omg ! Jackie vous ici ? (JACKIE)

Je sortais de cette confrérie, alors que je sentais encore le regard interrogateur des gens à mon encontre. QUOI ? Ils n'ont jamais vu une CERCEI dans une confrérie. Certes je me demandais encore pourquoi j'avais fais cela, je ne connaissais pas la réponse, mais je crois que j'avais envie de changer. Tu parles, je voulais juste avoir plus d'importance. Comme si ça devait compter. Je ne veux pas que ça compte, je veux juste être moi, la meuf qui se fout des règles et de toutes ces conneries. En faite je crois que j'ai du prendre un coup dans la tête plus violente que prévu et que je suis désormais dans une situation de transition avant qu'on ne me vienne en aide. Je marchais tranquillement, traversant le parc pour faire quelques révisions tranquillement dans mon coin quand je vis une joulie tête blonde. OH Jackie la plus jolie... Je la boudais je ne devais pas oublié, elle était partie rapidement sans me donner de nouvelles et ça c'était pas cool. Je m'installais en face d'elle, prenant son stylo entre mes doigts. Elle me lança un regard surpris. « Non non non Stevenson pas de boudin, je te boude pour le nom nouvelle de ta part. » J'haussais légèrement les yeux avant de continuer. « Pour la peine tu vas écouter mon long et interminable monologue. Alors tu vois... La Lowell house est surement la maison la plus génial, fun et artistique que tu puisses connaitre. Elle arbore une couleur d'une beauté folle, n'as tu jamais fais attention à tout ce que l'on peut porter avec du violet. Sans parler des talents derrière tout ça : Musique, art plastique, danse, et autre talent très fou. Non Jackie, tu ne vois pas la chance que Havard puisse posséder une telle maison avec tous les génies que nous connaissons : June, Cody, Sammy, Mace, Jackie, Devyn, Roxanna et j'en passe... » Je lui faisais un très grand sourire. « A part ma connerie, ça vaaaa ma blondinette adorée ? » Je ne lui en voulais pas, je la taquinais et j'aimais plutôt cela, ça avait un petit côté sympa.  

Le summer camp avait finit par s'écourter pour moi, non pas que les plages et la chaleur des Caraïbes ne me plaisaient pas. Bien au contraire, nous dirons que des évènements m'avaient poussé à faire ma valise plutôt. Aujourd'hui tout le monde était de retour. Mes retrouvailles avaient été disons très discrètes. Je n'avais revu que très peu de personnes. Tapis dans l'ombre, j'apprenais à vivre avec un secret qui me rongeait. J'étais tranquillement attablé dans le parc de l'université. Un stylo et quelques neurones en action, concentrer sur mon travail je n'avais pas remarqué la présence de Cerceï qui s'approchait vers moi pour me retirer mon stylo. Mon regard croisa le sien " Non non Stevensen pas de boudin, je te boude pour le nom nouveau de ta part. " j'affichais une petite grimace consciente de ne pas avoir été très correcte mais parler était bien la dernière chose que je voulais. De là, Cerceï me fit un long monologue. Une petite punition plutôt marrante, je devais l'avouer. L'écouter parler de le Lowell House me fit rappeler quelque souvenir douloureux que je décidais de chasser rapidement en affichant un sourire. Je m'étais retournée légèrement pour pouvoir lui faire face avant qu'elle ne me pose la fameuse question : " A part ma connerie, ça va ma blondinette adorée ? " j'affichais un sourire de façade et lui fis : " ça va, j'ai eu quelques problèmes de haussé sur le bateau... je suis désolé de pas t'avoir prévenue mais je voulais pas gâcher ton summer camp avec dés au revoir " dis-je en grimaçant. Un mince petit mensonge. " Et toi comment tu vas ? " dis-je en essayant de faire bonne figure même si certaines de mes apparences étaient trompeuses surtout pour Cerceï qui me connaît bien. 

Avec le temps, maintenant une année, je commençais à cerner la personnalité complexe de Jackie. Elle n'était pas du genre à s'étendre quand ça n'allait pas et c'était quelque chose d'appréciable même si maintenant, j'aurai aimé qu'elle le fasse, surtout pour me rassurer, et rassurer mes affreuses angoisses chroniques. Je plissais mon regard, cherchant à comprendre ce qu'elle essayait de me dire, après avoir délibérément fait un long monologue sans queue ni tête. Je penchais la tête... elle me mentait, mais je ne comptais pas braquer ou même la gronder. ça ne marcherait pas. « Mon Summer Camp n'a pas été au delà de mes espérances. » Qu'espérais-je après tout de ces vacances ? Rien de bien avouable en tous les cas et je sentais bien la différence en tous les cas, je n'avais rien fais de fous, ou presque. Je secouais la tête, avant de reprendre. « ça va... Tu sais bien que tout va bien, je me suis engagée dans une confrérie et j'y passe le meilleur des bizutages avec Mace... Le mec qui... » Tu te massais légèrement la nuque. Devais-je lui dire que Mace m'avait embrassé durant toute une soirée, pour finalement me fuir pas la suite non. Je rajoutais. « ça se passe délicieusement bien. » Je m'arrêtais un instant avant de reprendre. « Ayant passé les banalités sans intérêt, tu peux me dire maintenant comment tu vas vraiment ? Je me doute que quelque chose cloche. » Lui avouais-je en me pinçant les lèvres, je la connaissais que trop bien.

Mentir devenait une habitude... j'avais prétendu été franche. Je ne l'étais pas et cela ne me plaisait pas du tout. La franchise était de loin ce que je préférais chez moi mais pourtant aujourd'hui je l'étais plus. Prisonnière d'un secret trop gros, trop difficile à porter. Ma mère avait finalement réussi... elle avait réussi à changer cette part de moi. J'en étais malade et le pire dans tout cela c'est que je ne pouvais pas en parler. " Mon Summer Camp n'a pas été au-delà de mes espérances. " mon regard se fronça, que s'était-il passé ? je fermais mon livre et lui fis : " qu'est-ce qui s'est passé ? " mon regard était sérieux avant qu'elle me dise : " Ca va... tu sais bien que tout va bien, je me suis engagée dans une confrérie et j'y passe le meilleur des bizutages avec Mace... Le mec qui..." j'affichais alors un grand sourire, fière de savoir qu'elle avait enfin décidé à rejoindre une confrérie avant que je ne réalise la fin de sa phrase. " Félicitations, tu as enfin sauté le pas mais y a un truc qui m'intéresse qu'est que tu as faits avec ce Mace ? " dis-je amusé et à la fois détendu. Cerceï était une personne qui comptait beaucoup pour moi et elle avait ce pouvoir de me rendre joyeuse. " ça se passe délicieusement bien " j'affichais un sourire, fière d'elle. " Je suis vraiment ravie... la Lowell sera parfaite pour toi. Tu t'y plairas, j'en suis sûr " alors que je pensais être tranquille Cerceï me fit : " Ayant passé les banalités, sans intérêt, tu peux me dire maintenant comment tu vas vraiment ? Je me doute que quelque chose cloche." Cerceï me connaissait que trop bien et mon mensonge n'avait pas suffi à l'écarté. J'affichais cette fois-ci un sourire gêner presque trop forcé et lui fis : " Je vais bien... c'est juste que je ne suis plus avec Aidan. " dis-je d'une voix faiblarde. " J'ai rompu avec lui... mais tout va bien t'inquiète par devais-je préciser que j'avais été obligé de rompre pour le bon vouloir de ma mère ? naaaaah.. 

Je n'étais pas partie pour parler de moi, je ne préférais pas parler de moi il n'y avait rien d'intéressant à dire, de mon point de vu en tous les cas. Le soupire que je poussais était à la hauteur du sentiment que je ressentais. Mon summer Camp n'avait en rien ressemblé à ce que je désirais profondément. J'aurai aimé tellement, mais il ne faut plus croire au père Noël je n'en ai plus l'âge. « J'espérais un quelque chose qui n'est pas arrivé. Je dois surement faire partie de cette catégorie de personne qui croit un peu trop au père Noël. » Soufflais-je plus pour moi-même qu'autre chose. Bien sur, ça continuait... Parler de moi, j'en avais trop dis. Je voulais me cacher dans un trou de souris. Non pas que j'avais honte de ce qui s'était passé, juste que c'était inintéressant de mon point de vu. Je levais les yeux au ciel. « Oui... Tu parles, c'est encore un de ces connards, tu sais le genre je t'embrasse passionnément durant une soirée entière avant de fuir au petit matin honteux d'avoir fais ça avec moi. » Suis-je sis détestable que cela ? J'en frissonnais. Mais ce qui m'intéressais ce n'était ni la confrérie où je me trouvais, ni les gens que je frissonnais. Mais ces paroles. Je me doutais bien que quelque chose clochait avec Aidan, mais au point de rompre. moi fervente jusqu'au bout des ongles de leur couple. J'ouvrais en gros les yeux, muette avant d'ouvrir la bouche, enfin... pour qu'un son réussisse à passer la barrière de ma bouche. « Une rupture n'est pas facile, je te vois encore sur ton petit nuage quand tu m'annonçais être avec lui. Jackie, que s'est-il passé ? » Je fronçais les yeux avant de rajouter sur le ton de la boutade. « Après s'il était un mauvais coup c'est un argument recevable. » Je sondais son visage espérant y avoir une réponse.

Nous nous ressemblions beaucoup finalement trop à écouter les autres, on ne parlait que très rarement de nous. Une qualité qui pouvait vite devenir un défaut. Je n'aimais pas parler de moi et Cerceï était pareil. " J'espérais un quelque chose qui n'est pas arrivé. Je dois surement faire partie de cette catégorie de personnes qui croient un peu trop au père Noël " tout le monde avait beau être lucide, tout le monde croyait en une chose impossible. Je fis une petite grimace et lui dis : " le père Noël existe cocotte... " bien sûr que je plaisantais et je fis à nouveau : " C'est juste qu'il est toujours en vacances " dis-je en affichant un sourire histoire de la faire rire. " Oui... tu parles, c'est encore un de ces connards, tu sais le genre je t'embrasse passionnément durant une soirée entière avant de fuir au petit matin honteux d'avoir faits ça avec moi " je soufflais à mon tour et lui fis : " un connard... tu l'as dit. Ils abusent ces mecs franchement, tu sais quoi, tu devrais faire la même chose histoire de voir comment il va réagir " un conseil qui n'était pas franchement un conseil mais je ne supportais pas ces mecs qui finalement n'assumaient rien. La curiosité de Cerceï me piqua au vif, parler d'Aidan, parler de cette histoire ne me plaisait pas. Cerceï semblait choquer par l'annonce que je venais de lui faire, j'affichais un petit sourire accompagné d'une grimace. " Une rupture n'est pas facile, je te vois encore sur ton petit nuage quand tu m'annonçais être avec lui. Jackie que s'est-il passé ? " J'affichais une nouvelle grimace avant de baisser le regard et dire : " On est tous simplement pas fait pour être ensemble. Je ne lui corresponds pas, on est trop différent... " une excuse qui valait le cout d'être mise en avant. Je ne voulais pas intégrer Cerceï à mes problèmes. " Après s'il était un mauvais coup c'est un argument recevable " je me mis à rire et lui fis : " Noooon, du tout. Aidan était un très bon coup, je t'assure " dis-je en souriant avant de de finalement avaler ma salive. " Je le comprends plus c'est tout... il est redevenu le petit con de service "

Une grimace apparaissait sur mon visage lorsque je compris que Jackie n’allait pas si bien que cela. Moi qui n’avait rien vu venir je me sentais réellement anxieuse à cette idée, je n’étais pas là pour elle lorsqu’elle en avait réellement besoin. Parler d’elle était une priorité sur le reste. Moi ? ça ne comptait pas vraiment. « Il fait chier ce père Noël alors. Il pourrait faire un effet sérieusement. » Avouais-je en une grimace bien marquée. « C’est mon bizuteur, c’est chaud Jackie, de l’ignorer complètement tu sais… Mais je regrette de m’être laissée avoir de la sorte. » Avouais-je sincèrement alors que je sentais un pincement s’accroitre dans ma poitrine. J’appréciais réellement Jackie et je voulais que tout aile bien pour elle. Je ne lui parlais de mes soucis qui étaient dérisoires quand j’observais Jackie. Je prenais sa main comme pour la réconforter face à ses révélations. « Je suis désolée, je pensais vraiment que vous étiez fais pour être ensemble. » Je grimaçais de plus belle me rendant compte que ce n’était pas si simple que cela. Bon sang ce n’était pas simple du tout en réalité. Je passais nerveusement une main dans mes cheveux, avant de lui avouer. «  Si tu veux que j’aille lui casser la gueule ne te gêne pas pour me le dire, je le ferais. Au pire je peux rendre sa vie un vrai cauchemar il n’est plus président. » Lui avouais dans un clin d’œil avant de rajouter très sérieusement. « Tu tiens le coup quand même ? »

Parler, une chose que je n'arrivais pas à faire depuis quelque temps. La solitude m'aidait à avancer. Un brin sauvage, j'avais refusé le contact avec mes amies. Néanmoins, la présence de Cerceï devenait rassurante. J'avais beau vouloir garder ce petit secret pour moi, elle était d'une réelle aide. " Il fait chier ce père Noël alors. Il pourrait faire un effort sérieusement " je me mis à sourire et lui répondis aussitôt " On est d'accord... il n'assure pas le vieux " dis-je en rigolant légèrement. Rigoler... cela faisait du bien avant que la jolie brune ne dise : " C'est mon bizuteur, c'est chaud Jackie, de l'ignorer complètement tu sais... Mais je regrette de m'être laissée avoir de la sorte " j'affichais une petite grimace et lui fis : " Arf dit pas sa... tout le monde serait tombée dans le panneau. La seule chose que tu peux faire poulette c'est de l'ignorer un tant soit peu. Montre-lui moins d'importance et tu verras que ça l'emmerdera " dis-je avec un petit sourire. L'ignorance était parfaite une très bonne solution même si clairement dans mon cas sa ne marchât pas. La jeune Lowell prit ensuite ma main, j'avalais ma salive tentant de repousser les larmes qui ne demandaient qu'à monter. Pleurer d'accord mais pas devant quelqu'un. S'était devenu ma règle. " Je suis désolée, je pensais vraiment que vous étiez faits pour être ensemble. " J'affichais un léger sourire pour masquer mon mal aise. " Tu n'as pas à t'excuser, tu sais y en a d'autre des garçons " dis-je en faisant bonne façade. Y en avait-il d'autre comme Aidan ? je n'en savais rien mais rien que de me poser la question me déstabilisait. " Si tu veux que j'aille lui casser la gueule ne te gêne pas pour me le dire, je le ferais. Au pire je peux rendre sa vie un vrai cauchemard il n'est plus président. " je me mis à rire. Après tout, j'avais utilisé les mêmes paroles face à Aidan. " Ne t'inquiète pas, je lui ai déjà fait comprendre que je lui ferais vivre un enfer s'il se repointait avec une binbèche devant moi " dis-je en grimaçant légèrement. La jalousie, le seule sentiment que je n'arrivais pas à contrôler. " Tu tiens le coup quand même ? " je me mis à sourire et lui fis : " Bien sûr... ne t'inquiète pas pour moi. C'est dur... sur certains point mais sa finira par aller mieux "

Comment en venir à cette réalité-là ? Le père noël il craint un max. Si si je vous jure, il abuse et avec Jackie nous avions conclu à cette sentence. Mais je ne peux pas lui en vouloir il travaille tellement le soir de Noël que le pauvre, il est dépassé. Bref, assez parlé de connerie, passons au concret. « Il n'en a pas, enfin je veux dire je m'en fou un peu de lui, c'est juste chiant que je dois "collaborer" quoi. » Enfin un truc du genre, mais je comptais pas faire ma vie avec lui. Loin de là, j'avais trop bu et je devais tout simplement payer les conséquences de mes actes, quelque chose du genre. Je plissais légèrement les yeux regardant la jolie blonde. Pourquoi n'étais-je pas convaincu par son discours ? Il me semblait je ne sais pas trop. Bien trop répété quelque part. Arf que c'est compliqué toute cette histoire, je pensais vraiment qu'ils étaient fais l'un pour l'autre. Surement mon côté trop fleur bleue. « Vraiment ? » J'insistais lourdement, mais j'avais réellement l'impression que quelque chose clochait chez elle, c'était compliqué pour moi de ne pas, je ne sais pas, vouloir creuser ce qui n'allait pas chez elle. J'avais peur pour elle et je ne voulais pas qu'elle souffre dans son coin. « Tu sais quoi... On devrait faire un truc pour te changer les idées, je sais pas... qui soit loufoque et qui te permettrait de te défouler. » Je lui faisais le plus beau des sourires à son attention, c'était tellement important qu'elle ne se sente pas seule dans un moment comme cela. Puis je continuerais plus tard de gratter le fin mot de l'histoire. « On va faire un truc fou, t'en penses quoi ? » Je me mordillais légèrement la lèvre, cherchant à accrocher mon regard, Stevenson je te lâche pas. Hors de question.

Le père Noël, un mythe, une histoire, un personnage. Il avait les dons de faire rêver et sa même si la plupart de nos désirs restaient inachevés. On ne pouvait pas lui en vouloir. Le père Noël était excusable en tout point de vue. " Il n'en a pas, enfin je veux dire-je m'en fou un peu de lui, c'est juste chiant que je dois "collaborer" quoi " je voyais tout à fait ce qu'elle voulait dire. Je fis une grimace et je lui fis : " Collaborer ne veut pas dire rester sage... tu peux toujours l'embêter un peu à ta façon. Tu sais le poil à gratter fait des ravages " dis-je en souriant malicieusement. Garce ? pas qu'un peu. Je vous assure. La réalité revenait me frapper en pleine figure. Parler ne m'aidait pas du moins, je ne voulais pas parler de ça. " Vraiment ? " j'affichais un mince sourire et lui fis oui de la tête. Bien sûr, l y avait d'autres hommes, du moins je l'espérais même si Norrington allait être difficile à oublier - s'il était possible de l'oublier -. Cerceï était intriguée par mon histoire, elle était mon ami et je lui cachais une partie importante de ma vie. Je m'en voulais quelque peu mais la situation était bien mieux comme cela. Protéger les personnes que j'aimais, un causse qui me tenait à coeur. " Tu sais quoi... On devrait faire un truc pour te changer les idées, je sais pas... qui soit loufoque et qui te permettrait de te défouler " mon sourire s'agrandissait doucement. Voilà, une excellente idée, j'avais besoin de m'évader. Stopper le temps et m'amuser un peu. " Franchement... tu pouvais pas mieux dire ! Je fais tout ce que tu veux, je peux même aller voler une pizza si tu veux " dis-je en rigolant. L'adrénaline, le besoin de se sentir vivante, j'avais besoin de ça. Je me levais tout comme Cerceï qui fit : " On va faire un truc de fou, t'en penses quoi ? " je me mis à rire et lui fis rapidement presque exciter de commencer : " J'en dis que c'est une idée superbe. Une idée Lowell ? " dis-je en bougeant les sourcils de haut en bas.