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JORPHÈNE ☆ don't go out at night

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don't go out at night
Le summer camp était bientôt terminé, j'avais profité de ses vacances comme il se le devait, c'était fun et sans problème, de toute manière je détestais les problèmes, et puis, y'avait Jorden. Beau, canon et différent. J'avais trouvé un nouveau Jorden, aussi amusant que l'autre mais plus tendre, plus fragile, enfin j'aimais plus son côté viril et possessif, mais j'avais plus confiance en lui maintenant qu'auparavant, lorsqu'il couchait à droite et à gauche. J'avais l'impression qu'il avait évolué d'une certaine manière, qu'il pouvait être fidèle avec moi... Je pensais souvent à notre rencontre, à comment c'était pas le genre de rencontrer qu'on mettrait dans un film. Il s'était comporté... Comme l'ancien Jorden, en toute ça splendeur. Gros fêtard, gros dragueur, embrassant tout se qui lui passait par la bouche, sans m'épargner, déshabillant des filles contre leur gré dans la piscine d'une Eliot. Ce souvenir me fait sourire, s'était une soirée plutôt cool en soit, amusante et à notre image. On était jeune, et complètement délurée. J'avais passé une journée plutôt tranquille, détendue, mais à la fin j'étais quand même un peu lessivée, j'avais juste envie de retourner dans ma chambre, m'étendre sur mon lit et ne penser à rien. Je marchais en dans une petite ruelle sombre comme si de rien n'était, échangeant des messages avec monsieur Klein, lorsque je tombais sur un type, immobile devant moi, comme ça. Je pouvais entendre mon coeur battre plus vite, alors que je le saluais, avant d'essayer de le contourner, mais il ne m'en laissa pas l'occasion. Je comprenais pas tout de suite, je suis pas lente à la détente comme fille, mais la situation m'avait comme handicapé. J'étais immobile.
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Ce n’est trop pas normal tout ça. Je suis avec Typhène depuis.. Un mois ? Presque et je n’ai toujours pas eu de pulsions de tromperie envers une blonde au cul serré qui passe par là. Imagine je suis fidèle genre pour de vrai ? En même temps quoi ? Il suffit d’une fête d’anniversaire d’un type que je connais pas pour tout faire flancher. J’ai fini a poil dans un piscine à rouler des pelles à tout le monde et à me battre avec un gay et deux nanas divinement bonne. Surtout que l’une d’entre elle bah c’était Typhène.. Un peu étrange comme rencontre non ? «  Comment t’as rencontré Typhène sinon ? Ho bah dans une piscine après l’avoir déshabillé et noyé « Sympathique ! En même temps je suis Jorden on peut pas espérer mieux non ? Ce soir j’suis content elle m’a invitée à la rejoindre dans sa chambre d’hôtel, je sens déjà la bonne soirée qui se prépare. J’suis un peu à la bourre enfaîte. Mais j’me speed pas, j’aime me faire désirer.
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Je vais détesté la Jamaique. Je l'adorais y'as deux secondes, mais si il arrivait à ses fins, je détesterais la Jamaique. Il ne m'aura pas seulement volé, et salit, il m'aurait carrément bousillé mes vacances. C'est tout ceux à quoi je pensais, alors que le mec que j'avais essayé (vainement) de contourner venait de m'arracher mon sac, alors que je criais au secours comme une idiote. J'ai pas senti sa main venir sur mon visage. Une belle claque. On frappait les filles en Jamaique ? J'en sais rien, sûrement, si ça se trouve, c'était un truc qui revenait à la mode. Après les vêtements vintage c'est les mecs à la chris brown. Je détestais ça, se sentiment d'impuissance. C'est comme si je n'avais pas le contrôle de mon corps, je ne bougeais plus, j'étais immobilisé. Je n'arrivais même pas à l'écouté parlé, j'étais encore sonné. Il criait je crois, me soulevais d'une main et me collait contre un mur, la main sur ma gorge. Je me demande se qu'il écriront sur ma tombe, ou même dans les journaux. Jeune américaine tué pendant son summer camp. J'espère qu'il prendront la photo que j'ai faites pour le livre de classe, elle est chouette. Mes pensées étaient parties super loin, alors que le jeune homme avait déjà vidé mon porte monnaie et s'apprêtais à partir, je voyais son regard s'immobiliser sur mes jambes. Quelle idée de mettre un short. Il m'attrapais les cuisses, avec ses doigts tout sale, en plus il puait de la bouche. J'avais beau me débattre, ses gros bras avec toujours le dessus et il attraper un de mes seins. C'était pas open bar, oh. Il me chuchotait à l'oreille "laisse toi faire, ça va aller tout seul" et moi j'avais envie de hurler, et je hurlais, jusqu'à se qu'il recouvre ma bouche de ses gros doigts, répétant les même paroles.
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Les yeux rivés sur mon téléphone je pourrais foncer contre un poteau que je ne le verrais même pas, mais peu importe les sms de ma meuf son magique à lire.  J’suis sur le chemin de l’hôtel tranquille pénard. Il fait presque totalement sombre à peine éclairer par quelques lampes de fortune parce que ici ils ne sont pas assez riches pour s’acheter des lampadaires potables. La lune fait guise d’ampoule à basse consommation elle aussi, on n’y voit pas grand-chose, assez pour avancer quoi. A mon grand malheur les sms c’est stoppé, elle a surement dû arriver à l’hôtel et elle prend sa douche en prévisions de notre petite soirée qui s’annonce très prochainement. J’ai rangé mon téléphone dans ma proche le sourire aux lèvres quand j’ai entendu gueuler. Merde c’était quoi ? Par réflexe de tapette j’ai regardé derrière moi et j’ai abrité ma tête comme si une apocalypse allait me tomber dessus comme ça ! Et puis d’un coup le gros silence.. Moi j’ai surtout envie de me barrer en courant mais mes testostérones me pousse à continuer. J’me suis alors avancé tel un lion qui traque un proie en toute discrétion pour m’avancer vers le coin de rue. J’ai passé ma tête pour regarder sur le côté. Mon visage c’est décomposé. J’te vois par là un mec qui collé serré avec une meuf contre un mur.. Merde c’est.. un viole ? J’dois faire quoi appeler les flics ? J’ai attendu quelques secondes puis la jeune femme tournée la tête en m’a direction. Oh my fucking god, l’a y’a toute ma testostérone et aussi un peu de colère qui est venue se loger dans mes petits-gros- muscles de sportif.  J’suis arrivé sans être le gros bourrin par derrière le mec qui ne m’a même pas capté, trop occupé à ploter ma meuf comme un sauvage.  Elle est bonne ca va ? Le type s’est retourné mais avant même qu’il est capté ce qui lui arrive il s’est retrouvé assommé d’un coup de poing dans la mâchoire. Fils de pute ! Ce connard a essayé de riposter tant bien que mal, mais il s’en ai repris une. Je l’ai pris par le colle de son t-shirt miteux pour le plaquer contre le mur violement, genre hard core ouais ouais. Tu vas retourner tâter les couilles de t’as mère enculé. Je l’ai pas lâché genre limite j’me reconnais pas à frapper comme ça. Ca faisait longtemps ! Limite ca fait du bien de revenir aux sources ! J’suis tellement occupé à lui regler son compte avec sourire que j’en ai même zappé Typhène à côté.
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J'avais pas envie de pleurer. Je n'avais pas envie de lui donner cette satisfaction, j'avais envie d'être forte, de me débattre, de m'en sortir. Mais j'étais faible, je n'avais pas de force dans les bras, et me débattre était quasiment inutile. Ca ne rendait que la chose plus difficile pour moi, mais je n'arrêterais pas. J'aimerais pouvoir dire que je me suis battu.Je ne pouvais plus crier, tout se qui sortait de ma bouche était étouffé par la main de mon agresseur. J'étais dans l'espoir que quelqu'un allait arrivé, me sortir de là, mais il faisait nuit, j'étais dans une ruelle sombre et plus les secondes passaient et plus je une dure réalité s'implantait dans ma tête. Je n'allais peut-être pas être sauvé. J'étais seule. Elle est bonne ca va ? Il avait détourné son attention de moi, je e pouvais qu'en être soulagé. J'étais la femme la plus chanceuse du monde à cette instant, j'étais soulagé d'une manière indescriptible. Je n'avais qu'un me débattre un peu et il me lâchais, et je pourrais m'enfuir. Mais j'ai reconnu le mec, le type qui venait de me sauver d'années de séance chez le psy, et ma vie par la même occasion, c'était mon petit ami, mon Jorden. Fils de pute ! Le type me lâchait après que Jorden lui est mis un poids. Ma main arrangeait mes vêtements. Je remarquait que mon haut était à moitié déchiré, alors que mon short allait plutôt bien. Je n'arrêterait jamais de mettre des jeans. Tu vas retourner tâter les couilles de t’as mère enculé. Je n'avais jamais vu Jorden dans une colère pareil, je n'étais pas sûr que ça soit une bonne chose qu'il continue de le frapper, bien qu'il mériterait bien de mourir se type. Je n'avais pas envie qu'il tue quelqu'un. LÂCHE LE ! Je pleurais, les larmes coulaient comme dans une fontaine, comme si j'étais taylor swift et qu'on venait de me quitter, j'étais totalement déboussolé. Je voulais juste partir. Ramène moi s'il te plaît Jorden je veux rentrer, je veux plus le voir... S'il te plait.
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Franchement pour me mettre en colère comme ça il m’en faut pas mal. Je suis pas du genre à taper comme ça, j’suis pas un bagarreur ou du moins je créer les embrouilles puis je me casse à quatre pattes juste après pour les regarder de loin, histoire de pouvoir partir si ils reviennent vers moi. Enfaîte je ne me suis jamais vu comme ça de toute ma vie, jamais je me serais vu presque tabasser, ce doit être le mot juste, un mec de la sorte et en tirer limite du plaisir de le faire souffrir. Ca devait être tuer les mecs comme ça ! Je n’ai jamais pu supporter toute violence envers une femme. C’est tellement dégelasse de s’attaquer à plus faible que sois, j’aurais bien aimé que Typhène soit championne de body building et qu’elle le foute à terre comme un vrai tank. Mes avants bras plaqué contre ce mec aux allures de beauf dégelasse, toujours en position de force. Je suis revenu à la raisons grâce à Typhène en larmes à côté me gueulant de le lâcher, c’est peut être mieux oui, parce que je crois que j’l’aurai buté. J’ai desserré mes poings puis avant de le laisser partir j’ai levé mon genou pour tâter de ses mignonnes bollobals de batard qu’il est. Evite de sortir t’as bite sur la meuf d’un Klein la prochaine fois connard. J’lai limité jeté sur le côté avec un mouvement de bras dans le vide. Casse toi aller ! Ce con est partit en tenant ses bijoux de familles qui ont très peu de valeurs désormais. J’ai pris de suite après Typhène dans mes bras essayant de me calmer moi même. Oui.. On rentre.. J’ai commencé à avancer dans la bonne destination de l’hôtel en la tenant par les épaules. Tu veux mon t-shirt ? histoire qu’elle se trimballe pas en plus à poil dans les rues..
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Je ne l'avais jamais vu comme ça, je ne savia spas si je devais en avoir peur ou au contraire, l'aimer encore plus. C'est juste étrange pour moi, rien n'était normal dans cette situation d'ailleurs. J'étais encore plus soulagé lorsque mon agresseurs partit. J'avais envie d'appeler la police, mais je n'en avais pas le courage- J'avais envie d'oublier ça, juste oublier cette histoire. Je me blottissais contre mon sauveur et versais quelques larmes. J'étais bouleversé, c'était sûr. Complètement déboussolée, fragile et faible. Merci, vraiment merci... Merci pour tout. Je sanglotais, et j'étais plus qu'heureuse de l'avoir avec moi là, tout de suite. J'hoche la tête à sa question, regardant l'état de mon haut une nouvelle fois. J'avais nvie de me couvrir, mettre une burka même, m'en fou de la chaleur, j'avais envie de me cacher dans un petit trou pour les petite souris et de ne jamais en sortir. Jorden et moi on se dépêchait de rentrer, il le fallait mieux de toute façon. Je n'ai pas sortie un mot de la route, je n'avais pas envie d'ouvrir la bouche, j'étais encore sous le choc. Je vais dans la salle de bain. Dis-je sans un regard pour lui, j'étais un peu coincé sur ce coup, tendu et gênée, mais qui ne l'aurait pas été ? Je me regarde dans le miroir, admirant les dégats. J'avais les yeux rouges et gonflés. Je n'aimais pas me voir comme ça, pas du tout même. Mon cou avait un peu rougis là où l'homme m'avait agrippé, et je repère même des griffures. J'aurais voulu le griffé, mais je me ronge les ongles. Ils sont bons en période de stress. Bref. Je sors de la salle de bain, regardant Jorden. J'ordonnais à ma bouche de lui faire un sourire, même minime, mais j'étais comme bloqué. Je n'arrivais rien à exprimer, j'étais muette, et totalemet inexpressive pendant peut-être 5 minutes avant de me remettre à pleurer. Ca n'aurait jamais dû arrivé... Tout ça, jamais ça n'aurait dû arrivé. J'ai rien fais, j'ai rien demandé. Je rentrais seulement et il m'a, il m'a attrapé. Je tombais sur le sol, totalement découragé, à bout de nerfs, à bout de forces... J'aurais du mal à m'en remettre. On ne s'en remets pas.
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Nooon.. Mais non ! Ce devait être une bonne soirée avant que je porte pour la France en fin du summer camp. Une bonne petite soirée à l’hôtel avec ma copine. Il a fallu que ce clodo gâche tout en essayant de combler son manque d’humanité ou plutôt son manque de meuf bonne dans sa vie de merde. En plus il m’a fait m’énerver ce connard, j’ai du utilisé ma main pour toucher ce mec dégelasse dans tout les sens du terme. J’ai pris Typhène dans mes bras parce que je crois que su le coup c’est tout ce qu’elle a besoin.. et d’un t-shirt. J’ai enlevé le mien pour me retrouver torse poil, mais bon moi j’menfou de me trimballer les tétons à l’air libre. Je lui ai enfilé puis nous somme partit en direction de l’hôtel, sans un mot.. Sans rien. Enfin ce n’est pas plus mal, parce que je ne sais même pas quoi dire moi même. On est arrivé dans l’hôtel, puis dans notre chambre, elle est allée dans la salle de bain tandis que moi je me suis assis sur le bord du lit en essayant d’analyser la situation. Elle est revenu en me regardant, sans rien dire, sans rien faire.. pendant quelques minutes c’est le moment le plus chiant que j’ai vécu d’un moment. T’sais je suis là, je sais pas quoi faire, comment faire parce que là elle est mal, du coup moi aussi alors je suis perdu ! Elle s’est effondré et sur le sol et moi par un réflexe d’instinct profond d’mon cul je me suis précipité vers elle, on sait pas si.. elle s’évanouit t’sais et puis j’bam elle se cogne la tête et moi je suis responsable de sa mort ! Je me suis assis à côté d’elle en passant mon bras autour d’elle. Ca aurait pu être toi comme une autre.. C’était juste le mauvais endroit au mauvais moment.. Tu veux que j’appelle les flics ? Ils vont le retrouver très vite avec tous les détails que j’vais donner de sa gueule de chien !
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Je ne me suis jamais vu comme une victime, il m'est arrivé des tas de choses dans ma vie, des trucs pas forcément super jolie mais j'ai toujours été forte, je n'ai pas souvent pleurée même étant petite. C'était peut-être la goutte d'eau, la chose que je n'avais pas put gérer, l’événement qui me faisait réalisé que je n'étais pas aussi forte que je le croyais. Je ne savais pas comment prendre mes larmes. C'était de la faiblesse ? Ou je ne craquerais seulement qu'un instant ? Non, ça ne sers à rien. La police ne va rien faire, le gars vas faire profil bas et l'affaire vas se tasser. Y'as pas eu viol, tout le monde s'en fou. Je pensais avoir raison, j'y croyais vraiment et je n'en était même pas déçu, ou dégoutté. Je ne me voilais pas la face. Je suis contente que tu sois venu. On sait tout les deux se qui m'attendait si tu n'aurais pas été là. Je dépose ma main sur la sienne, j'avais besoin de ça. Juste d'être là près de lui, sans rien d'autre. Je l'aurais tué tu sais. Sans ton intervention, je l'aurais retrouvé et je l'aurais tué. J'en suis sûr.
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Je me suis assis à côté d’elle pour essayer de la rassurée, parce que je suppose que ce doit être Bagdad dans sa tête là. Ouais je n’ose pas imaginer comment elle serait retrouvée si je n’étais pas venu, ou si je n’étais pas derrière elle sur la trajet ! Je n’aurais pas retrouvé la même Typhène, pire que là, un truc déguelasse. Puis même imaginer que je passe après un clochard dans l’intérieur de Typhène ca me dégoute ! Propriété privée merde, j’ne vais pas acheter des chiens de gardes non plus ? Non.. Je vais lui acheter un chien, un doberman ou un truc du genre, il va la suivre partout c’est mort ! J’te rappelle que j’suis fils d’un gouverneur qui a de très bonnes connaissance, alors l’affaire sera jamais tassée.. Elle passe même en avant ! Bahouais mon père me doit beaucoup de service après ce qu’il m’a fait. Autant en profiter ! Elle à déposée sa main sur la mienne, j’ai levé les yeux vers elle avec un p’tit sourire cette fois en rien sadique ou macho ou je ne sais quoi. Juste un sourire à ma Typhène, le plus banale qui soit. Sauf que je suis passé par là, alors c’est mon affaire. Qu’elle veuille ou non enfaîte dès qu’elle est plus là j’appelle mon père puis zoup, ce gars est mort. La rancune tenace quoi ! Je me suis levé puis penché pour la porter à bout de bras. Je l’ai déposée genre une princesse sur le lit. Tu veux un truc à boire ou manger… ou rien peut être ?
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