Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityi want to spend forever hanging out with you ☼ Leo - Page 2
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i want to spend forever hanging out with you ☼ Leo

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all the far away is just a test ; kiss me

I always liked to sleep alone, now I can’t sleep. And even if you wake me up, I’d rather you be next to me. And I’m not sentimental, you found this part of me and I just roll my eyes now at everything I’m thinking. [...]
Leo & Violet

Violet, sadique? Sûrement pas! Concrètement, si on devait être amenés à parler de SM, Violet se trouverait dans la catégorie des masochistes, de ces gens qui aiment se faire du mal, qui y trouvent même un certain plaisir. C'était effectivement une belle définition pour l'attitude de la jeune femme ces derniers temps, sinon pourquoi continuerait-elle de tourner autour de son "ami" en sachant que ça n'irait pas plus loin? C'est toi le sadique, sale sadique, avec ton fichu visage parfait et ton charisme je-m'en-foutiste à deux balles! Espèce de manipulateur, tu me rends tarée et je sais même pas comment tu fais, et t'oses me dire que tu méfies de moi, c'est la meilleure ça!! Ça, elle se retint bien évidemment de lui dire mais elle n'en pensait pas moins. C'était, de toute façon, des reproches affectueux. Elle n'arrivait pas à le sortir de sa tête, quand bien même elle le voulait plus que tout, et c'était frustrant. Un part d'elle-même lui conseillait de partir loin lorsque Leo était dans les parages et l'autre la retenait, lui demandait d'essayer à nouveau, de voir ce qu'il se passerait.
Et encore une fois, ils revenaient à la case départ. Encore une fois, ils se lâchaient. Encore une fois, ils ne contrôlaient plus rien et ils laissaient leurs corps parler à leur place. C'était tout l'inverse de ce qui avait été convenu et pourtant, Violet n'avait pas envie d'arrêter. Parce que, sur le moment, ça semblait tout à fait normal et c'est tout ce dont elle avait envie. Vio n'avait pas l'impression que c'était mal venu, ni même que c'était tout à fait approprié, c'était juste bien parce qu'ils en avaient tous les deux envie. Lorsqu'elle avait ses lèvres contre les siennes, elle ne pensait plus à rien., que ce soit les dommages collatéraux qui surviendraient après ou bien ce que ces baisers signifiaient pour lui et elle. Rien de tout ça n'importait lorsqu'elle était aussi près de lui, que ses mains avaient finalement le droit de le toucher sans avoir à se soucier qu'il ne réagisse mal. Elle avait le champ libre et elle aimait ça. Elle aimait ça un peu trop.
Si les actes prouvent toujours que les mots ne veulent rien dire, tout ça ne les embrouillerait que encore plus. Au final, ça devrait être à Violet de se méfier de Leo mais elle n'y arrivait pas. Comme ça, face à elle, elle n'arrivait qu'à voir le Leo qu'elle considérait son ami, celui à qui elle tenait beaucoup, et pas celui qui couche à droite et à gauche. Elle savait que cette partie de lui existait et comptait pour environ 70% de son être mais elle ne voulait pas la prendre en compte. Se voilait-elle la face? On peut dire ça, ouais.
Le retour à la réalité était toujours un peu brutal, quand ce genre de pensées remontaient, qu'elle commençait à chercher un sens à tout ça. Quand elle se demandait si ça n'était qu'un jeu ou si elle avait raison de garder cette toute petite étincelle d'espoir au fond d'elle. C'était bien elle ça, espérer toujours et encore alors qu'elle-même ne savait pas vraiment ce qu'elle attendait de tout ça.
Elle était donc là, un peu sonnée, perdue dans ses pensées. Elle finit par rire car elle était nerveuse mais aussi car elle se rendit finalement compte à quel point ils s'étaient emportés. Mieux vaut en rire que d'en pleurer, du moins c'est ce qu'on dit. La blonde lui proposa à nouveau à manger, histoire de ne pas rentrer dans un silence gênant. Il lui offrit un nouveau baiser, qui détendit une fois de plus la blonde. Elle frissonna en sentant les doigts de Leo le long de son dos puis contre sa joue, toujours rouge de gêne. Le brun savait être doux tout autant qu'il savait être passionné. Y avait-il un seul truc qu'il ne maîtrisait pas? Tu me tues. Elle plongea ses yeux dans les siens et soupira, finissant par fermer les yeux et poser sa main sur sa main à lui et son front contre celui de Leo. Elle recula un peu son visage avant de rouvrir les yeux et lui sourit timidement et lui répondit sincèrement pour une fois. « Tu me perturbes, je sais plus si j'ai envie de me lever maintenant! Je suis bien là.. »  
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Le jeune homme profitait du goût de ses lèvres, profitait du contact de leurs deux corps. Il était bien, il se sentait tranquille, reposé, Violet le calmait, le reposait. La blonde était une fille bien. Pas parce qu'elle était jolie, qu'elle avait un corps harmonieux. C'était aussi une question de psychologie. Le genre de fille calme, sans trop en faire, hésitante mais qui au fond d'elle est tourmentée de grandes passions. Le brunet était persuadé que sous sa carapace se cachait une toute autre facette de la jeune femme, quelque chose que tout le monde ignorait, comme si le but de la Lowell était d'endormir tout le monde avec son apparente fragilité et qu'au fond se cachait une femme de caractère.
Cette fille, Halberstam avait cru l'apercevoir quelques fois, elle s'était échappée, lui avait glissé entre les doigts, il l'avait cherché, avait essayé de la rattraper, mais Violet était toujours arrivée à l'enterrer de nouveau, la glisser tout au fond de son esprit, la masquer derrière ses cheveux blonds et son air candide. Puis il était arrivé, il avait démarré ce foutu film, il l'avait regardé, elle l'avait regardé et en l'espace d'une seconde il l'avait vu. Il l'avait étreint et cette fois-ci il ne l'avait pas laisser partir. Lorsqu'il avait embrassé Violet, comme il aurait voulu être embrasser par elle avec le recul, depuis le début, durant ce court instant à l'échelle d'une vie, il s'était senti à sa place, serein aussi. Le jeune homme la regarda rougir, sa main faisait son parcours dans son dos, comme s'il s'appliquait à l'apprivoiser. La blonde finit par tenir sa main, leurs visages proches, collés l'un à l'autre. C'était l'heure des confidences apparemment. Elle lui confia être bien. Il était bien aussi. Elle était perturbée, il l'était aussi. Il avait aussi peur de la véritable signification de cela, être perturbé c'est bien, mais serait-il capable d'assumer ? N'allait-il pas se dérober, comme elle devait sûrement s'y attendre ? Il s'était enfermé tout seul dans cette image qu'il avait si souvent voulu donner. Auprès d'elle il se sentait presque vulnérable. Un léger sourire s'attarda sur ses lèvres, cherchant à retrouver le contact brûlant de la peau de Violet sous ses mains. D'ailleurs il glissa celles-ci sous le tee-shirt de la jeune femme, faisant le chemin le long de sa colonne vertébrale. « Reste ici alors, ne bouge plus. » glissa-t-il au creux de son oreille, ses lèvres cherchant de nouveau les siennes.
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❝forever hanging out with you❞
Leo & Vio
Le jour où Violet avait fait le premier pas vers Leo était le jour où elle avait pris place sur des montagnes russes. Ça avait tout d'abord été une petite descente avec la déception de se prendre un râteau alors que, pour une fois, elle avait été courageuse. Puis l'irritation, teintée d'un peu de honte, lorsqu'elle s'était rendue compte qu'ils s'évitaient tous les deux. En quelques semaines, Leo lui avait fait vivre ces petites émotions qu'elle avait si souvent fuit durant ses années de lycée. Les émotions, elle les exprimait dans l'odeur des vieux livres qu'elle lisait, dans les couleurs vives des gouaches avec lesquelles elle peignait, dans les pages fines des cahiers sur lesquels elle gribouillait sans trop y penser, dans le simple but de mieux les enfouir. Pourquoi? Car elle avait peur. Cet été-là, le manège s'était ensuite accéléré. En une journée, une discussion, quelques petites heures, elle était montée tout en haut des rails. Elle avait trouvé ce qu'elle voulait la première fois mais elle avait aussi plus que jamais senti la peur de perdre un des amis à qui elle tenait vraiment. La sensation la suivait encore aujourd'hui, plus légère que jamais, et ce nœud dans le ventre lorsque leurs lèvres se rencontraient. Elle en avait envie mais sa raison la priait d'arrêter, ne cessant de lui rappeler qu'elle savait très bien qu'elle aussi sentait cette sensation d'interdit lorsqu'elle était si proche de lui. Tiraillée entre sa tête qui lui criait dessus, l'informait de sa bêtise et son corps qui ne cherchait qu'à en sentir plus. La torture psychologique contre l'euphorie du moment. Elle avait beau y faire, les doigts du garçon parcourant sa peau avaient beaucoup trop d'emprise sur elle. La douceur dont il faisait preuve était inhabituelle, bien loin de ce dont elle était habituée, et tout aussi efficace que si le jeune homme l'avait ensorcelée. Elle n'avait pas envie de partir et ça tombait bien, il lui confia qu'il n'avait pas envie qu'elle parte. Elle pourrait, elle voudrait rester là, au sommet du foutoir qu'ils avaient crées, pendant des mois. La blonde sentit le jeune homme gagner en assurance et s'aventurer sur son tshirt. Elle ne s'y opposa pas et frémit malgré elle. Merde Vio, tu l'encourages là! Mais elle s'en fichait, après tout elle s'était promis de tester, de ne rien s'interdire en venant à Harvard. Et surtout pas si elle aimait énormément la personne. Après tout, ça ne l'engageait à rien, c'était purement innocent. Elle serra doucement la main de Leo sur sa joue avant de laisser la sienne descendre le long du bras du garçon, par son épaule, le haut de son torse, jusqu'à son ventre, par dessus le tissu de son, l'effleurant furtivement. Une fois de plus, elle se risquait à tester ses limites. Elle approcha une nouvelle fois sa bouche de la sienne, amusé. L'embrassant longuement tous les trois mots, elle lui murmura « Leo Halberstam, je suis désolée de te dire que nous sommes décidément très nuls pour ce qui est de rester éloignés...»

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Qu'est-ce que cherchait à faire Violet ? Et alors où étaient les bons principes de la fifille qui lui avait conseillé de redevenir son pote et vite fait bien fait ? Oh il ne doutait pas que la jeune femme n'avait pas de mauvaises intentions, comment aurait-elle pu ? La situation leur échappait, elle ne leur appartenait plus. La Lowell et Leo avaient beau faire tout ce qui était en leur pouvoir pour tenter un renversement de situation, tenter de faire pencher la balance en faveur de l'amitié, c'était trop tard. Chaque fois que leurs lèvres entraient en contact, Halberstam pouvait sentir non seulement l'agréable goût de la jeune étudiante, son odeur tout entier l'envelopper, mais aussi un désagréable petit arrière-goût de culpabilité. Certes tout de suite maintenant, il ne pouvait pas rêver mieux, il était dans les bras de la blonde, il se sentait heureux, comblé, à sa place aussi, il avait beau tenter de se raisonner un peu, derrière son esprit embué par Violet, il se convainquait toujours qu'il arriverait à gérer la situation. La blonde avait vu juste, ils étaient incapables de se tenir éloignés l'un de l'autre, c'était comme si elle était beaucoup trop attirante au sens cosmologique du terme, l'attraction terrestre à côté c'est de la gnognotte. Alors oui, les deux jeunes gens pouvaient ensuite s'en vouloir, d'avoir laissé leurs pulsions l'emporter sur leurs bonnes résolutions, peut-être qu'ils étaient effectivement en train de détruire toute leur amitié et qu'ils le regretteraient dans quelques temps, mais au moins, c'était de la folie, mais au moins le jeune homme avait l'impression de s'être écouté, de faire ce qui lui plaisait, ce qui lui procurait du plaisir. Pas le plaisir sauvage et presque bestial dont il avait l'habitude avec les filles, mais quelque chose de plus doux et pénétrant, qui l'atteignait jusqu'au fond de l'âme. Elle était douce, elle se précipitait rien, il se sentait vibrer à chaque mouvement de Violet, il goûtait ses lèvres, sa peau, la gardait contre lui sans ressentir le besoin de tout gâcher trop rapidement. Il souriait bêtement, se concentrant uniquement sur la blonde, de toute façon il ne pouvait pas faire plus. Il stoppa leur baiser un court instant, toujours le visage presque collé à celui de Violet. « J'arrête de lutter, t'as raison, on est nuls, pas doués, mais tu sais quoi ? Je m'en fous maintenant. » Il reprit leur baiser, fougueusement, langoureusement, presque amoureusement, laissant ses mains baladeuses sur la jeune femme, réclamant de Violet que jamais ça ne s'arrête.
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❝forever hanging out with you❞
Leo & Vio
Attirés comme des aimants, comme deux astéroïdes ; à quand le choc, la collision? C'était la seule image à peu près précise que Violet arrivait à mettre sur la relation qu'ils avaient. L'attirance était indéniable mais à long terme, elle pouvait être dangereuse. Et pourtant, Léo était un des seuls avec qui elle se sentait moins seule, en sécurité. S'intégrer dans une si grande masse s'était révélé plus dur que ce qu'elle avait prévu. Léo avait fini par être un point de repère puis, plus que ça, un rocher auquel elle s'accrochait, la seule petite dose de stabilité dans sa vie. Les qualités contre-balançaient les défauts et Vio s'était vite retrouvée dépendante. Elle l'avait à présent sous ses mains et, pour une fois, elle avait l'impression que c'était lui qui s'accrochait à elle. C'était une sensation agréable, avoir l'impression qu'elle avait finalement un job à accomplir, celui de lui prouver que la tendresse peut être partagée. C'était totalement cliché à dire, de ces conneries qui vous donnent des maux de cœur à force qu'on en foute partout dans les films, mais c'était comme ça. Les pensées défilaient trop vite dans sa tête, elle se demandait si elle se faisait des idées. C'était pas physique, ça pouvait pas être que ça. Malgré toutes ces idées qui se bousculaient dans son esprit, elle continuait à lui rendre ses baisers, car ils étaient ce qui s'approchait le plus de mots. Peut-être que s'il s'arrêtait maintenant, il s'arrêterait pour de bon. Il renchérit qu'il s'en foutait. Mais qu'il s'en foutait maintenant. Dieu sait que cet adverbe pouvait être compris de beaucoup de façons. Est-ce qu'il s'en foutait à cet instant précis et est-ce qu'il regretterait plus tard? Ou est-ce qu'il s'en foutait à partir de là et que le reste serait fait en total freestyle? Les mains du jeune homme prenaient de plus en plus leurs aises, faisant monter le rose aux joues de la blonde. Elle ralentit leurs baisers, histoire de reprendre son souffle. Ses yeux cherchèrent ceux de son ami. « J'attends rien de tout ça, tu sais. Mais, je veux pas, être seule. Pas maintenant, s'il-te-plaît.. » Certes, cela tenait un chouia du mensonge mais il y avait une part de vrai. Il fallait bien que quelqu'un dise quelque chose, finalement.

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Ça tenait à rien, il le savait, un mot, un geste, un regard, quoique ce soit pouvait réduire à néant le petit truc qu'ils avaient. Ils jouaient aux funambules, ils se penchaient dangereusement au-dessus du vide, il se mettait lui-même en danger, pourtant il se sentait fort. Leo ne voulait pas parler de tout ce qui se passait même si l'idée de le partager avec quelqu'un le démangeait, il ne voulait pas que ça se sache, pas parce qu'il avait honte, loin de là, mais parce qu'il ne voulait pas laisser les autres se mettre au milieu de ça. Le jeune homme était bien là, bloqué dans leur petite bulle, la présence de Violet l'adoucissait, ça le rendait vulnérable, mais pour une fois il acceptait en silence. Ses lèvres devenaient une drogue douce, un peu comme le tabac, c'était pas violent mais il en était dépendant. Elle ne voulait pas être seule, il ne voulait pas non plus, pas la laisser seule, pas se sentir seul ou du moins qu'ils le fassent à deux. Son cœur eut un petit raté, il soupira, entrelaçant ses doigts aux siens, serrant sa main doucement contre la sienne. Un sourire apparut sur ses lèvres quand il s'aperçut qu'il avait raté le baiser torride promis par la blonde sans rien dire. « Promis, ça n'arrivera pas. » Il ne savait pas comment il allait s'y prendre, mais il tiendrait sa promesse. Il se détacha d'elle, se leva sur lit à regrets pour aller éteindre la télévision et le lecteur DVD avant de revenir près d'elle et il s'assit au bord du lit. Il se pencha vers elle, caressant doucement ses cheveux avant de dégager son visage. Ses lèvres se posèrent contre celle de la Lowell doucement, puis il la laissa respirer, lui souriant, sa main toujours posée contre sa joue.
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