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Les choses étaient dites, voilà. J'avais finalement réussi à faire part de ce que je pensais à Briony, j'me sentais plus vulnérable que jamais mais on verrait bien c'que ça donnerait... Le pire dans tout ça, c'était probablement ce sentiment de résignation. J'avais finalement tellement peur de la perdre encore, d'être déçu, de finir encore cocu que j'n'osais même pas espérer que les choses s'arrangeraient vraiment. Peut-être que ça viendrait. J'voulais pas quitter Briony parce que j'flippais ou parce que je peinais à y croire... tous les couples traversent ce genre de périodes de doutes et je préférais laisser la possibilité à Briony de me prouver que j'avais tort. Finalement on avait toujours dit que la fidélité était notre gros point noir et qu'on était tous les deux très infidèles... mais j'n'avais, tout au plus, qu'embrassé Apple, quand Briony avait eu Wade et avait couché avec Hendrix, sans parler de sa grossesse. Finalement, j'me sentais davantage capable de lui être fidèle qu'elle ne pouvait l'être avec moi, et c'était affreux ce sentiment de ne pas pouvoir la combler entièrement. De ne pas pouvoir la rendre heureuse vraiment finalement, parce qu'elle aurait toujours besoin de quelqu'un d'autre, besoin d'un deuxième homme, elle n'aimait juste pas la stabilité et quand on trouvait notre équilibre fallait forcément que ça finisse par péter. En allant voir ailleurs fallait forcément qu'elle tombe amoureuse, que ça ait été de moi, ou maintenant, de Wade. J'comprenais tellement mieux Hendrix et Apple désormais, je savais pas quelle position tenir. Je finis par me rapprocher d'elle et à la suite de ses paroles, je l'entourai de mes bras et la serrai doucement contre moi. Cette étreinte avait pas lieu d'être. Au vu de la situation, je savais que j'aurais mieux fait de lui dire de partir le temps qu'on puisse tous les deux se remettre de mes émotions. Mais qui sait ? J'allais bientôt repartir, déjà. J'savais pas combien d'étreintes il nous restait. J'savais pas si on allait réussir à s'revoir avant mon départ, et encore moins si à mon retour, on serait encore ensemble. Alors j'la serrais contre moi en silence et j'profitais comme si c'était la dernière fois que j'pouvais le faire.
Les choses étaient dites, voilà. J'avais finalement réussi à faire part de ce que je pensais à Briony, j'me sentais plus vulnérable que jamais mais on verrait bien c'que ça donnerait... Le pire dans tout ça, c'était probablement ce sentiment de résignation. J'avais finalement tellement peur de la perdre encore, d'être déçu, de finir encore cocu que j'n'osais même pas espérer que les choses s'arrangeraient vraiment. Peut-être que ça viendrait. J'voulais pas quitter Briony parce que j'flippais ou parce que je peinais à y croire... tous les couples traversent ce genre de périodes de doutes et je préférais laisser la possibilité à Briony de me prouver que j'avais tort. Finalement on avait toujours dit que la fidélité était notre gros point noir et qu'on était tous les deux très infidèles... mais j'n'avais, tout au plus, qu'embrassé Apple, quand Briony avait eu Wade et avait couché avec Hendrix, sans parler de sa grossesse. Finalement, j'me sentais davantage capable de lui être fidèle qu'elle ne pouvait l'être avec moi, et c'était affreux ce sentiment de ne pas pouvoir la combler entièrement. De ne pas pouvoir la rendre heureuse vraiment finalement, parce qu'elle aurait toujours besoin de quelqu'un d'autre, besoin d'un deuxième homme, elle n'aimait juste pas la stabilité et quand on trouvait notre équilibre fallait forcément que ça finisse par péter. En allant voir ailleurs fallait forcément qu'elle tombe amoureuse, que ça ait été de moi, ou maintenant, de Wade. J'comprenais tellement mieux Hendrix et Apple désormais, je savais pas quelle position tenir. Je finis par me rapprocher d'elle et à la suite de ses paroles, je l'entourai de mes bras et la serrai doucement contre moi. Cette étreinte avait pas lieu d'être. Au vu de la situation, je savais que j'aurais mieux fait de lui dire de partir le temps qu'on puisse tous les deux se remettre de mes émotions. Mais qui sait ? J'allais bientôt repartir, déjà. J'savais pas combien d'étreintes il nous restait. J'savais pas si on allait réussir à s'revoir avant mon départ, et encore moins si à mon retour, on serait encore ensemble. Alors j'la serrais contre moi en silence et j'profitais comme si c'était la dernière fois que j'pouvais le faire.
Les choses étaient dites, voilà. J'avais finalement réussi à faire part de ce que je pensais à Briony, j'me sentais plus vulnérable que jamais mais on verrait bien c'que ça donnerait... Le pire dans tout ça, c'était probablement ce sentiment de résignation. J'avais finalement tellement peur de la perdre encore, d'être déçu, de finir encore cocu que j'n'osais même pas espérer que les choses s'arrangeraient vraiment. Peut-être que ça viendrait. J'voulais pas quitter Briony parce que j'flippais ou parce que je peinais à y croire... tous les couples traversent ce genre de périodes de doutes et je préférais laisser la possibilité à Briony de me prouver que j'avais tort. Finalement on avait toujours dit que la fidélité était notre gros point noir et qu'on était tous les deux très infidèles... mais j'n'avais, tout au plus, qu'embrassé Apple, quand Briony avait eu Wade et avait couché avec Hendrix, sans parler de sa grossesse. Finalement, j'me sentais davantage capable de lui être fidèle qu'elle ne pouvait l'être avec moi, et c'était affreux ce sentiment de ne pas pouvoir la combler entièrement. De ne pas pouvoir la rendre heureuse vraiment finalement, parce qu'elle aurait toujours besoin de quelqu'un d'autre, besoin d'un deuxième homme, elle n'aimait juste pas la stabilité et quand on trouvait notre équilibre fallait forcément que ça finisse par péter. En allant voir ailleurs fallait forcément qu'elle tombe amoureuse, que ça ait été de moi, ou maintenant, de Wade. J'comprenais tellement mieux Hendrix et Apple désormais, je savais pas quelle position tenir. Je finis par me rapprocher d'elle et à la suite de ses paroles, je l'entourai de mes bras et la serrai doucement contre moi. Cette étreinte avait pas lieu d'être. Au vu de la situation, je savais que j'aurais mieux fait de lui dire de partir le temps qu'on puisse tous les deux se remettre de mes émotions. Mais qui sait ? J'allais bientôt repartir, déjà. J'savais pas combien d'étreintes il nous restait. J'savais pas si on allait réussir à s'revoir avant mon départ, et encore moins si à mon retour, on serait encore ensemble. Alors j'la serrais contre moi en silence et j'profitais comme si c'était la dernière fois que j'pouvais le faire.