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I left a part a me, to get a part of you {Calista & Andreas}

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Pourquoi les choses s'évertuaient toujours à emprunter des chemins sinueux? Pourquoi rien n'était simple comme on l'entendait? Tout semblait être compliqué et pourtant, cette histoire datait d'il y a sept ans, mais elle avait été laissée en suspens, un peu par la force des choses, ne fermant pas définitivement la page du livre vieillissant au fin fond du grenier. Et en cette journée, il était rajeuni, dépoussiéré, prêt à délivrer tout ce qu'il renfermait depuis tant de temps. Mais les choses avaient changé, ce n'était plus le même contexte qui cette fois-ci était légèrement plus épineux, plus déchirant. Des plaies vivaces mais qui avaient été ouvertes de façon mystérieuse et qui aujourd'hui avaient été ravivées, pour n'en dévoiler que plus concernant leurs origines. Une sorte de soulagement qui cependant ne pouvait pas se manifester de façon limpide face à son état actuel, qui sans doute, camouflerait cette réalité pendant longtemps encore. Avouer ses tords, reconnaître les faits, une évidence pour certain, mais une difficulté pour lui qui était bien trop fréquemment assailli par cette susceptibilité et cette fierté envahissante, encore plus quand le sentiment de trahison s'immiscer au sein de son âme. « Non, on n'a pas toujours ce que l'on veut et je suis bien la première pour le savoir. » Faisait-elle référence à son statut financier? Sans doute. Et dire que tout ça était nouveau pour lui. Dire qu'il n'avait pas su percevoir ce détail chez elle à cette époque. S'il s'en voulait? Ce n'était pas impossible mais il se trouvait face à un mur qui n'avait pas su oser lui parler pour des raisons valables qu'il n'était cependant pas encore en mesure de comprendre. « Vraiment... ou tu dis ça comme ça, histoire de te débarrasser de moi? » Lui même ne savait pas vraiment ce qu'il voulait, perdu dans la réalité de la situation, du passé et de ce qui se passerait. Est-ce qu'il désirait qu'elle s'éclipse immédiatement? Qu'elle reste ici à parler avec lui? Une part de lui se voulait détestable, grisé par la colère tandis qu'une autre se désirait plus avenante, plus compréhensive. Un mélange des deux semblait être l'idéal, même si le résultat serait sans doute mitigé. Est-ce qu'il disait ça pour qu'elle parte? C'était une question à laquelle lui même ne possédait pas de réponse. Toutefois, une chose demeurait certaine ; s'il avait souhaité qu'elle s'en aille, il serait sans doute resté dans cet état de furie générale, tendant vers les propos plus blessants que nécessaire. Mais en réalité il voulait oublier cet instant, qui faisait beaucoup trop ressortir certaines choses auxquelles il ne voulait plus penser. Alors oui, si la seule solution pour arriver à cette finalité était de lui accorder son pardon, alors, peut être qu'il le ferait. « Si j'avais voulu me débarrasser de toi, tu ne crois pas que j'aurais trouvé un moyen plus efficace?» Bah oui, après tout ce n'était pas dans sa nature d'agir selon le concept de discrétion. S'il avait voulu qu'elle parte, il lui aurait clairement fait comprendre avec détermination.
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Ressasser le passé était la dernière chose que je voulais. On ne faisait que remuer le couteau dans la plaie dont l'étendue ne faisait que s'aggraver. C'était douloureux de se souvenirs de nos mauvais choix, ceux que j'ai toujours voulu oublié, refoulé dans mon inconscient pour éviter d'infliger des blessures supplémentaires. J'étais pourtant en position d'affrontement, en ce moment-même, me débattant de toute mes forces pour me faire pardonner. Je savais que je n'allais pas l'avoir si facilement, bien que l'atmosphère avait réussi à tomber un peu, laissant place à une air plus calme et détendue. Les choses avaient été déballées telles quelles le sont. Il ne me semble n'avoir oublié aucun détail. Sans doute avait-il été mieux qu'il ne sache rien pendant tout ce temps vu la chute qu'il avait fait en apprenant toute la vérité. Sept ans s'étaient écoulés. Le temps avait continuer son chemin, nous empêchant de nous voir ou nous croiser jusqu'à aujourd'hui aussi fou et improbable soit-il. Et bizarrement, mon coeur s'emballait de le revoir. Moi qui pensais l'avoir définitivement oublié, rayé de ma vie, je ressentais un certain battement. Evidemment qu'il était impossible d'écraser une personne tant importante dans votre vie comme ça. Même après tant d'années, elle reste quelque part, dans un coin de votre tête pendant que votre inconscient brouille votre mémoire passée. Je voulais vraiment son pardon. Si j'avais crié défaite il y a peu de temps, mon coeur me disait de ne pas perdre espoir et de persister malgré tout. Je devais rester optimiste, je n'avais plus le droit de le laisser filer comme ça. J'avais fait l'erreur une fois, pas deux. « Si j'avais voulu me débarrasser de toi, tu ne crois pas que j'aurais trouvé un moyen plus efficace? » Il n'avait pas tord sur le coup. J'avais dis ça sans grand intérêt à part peut-être celui d'y ajouter un peu de sourires dans toute cette mélancolie. « Peut-être bien, je préférais juste m'en assurer. » dis-je en haussant les épaules, avant de venir le rejoindra sur ce ban, face à ces grandes baies vitrées qui nous donnait cette superbe vue sur le monde aquatique. « Après tout, tu as le droit de te débarrasser de moi après tout ce que je t'ai fait. » La culpabilité me rongeait désormais. Je regrettais réellement mes choix et mon comportement avec lui. Il avait toujours été si merveilleux avec moi, si sincère et protecteur que j'en avais abusé sans le vouloir. Je n'avais jamais voulu de tout ça. Je n'avais jamais voulu d'une fin dans notre histoire, et encore moins celles que l'on avait eu. Peut-être que les choses auraient été encore d'actualité aujourd'hui. Oh et puis à quoi bon y penser, ce n'était plus qu'illusion.
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Après la tempête le calme. Pourtant, toute cette violence qu'il avait exprimé n'était pas entièrement partie dans ces contrées reculées. Elle demeurait encore en lui, mais nettement plus maîtrisée et assagie par cette prise de conscience progressive qui lui ôtait plus les mots que nécessaire. Pendant tout ce temps, il avait en quelque sorte fait abstraction de cette envie récurrente qui le torturait, qui ne pouvait trouver de réponse face à ce mur déstructuré et devenu au cours du temps absent. Et dire qu'il n'avait même pas soupçonné ses parents d'une quelconque implication certaine. Pourtant, l'évidence à ce silence avait été à sa portée durant de nombreuses années, sans que jamais cette idée n'effleure son esprit. Pourtant dieu savait tout les préjudices qu'il leur inculquait à tord et à travers. Mais ça, non, il ne l'avait pas imaginé une seule seconde, quand bien leur comportement n'était plus un secret. Quelle lubie ils avaient à toujours vouloir tout contrôler, à croire qu'ils souffraient d'un complexe d'infériorité à toujours vouloir se mettre en avant. Est-ce que ça leur plairait si lui, prenait des décisions à leur place? Certainement pas et cette simple idée n'était même pas envisageable. Penser au déroulement de ce qu'elle venait de lui conter raviver cette flamme attendrit. Il allait clairement leur faire savoir ce qu'il pensait de tout ça, quitte à se les mettre à dos, si ce n'était déjà pas fait, avec son comportement intenable. « Peut-être bien, je préférais juste m'en assurer. » C'est vrai, après tout, il aurait pu dire ça simplement sous l'emprise de la confusion. Seulement, s'il avait voulu se débarrasser d'elle, il n'aurait sans doute pas tardé à s'éclipser et à le lui faire savoir. C'était d'ailleurs ses intentions premières, avec le feu ardent de ses propos blessants. Qu'elle parte, pour éviter tout ça. « Après tout, tu as le droit de te débarrasser de moi après tout ce que je t'ai fait. » Elle lui rappelait clairement ses droits et les faits actuels. Il lui suffisait de presque claquer des doigts pour qu'elle ne s'en aille. Mais agir de la sorte aurait été significatif d'une rancune sans préavis et d'une méchanceté soudaine. Ce n'était pas lui. Il était susceptible et ce trait de caractère pouvait bien souvent l'amener sur le chemin de la rancune, mais initialement, il n'était pas quelqu'un de revanchard. Pourtant, il était assailli par cette rancune envers ses parents qui le hantait depuis déjà quelques temps. En ce qui concernait la jeune femme, il ne savait pas, il avait juste besoin de réfléchir, de poser les choses, de les intégrer tout simplement. « Ouais, j'ai le droit, mais je sais pas si j'en ai l'envie. » Il en avait la possibilité, mais il n'était pas obligé de le faire. Et là, il se rendait soudainement compte du contenu de ses propos. Il venait clairement de lui dire qu'il n'en avait pas envie. « Ouais, sinon à qui je casserais la tête? » Il avait dit ça comme ça, pas très sérieusement. Un peu maladroitement, sans conviction importante, simplement pour faire oublier ce qu'il venait de dire précédemment sans vraiment le vouloir. Passer au dessus de ça, il pouvait le faire, il le savait. Mais ça lui demandait des efforts, et au plus profond de lui, une petite voix fluette lui décrétait de ne pas prononcer son pardon si vite.
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C'était difficile de trouver un juste milieu à cette situation, dans l'espoir d'apaiser toutes les tensions. J'aurai simplement voulu oublier, effacer toutes ces erreurs que j'ai pu faire pour ne garder que le meilleure. Je n'avais pas aimé le voir en colère contre-moi et mes agissements, mais c'est tout ce que j'avais pu mériter en cet instant. Si j'avais pas éviter ses foudres durant toutes ces années, j'aurais du me douter qu'un jour ou l'autre, le poids de me comportement me tomberait dessus sans que je m'y attendre. Tout ce sait un jour, et cette phrase prenait bizarrement ses racines à travers mes explications. J'avais ressenti un certain pincement au coeur à me rappeler des événements que j'avais enfouis au plus profond de moi-même, continuant à avancer comme si rien n'était, comme s'il n'y s'était jamais rien passé. Ca semblait être tellement plus facile que de garder cette douleur encrée au fil du temps. Je trouvais bon de lui rappeler qu'il avait le droit d'être suffisamment en colère pour ne plus vouloir me voir. L'atmosphère s'était apaisée, et je trouvais ça presque injuste, trop inapproprié en me mettant dans sa situation. Les regrets et les remords me tenaient compagnie, moi qui ne les avais jamais admis dans ma vie auparavant. La mélancolie s'en mêlait aussi, embarquant tout sur son chemin. J'étais perdue. J'ignorais à présent où cette conversation nous mènerait alors que je me considérais comme inadmissible. Mon regard se perdait au loin alors que je restais immobile. Les cris s'étaient adoucis, laissant place à une interaction plus douce et délicate qui avait réussi à lasser l'attention de nos auditeurs. « Ouais, j'ai le droit, mais je sais pas si j'en ai l'envie. » L'envie? Cette phrase me sortit aussi vite de mes pensées les plus lointaines. Hum, vraiment? Et j'étais censée comprendre quoi par là? Ma curiosité et ma réjouissance intérieure s'entremêlaient, étrangement intéressées par ses propos. « Ouais, sinon à qui je casserais la tête? » Oh je connaissais cette maladresse. ces dires avaient été dit d'une telle rapidité qu'il semblait vouloir camoufler les précédents. « Me casser la tête? Vraiment? » demandais-je dans l'attente d'une quelconque réponse qui pourrait le faire revenir sur sa phrase alarmante. Je savais qu'il avait lâché ça à tout hasard, je le connaissais assez pour savoir ses réactions. J'étais convaincue que même après sept ans il restait toujours le-même. Cet adolescent qui m'avait volé mon coeur à l'époque et qui représentait une menace à l'heure actuelle.
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Il ne comprenait plus réellement le sens qu'il daignait octroyer à ses pensées, à son comportement et à sa réaction soudaine. C'était comme si la jeune femme se retrouvait doter de capacité dénué d'évidence, parvenant à lui retourner le cerveau sans grande difficulté, attisant ses pensées dans la voie qu'elle souhaitait occuper. Il lui en voulait, mais son esprit se retrouver effecteur d'un camouflage léger qui ne faisait que retarder cette plaie ouverte. Mais l'envie d'exhiber de nouveau cette colère, s'était quant à elle, envoler, pour le moment. Cette situation relevait tant de l'étrange qu'il ne savait plus agir dans des mesures adaptées. Est-ce qu'il ne rendait pas les choses trop faciles? Est-ce qu'au contraire, il s'était démontré trop violent? Est-ce qu'il devait pardonner instantanément? Il ne savait pas et tendait même à en oublier son propre caractère. C'était trop d'émotions pour trouver une solution évidente dans l'instant présent. Assis, tout les deux sur ce banc, comme si une atmosphère paisible régnait, entretenait leur relation passée mais qui semblait être encore vivace de part ce silence intense qui défiait les heurts précédents. « Me casser la tête? Vraiment? »Vraiment? C'était une possibilité. Non, bien sûr que non, il ne lui casserait pas la tête, cette phrase était en réalité à prendre plus comme une image, comme le fait d'une taquinerie abusive qui laissait prétendre à une relation amicale mais également à une violence physique, dont il n'avait jamais usé envers la gente féminine. Les garçons, c'était une autre chose. Il suffisait que monsieur soit dans une mauvaise journée et qu'en plus de ça, l'irritation se retrouvait l'arme fatale d'un potentiel interlocuteur ou rival, et il ne se sentait plus, en oubliant presque les valeurs familiales, n'hésitant pas à se déchaîner corps et âme -surtout corps- dans des ébats physiques incitant à la violence impulsive. Souvent, il avait fait l'objet de bagarre, ayant quelques difficultés à s'apaiser dans une aura sereine, à ne pas prendre tout au pied de la lettre, à ne pas apprécier cette impulsivité qui l'avait bien dès fois mené aux confrontations violentes. Cette facette faisait également partie de lui sous ces airs de gars sans problème. « Même le pire des monstres ne pourrait pas te faire de mal. » Une façon à lui de lui dire, que non, en effet, il n'était pas sérieux et qu'il ne pourrait nullement lui fracasser la tête malgré toute cette rage qui l'habitait. Une façon aussi de lui dire, que son pardon n'était pas une chose inaccessible et peut être inconsciemment, qu''il l'appréciait de façon déraisonnable. Il ne la regardait alors pas, fuyant en quelque sorte son regard. Regardant soudainement l'heure qu'affichait sa montre, il se rendait compte de la furtivité du temps, pourtant il lui semblait que cet instant avait été doté d'une rapidité alarmante. Il avait besoin de s'aérer, cette situation l'étouffait tantôt, avant de lui soumettre de nouveau une respiration libérée. Se relevant, il la fixait, presque gêné par la tournure de cette histoire. « Je dois y aller ... huum .. j'ai .. un rendez-vous. » Ce n'était pas la vérité, mais ce n'était pas non plus un mensonge. Il avait promit qu'il serait présent à la soirée de ce soir, mais il avait également un rendez-vous plus spirituel, avec lui même, se retrouver, pour mieux faire la part des choses. « Huum .. prends soin de toi ». C'était stupide, pendant des années, il n'en avait rien su. Tournant les talons, il quittait alors ce lieu azuré et vivant, sans jeter un regard en arrière.
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.END.
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