omg ! Jackie vous ici ? (JACKIE)

Je pousse un soupire bruyant à l'idée de parler de mon bizuteur. J'ai pas le choix de toute manière je sais que ce ne sera pas vraiment une chose facile. Je ne suis pas du genre à en faire des caisses, mais cela aurait été nettement plus enjoué si les choses s'étaient déroulé autrement. « Tu me donnes des idées dis donc, je vais y réfléchir et je sens sincèrement que ça peut être drôle. » Je lui souriais franchement comprenant qu'elle veuille me donner un coup de pouce. Après tout, c'était nouveau pour moi et je ne savais pas du tout quoi penser ou faire. Ahhhh que je me sentais inutile à côté d'elle alors que je voulais arranger les choses, ne la supportant que rarement malheureuse. Qui peut supporter cela de sa meilleure amie ? Pour ça il faut se changer les idées, y'a rien de mieux. « Je t'aurai bien proposé de sauter d'un bateau directement dans l'eau mais c'est déjà fais. Je ne sais pas trop quelque chose de fou, complètement fou, insensé à se faire peur je sais pas. Je veux du OUF STEVENSON » Je caressais légèrement mon menton comme un détective de série B pourrait très bien faire. « J'ai pas encore l'habitude d'être une LOWELL pour tout te dire... alors alors. » Réfléchis CECE, réfléchis tu vas bien trouver un truc. « Qu'as tu toujours rêvé de faire sans jamais vraiment oser ? » On peut faire des trucs de ouf. Moi je veux en tout cas.

Il était temps pour moi d'oublier un peu. Mes problèmes devaient être mis de côtée le temps d'une journée. J'avais besoin de sa et Cerceï était la personne parfaite dans ce genre de situation. Elle n'était peut-être pas au courant du mal aise qui me rongeait mais elle était assez intelligente pour savoir qu'il était important pour moi d'évacuer. " Tu me donnes des idées dis donc, je vais y réfléchir et je sens sincèrement que ça peut être drôle ". Je me mis à sourire, fière d'avoir pu lui trouver quelques idées de vengeance. Les idées ne manquaient pas pour tout vous dires j'avais pensé faire... Mes affaires étaient rangées et toute mon attention lui était destinée. Je levais les yeux en signe de réflexion. Qu'avais-je réellement envie de faire ? un truc fou et totalement incenser ? allons Jackie, réfléchis. " Je t'aurai bien proposé de sauter d'un bateau directement dans l'eau mais c'est déjà fait. Je ne sais pas trop quelque chose de fou, complètement fou, insensé à se faire peur je sais pas. Je veux du OUF STEVENSEN " je me mis à rire, on était sur la même longueur d'onde. J'avais besoin de me sentir vivante, de sentir que tout allait bien. " Je n'ai pas encore l'habitude d"être une LOWELL pour tout te dire alors." je fis un petit sourire avant de mettre ma main sur son épaule : " Tu verras, tu t'y ferras très vite. " dis-je en lui faisant un clin d'oeil avant qu'elle ne me demande : " qu'as-tu toujours rêvé de faire sans jamais vraiment oser ? " je me mis à sourire, l'illumination. " Disons... que je trouve les murs du couloir de la fac d'archéologie, très moche. J'ai toujours voulu les repeindres. " dis-je en affichant un grand sourire. " En plus de sa, j'ai une Lowell avec moi... qu'est-ce que tu en dis ? je te préviens je suis médiocre en dessin " dis-je en riant.

Je voulais remonter le moral de ma Jackie elle en avait tellement besoin, puis au fond je voulais qu'elle retrouve le sourire et moi aussi quelque part. C'était important pour moi et pour elle. Et on se comprenait assez dans ses moments là pour faire des choses complètement loufoques. Bon okay, j'étais maintenant une Lowell mais cela n'allait changer. Enfin techniquement, pas encore encore mais c'est tout comme. Je la regarde, un énorme sourire sur le visage, on se comprend tellement toutes les deux, que c'est simple. Et dire que nous sommes différentes, physiquement parlant. Comme quoi il ne faut pas se fier aux apparences. « Je sens le pouvoir des violets glisser en moi étrangement. » Avouais-je dans un rire, un rire franc mais qui en disait long quelque part. Je penchais légèrement la tête écoutant ce qu'elle avait à me dire. BON SANG ! elle avait tout trouvé là. VRAIMENT. La tête pensante du duo. « Pas besoin d'être douée tu sais... Tu te souviens des fresques rupestres de nos anciens. Des mains, de la peinture, de l'imagination et c'est joué. » Je me frottais les mains d'excitation avant de rajouter sérieusement. « Il nous faut des gants en latex, pas question de se faire prendre avec nos empruntes. » Je réfléchis un peu avant de reprendre, une idée en tête. « Il faut un slogan, une phrase qui accroche, pour interpelé les gens, il faut que ça vibre. Eclater l'art. » J'exagérais mes gestes comme les professeurs qui pétaient plus loin que leur cul, je n'ai jamais aimé ceux qui se la pétaient un peu trop.