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Devyn & Motya - If we ever meet again.

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Une journée commune. Nous sommes en fin d'après-midi et je viens de passer la journée avec certaines amies cabots et diverses relations Mathers. Les cours ont reprit à l'Université, et bien que ça me désole, je suis tout de même revenu à Harvard avec les esprits bondés de souvenirs grâce au Summer Camp. Les Caraïbes m'ont fait rêvés et je dois avouer que cette atmosphère froide et plate qui règne de ce côté-ci de la planète ne m'avait pas manquer. Mais pour me remonter le moral, j'ai toujours de quoi m'occuper avec ma passion première : Moi. Ayant remarqué ce matin que je manquais de rouge à lèvres, je ne fis qu'un passage éclair dans ma chambre puis me suis rendu vers Central Square pour faire mes petites courses esthétiques. 19:30, je sors de la boutique où je viens de passer prêt d'une heure, et me dirige vers la Mather House pour me reposer enfin. Me reposer ? Il faut croire que le destin n'était pas du même avis que moi sur ce coup. Sur le chemin du retour, je croise un groupe de jeunes inconnus, qui n'avaient pas l'air d'être à Harvard, vu leurs visages avides d'expressions et d'intelligence. Mademoiselle ? Monsieur ? T'es quoi en fait ? Je fis l'impasse sur ces remarques auxquelles je suis habitué depuis que je m'assume de cette façon. Il faut croire que mon silence et mon indifférence envers eux ne leur a pas plu. Ils se mirent à m'encercler, et bien que je sois une personne très fière, snob et mentalement forte, il était difficile de ne pas lire la crainte sur mon visage à ce moment-là.
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Tu courais un peu dans tous les sens aujourd'hui. Cela se voyait que les cours avaient repris pour de bon, tu commençais à être bien occupé. Du coup, lorsque tu te trouvas deux heures de pause entre deux cours, tu courus presque en direction de Cambridge pour aller t'acheter du matériel pour tes photos dont tu avais besoin. Tu étais quelque peu de la vieille école pour tes achats, tu avais besoin d'avoir tout en main pour comparer, tu n'aimais guère commander sur Internet, même si cela t'aurait permis de gagner du temps. Heureusement que le magasin où tu allais toujours depuis 7 ans maintenant était plutôt bien fourni, tu passerai ton temps à lui faire commander des tas de choses sinon. La preuve ; aujourd'hui, tu trouvas du premier coup ce qu'il te fallait et ne passas pas beaucoup de temps dans la boutique, simplement chargé d'un sac en plus de tes affaires. Marchant d'un pas pressé, tu faillis d'ailleurs ne pas faire attention à la scène qui se tenait sur l'autre trottoir, pourtant non loin de toi vu l'étroitesse de la rue qui servait souvent de raccourci aux étudiants. Plusieurs personnes en entouraient une autre, et ce n'était sûrement pas dans un but pacifique. En temps normal, tu aurais continué ton chemin, lâche que tu étais... mais tu avais changé. Tu n'allais pas faire le poids physiquement, tu ne t'y risquas donc pas. Non, mieux valait utiliser la ruse, et sortir ton téléphone, en faisant semblant de taper un numéro dessus. Je vous conseillerai de déguerpir en vitesse, j'appelle la police. En réalité, tu ne tapais rien du tout, mais ils n'étaient pas censés le savoir. Toujours était-il qu'ils étaient encore plus lâche que toi vu qu'ils partirent bien vite après cela, te laissant seul avec la victime que tu n'apercevais pas bien. Te rapprochant donc un peu, prudemment cela dit, tu eus ensuite un mouvement de recul en le reconnaissant : Motya... Tu restas donc silencieux, à plusieurs grands pas de lui. Tu hésitais à partir en courant pour le rester en plan... mais tu n'étais pas rassuré, et tu le voyais mal t'attaquer là maintenant. C'était peut-être une erreur, mais tu n'avais toujours pas refermé ton téléphone, peut-être croirait-l également que la police était prête à être appelée s'il venait à être menaçant. Après tout, les caïds n'aimaient pas être surpris en position de faiblesse.
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Spoiler:

Je commençais à me sentir grandement en danger. Croiser quelqu'un comme moi donne lieu à diverses réactions qu'on ne rencontrerait pas avec une personne dans la norme, disons. De toute manière ils étaient bien plus nombreux, alors il était bien inutile d'essayer de se défendre verbalement et encore moins physiquement. Alors que je me croyais foutu, alors que je sentais déjà les coups me venir sur la tronche, quelqu'un qui ne faisait pas parti de ces mecs commença à prendre la parole. Je ne le voyais pas, mais la seule chose que je voyais, c'est qu'il me défendait. Il se mit à les menacer d'appeler la police, ce qui généralement terrorise les abrutis de ce genre. Et ce fut le cas. Je n'avais pas vu mon sauveur, mais qui que ce soit, j'étais bien content que nos routes se croisent. Et d'ailleurs mon sauveur était une personne qui devait avoir un aimant à Motya, car ce n'était personne d'autre que Devyn, que j'ai pu malheureusement rencontré dans le passé. Je me sentais un peu bête, moi qui m'en étais pris à lui à maintes reprises, il venait de me défendre héroïquement. Eh ben.. Pour une fois je suis content de te voir. Je souriais légèrement mais ce sourire s'estompa rapidement, étant gagné par la gêne. Bizarrement je me sentais coupable d'avoir été dur avec lui, quand je voyais ce qu'il était capable de faire pour défendre quelqu'un. Je restais un peu bête quelques secondes avant de balbutier un petit mot au sens fort. Merci. C'est peut-être un mot dérisoire, mais rares sont les personnes que j'ai pu remercier dans le passé.
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Ty étais resté silencieuxx, oscillant toujours entre tin envie de fuir et de rester un peu, comme pour le narguer de cet échange des rôles. Tu n'allais pas le ridiculiser comme tu l'avais fait poir toi, il ne fallait pas exagérer mais c'était lui qui était au sol et toi qui étais debout cette fois. Tu le fixais toujours d'un regard limite froid lorsqu'il se décida à prendre la parole. On ne peut pas dire que ce soit réciproque. Tu restais méfiant malgré le rapide sourire qu'il t'avait envoyé, jetant des coups d'oeil aux alentours alors que vous étiez toujours seuls. Dire que tu étais sur tes gardes et absolument pas en confiance était clairement un euphémisme. Ses remerciements te cueillirent donc par surprise, surtout qu'il semblait sérieux malgré son balbutiement. Lui qui te remerciait... Tu auras décidément tout vu avec lui, Motya était décidément plein de surprises. On aurait été capable de me menacer de porter plainte pour non assistance à personne en danger. Ton ton sarcastique était plutôt inhabituel mais tu voulais que le mather comprenne que tu aurais effectivement pu ne rien faire vu ses précédents comportements à ton égard, et sans doute l'aurais tu fait si tu l'avais reconnu et que tu avais été plus dur que cela. Ton ton s' adoucit très légèrement lorsque tu repris la parole, même si tu restais distant. Tu n'as rien ?
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La gêne était clairement omniprésente. J'aurais été bien plus à l'aise s'il m'avait fait une crasse, mais c'était tout le contraire. Il faut croire d'ailleurs qu'il profita de cet instant pour prendre sa revanche sur les fois précédentes. Je dois avouer que je n'avais pas été très tendre avec lui l'hiver dernier et cet été au Summer Camp, et il n'avait rien fait pour se justifier. Il a certainement dû prendre de l'assurance depuis cet été, mais qu'il n'en abuse pas avec moi, car il connaît les conséquences lorsqu'une personne m'irrite. Je dois avouer que s'ils avaient ruiné ma manucure tu serais déjà au commissariat pour ces raisons-là. Ne pas me sauver c'est un fait, mais ne pas sauver ma manucure fraîchement faite, c'est un crime puni par la loi. C'est d'ailleurs après ça qu'il me demande si je n'ai rien. Très bonne question, deux secondes je vérifie. Je sors un miroir de mon sac à main pour vérifier l'état de ma coiffure et de mon makeup. Tout était intact, ouf. Non tout va bien ! Je me doutais bien qu'il m'avait posé cette question pour savoir s'ils m'avaient fait mal, mais je suis bien plus préoccupé par l'état de mon apparence que par les coups qu'on aurait pu m'infliger. Je peux faire quelque chose pour te remercier, peut-être ? Je n'avais pas l'habitude de proposer mes remerciements, mais après l'aide qu'il vient de me donner, je me devais de faire preuve d'un minimum de gratitude. Je fais ma princesse mais il m'arrive d'avoir des instants de bonté. Rarement cela dit.
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Oui, je profitai un peu du fait qu'il soit en position plus faible pour répliquer plus facilement; mais je savais qu'au moindre haussement de ton de sa part, tu détalerai comme un lapin. Il ne fallait pas exagérer ; ce n'était pas parce que tu l'ouvrais plus facilement que tu étais plus courageux. Si les individus qui l'avaient attaqué avaient fait mine de s'en prendre à toi, tu aurais fait la même chose, quitte à prévenir la police une fois à l'abri et loin de ces gars. Bien sûr que si cela avait été l'un de tes proches amis ou William tu n'aurais pas réagi pareil, mais là, c'était totalement différent, et l'aurait été encore plus si tu avais su à qui tu aurais ensuite à faire. Toute personne sensée aurait plutôt vérifié si elle n'avait rien de cassé, mais Motya préférait plutôt vérifier son apparence, encore et toujours. Il en était franchement désespérant, et tu ne pus t'empêcher de lever les yeux au ciel face à cette idée. Qu'aurait-il pu bien dire si sa coiffure ou son maquillage avaient été mal en point, t'aurait-il encore une fois insulté pour cela ? Il semblait s'être remis de ses émotions, et c'étant tant mieux... ou pas. Cela voulait dire que tu allais sans doute retourner en position de faiblesse dans très peu de temps, et cela ne te tentait véritablement pas. L'entendre te proposer de faire quelque chose pour toi te fit également grincer des dents : tu pourrais en profiter bien sûr, c'était même tentant d'un sens... mais tu étais trop gentil pour cela. Rien, je n'ai fait que ce que toute personne normale ferait. Tu ferais juste mieux d'éviter ce genre d'endroits en étant ainsi. Tu avais haussé des épaules, histoire de faire passer le tout. On ne pouvait pas dire que Motya avait un look banal, et cela suffisait souvent pour attirer les problèmes, alors de là à prendre des raccourcis un peu sombres et à l'écart... Ce n'était franchement pas malin. Ne plus me menacer pour un rien m'irait aussi. Mias cela serait trop demandé je suppose.
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J'appréciais son dévouement pour me sortir de là, mais ce n'était pas une raison pour utiliser cet argument contre moi. Il a l'air d'oublier qui je suis. Il a beau avoir été brave envers moi, je ne vais pas me laisser démonter pour autant. Puis petit à petit je sentais qu'il avait vraiment l'intention de faire le donneur de leçons. D'ailleurs, je commençais à m'irriter un peu en entendant ses arguments en carton. Ne pas sortir dans certains endroits parce que je suis moi-même et que j'ai décidé de vivre autrement, voilà son conseil. Ce que tu me conseilles c'est d'arrêter de vivre librement parce que je suis trop unique pour pouvoir être en sécurité ? J'ai les mêmes droits que tout le monde, et si je devais me faire tabasser un jour à cause de ça qu'il en soit ainsi, je recommencerai encore et encore. J'essayais de me canaliser car il venait de me donner un coup de main donc il valait mieux que je reste soft. Mais quand même quoi, merde. Donc pour vivre tranquillement dans ce bas-monde il faut que je sois monsieur tout le monde, bah alors là autant me flinguer. Et comme si cela ne suffisait pas, ce cher Devyn s'amusa à me lancer un nouveau petit pic. Mes menaces sont justifiées, reste à ta place et tu n'auras pas à les subire. Je commençais à employer un ton plus froid, il valait mieux que les petites attaques en reste là avant que ça ne dégénère ... Encore.
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Tu n'avais jamais suggéré que ton idée était la seule valable, et qu'il s'agissait là de la meilleure possible. Tu l'avais dit comme une simple remarque, toi qui avais toujours tendance à tout vouloir justifier. Bien sûr que c'était injuste de devoir éviter de faire certaines choses simplement parce qu'on risquait d'avoir des problèmes, alors qu'aucune loi ne l'interdisait. Oui, c'était totalement anormal, comme le fait que tu ne te sentais pas vraiment à l'aise pour te balader en vrai couple dans la rue avec William. C'était la vie, et tu savais que prendre ce genre de risques n'en valait peut-être la peine : mieux fallait se contenir et être vivant plutôt que profiter un peu et se retrouver blessé. Mais au lieu de comprendre, il montait encore sur ses grands chevaux, montrait les crocs et tentait de nouveau de s'en prendre à moi. Sauf que tu n'avais strictement rien fait pour mériter ce ton froid et arrogant. Pas cette fois. Je ne disais pas ça par méchanceté ou autre. Il y a des choses que j'aimerai faire que je ne peux pas, même si c'est autorisé, et c'est aussi frustrant que cela. Il serait cependant dommage que tu te fasses casser un ongle parce que tu es trop fier pour admettre que le monde n'est pas toujours prêt à accepter la différence.
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Il y avait une part de vérité dans ce qu'il disait, je dois l'admettre. On vit dans un monde où la liberté est maîtresse, mais n'est pas respectée sur bon nombre de points. J'étais vraiment blasé par ce genre de situation, et je pense que ça se lisait sur mon visage. Pour l'instant je vis ma vie pleinement, sans me soucier de quoi que ce soit, mais il arrivera un temps où je ne pourrai plus garder cette impassibilité face aux problèmes qui tourneront autour de moi. Dans mon monde, personne n'a le droit de blâmer quelqu'un qui quitte la limite de la norme, mais comme je viens de le dire, c'est dans mon monde. Je sais très bien que je suis en danger à certains moments, au même titre que je sais très bien qu'un grand nombre de personnes sur cette foutue planète n'accepterai pas ma façon de vivre. Je suis fier mais pas idiot, j'ai conscience de ce qui plane autour de moi. Mais c'est pas parce que j'en suis conscient que je dois m'interdire des droits. Ca virerai presque en débat psycho-philosophique notre histoire. D'ailleurs je le sentais vachement concerné par cette discussion. Il n'était pas très différent des autres, il n'avait pas l'air d'avoir un mode de vie très hors-norme, donc la seule possibilité serait qu'il soit homo. En y repensant, il est bien possible qu'il soit en couple avec ce mec qui l'accompagnait lorsque nous étions à Haïti cet été. Dans ces cas là, j'apprécie un peu plus d'être en sa compagnie pour pouvoir parler d'un truc qui nous concerne tous les deux. En parlant de ça, ce serait pas mal de bouger d'ici. Il fait sombre, on est dans une ruelle où je viens de me faire intimider, donc partir pourrait être une bonne idée. Tu voudrais qu'on aille boire un verre ? Il commence à faire nuit et j'ai envie de bouger d'ici. Je m'attendais forcément à une réaction abasourdie de sa part. Après tout, c'est une situation qu'on était loin de s'imaginer.
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Etre conscient du problème et l'affronter à bras le coup en assumant totalement le danger... C'était courageux mine de rien. Toi, tu préférais largement le planquer au maximum et profiter en privé avec William, rien de plus, car tu ne voulais pas risquer ta peau pour ça. Tu savais que dans la vie, c'était la loi du plus fort qui primait... et tu ne faisais pas partie de la catégorie des vainqueurs à ce niveau-là. Toi, encore en plus, tu pouvais facilement cacher ta "particularité" comme certains appelaient ça, mais Motya... C'était une autre histoire, difficile de ne pas le juger au vu de son apparence. Toi-même, tu pouvais avouer sans honte que tu l'avais fait dès le début, surtout vu que tu t'étais fait humilier en public par lui à deux reprises : mine de rien, cela créait des liens peu sympathiques. Malgré tout, ce n'était pas parce que vous sembliez avoir un point commun que tout allait se résoudre en un clin d"œil : tu étais plutôt rancunier, et ta méfiance n'allait pas disparaître du jour au lendemain, si sincère soit-il dans ses paroles. Lorsqu'il te proposa donc d'aller boire un verre avec lui, tu lui jetas d'un regard plus que suspicieux. Ce n'était pas parce que l'idée de sortir de la ruelle te déplaisait, très loin de là : c'était même ton principal objectif depuis que tu l'avais sauvé. Mais l'idée de traîner un peu plus longtemps avec lui, avec vos antécédents... Tu hésitais très franchement. Un long silence suivit donc sa proposition, tandis que tu pesas le pour et le contre, avant de finalement acquiescer. Ok. Mais aps trop longtemps, j'ai pas mal de choses à faire encore aujourd'hui. Reprenant le sac d'affaires que tu avais posé le temps de t'occuper de cette histoire, tu l'attendis ensuite, pour qu'il passe devant et t'indique le chemin. Tu étais loin d'être spécialiste des bars après tout.
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