CELIA J. MARTINOZZI ► kenza zouiten.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle meloaart et j'ai vingt ans tout rond. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à root top.  J'ai adoré le concept d'Harvard et surtout le nombre d'adhérant alors j'ai décidé de m'inscrire OU Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de pseudos de vos comptes actuels (+ maison). J'utilise Kenza Zouiten comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par cranberry. Je fais environ 200 mots par RP et mon personnage est un /scénario crée par Enzio V. Martinozzi.

   Mot de la fin ? ▲ ne m'abandonnez pas!
   Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
    adhérer un flood d'intégration (?)

C'est le 9 juin 1989 que je vis le jour, dans la belle ville de Venise, en Italie. Pure italienne donc, il est important que vous sachiez que je suis énormément attachée à ma ville et mon pays de naissance. Déjà parce que malgré mon train de vie, j'ai toujours été très attachée à ma famille et donc mes repères ont et seront toujours ancré dans ce pays. Pourquoi malgré mon train de vie ? Disons que dès ma naissance, j'ai été plongé dans le plus grand luxe qu'il puisse exister. En effet, je suis la première enfant du premier ministre italien. J'ai donc un petit frère âgé de seulement un an de moins que moi. Autant lui que moi, nous n'avons jamais rien connu d'autres que le luxe, les grands palais, les grandes soirées. Mes petits-déjeuners m'ont toujours était servi par cette même femme qui s'occupait de nous étant petit et c'est cette même femme qui me coiffait, m'habiller... Ma mère aurait pu le faire, oui. Mais non. Puisque elle aussi se trouvait très souvent en déplacement avec mon père, il avait des obligations qu'il se devait de tenir. Je n'ai jamais vécu dans l'ombre, les Martinozzi sont connus dans toute l'Italie et en tapant sur internet mon nom, ne vous étonnez pas de trouver des photos de moi étant bébé. Vivre dans l'ombre ? Je n'ai jamais su ce que s'était, mais contrairement à ça je ne suis jamais devenu l'enfant pourri gâtée qui s'achète tout et n'importe quoi, qui fait des caprices à des sommes mirobolante et qui cherche à se faire voir par les médias. En fait, j'ai toujours été l'inverse de tout cela. Dès mon plus jeune âge, dans les petites écoles, j'étais toujours la petite fille qui allait vers les autres. Je n'aimais pas que certains soit mit de côté pour des bêtises, parce qu'il faut l'avouer, même les enfants peuvent se montrer méchant. Je suis toujours allé vers eux, pour les mettre à l'aise, pour leur faire comprendre qu'ils n'avaient rien de moins que nous. Aussi bizarre que ça, j'ai toujours été dans des écoles sur-classés dû au travail de mon père. Évidemment, il n'était pas concevable que les enfants du premier ministre italien aillent dans des écoles publiques et gratuite, non. Nous étions dans des écoles privées, très cher et très sélectes. Je ne sais pas si cela nous a vraiment aidés à avoir de meilleurs notes, mais en tout cas nous étions entourés par des gens aussi friqués que nos parents et nous. Ce qui est sûr, c'est que l'argent ne m'a jamais changé, même petite. On dit souvent que les enfants ne comprennent pas l'impact que peut avoir l'argent sur une vie, mais croyez-moi que si. Á l'école, je me trouvais qu'avec des enfants comme moi, mais en dehors, non. Et je voyais bien que je ne vivais pas comme d'autres enfants, que je ne vivais pas dans le même environnement et j'ai compris très vite que l'argent guidait énormément la vie de ma famille. Luxe, lumière, voiture flambante, habits de marque, etc.. je n'en ai jamais rêvée. Peut-être que c'est parce que j'ai toujours étais plongé dedans, je sais que beaucoup d'autres personnes auraient adoré avoir ma place. Mais soyez certain que l'argent ne rend pas tout le monde heureux.



Il arrive un âge où on vous demande ce que vous voulez faire plus tard, n'est-ce pas ? Eh bien, moi on ne m'a jamais rien demandé, parce que mon avenir mon père l'avait déjà tracé. Je n'avais pas le choix que de vivre une carrière professionnelle aussi flambante que celle de mon père, alors je ne comptais pas devenir ministre, certes. Mais lui avait en tête que sa fille chérie fasse au minimum avocate. Á l'âge de 13 ans, mon père n'arrêtait pas de dire à tout le monde que j'allais devenir avocate, parce qu'un Martinozzi qui échoue n'est pas concevable. Par chance pour lui, je n'ai jamais été ce genre d'adolescente rebelle, bien au contraire. Je me rendais tout le temps à ses soirées de charités, de galas, de représentations, de n'importe quoi en fait.J'étais toujours présente, distinguée, classe, uniquement pour que mon père soit fier de moi, je me devais d'être là. J'adorais me rendre à plusieurs de ces évènements mais, mes préférés restés les oeuvres caritatives. Ça me ramène à quand j'étais petite et que j'aidais toujours les autres, c'était la même chose. Je savais que j'avais de l'argent plus que quiconque, mais ce que je n'aimais pas été de savoir que d'autres n'en avait pas assez pour manger. Alors, je me servais de la célébrité de ma famille pour aider toutes les associations qui oeuvrés pour ce genre de choses. C'est d'ailleurs uniquement pour ces choses-là que mon nom est apparu autrement que "la fille du premier ministre italien". J'ai été connu pour les aides que j'offrais, pour mes voyages en Afrique ou dans les pays démunis afin d'aider et j'étais plutôt fier d'être connu pour ça. Je n'ai jamais demandé l'avis à mes parents pour faire ça, c'était ce que je voulais faire et autant le dire que cela arrangeait plutôt mes parents que je sois comme ça. Ils étaient fier et j'étais contente qu'ils soient fier de moi. Mais à côté de ça, au fond de moi il était clair que je ne ferais pas avocate, mais je n'ai rien dit. J'ai terminé le lycée avec les meilleures notes possible, dans l'unique but de pouvoir rejoindre l'université que mon père avait choisi pour moi. Jusqu'au dernier moment, il était ainsi persuadé que j'allais faire les études de Droit comme il était convenu. Á mes 18 ans, j'ai obtenu mon diplôme et j'ai donc quitté le lycée avec les félicitations. Durant l'été, il a fallu faire les inscriptions et choix d'orientation pour l'université la plus prisée d'Italie et c'est là que j'ai dit à ma famille que je ne souhaitais pas faire du Droit. Les représailles ont été dur, mais ayant droit à mon argent désormais, mes parents savaient que si je le voulais je pouvais quitter le domicile familiale quand je le voulais et ainsi gérer ma vie comme bon me semblait. Ils ont accepté mon choix et je me suis inscrite dans des études de journalisme, mais aussi de danse. La danse fait partie de mes passions depuis que je suis toute petite, je ne me suis jamais arrêtée d'en faire. C'était donc l'occasion pour moi d'en faire à haut niveau et de m'améliorai. J'ai donc entamé mes études dans l'université la plus prestigieuse d'Italie.



L'indépendance est quelque chose dont je ne saurai pas me passer. Désormais majeur, étudiante et largement apte à gérer ma vie toute seule, je n'ai jamais autant aimé être fille de politicien qu'à ce moment-là. Mon nom de famille m'aidait quasiment tous les jours pour des choses que j'adorai faire. J'étais devenu marraine d'une association qui aide les familles défavorisées dans les pays pauvres et je ne comptais plus les voyages que je faisais pour cela. Durant les vacances scolaires, il était rare de me trouver chez moi, mais plutôt dans les avions. J'adorai ça, ma famille était d'ailleurs très fiere de moi, malgré mes études en Journalisme que mon père avait du mal à avaler. Le luxe ne m'intéressais toujours pas, je vivais dans un appartement certes très grand, cher et avec tout le confort dont on peut rêver, mais je n'étais pas avide de luxe et d'argent. Et comme je vous l'ai déjà dit, l'argent n'a jamais rendu tout le monde heureux. Un scandale au sein de ma famille éclata, l'infidélité de mon père fut révélé au grand jour. L'argent ne pouvait rien y changer. Mon frère lui, n'a jamais pu encaisser cette nouvelle. Notre père était comme un exemple pour lui, croyez-moi que lorsqu'il a appri ça, sa réaction en fut des plus clairs. Il déteste notre père, encore plus lorsqu'il a su qu'un enfant était né de cette infidélité. Nous possédions donc un demi-frère. Lorsque j'ai appris tout ça, j'ai surtout pensé à ma mère. Elle avait toujours tout fait pour mon père, pour qu'il ai tout ce qu'il veut. Elle n'a jamais craqué, n'a jamais rien dis et a toujours tout encaissé de cette vie qu'elle n'avait peut-être pas toujours voulue au fond. Et finalement, c'est surtout pour elle que j'étais en colère contre mon père, d'avoir menti de cette façon, d'avoir osé trahir sa famille. La vie italienne voyaient enfin le vrai visage de ce politicien pas aussi parfait que ça, finalement. Mais ce qui me touchai encore plus, c'était mon frère. Il détestait au plus haut point mon père, apprenant cette nouvelle alors qu'il était loin de nous puisqu'il se trouvait à Harvard, il est revenu en Italie pour pouvoir régler tout cela avec moi et nous occuper de notre mère. Mon frère est la personne la plus importante pour moi, ainsi que ma mère et je le voyais se détruire petit à petit. J'avais été au courant de cette histoire de mariage forcé avec une fille et je n'étais pas très frivole de cette histoire d'ailleurs. Je pense qu'il avait beaucoup dans la tête à cette période et l'annonce de l'infidélité de notre père ne l'a pas beaucoup aidé. Il n'était plus le même, devenu froid, distant, arrogant.... ce n'était plus lui. Alors, j'ai pris une décision. Mon père n'ayant plus rien à dire sur ma vie et ni sur celle de mon frère ou celle de ma mère, j'ai décidé de quitter mon université italienne pour rejoindre celle d'Harvard, ou mon frère se trouvait. Je ne voulais pas le laisser tout seul là-bas, nous avions besoin de nous serrer les coudes. Ma mère était prête à rester toute seule en Italie, nos grands-parents étaient présents pour elle. Mon dossier fut très vite accepté à Harvard et de cette façon, je pourrais garder un oeil sur Enzio et le soutenir comme je l'ai toujours fait. L'endroit ne me dérangeait pas, puisque toute façon Harvard était une université encore plus prestigieuse que celle où je me trouvais déjà. Finir mes études à Harvard ne pouvait être qu'un bon point pour moi. Et pour mon frère.



C'est donc de cette façon que je me suis retrouvé dans le Massachusetts, à des milliers de kilomètres de mon pays natale. Un changement radical pour moi, mais un changement dont j'avais besoin et dont avait besoin mon frère. En intégrant cette nouvelle université, j'avais bien l'intention de finir mes études en beauté et de pouvoir obtenir mon diplôme haut la main et surtout de faire attention aux actes de mon frère, qui n'attendait qu'une chose... mener la vie dure à notre nouveau demi-frère. La vie universitaire d'Harvard se montrait aussi bien plus élaborée que là où je me trouvais avant. Des milliers d'élèves, de confréries différentes, d'études, de clubs... c'était loin d'être une mauvaise idée que de me trouver ici, c'était certain. Étant ce genre de fille sociable, présente, généreuse, je n'aurais donc aucun mal à m'intégrer dans une nouvelle école. Certes, j'ai un gros caractère et je ne mâche pas mes mots, mais c'est bien grâce à cela que je suis devenu ce que je suis aujourd'hui. La valeur des actes, la prestance et la loyauté sont les maîtres mots qui guident ma vie au jour d'aujourd'hui.