond de moi, tout aussi sombre. Le mal psychologique que j’avais pu faire étant plus jeune, était bien là et rien ne pourrait l’effacer. Mêlant sa langue à la mienne, il approfondissait notre baiser, tandis que j’y répondais. Passant sa main fragilisée sur le bas de mon dos, il m’attirait à lui dans une simple étreinte. A ce contact, mon corps réceptif, frissonnait. Balayant ma conscience, je venais poser une main sur sa nuque, pressant mon corps contre lui. Retrouvant ainsi, ma place d’origine. Prise de fouge, je le repoussais contre sa baignoire, avide de me retrouver, de nous retrouver. Une partie de moi, voulait revenir à celle que j’avais été. Je voulais oublier les récents évènements. Ce fut le bruitage lointain qui me ramenait à la réalité. « C’est pas vrai… » M’éloignant rapidement de lui, je tâchais de reprendre mes esprits. Pourquoi est-ce que j’agissais avec tant de naïveté ?! Un rire nerveux s’arrachait de ma gorge. « Monsieur est de meilleure humeur et je cours » Ridicule. J’étais en colère. En colère contre lui ou contre moi ? La seconde option était plus adaptée.
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Je ne sais pas les raisons qui m'ont poussé à l'embrasser, mais je l'ai fait et je ne regrette pas bien au contraire. J'apprécie toujours autant les baisers de Prudence ils me rappellent le passé, et dans le passé papa était toujours vivant. Elle me pousse contre la baignoire, et je m'agrippe un peu plus à ses lèvres, j'entends au loin Apocalypse aboyer, sûrement alerter par le bruit que nous faisons. Elle me relâche et je vois bien qu'elle remet ses esprits en place. Je la fixe, et je comprends qu'elle ne voulait pas de moi, pas reprendre là où on en était à Londres avant que je découvre sa vraie famille. Au fond c'est une garce de m'avoir caché la vérité, mais j'aime ce côté chez elle, et involontairement ça doit être pour ça que j'ai pu être autant attaché à elle par le passé. Sa remarque me braque, et je sens par le timbre de sa voix qu'elle est en colère, contre moi, ou bien contre elle pour être tombée aussi facilement dans mes filets. Je me lève pour la dominer de ma hauteur, et lui réponds « Qu'est-ce qui te dit que je suis de meilleure humeur ? » J'arque un sourcil sarcastique, et lui donne un coup d'épaule en quittant la pièce. Il ne faut jamais me repousser, je n'aime pas cela. Je me dirige vers la cuisine, et attrape mon téléphone afin d'appeler ma femme de ménage qui habite dans les bâtiments miteux d'à côté pour qu'elle vienne nettoyer. Ça sonne, mais elle ne décroche pas. Je m'énerve alors et claque le téléphone sur le comptoir. Mon chien arrive vers moi et je le caresse entre les deux oreilles, me disant que c'est une brave bête et que je le remercie d'être toujours présent pour moi. Prudence arrive dans la pièce, je pose mon regard sur elle, et lève les yeux au ciel tant je suis blasé par l'attitude qu'elle a eu. Je me dirige vers ma grande baie vitrée qui donne une vue merveilleuse sur la ville de Cambridge et croise les bras sur mon torse musclé, pensif. Apocalypse arrive près de moi et s'assoit à mes côtés. « Je crois que t'as plus rien à faire ici Prue. » dis-je à l'égard de la brunette qui m'avait tout de même soigné quelques minutes auparavant, sans qui le sang aurait continué de couler. Je n'ai pas envie qu'elle parte, mais c'est mieux pour elle, pour nous. Je pourrais très bien tenir une conversation avec elle, à finir trois bouteilles d'alcool tous les deux et à se ressasser les souvenirs du passé, mais ça serait mal parce que parler des souvenirs témoignent d'un bonheur incertain et je ne veux pas passer pour un homme heureux, ça prouverait que je suis faible.

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Toujours en colère, je ne le quittais pas du regard. Se relevant, il venait me dominer de toute sa hauteur, surplombant mon être de son ombre, la privant ainsi de toute lumière. « Qu'est-ce qui te dit que je suis de meilleure humeur ? » Son regard froid et noir, me fait face une dernière fois. Puis, sans scrupule, il me dépassait, son épaule venant lourdement s’abattre sur la mienne. La douleur brève et sourde laissait place à une froideur dérangeante. Immobile dans cette salle de bain, je crus entendre un bruit provenir de son salon. Que faisait-il ? Attisé par la curiosité, je me détournais de cette baignoire vide, m’approchant à pas silencieux de la pièce centrale. A mon entrée, il me fuyait, préférant me tourner le dos, les yeux rivés sur la vue que lui offraient ses immenses baies vitrées. Son fidèle compagnon venait le rejoindre, me donnant la vision parfaite d’un couple intra genre s’alliant avec magnificence. J’aurais pu rire de cette scène cliché, mais au lieu de ça, je restais de marbre. De ma position, je pouvais voir son image se refléter dans la vitre. « Je crois que t'as plus rien à faire ici Prue. » Le pensait-il vraiment ? Pourquoi me traitait-il de la sorte ? Phoenix avait toujours été extrême, me montrant parfois deux opposés en quelques heures. Ce soir, il m’avait repoussé pour m’embrasser et pour finir, il se mettait dans la peau d’un homme vexer, car je l’avais repoussé. J’aurais pu partir, mais au lieu de ça, je restais droite et fière. Ma bouche s’ouvrait pour laisser échapper quelques mots : « J’ai besoin de savoir… » Allais-je vraiment lui poser cette question ? « Pourquoi est-ce que tu as attendu que je vienne te voir pour me dire que tu savais qui j’étais ? De ta part, je me serais attendu à avoir de tes nouvelles plus tôt. » Et ce n’était pas son pouvoir qui aurait pu l’empêcher de retrouver mon numéro. Il en avait les moyens. Même si je restais protéger, ses méthodes auraient pu lui être utiles.

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La scène fait cliché, sur ce coup je ne peux pas le renier. La scène du type énervé qui regarde par la fenêtre à la recherche d'un peu de changement d'idées bien que ça soit peine perdue puisque Prudence vient m'ôter de mes pensées alors que je lui ai clairement demandé de partir. Brusquement je me retourne vers elle, n'appréciant pas que l'on me fasse des reproches encore moins quand ça vient de quelqu'un que j'appréciai, dans le passé. « Tout simplement parce que je savais que tu allais le faire. » dis-je sur un ton sarcastique et rempli d'assurance. Elle ne peut pas renier les faits car c'est elle qui est venue sonner chez moi, pour me donner de sa pitié par rapport à la mort de mon père, et en aucun cas je suis venu sonner chez lui pour avoir des fichus explications quant à ses mensonges sur sa réelle identité. D'ailleurs, c'est sûrement le moment d'en parler. Depuis quelques temps, c'est le temps des révélations, de dire tout ce que j'ai sur le coeur, je l'ai fait notamment avec Leevy, il faut croire que maintenant je dois le faire avec Prudence. Je m'avance près d'elle afin de la dominer davantage, et mon fidèle canidé me suit et reste debout à mes côtés. « Tu me connais assez pour savoir que je filtre mes fréquentations. Dès que je m'approche trop de quelqu'un je fais une recherche sur cette personne, mais avec toi je ne l'ai pas fait, car je t'ai fait confiance. Donner ma confiance est une perle rare, et en me mentant pendant des années et en me prenant pour un débile tu l'as perdu. » Je fais une courte pause, et la toise pour l'intimider un peu plus même si ça ne va pas forcément marcher. « Et là tu te demandes pourquoi je t'ai embrassé alors dans la salle de bain ? Moi même je ne sais pas, c'était sans doute un baiser de remerciement, ou bien je voulais revivre le passé, dans tous les cas j'ai été con sur ce coup là et tu as été assez naïve pour ne pas me repousser de suite. » J'avais pesé chacun de mot, faisant en sorte qu'ils aient de l'impact sur sa conscience.
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Comme un murmure, j’attendais de lui une réponse honnête. Pourquoi n’avoir rien dit ? Pourquoi était-il rester silencieux ? Il était évident qu’il voyait cela comme une trahison. Sinon, pourquoi aurait-il nourri autant de rancœur contre moi ? Brutalement, il se retournait pour me faire face. « Tout simplement parce que je savais que tu allais le faire. » Etais-je si prévisible ? J’avais du mal à croire cela. Néanmoins, il était évident que je revienne vers lui, tout en sachant qu’il était dans la même ville que moi. C’était une façon d’assurer mes arrières. Le regard sombre, il s’approchait de moi, mettant fin à la distance qu’il y avait entre nos deux corps. Le souffle court, je plantais mes yeux dans les siens sans défaillir une seule fois. Ce qu’il me disait, ne m’étonnais guère. A l’entendre, j’avais trahis sa confiance et j’étais bien placé pour savoir à quel point il jugeait cela précieux. De lui, je connaissais des choses qui pourraient faire frémir n’importe quel humain normalement constitué. Pourtant, j’avais tenu bon. Pas une seule seconde, je ne lui avais reproché ses actes. Dans son entière totalité, je l’avais accepté. Ses derniers mots furent de trop. Un baiser de remerciement ? Je n’y croyais pas. Revivre le passé ? Pour quoi faire ? Dire de vive voix que j’avais été naïve, réussissait à me blesser. Venir à Harvard m’avait aidé à murir et les récents évènements, m’avaient rendu faiblarde. La présence de Phoenix avait le don de faire ressortir une facette de ma personne que je tâchais de taire. « Je t’ai pris pour un débile selon toi ? » Le visage fermé, je parlais posément, pesant chacun de mes mots. D’un pas, je me rapprochais un peu plus de lui, n’accordant aucune importance à son chien. « M’embrasser par pure nostalgie, vraiment ? » Je marquais une brève pause. « Je n’en crois pas un mot » Un sourire ironique aux bords des lèvres, je le toisais de mon niveau, ne me sentant aucune intimider par sa domination. « Tu en avais envie. Tu essayes de me blesser, mais tu n’y arriveras pas. Je te connais Phoenix et tes petites manières pour te montrer fort et intimidant, ne fonctionne pas sur moi. » Un léger rire sarcastique se frayait un chemin hors de mes lèvres. Me mettant sur la pointe des pieds, je venais murmurer quelques mots à son oreille. «  Traite moi de naïve encore une fois et je me ferais une joie de te montrer le contraire. »  
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Je lui explique alors la situation espérant qu'elle comprenne vraiment où je veux en venir. Elle a beau me connaitre, personne ne sera jamais en mesure d'être imbattable sur autrui. Lorsqu'elle me dit  « Je t’ai pris pour un débile selon toi ? », je hoche de la tête en pinçant mes lèvres d'un air sévère en guise de réponse, puis la regarde s'avancer, sachant très bien qu'elle tente de m'intimider. La rage monte en moi, je sers les poings, je sers les dents pour ne pas l'attraper par les épaules et la repousser en arrière avec violence. Mais je me retiens et l'écoute me provoquer en reprenant mes paroles, ce qui m'agace encore plus, et c'est ce qu'elle souhaite. Elle veut que je la prenne la claque au sol et la blesse comme j'aime tant mais je reste de marbre et ne laisse pas paraitre mes émotions. Un sourire s'échappe de mes lèvres quand elle me dit qu'elle me connait, que je ne l'impressionne pas, enfin le blabla habituel qui ne me fait ni chaud, ni froid. Elle pense que je ne désire qu'une chose : retrouver son corps contre le miens. C'est faux. Mon sourire se transforme en rire, quand elle me murmure des menaces à l'oreille. Maintenant elle pense me faire peur ? Mais pour qui se prend-elle au juste ? Elle pense avoir tout vu, tout connu, tout vaincu, mais elle n'a pas fait le quart de ce que j'ai fait dans ma vie. Et le peu qu'elle connait de ma vie n'est strictement rien comparé à ce que je suis capable de faire. Je recule d'un pas et la toise. « Naïve. » lui dis-je sur un ton sarcastique et arrogant. Je souris fier de ma provocation, elle a voulu que je le dise, alors je l'ai dit. J'attrape sa tête entre mes paumes de main et la sers fortement « Maintenant tu vas faire quoi ? Appeler tonton Morgan à la rescousse ? » Je fais des ronds avec sa tête, et souris en même temps, tellement sa tête est drôle pendant que je la "torture". Je la relâche alors et lui dis « Tu ne me fais absolument pas peur Prudence. »
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« Naïve. » me répondait-il tout en se reculant. C’était à mon tour de vouloir lui rire au nez, mais avant que je ne puisse faire quoi que ce soit, il se rapprochait une nouvelle fois de moi, emprisonnant ma tête entre ses mains. Sa pression était comparable à un étau glacial. J’aurais pu avoir peur, mais au lieu de cela, je n’en fis rien. « Maintenant tu vas faire quoi ? Appeler tonton Morgan à la rescousse ? » Mon oncle était mort. Il ne restait plus que Roman. Et s’il pensait que j’allais pleurnicher dans les jupes de mon cousin, il se mettait le doigt dans l’œil. Je n’allais rien faire, car je m’étais mise toute seule dans cette situation. Je n’aurais jamais dû me rapprocher de lui et je n’aurais jamais dû revenir aujourd’hui. Pas après tout ce que j’avais subis. A croire que les prises de risques étaient devenues plus attractive depuis que j’avais faillis me faire tuer dans une fusillade et que j’avais fait une fausse couche. Pathétique, n’est-ce pas ? Phoenix s’amusait avec mon visage et je ne trouvais rien à dire pour me défendre. Lentement, je sentais les sanglots monter à mes yeux, mais je me refusais de pleurer. Pas devant lui. Pas comme ça. « Tu ne me fais absolument pas peur Prudence. » La pression de ses mains sur mon crane, déclenchait une douleur lancinante. J’étais las et ses mots m’apparaissaient comme un murmure lointain. Finalement, je réussissais à me dégager de son emprise. « Ça suffit ! T’es complètement ridicule Phoenix. Tu me fais penser à un de ses gamins friqués qui est en colère contre le monde entier. Ton père est mort et les Morgan n’y sont pour rien. Alors épargne-moi ton sarcasme. » Je reprenais mon souffle, mettant le plus de distance entre nous deux. « T’as raison, je n’ai plus rien à faire ici »
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C'est fou comme les aléas de la vie, et les choix que l'on fait peuvent changer une personne du tout ou tout. Avant j'entretenais une très bonne relation avec Prudence mais maintenant je ne peux plus la regarder dans les yeux sans que le mot "mensonge" me ramène à la réalité. Dans le métier on ne ment pas, sinon on est lâche, et elle c'est une lâche en plus d'être naïve et si peu intelligente de me parler sur un ton de désinvolte. En même temps je n'y suis pas allé de mains mortes en secouant sa tête dans tous les sens et en lui balançant des mots méchants en pleine face. Mais je n'ai jamais dit que j'étais quelqu'un de gentil. Il se débat et je la relâche. Elle ose me dire que je suis ridicule alors que de nous deux c'est elle. Ce n'est pas moi qui avais les larmes aux yeux toute à l'heure, mais bel et bien elle. Elle parle de mon père en m'expliquant que les Morgan n'y sont pour rien. Et elle compte m'apprendre quoi au juste ? Ce que je sais déjà. Je souris alors, et mon sourire s'élargit quand elle me dit qu'elle veut quitter les lieux. Cependant elle ne va pas s'en tirer aussi facilement. « Je sais parfaitement qu'ils n"y sont pour rien.. Je sais qui a tué mon père, alors n'essaye pas de jouer madame je sais tout, parce que tu ne sais rien de ce que je pense comme tu ne sais rien de ce que je peux faire. » Je fais une courte pause et fait signe à mon chien de ne pas bouger, car il commence à grogner en voyant mon énervement. « Maintenant sors de chez moi ou je te fais la promesse de laisser Apocalypse t'attaquer. » En plus il ne demande que ça, mise à part les morceaux de viandes rouges que je lui donne il ne mange pas de chair fraîche. Sournois et machiavélique je sais, mais c'est ce que je suis et je ne vais pas changer pour les beaux yeux d'une demoiselle, ancienne amie qui plus est ennemie.
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Présentement, la seule chose dont j’avais envie, c’était de rentrer chez moi. Voir Phoenix n’avait fait qu’empirer les choses. Le plus ironique dans tout cela, c’est que j’avais crus que les choses pourraient s’arranger, mais comment pourraient-elle, alors que j’avais laissé le vide s’enliser ? J’allais franchir le salon, lorsque la voix de l’homme m’arrêtait dans mon élan : « Je sais parfaitement qu'ils n"y sont pour rien.. Je sais qui a tué mon père, alors n'essaye pas de jouer madame je sais tout, parce que tu ne sais rien de ce que je pense comme tu ne sais rien de ce que je peux faire. » S’il pensait me blesser avec ses mots, il se trompait. Je connaissais un bref aperçu de ce qu’il pouvait faire et cela me suffisait. Je n’avais pas envie de connaitre la fin. « Maintenant sors de chez moi ou je te fais la promesse de laisser Apocalypse t'attaquer. » Se faire attaquer par son chien ? Il se réduirait vraiment à cela ? Comme c’était pathétique. Instable, un rire s’échappait de mes lèvres, alors que je me retournais brièvement. « C’est bien ce que je pensais. Toujours à se cacher derrière son chien » Sur ses mots, je quittais la pièce, me dirigeant à grand pas vers la porte. L’esprit peu tranquille, mes mains tremblaient légèrement. De l’adrénaline, vraiment ? C’est dernières semaines m’avaient réellement changés. Ce n’était pas une hallucination.
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