GABYDIE ✰ hisse et oh Santiano

Ne voilà enfin de retour chez moi comme ça fait du bien. Je pensais vraiment pouvoir m’amuser cet été mais ça n’a pas été le cas du tout . Il me reste à peine quelques jours avant la reprise des cours et je peux dire que j'angoisse un max. j'ai pas envie que ça se passe mal. J’ai envie de réussir à Harvard et surtout d’être quelqu’un. Je ferais tout pour réussir même si pour ça je dois me battre, j’ai un bon crochet du gauche .Pour avoir des forces il me faut une alimentation saine et équilibrée 5 fruits et légumes par jour oui oui je connais bien mes pubs. Je pars donc en quête d’un bon repas . Un bonne salade à emporté avec un jus de fruit bien frais , la seule chose qu’il me manque c’est un peu de pain. Après quelques minutes de marche j’arrive à la boulangerie. Il est relativement tard du coup il n’arrive plus grand chose merde. Je n’ai même pas le temps de réfléchir qu’un homme en même temps que moi. Une baguette, deux personnes mais comment faire ? je le regarde avec un air de défi cette baguette et pour moi et pour personne d’autre je veux mon pain et je l’aurais. Nous nous fixons pendant au moins 10 secondes avant que j’ouvre la bouche pour dire « bonjour j’aimerais la dernière baguette s’il vous plaît » il n’a même pas le temps de répliquer que je paye ma baguette. Petit sourire triomphant coller sur la bouche je pars de la boulangerie direction mon appartement au mois j’aurais pas mangé ce midi. Mais chose que je n’avais pas prévu au passage un horrible orage éclate et une pluie démentielle commence à tomber je me retrouve rapidement tremper ma baguette toute molle sous le bras. Je ne pense qu’à une chose, protéger mes cheveux et ma baguette pour ça je me réfugie dans le premier endroit que je trouve devant moi c’est-à-dire une sorte de petit bateau qui m’a l’air complètement abandonné. Je frappe mais personne ne répond, les lumière sont éteintes il n’y a rien du coup j’essaie d’entrée et miraculeusement la porte est ouverte génial j’ai trouvé un dans un endroit pour me réfugier. Tranquillement je fais tout du propriétaire et je réalise que finalement le bateau n’a pas l’air si abandonné que ça,j’espère que le propriétaire ne pas rentrer sinon je sens qu’il va pas content du tout

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Après avoir fini de vendre mon poisson fraîchement pêchait de ce matin, je m'attelais à faire mon marché, tranquillement en vélo. J'avais déjà pas mal de fruit et légumes dans mon petit panier à l'arrière - oui je l'avais pas mis devant pour garder un tant soit peu de dignité - Alors que Sébastien mon chien, courait à côté de moi. Il me manquait plus que le béret sur la tête et j'avais l'impression d'être une caricature tout droit sortie d'un des films de Pagnol. J'adorais cette vie. J'avais l'impression d'être libre. D'être qui je suis. Un mec simple et sans chichi, loin des requins des finances qui se charcutaient pour avoir les derniers dollars sur le marché. Tous les ports du monde se ressemblaient. J'avais l'impression d'être au Brésil, le portugais et le soleil en moins, mais l'ambiance, l'atmosphère y était la même, c'était peut être pour ça que je m'y sentais bien à vrai dire. C'est limite en sifflotant que j'entrais dans la boulangerie en même temps qu'une petite brune aux cheveux ondulés. On se bousculait, je la laissais passer, histoire de galanterie oblige jusqu'à arriver devant la seule et dernière baguette. C'est pas possible, il m'la faut. Comment pouvais-je manger ma cébette et mon fromage sans pain ? C'est comme manger des tartine sans tartine ( bordel ce que c'est philosophique ) Je la bouscule encore un peu, histoire de pouvoir parler avant mais elle se lance avant moi. Je fronce les sourcils en regardant la boulangère qui était limite peiné pour moi. Et la politesse tu connais ? J'étais la en premier ! Les femmes je vous jure ! Je repars bredouille, sans pain, mes rêves gastronomiques envolés. Qui plus est il se met à pleuvoir Et merde ! je me met à pédaler comme un dératé pour me rendre sur mon bateau. Je siffle pour faire venir Sébastien qui a dû s'trouver une copine. Puis je m'engouffre dans la cabine, spacieuse sous le pont avant de voir la voleuse de baguette. Waouh waouh waouh t'es qui toi ?! dis-je surpris en attrapant un bougeoir dans mon dos, sait-on jamais si c'est un transexuelle. Genre, elle se retourne et je me retrouve avec musclor en face de moi.

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C’est fou mais sça pue le poisson en même temps je suis sur un bateau vous allez me dire, je sais pas mais je trouve qu’il y’a une odeur spéciale ici, une odeur que je connais bien la solitude. Oui la solitude a une odeur spéciale, une odeur amère. J’ai un nez très développé que voulez-vous. J’ai posé la salade César sur la table ainsi que ma baguette qui malheureusement est un peu mouillé. J’aimerais pouvoir manger mais je ne pense pas que ce soit possible ici c’est pas chez du coup je décide de faire un peu le tour du propriétaire histoire de voir ce que je découvre. Je suis traumatisée du SC je cherche un trésor mais je trouve rien d’autre qu’un peu de lingère sale et des canettes de bière à mon avis c’est un homme qui vit dedans . Le bateau n’est pas très grave mais quand même assez luxueux du coup je pense que ça doit être un lieu ou quelqu’un fait la fête avec ses potes ou un lieu pour se reposer de temps en temps parce que ça m’a l’air aussi un peu vide. Alors que je suis en pleine exploration, j'entends une voix qui me parle du coup je sursaute et me retourne faisant face maintenant au mystérieux inconnu de la boulangerie. Merdes il faut toujours que ça tombe sur moi ,la galère en plus il a l’air assez en colère « tu devrais poser ce bougeoir car statistiquement sauf si on est dans une partie de cluedo tu n’as aucune chance de me tuer avec ça » Les statistiques ne trompent jamais « Je m’appelle Teddy-Jane Scott, et comme tu as pu le remarquer il pleut beaucoup du coup je me suis réfugié ici rien de plus » Dis en haussant les épaules ,a mon avis ce mec n’a pas toute sa tête

La salade de Teddy :sifle::

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J'étais un peu triste de pas avoir de pain aujourd'hui, depuis ce matin je rêvais de ça, de ce festin que je voulais me faire à midi, tranquillement installé sur le pont, mais cette mégère avait prise la dernière. J'aurais été prêt à partager, mais elle était partie comme une voleuse. Alors je rentrais tranquillement, en prenant mon temps jusqu'à ce qu'une averse se mette à tomber. Bordel, c'est décidément pas ma journée. Je pédale, encore et encore jusqu'à arriver au port, suivis de Seb puis je monte sur mon voilier. C'est à ce moment là que je découvre une femme. Cette femme. Je prend un chandelier que je planque dans mon dos, sait-on jamais si c'est une psychopathe, après tout, elle avait l'air plutôt déranger après le coup qu'elle m'avait fait. Un peu trop stressé selon moi. Je vois pas de quoi tu parles dis-je en en faisant quelque pas chassés vers le canapé pour laisser tomber le chandelier et ensuite passer ma main droite dans mes cheveux pour la poser dans ma nuque finalement. Rien de plus ? Je te signal que t'es chez moi et si on est pas dans une partie de Cluedo on est dans la réalité et dans la réalité ça s'appelle une violation de domicile privé dis-je en tentant de garder un air grave, sérieux avant de voir le pain. Peut être que mon rêve va se réaliser. Mais je veux bien passer l'éponge , Teddy si tu partage le pain avec moi je passe pour un obsédé d'la baguette mais tant pis. Si tu veux te sécher y'a la salle de bain au fond à droite au fait moi c'est Gabriel mais tu peux m'appeler Gab Bah ouai, je suis pas un mec méchant.

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Spoiler:

Je dois bien avouer que c'est un des moments les plus étranges de ma vie. Me retrouver comme ça sur le bateau d'un inconnu je n’y attendais pas. Le jeune homme le semble sympa à sa place je m’aurai déjà jartée à coups de pied au cul. C’est vrai je suis en pleine violation de lieu privé. Mais sérieusement je ne pensais pas que le bateau était habité mais je sais que ce n’est pas vraiment une excuse. « Je suis désolé, je ne pensais pas qu’il est quelqu’un, enfin si, enfin non. » j’avoue qu’en ce moment je suis un peu mal à l’aise et que ma confiance en moi on a pris un coup. Mais gardant la tête haute je tente de garder le peu de dignité qui me reste en lui faisant un sourire. « En tout cas ton domicile privé est ravissante. » J’essaie de m’en sortir comme je peux et je pense que je galère un petit peu. Quand je le vois jeter son arme sur le canapé je sens qu’il est en train de craquer. Je rêve ou il me propose de partager la baguette de pain mais il est sérieux ? c’est quoi son soucis avec le pain « Tu peux la prendre si tu veux façon elle a prit la pluie elle ne doit pas être très bonne » peut être que son père était boulanger ou quelque chose comme ça , qu’il a traumatisme avec ça, en tout cas qu’il la prenne moi je m’enfiche tant qu’il appelle pas la police. Maintenant il me propose sa salle de bains je nage en plein délire y’a deux secondes il voulait me tuer et maintenant il m’autorise aller me sécher je ne comprends plus rien. « Merci c’est très gentil mais ça va , et puis je n’ai pas l’habitude d’aller dans la salle de bain des inconnus » dis-je en croisant les bras sauf que je c’est un combe pour quelqu’un qui vient de rentre chez lui par effraction « Enfin au point ou j’en suis » dis-je en me dirigeant vers la salle de bain « tu t’appelle ? » Ba oui il s’est pas présenté le monsieur

Spoiler:

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Elle me vole mon pain, elle entre par effraction sur mon bateau et pourtant je suis là, comme un con à la regarder. Elle est belle. Je sais pas si j'aurais le courage de la virer même si finalement, c'est le contraire qui sort d'entre mes lèvres au départ. Quelqu'un ou pas, t'entres toujours comme ça chez les gens ? j'arquais un sourcil en la regardant avec ce petit sourire au coin des lèvres, un petit sourire qui pouvait être énervant pour certain et charmant pour d'autre. C'est pas parce que je vis sur un bateau que j'ai pas forcément de goût dis-je en haussant une épaule, tout en laissant tomber le chandelier sur le canapé, discrètement, ou pas, j'avais bien vu son regard se porter dessus. Mon regard se portait sur la baguette de pain. PSYCHOPAIN. Je lui demandais s'il était possible qu'on la partage, c'était le moins qu'elle puisse faire pour se faire pardonner non ? Un coup au grille pain et ça va très bien, figure toi qu'à la boulangerie j'ai vu tout mes espoirs gastronomique s'envoler avec toi. Dieu ta puni pour le sale coup que tu m'as fait Bah oui, elle était partie comme une voleuse, j'avais autant de droit sur cette baguette qu'elle non ? Elle dégoulinait contre mon beau tapis, alors je lui proposer d'aller ce changer. Il serait inconcevable que quelqu'un soit dehors par ce temps là. Fort heureusement, le bateau était assez gros pur ne pas tanguer lorsque la mer était agitée. T'as peut être pas l'habitude mais ... t'es entrain de foutre en l'air mon tapis, je crois que ça fait beaucoup pour une journée non ? dis-je en riant avant de prendre la baguette de pain qui était légèrement mouillé. Je coupais un bout pour en mettre deux tranches au grille pain et préparer mon repas. Ah oui, moi c'est Gabriel dis-je en penchant la tête vers la salle de bain pour la regarder avec un petit sourire Y'a une serviette et des vêtements secs si tu veux .. c'est pas très féminin, mais j'ai rien d'autre à te proposer Le temps que le pain chauffe, j'allais prendre un tee-shirt sec pour moi aussi, j'étais trempé à cause de cette fichue pluie.

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Je suis quand même rassurée sur le fait qu’il n’a pas l’air si faché que ça. Peut être qu’il a l’habitude qu’on prenne son bateau pour un abris à SDF. Moi c’est autre chose une urgence capillaire je pouvais pas risquer de laisser mes cheveux prendre l’eau et devenir tout frisés « Non j’avoue que d’ordinaire je frappe à la porte ou je sonne ça dépend mais je pensais pas que dans un bateau c’était nécessaire » Oui le mec il vit sur un bateau donc il n’a pas de vie privé c’est comme ça j’ai décidé :sifle: je suis quand même surprise de voir un homme aussi propre sur lui aussi, osons le dire canon. « C’est vrai, c’est juste que je n’ai pas l’habitude de rencontrer des gens qui préfèrent vivre sur un bateau je trouve ça troublant » Je suis plutôt terre à terre comme fille j’ai du mal à imaginer qu’on puisse vivre dans un bateau toute l’année mais après chacun son délire et surtout c’est pas un petit bateau. « Je crois pas en Dieu désolé. » Avec mon ton le plus hautin. Qu’est-ce que je peux être désagréable quand je m’y mets. « N’empéche que le grille pain c’est pas excellent pour la santé » Je suis obligée de me la jouer miss je sais tout mais un grille pain c’est pas bon après quand la tartine elle est trop brulée c’est mauvais pour la santé. « L’ange Gabriel » Dis-je dans un sourire avant de m’éloigner dans la salle de bain fermant la porte. Y’a que des produits d’hommes shit je vais sentir l’axe tant pis. Je prends une serviette pour me sécher et je retire mes vêtements que j’étends pour qu’ils sèchent. La première chose que je trouve c’est une chemise heureusement que j’ai vu dans un film comment faire une robe avec une chemise. Je sors de la salle de bain et je viens me planter devant Gabriel « Je te rapporterai ta chemise lavée et repassée » Oui c’est quand même la moindre des choses non ?

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C'est une habitation comme les autres, faut pas avoir de préjugés dis-je en haussant les épaules, c'était encore une de ses précieuses qui pensait que c'était pour les ratés, surement comme mon père. Pourtant, c'est le pied. Tu pars quand tu veux, un matin si t'as envie de te réveiller en pleine mer, ou sur une île tu peux le faire, puis le soir, tu peux venir profiter de la nuit sur le ponton , pas de voisin chiant puis y'a tous le confort qu'on veut ici je lui montrais d'un geste de main l'intérieur de mon bateau avant d'aller dans la cuisine pour faire sécher la baguette dans le grille pain. Ah parce que t'es médecin toi ? elle commençait un peu à me courir sur le haricot. Puis tu fais ça tous le temps ? Faire des remarques , critiquer tout ce qui se trouve autour de toi ? fallait que ça sorte, elle n'arrêtait pas depuis tout à l'heure et c'était assez agaçant, faut être réaliste. Elle s'adoucissait cependant, du moins j'en avais l'impression lorsqu'elle entendait mon prénom. J'avais remarqué son petit sourire. Je la regardais disparaître dans la salle de bain, je la matais un peu j'avoue, mais après tout c'était une sorte de dommage et intérêt non ? Mes tranches de pains coupés, placés dans le grille pain, je préparais une petite salade, je sortais du fromage que je posais sur la table pour ensuite allumer la télévision. Histoire d'avoir un bruit sonore. C'est après quelques minutes pour ne pas dire vingt bonnes minutes que Teddy sortait de ma salle de bain avec une de mes chemises en robe. Laisses, je te l'offre, elle te va mieux qu'à moi Je la regardais un peu quand je me prenais un pain dans la tête. Bordel, c'est que j'avais oublié que c'était un super grille pain que j'avais. J'ai voulu le réparer la dernière fois, je crois que j'y suis allé un peu fort j'attrapais l'autre tranche en plein vole, autant que je puisse marquer des points après ce qu'il venait de se passer. T'es à Harvard toi aussi ?

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La description qu’il me fait de sa vie sur le bateau me paraît tellement enviable. Il a l’air d’être libre seulement il n’a pas l’air d’avoir d’attache pour être aussi libre. « C’est vrai que vu comme ça, c’est sympa de vivre sur un bateau tu dois te sentir libre pour ça je t’envie » Moi libre je ne le suis pas trop je ne l’ai jamais été. Ou si quand j’étais à New York avec Alex mais ça c’est une autre histoire. L’amour m’a fait me sentir libre. Gabriel vient de me remettre en place quelque chose de mignon. C’est vrai j’ai toujours un avis sur tout et je critique souvent je reconnais du coup là il ma cloué le bec « Hum disons que oui ça fait mon charme non ? » Lui dis-je avec un petit sourire avant de me changer. La robe chemise est un peu courte heureuse que je suis bien épilée sinon bonjour la honte. Je me tortille un peu car je suis pas très à l’aise quand même « Je peux pas accepter c’est une belle chemise en plus » De la marque et tout monsieur a de bon gôut . Après l’épisode du grille pain je suis obligée de rigoler « J’aimerai pas être à ta place le matin » Dis-je avant de m’asseoir sur le canapé à côté de lui oui je fais comme chez moi en plus sur la table y’a ma salade « Oui je viens d’arrivé d’ailleurs j’étais à Sidney avant mais je fais mon année à Harvard et toi ? » Je connais pas encore grand monde mais fallait que je tombe sur quelqu’un de Harvard c’est fou ça ?

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En même temps ça n'appartient qu'à toi de changer de mode de vie, après je suis pas certain de t'accueillir tous les jours non plus dis-je avec un petit sourire, c'est vrai, elle était bien jolie mais assez désagréable, un peu trop critique sur les bords, à mon goût. Je dirais qu'il y a d'autre choses qui font ton charme, ça, ça rentre pas dans mes critères dis-je en haussant une épaule. Autant la jouer franc jeu. Elle partait dans la salle de bain, revenait rapidement après avoir pris sa douche et avoir transformer l'une de mes chemise en robe. J'en ai tout un tas dans ce genre, puis ça te rappellera qui je suis Bah oui, j'étais pas certain qu'on allait se revoir, enfin je dis pas que j'en avais envi .. je dis pas que j'en ai pas envi non plus ... Damn, je suis en train de m'auto embrouiller. C'est à ce moment là que le pain me sauter à la figure. Je riais aux paroles de la belle brune en soupirant Je crois que ce pain était définitivement pas fait pour moi je l'attrapais quand même, un peu comme une victoire sur lui puis nous terminions sur le canapé. Donc tu connais pas grand monde tu devrais peut être apprendre à te sociabiliser un peu dans ce cas je lui ébouriffer les cheveux, à croire que je la connaissais depuis pas mal de temps Ca fait pas mal d'année que je suis là puis après avoir terminé mes études, je vais surement reprendre l'entreprise de mon père c'était pas le grand enthousiasme dans ma voix, pour cause, ce n'était pas ce que je voulais faire.

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