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T&A " How I met Tobias.

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Rester à l'intérieur, alors qu'on pouvait marcher dehors, au soleil et prendre l'air... C'était nul. Puis advenant que l'on tombe en panne d'inspiration pour un sujet de conversation, je serais peut-être plus apte à trouver quelque chose à dire s'il y avait plus de mouvement autour de nous. Mais bon... Peut-importe. Je ne devais pas trop l'ennuyer puisqu'il m'avait demandé de passer un peu plus de temps avec lui. J'sais pas c'que ça signifie d'ailleurs, mais j'allais prendre sans me poser trop de questions. De toute façon quand je m'en pose trop, je finis toujours par être déçue. Parfaitement. Super, il a accepté. Je me dirigeai donc vers la sortie, mon café en main pour en prendre une gorgée une fois dehors. Il m'a même ouvert la porte... Hum. Il est vraiment gentil en fait. Il m'a aidé à ramasser le café, m'a invité à rester et maintenant il m'ouvre les portes ? En fait peut-être qu'il me drague. J'sais pas si c'est une bonne chose de laisser ça passer alors qu'il y a à peine cinq minutes, j'aurais pu l'prendre pour Hendrix. C'n'est pas saint, pas du tout. Enfin bref, je sais que c'pas Hendrix et j'apprécie sa présence. Y'a pas d'mal à ça quand même, non ? T'es plus jolie quand tu souris. J'sais pas ce qui te tracasses comme ça mais.. J'préfère de loin tes sourires. Putain maintenant il me complimente encore. Je rougissais légèrement et me dépêchai de replacer l'une de mes mèches de cheveux et de boire une deuxième gorgée. J'espérais qu'il n'ait rien remarqué malgré le fait que ça pouvait être bien flagrant. Merci... Mais pourquoi tu dis qu'un truc me tracasse ? Tout va bien. C'est faux, et je le sais que c'est faux. Mais ça me dérangeais que lui aussi le sache... comme s'il pouvait vraiment lire en moi en fait. C'est bizarre.
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J'aimais pas quand j'foutais de l'ambiguité sans le vouloir. Pourtant, j'étais le genre de mec à draguer n'importe qui pour peu que la fille était jolie, c'était même mon passe temps favoris mais.. J'voulais pas faire ça avec elle. Aussi étrange que ça puisse paraître, j'avais juste envie de discuter, rien de plus. Et mon objectif n'était vraiment pas de la ramener dans mon lit. C'était d'ailleurs pas normal venant de ma part. Il allait falloir que je me rattrape en sortant le soir ou quelque chose comme ça. Ouais. Euh, j'rêvais ou elle venait de rougir à c'que j'avais dis ? Ok, là j'étais presque certains que mes paroles étaient mal interprétaient et j'voulais certainement pas qu'elle commence à s'faire des films. Qu'elle se la joue à la Minnie. Parce que j'étais pas un mec bien et même si j'jouais avec la dernière citée, j'comptais pas non plus faire ça avec tout le monde. Pas avec elle. Allez savoir pourquoi mais j'voulais vraiment pas lui faire du mal en fait. Merci... Mais pourquoi tu dis qu'un truc me tracasse ? Tout va bien. Mensonge. Je le savais parfaitement. C'était inutile de me mentir à moi. J'pouvais le sentir, c'était bête pour elle. Mais j'comprenais le fait qu'elle ne veuille pas en parler. J'parlais jamais de mes sentiments, de mes ressentis. Encore moins à un parfait inconnu. N'en parle pas si tu veux pas mais j'sais que c'est faux ce que tu dis. J'sortais une clope de ma poche, l'allumant imméditament. La combo clope/café, c'était la vie. Et si tu me parlais de toi ? Autant s'raconter des choses quittent à passer un peu de temps ensemble.
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J'sais pas ce qu'il veut de moi, j'sais pas s'il me fait des avances ou s'il était tout simplement gentil... Peut-importe. J'étais hypnotisée. Par tout. Son sourire, son regard, ses traits ressemblant à Hendrix et ses différences. Il me captivait, et à ce point de la conversation je venais à me demander pourquoi. Plus je le regardais, plus je lui parlais, plus je distinguais Tobias et Hendrix. Mais lorsqu'il affirmait savoir que je n'allais pas bien... J'avais peur. J'sais pas pourquoi, mais j'trouvais pas ça normal qu'il le sache. Parce qu'en temps normal, sauf si j'suis ivre, j'suis invisible. Du moins, ma tristesse est invisible. Même mes plus proches amis ne captent pas quand j'suis triste ! Là, un parfait inconnu, sosie du mec qui m'a brisé le coeur qui plus est, voit tout clair dans mon petit jeu... Ouais ben c'est flippant. Et me donne presque envie de recroire au destin en fait. N'en parle pas si tu veux pas mais j'sais que c'est faux ce que tu dis. Non mais arrête mec tu m'fais flipper. Je riais nerveusement, admirant sa clope en me disant Ô combien j'aurais donné là pour en avoir une. J'avais oublié mon putain de paquet dans ma voiture... Bon tant pis je vais me contenter de ce café. C'est pas vraiment que j'veux pas en parler ou quoi... Menteuse. C'est juste que j'comprends pas c'qu'il te fait dire ça. Bon ça c'est semi-vrai. Est-ce que je crains à ce point dans mon jeu d'actrice aujourd'hui ? Ou est-ce qu'il y a un feeling mutuel entre nous, comme il y avait avec Hendrix... ? Oh merde. Faut vraiment que j'arrête de penser à Hendrix... Limite il pourra bientôt me remettre à la gueule qu'il le savait que j'étais pas dans mon assiette, parce que j'vais arriver à m'faire pleurer toute seule dans mes propres pensées.

- Et si tu me parlais de toi ? Autant s'raconter des choses quittent à passer un peu de temps ensemble. Parfait ! Un changement de sujet. J'allais sauter sur l'occasion. Par où commencer ? Je fis mine de réfléchir un instant. J'allais éviter de dire que j'étais une Eliot... Éviter de dire que j'étais riche, future héritière de Vogue et fille d'un célèbre musicien qui possède un label de musique international. Ouais, j'vais éviter d'parler de ma vie digne d'un film, il risquerait de rire et de ne pas y croire de toute manière. J'allais juste dire la base... J'allais juste parler de moi. La base. Mmmhh... J'étudie à Harvard en design de mode... Mais j'suis une musicienne, aussi. Enfin... Je joue de la guitare, du piano et je chante. Je ne mentionnerai pas non-plus que j'ai un chanel Youtube avec plusieurs milliers d'abonnés. Putain en fait ma vie est sortie du cul d'une licorne quand j'y pense ! J'fais comment moi, pour mener une vie simple et sans prise de tête ? Oh hum... J'suis née à Londres mais... J'imagine que t'as dû l'capter toi-même vu... L'accent. Mh... m'ouais. J'avais l'impression de ne rien trouver d'intéressant à dire, sans qu'il y ait possibilité qu'il croit que je mytho-ne. Parlons plutôt de toi ! Ils veulent dire quoi, tout ces tatouages ? Quelle conne celle-là. M'enfin, j'étais réellement fascinée par l'art, surtout l'art physique comme les piercings et les tatouages. C'est mon petit côté artiste qui parle, c'est juste dommage que je ne puisse pas le libérer autant à cause du futur travail important qui m'attend...
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Bon j'avais officiellement pété un câble. J'aimais pas parler et je lui demandais d'ouvrir la conversation en sachant très bien qu'elle finirait bien par me le retourner à un moment ou à un autre. En gros, j'étais stupide et à moins d'finir par l'envoyer totalement chier, j'allais bien être obligé de parler un peu de moi. Ouais. C'était pas moi ça, je réfléchissais toujours avant de faire quelque chose, de dire des trucs, et là, j'agissais comme un idiot sans penser aux conséquences qu'il pourrait y avoir. C'est pas vraiment que j'veux pas en parler ou quoi... C'est juste que j'comprends pas c'qu'il te fait dire ça. L'observant quelques secondes, j'gardais tout de même le silence ne lui donnant aucune réponse pour le moment. J'pouvais vite paraître bizarre quand je partais dans mes explications et l'empathie, c'était pas le genre de "don" qui branchait les gens. D'ailleurs, parfois, ça me plaisait pas non plus. J'en avais déjà bien assez avec ma douleur sans avoir le besoin de ressentir celle des autres. Par contre, je remarquais bien qu'elle louchait sur la clope que je venais d'allumer et je finissais par sortir mon paquet pour qu'elle se serve. Fais comme chez toi. C'était pas de donner une clope qui allait me tuer puis on arrêtait pas de me répéter qu'il fallait que j'apprenne à partager. J'venais de le faire du coup j'étais tranquille pour les trentes prochaines années.

J'étudie à Harvard en design de mode... Mais j'suis une musicienne, aussi. Enfin... Je joue de la guitare, du piano et je chante. Automatiquement, je m'intéressais encore plus à elle. Une musicienne et de la guitare. Comment pouvais-je rester insensible face à ça ? La musique, c'était toute ma vie. La guitare mon instrument favoris. Restait plus qu'à savoir si elle jouait comme une idiote les partitions qu'on pouvait lui donner où si au contraire, elle laissait ses sentiments habiter sa musique ce qui devait certainement la rendre beaucoup plus ennivrante. Oh hum... J'suis née à Londres mais... J'imagine que t'as dû l'capter toi-même vu... L'accent. Mh... m'ouais. Effectivement, l'accent était non négligeable. Je l'avais bien remarquée mais, j'trouvais ça cool. Différent. Ca lui donnait quelque chose en plus quoi. Parlons plutôt de toi ! Ils veulent dire quoi, tout ces tatouages ? J'esquissais un sourire regardant rapidement mes bras. Te donner la signification de chacun prendrait tellement de temps que tu serais obligée de passer toute la soirée avec moi. Sans arrière pensée mais chaque dessin sur ma peau représentait quelque chose d'important dans ma vie, les obstacles, les peines, les passions. Il était bien trop long de tout expliquer. Mais si tu m'fais l'honneur un jour de jouer de la guitare avec moi, j'pourrais peut être t'en expliquer quelque uns. Bien entendu, ce serait les moins importants. Je ne déballais jamais ma vie aux autres. Sauf à Briony qui de toute manière, comprenait tout sans que je ne dise le moindre mot. Tu voulais comprendre ce qui m'faisait dire qu'un truc allait pas. J'reportais mon regard sur elle gardant le silence quelques secondes avant de reprendre. Tes yeux. Tu peux sourire, tu peux rire, tes yeux te trahissent. Ils expriment le chagrin et si on prend le temps de te regarder dans les yeux, on le comprend.
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Faut pas croire. J'aborde pas les gens comme ça, alors que j'suis pas d'humeur à parler à mes propres amis présentement. J'ai envie de me renfermer, de vivre mon deuil toute seule, parce que si on me pose trop de questions je risque d'éclater en sanglot et je me suis promis de ne plus jamais pleurer. J'ai eu quelques faiblesses ici et là, à cause de Royce, ou plus exactement à cause de ce que je lui ai fait.

Tobias ne me disait rien, et je commençais à me demander s'il allait répondre à ma question ou s'il préférait tout simplement l'ignorer. Au bout d'un moment il me présenta son paquet de clope. Fais comme chez toi. .. Sérieux ? Il m'offre un bâton de cancer ? Oh que c'est gentil. Enfin ça ne sonne pas vraiment sympa dit comme ça, mais je trouvais ça gentil pour de vrai qu'il m'en offre. Merci. Lui dis-je à voix basse en lui prenant une clope que je coinçais entre mes lèvres.

Il n'allait pas me répondre, au contraire il avait changé de sujet. Maintenant je devais parler de moi ? Hm... Okay. J'étais pas trop à l'aise de parler de moi, parce que ma vie était digne d'un film. J'avais une vie de célébrité sans être une célébrité... Du moins pas encore. J'devais m'en tenir aux plus petits détails. Te donner la signification de chacun prendrait tellement de temps que tu serais obligée de passer toute la soirée avec moi. Plus ça avance, plus j'ai l'impression que lui et moi avions un ce petit feeling mutuel. J'sais pas c'que c'est, mais je sais qu'en temps normal un gars qui m'invite sans cesse à toujours se voir plus en si peu de temps, je trouve ça vachement lourd. Là, ça ne me dérangeait pas. Au contraire, il me facilitait limite la vie. Ouais je vois le genre je lui fis un petit sourire. Je pouvais comprendre qu'il avait trop de tatouage pour tous mes les expliquer tout de suite... Puis normalement, les tatouages cachent toujours une histoire. C'n'est pas pour rien qu'ils sont tous aussi fascinant... Mais si tu m'fais l'honneur un jour de jouer de la guitare avec moi, j'pourrais peut être t'en expliquer quelque uns. ... Il voulait m'entendre jouer ? En fait il voulait qu'on se fasse un duet... Il était aussi un guitariste ? Comme Hendrix putain. Rien que de penser à sa surprise pour moi au Summer Camp, j'avais mal au cœur. Mais je continuais de sourire à Tobias. C'est une échange équitable ma foi ! Pourquoi pas. Et je serais ravis de jouer avec lui, de le revoir, d'apprendre sur ses tatouages. La guitare c'est pratiquement toute ma vie, j'adore jouer quand j'suis seule, et ça me détend quand j'suis triste.

- Tu voulais comprendre ce qui m'faisait dire qu'un truc allait pas. Huh ? Je reportai mon attention sur lui, soudainement très intéressée. Tes yeux. Tu peux sourire, tu peux rire, tes yeux te trahissent. Ils expriment le chagrin et si on prend le temps de te regarder dans les yeux, on le comprend. Ouais ben normalement on prend le temps de regarder ma poitrine ou mes fesses, ahah. Tu m'étonnes qu'on ne remarque que très rarement quand j'suis déprimée ou quoi. Bon... Il avait tout compris. Il a vraiment un don... Mais je n'allais quand même pas lui dire. Après tout, j'dirais quoi ? "Ouais j'étais mariée à un mec qui était fou d'moi depuis ses 6 ans mais après un an de mariage il m'a quitté pour une fille qu'il détestait y'a 6 mois... OH et qui était l'une de mes amies au passage ahaha" ça s'fait pas. C'est la raison principale de mon mal de vivre, de mon manque d'estime de moi, etc... Même si c'est vrai qu'en ce moment ma tristesse était concentrée sur la mort d'Hendrix. C'est aussi facile... ? Je m'arrêtais de marcher et me plaçai devant Tobias, me concentrant sur son regard. T'es un gars sympa quand on apprend à le connaître, mais en dehors de tes proches t'es plus sévère. Plus froid, distant. Parce que quelqu'un t'as déçu et tu ne sais plus à qui faire confiance maintenant. Probablement une fille, en fait. C'est toujours une fille.
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Je l'avais compris. Il ne m'avais pas fallu plus que quelques secondes pour sonder ce qu'elle pouvait ressentir. Alors bien sûr, je ne connaissais pas la cause. Je ne savais pas ce qui avais pu lui faire mal, mais elle souffrait. Comme si ses yeux appellaient au secours. Comme si même sans le demander, elle cherchait de l'aide. Aide que personne ne semblait lui apporter puisque sa souffrance ne semblait pas être récente. Comme si elle refoulait ses sentiments et sa détresse depuis déjà bien trop longtemps. D'un côté, elle me faisait penser à Briony. Des similitudes. Etait-il possible que je tombe en si peu de temps sur deux personnes tant dévastée que je me sentais obligé de m'y intéresser ? Fallait croire que oui. Parce qu'en cet instant précis, je n'avais aucune envie de reprendre ma route en faisant comme si elle n'avait pas existée. Je ressentais le besoin de l'écouter, de la regarder, même s'il n'y avait pas d'échange particulier au final. J'en avais juste besoin. Puis la douleur des autres m'aidaient à oublier la mienne l'espace de quelques secondes. Bien sûr, elle finissait par revenir me frappant en plein visage comme le lourd poid de la vérité mais au moins, j'oubliais un peu et j'pouvais respirer.

Ouais je vois le genre Mes tatouages racontaient une histoire. Mon histoire. De ma naissance jusqu'à maintenant. Et chaque fois que quelque chose avait un impact sur ma vie, je m'empressais de le dessiner sur ma peau. Comme pour garder une trace de tout les obstacles, de toute les épreuves. Certains comprenaient, d'autre non. Mais c'était mon histoire et avec ça, j'pouvais pas oublier tout ce qui m'avait forgé jusqu'à maintenant. J'voulais pas oublier même si certains souvenirs étaient beaucoup plus durs que d'autre. En commençant par Lia, défunte petite soeur morte par ma faute. Ou du moins, je me le reprochait. J'avais fini par croire ce qu'on m'avait toujours dit. Si je n'avais pas fais le mur, elle serait toujours là. Si, je ne l'avais pas distancée, elle n'aurait pas perdue la vie. La vie était cruelle, disparaissant en une fraction de seconde et ne laissant plus qu'un corps inanimé. C'est une échange équitable ma foi ! Pourquoi pas J'souriais à mon tour. Dur contraste avec mes pensées. Mais j'souriais parce que je savais que j'allais la revoir. Elle m'devait un duet de guitare. Si elle était une vraie musicienne, elle comprendrait mon histoire à travers mes accords. Comme Briony avait su le faire. Et peut être qu'elle me marquerait aussi à sa façon. J'pouvais pas prévoir. J'avais compris aussi que j'pouvais pas me battre perpétuellement contre les gens. S'ils devaient marquer ma vie, ils le feraient, que je le veuille ou non.

C'est aussi facile... ? Rien n'était facile. Absolument rien. J'savais même pas pourquoi j'étais capable de faire ça. Parfois ça me prenais la tête, d'autre fois c'était utile. Mais ce n'était jamais facile. Et elle se stoppait plantant son regard dans le mien me laissant quelque peu en incompréhension de la situation. T'es un gars sympa quand on apprend à le connaître, mais en dehors de tes proches t'es plus sévère. Plus froid, distant. Parce que quelqu'un t'as déçu et tu ne sais plus à qui faire confiance maintenant. Probablement une fille, en fait. C'est toujours une fille. Mes barrières sombraient peu à peu. Briony avait donnée les premiers coups, Apple s'chargeait de faire tomber mes défenses. J'arquais un sourcils tentant de ne rien laisser paraître mais sans le vouloir, elle avait frappée en plein de dedans. En plein dans l'truc que je refoulais. Maggie. Premier amour, sûrement le dernier. Elle m'avait claquée la porte au nez s'enfuyant avec un autre et me reprochant ma douleur éternelle. Elle était partit comme ça, sans que je m'y attende, brisant les dernières gouttes d'humanité que je pouvais avoir. Elle était partit et après la peine, y avait eu la colère. Colère que je ressortais en snobant les gens se trouvant autour de moi, en fermant les entrées de ma vie. En plein dans l'mille. J'te félicite. Je tirais une longue bouffée sur ma cigarette la contournant avant de reprendre la marche.

Fallait que je reprenne le dessus au risque de sombrer trop profondément. J'aimais pas être sondé de la sorte. J'aimais pas me sentir faible et là, elle avait fait remonter des choses que j'étais incapable d'assumer. Maggie. Je la haïssais tellement en même temps que je l'aimais. Parce que oui, je l'aimais toujours. Pas comme avant. Mais y avait des flammes qu'on éteignait pas, des choses qu'on n'oubliait pas. Elle était toujours présente que je le veuille ou non. C'est pas les filles, c'est l'amour, les sentiments en général. Ne vaudrait-il pas mieux ne s'attacher à rien pour ne pas ressentir ensuite la douleur de perdre ceux qu'on aime ? Il me semblait moins compliqués de tirer un trait sur les relations humaines plutôt que continuer à avoir mal de la sorte. La solitude en échange de la douleur. Joli compromis. L'amour, ça s'paie un jour ou l'autre en souffrance. C'est sans intérêt. Défaitiste ? Sûrement. Mais personne ne m'avait jamais vraiment redonner l'occasion de croire en ce sentiment qui m'avait tant détruit par le passé. Alors oui, je préférais croire que plus jamais ça ne m'arriverait. C'était la meilleure des solutions sans aucun doute. Aucun.
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Je n'aimais pas analyser les gens, parce que je préférais qu'on me parle. Et de façon général, on aime utiliser mon épaule lorsque ça ne va pas parce que je "trouve toujours la bonne chose à dire". Est-ce que c'est vrai ? Je n'en ai pas la moindre idée. Comment pourrais-je donner de bons conseils, comment puis-je faire rire d'autres gens si je ne suis pas heureuse moi-même ? J'imagine que c'est ce qu'as dû ressentir Robin Williams, à sa mort. Toute sa vie il s'est senti seul, malgré le fait qu'il soit célèbre et entouré. Est-ce que le même schéma était entrain de se reproduire avec moi ? Reine du bal deux fois, présidente de la maison des dites "parfaite" Cabot deux fois, couple de l'année avec Andy (ahah tu parles.) et "la plus belle" ainsi que "la plus stylée" d'Harvard. Harvard quoi. L'université la plus réputée du monde entier. Aurais-je oublié de mentionner que j'étais née une cuillère en or dans la bouche ? Putain je n'ai rien demandée, je n'ai pas voulu une vie comme ça. Je préférais largement être pauvre et aimée, amoureuse et entourée d'une famille soudée et d'amis fidel. Pourquoi, est-ce que je n'ai rien de tout ça sauf le fric ? J'peux pas m'payer l'amour, moi, j'peux pas m'payer une vie. J'en veux pas d'tes putains d'curly non-plus, ça ne m'intéresse pas d'me taper la discut' avec l'apéro. J'veux dire... c'pas parce qu'une fois j'ai eu une relation sans nom avec un raisin que j'veux recommencer avec n'importe quoi, quoi.

Mais Tobias savait lire mes yeux. Est-ce que j'arriverais à lire les siens ? Il est triste, il est seul, et une fille lui a brisé le cœur. Une grande part de moi espérais que j'aurais tort, parce que je ne souhaite le malheur de personne. En plein dans l'mille. J'te félicite. Me répondit-il, avec une pointe de dégoût dans sa voix. Il tira sur sa cigarette avant de reprendre la marche en me laissant seule pendant quelques secondes, avant que je le rejoigne de nouveau.

Je sais pas. À partir de ce moment, c'était devenu... froid. Awkward moment. Est-ce que c'était parce qu'il n'aimait pas être analysé ? Je le comprendrais. Je n'aimais pas qu'on m'analyse également... Parce que je n'aimais pas déranger les autres. Mes problèmes me regardent. Mais ça me faisais plaisir quand on essayait de m'aider, je me sentais moins... seule. Je ne me sentais pas abandonnée. Mais rare sont les fois où on le regardait et franchement ? Me plaindre, très peu pour moi. Je hais les gens qui se plaignent constamment, toujours en manque d'affection. Ces gens sont parfois trop égoïste, aussi.

- C'est pas les filles, c'est l'amour, les sentiments en général. Ne vaudrait-il pas mieux ne s'attacher à rien pour ne pas ressentir ensuite la douleur de perdre ceux qu'on aime ? Vingt minutes, et nous sommes déjà en plein discussion profondes lui et moi. Nous sommes déjà intime ? Ce fut rapide. Mais... prévoyant. Parce que dès que je l'ai vu, quelque chose m'a attiré vers lui... Peut-être que c'est Hendrix qui nous a rapproché à la base, mais maintenant je savais qu'il y avait bien plus. Coup de foudre amicale, ça existe ? Si non, nous venons de l'inventer, c'est certain. L'amour, ça s'paie un jour ou l'autre en souffrance. C'est sans intérêt. J'hochai négativement la tête. Sans amour, la vie ne vaudrait pas la peine d'être vécue. Prends la musique, par exemple. On aime la musique. Comme les femmes,elle parle aussi. Elle peut te décevoir aussi. Tu peux faire de fausses notes, tu peux jouer des pièces qui t'attirent moins, mais tu peux aussi trouver l'instrument parfait, qui comblera toutes tes attentes, et trouver la chanson idéale. T'as peut-être juste pas trouvé ta femme idéale. Ouah, ça c'était profond. High five Apple, t'as un cerveau.

Non mais sérieux, c'est moi qui dit ça ? C'est moi qui doit lui parler d'amour ? Qui aurait cru. La meuf qui s'est fait remballée par son mari, son "âme soeur" comme elle aimait si bien le dire. N'importe quoi. La même qui s'est fait plaqué par son mec, la même qui n'a jamais eu de petit ami qui l'aimait vraiment pour elle et pas pour ce qu'elle sera ou pour son physique. Ouais, j'ai jamais trouvé mon idéale non-plus. Et j'espère que ce n'est pas qu'une légende... Qu'un conte qu'on raconte aux petites filles le soir avant qu'elles s'endorment. Que l'âme sœur existe vraiment. J'espérais que mon prince était quelque part, et que j'aurai suffisamment de temps pour le rencontrer. Là, comme ça, pour rien, je lui fis un sourire niais et me suis mise à rire avant de prendre une bouffée de ma clope.
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Quelque part, j'riais de tout ça. J'me disais juste que c'était pas fait pour moi et j'avais finit par me résigner à l'idée que je ne pouvais pas être heureux. Parce que c'était le cas. Je l'avais jamais été et quand je l'avais touché du bout des doigts, j'avais fini par me prendre le retour puissance mille en plein visage. Alors, à quoi bon ? Pourquoi essayer ? Pourquoi se torturer pour quelque chose qui ne serait jamais positif au final ? Pourquoi ? Maggie avait juste été l'élément déclencheur. La partie servant à m'faire exploser le tout en pleine tête comme pour me dire : "t'y a cru Tobias, mais ça n'arriveras pas. L'bonheur ça sera pas pour toi". Ouais. Au final, j'savais pas si je devais la remercier ou pas. D'mavoir fait prendre conscience que j'pouvais juste pas toucher au bonheur, que j'pouvais pas aimer quelqu'un et vivre heureux jusqu'à la fin de mes jours. Peut être que sans l'vouloir, elle m'avait rendu plus fort, moins humain. Quelque part, c'était moins douloureux maintenant. J'savais à quoi m'attendre avec les gens. J'avais fixé les limites à ne pas dépasser et on pouvait plus m'faire de mal. Parce que je partais toujours avant c'moment. J'arrivais toujours à y échapper. Merci Mag'. Tu m'as brisé mais j'ai jamais été plus fort qu'maintenant.

J'avais pas forcément envie d'partir dans des tonnes de théorie. A chercher à comprendre le pourquoi du comment. J'voulais pas analyser tout ça pour trouver des solutions à mon handicap des sentiments. J'étais bien là. Sans rien, sans amour. J'vivais comme ça et j'my étais habitué. J'étais pas prêt à retourner dans l'enfer de tout ce que ça pouvait représenter. J'pouvais pas parce que j'savais que ça finirais de m'achever. Parce que malgré ma résistance à la vie, y avait des trucs que j'étais plus capable d'encaisser. Mag' et sa foutu trahison. J'comprenais toujours pas comment elle avait pu, j'm'étais remis en question pendant des jours et des jours. J'avais tenté de réparer mes erreurs mais elle s'en était allé me laissant plus seul que jamais. Alors non, j'retournerais pas dans cette tornade de sentiment dévastant tout sur son passage. Solitaire. Là était la solution. Sans amour, la vie ne vaudrait pas la peine d'être vécue. Prends la musique, par exemple. On aime la musique. Comme les femmes,elle parle aussi. Elle peut te décevoir aussi. Tu peux faire de fausses notes, tu peux jouer des pièces qui t'attirent moins, mais tu peux aussi trouver l'instrument parfait, qui comblera toutes tes attentes, et trouver la chanson idéale. T'as peut-être juste pas trouvé ta femme idéale.

Ou peut être que ma femme idéale n'existe pas. Je jouais bien trop au con pour qu'elle ose se manifester un jour. J'avais perdu l'espoir. J'vivais sans espoir en somme. J'ai jamais été aimé. Et quand j'ai cru l'être, j'me suis retrouvé comme un con, dévasté par un truc que j'comprenais même pas. Alors vivre sans amour, c'est le meilleur truc au monde parce que quand j'aime, la réciprocité n'est pas là. J'ai pas été déçu par les sentiments Apple, j'ai été broyé. C'était pas une fausse note, ni une déception, c'était juste une erreur que j'répeterais pas une deuxième fois. Inhalant la dernière bouffée de pourriture de ma cigarette, j'finissais par la jeter sur le trottoir regardant la brune l'air légèrement surpris. Pourquoi riait-elle ? Il ne m'avait semblé à aucun moment que la conversation avait des allures de blague mais j'finissais par mettre ça sur le compte de la nervosité. C'était peut être le mieux. Que j'arrête de me poser des questions tout le temps sur tout est rien. Que j'arrête de tenter d'analyser tout alors que parfois, ça n'en valait pas la peine.
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J'comprends pas. Pourquoi est-ce que je m'acharne à essayer de redonner de l'espoir alors que je n'y crois plus moi-même depuis plus d'un an maintenant ? Peut-être que la vérité derrière tout ça, c'est que j'essaie de me convaincre. Peut-être que c'est la façon que mon cerveau a choisi de continuer de se battre. Mon cœur a peut-être gagné les derniers combats, mais mon cerveau veut gagner la guerre. Ou peut être que ma femme idéale n'existe pas.

On croirait m'entendre. L'homme idéale n'existe pas, les âmes sœurs n'existe pas, les princes charmants n'existe que dans les contes et l'amour éternel n'existe que dans les films. En fait, je vais crever seule. J'aurai des chats, et voilà. Heureusement que j'avais Coraleen... C'était probablement la seule véritable amour de ma vie, en fait. Mais c'n'est pas pareil, c'n'est pas c'que j'recherche. Ou du moins ce que je recherchais, j'ai abandonné le navire il y a déjà longtemps de ça. Je ne cherche plus le bonheur, je sais qu'il n'existe nulle part. J'me suis fait à cette idée à Londres.

- J'ai jamais été aimé. Et quand j'ai cru l'être, j'me suis retrouvé comme un con, dévasté par un truc que j'comprenais même pas. Alors vivre sans amour, c'est le meilleur truc au monde parce que quand j'aime, la réciprocité n'est pas là. J'ai pas été déçu par les sentiments Apple, j'ai été broyé. C'était pas une fausse note, ni une déception, c'était juste une erreur que j'répeterais pas une deuxième fois Je ne sais pas qui est la fille qui lui avait brisé le cœur, mais elle devait être sacrément inconsciente de ses actes. Peut-être que je l'ai été moi aussi, avec Royce ? Je n'en sais rien... Comment puis-je être complètement certaine qu'il m'aimait ? On se disputait constamment, il me reprochait tout et n'importe quoi, une fois il m'a même reproché mon existence. Deux semaines après notre rupture il fricotait déjà avec Leevy et m'avait complètement oublié. Pouvons-nous vraiment dire "oublier", d'ailleurs ? Peut-être que jamais rien n'avait été entamé, en réalité. Peut-être que j'ai halluciné... Peut-être qu'il n'y a jamais rien eu entre nous. Peut-être que tout était dans ma tête.

Je terminai mon café latté, puis jetai le cup dans la premier bac de recyclage que l'on pouvait croiser. Je ne faisais que respirer, et réfléchir. Pourquoi est-ce que la terre continuait de tourner, pourquoi est-ce que les couples continuaient d'être heureux quand nous, on souffre, on meurt de l'intérieur. Comment est-ce que les gens peuvent être aussi égoïste et insouciants ? Je tournai mon visage vers Tobias, petit sourire aux lèvres après avoir rigolé. Rien n'était drôle. Rien. Mais j'avais ce drôle de sentiment... Cette sensation d'être à la maison. D'être avec quelqu'un que je connaissais bien, voire par cœur. Ouais, ça me faisais rire d'avoir l'impression de connaître un parfait inconnu. Peut-être que ça a un rapport avec nos yeux ?

- Une deuxième fois ?... Tu sembles être un garçon trop intelligent pour ne pas savoir qu'il ne faut jamais s'arrêter qu'à un seul test. Mais à combien de test est-tu toi, Apple ? J'ai eu au-dessus de 10 copains dans toute ma vie, des relations sérieuses et moins sérieuse... Mais 10, c'est pas un bon nombre pour une fille de 23 -bientôt 24 omg- ans. Mais bref, c'est vrai quand même. C'est impossible de réussir du premier coup, ou du moins presque impossible. J'avais pris une autre bouffée de cigarette avant de l'éteindre, et je me suis remise à marcher. Enfin bref... j'te blâme pas... J'ai été aussi aveuglée que toi par l'amour, et aussi vraiment déçue par l'amitié.
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- Une deuxième fois ?... Tu sembles être un garçon trop intelligent pour ne pas savoir qu'il ne faut jamais s'arrêter qu'à un seul test. Un rire nerveux sortit de ma bouche. Trop intelligent et surtout énormément déçu par ce que les humains considéraient comme "bon". Je laissais jamais de deuxième chance, ni aux gens, ni à la vie. C'était trop douloureux et surtout extrêmement sadique de vouloir prendre la peine de souffrir de manière indeterminée. Quand on savait que quelque chose était nocif, on n'y retournerait pas tête baissée. C'était comme savoir qu'on était allergique à un aliment et le manger quand même en sachant qu'on allait finir à l'hôpital. Stupide. Alors elle avait tord, être intelligent signifiait surtout qu'on ne retournais pas une nouvelle fois dans quelque chose qui nous ferait souffrir. Et l'amour faisait souffrir. L'attachement faisait souffrir. Je refusais de vivre ça à nouveau. Bien sûr, je ne pouvais pas dire que ça ne m'arriverais jamais puisque je ne pouvais pas prévoir ce que le "destin" avait prévu pour moi mais, tant que je pouvais l'éviter, je le ferais. Simple manière de se préserver et d'éviter de sombrer une nouvelle fois dans les tourments d'un coeur brisé.

Regarde moi dans les yeux et dis moi que tu es heureuse. Dis moi que tu as essayée à plusieurs reprises et que ça en valait la peine. Dis le moi Apple et peut être alors que je réviserais mes choix. J'savais qu'elle n'allait pas le dire. Et que si elle le faisait, ce ne serait qu'un mensonge. Mensonge que je verrais de suite. Elle n'était pas heureuse. Personne ne pouvait dire que l'amour était juste beau. Qu'il n'y avait pas cette part de souffrance qui pouvait si bien détruire les gens. Les contes de fées, les princes charmants. Tout ça, c'était que de la merde qu'on tentait de faire avaler au gosse et au final, leurs rêves se trouvaient brisés une fois ayant fait face à la dur réalité. Puis j'étais tellement habitué à mon propre malheur que je n'étais pas sûr de réussir à tenir le coup si celui ci s'en allait. C'était peut être étrange mais j'avais besoin de cette noirceur, de cette mélancolie qui me définissait si bien. Sans elle, j'étais perdu. J'avais appris à vivre avec, à forger ma vie autour de ça et au final, j'y étais bien trop habitué pour désirer y changer quoi que ce soit. Je ne voulais pas changer, j'étais bien comme ça. Avec mes peines et mes doutes. Mes peurs bien trop enfouis et ma vision étriquée du monde. J'étais bien comme ça.

Enfin bref... j'te blâme pas... J'ai été aussi aveuglée que toi par l'amour, et aussi vraiment déçue par l'amitié. Je le savais. J'savais qu'elle pouvait pas me regarder dans les yeux en me racontant que ça en valait la peine. Les déceptions, c'était le lot quotidien des humains. Et y avait les fous, qui malgré ça continuait à essayer encore et encore puis les réalistes. Les réalistes comme moi qui savait que c'était un jeu perdu d'avance et qu'on ne pouvait pas lutter contre les bases de la vie. C'est la vie. Les gens nous déçoivent toujours, même quand ils ne le veulent pas. Faut juste s'y habituer. C'était comme tout. Une fois qu'on avait compris le fonctionnement, les choses se passaient mieux par la suite. Fallait juste avoir le déclic en fait. Mais j'suis ravi d'avoir fait ta connaissance. Tu sors de l'ordinaire, t'es plus.. Intéressante. J'savais pas vraiment si c'était le bon mot mais j'avais aucune idée de quoi dire d'autre. J'trouvais juste que peut être que parmi tout ces gens, elle en valait la peine. Elle était mieux que les autres. J'me trompais jamais. J'avais pas de mauvais jugement et là, j'pouvais clairement dire qu'elle était différente.
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