Il me demandais si j’étais un Lowell. « A la rentré, je rentre en Lowell, j’ai été Cabot pendant 2 ans. Toi t’es chez qui ? » Il devait probablement rentré chez les Lowell , vu qu’il semblait aimé le coté artistique. Quoi que j’ai bien été Cabot pendant 2 ans alors que je suis une artiste dans l’âme. Je rêve de devenir une artiste reconnu un jour, mais je sais aussi que je me voit aussi très bien comme professeur, j’adore transmettre ma passion, ouvrir l’esprit. Faire tomber les barrières que les gens s’impose. Le dessin m’a sauver quand j’était petite. Je parle peut être peu de moi mais mes dessins en son imprégner, ils m’ont permis de pouvoir me libérer.
Ainsi, tu rencontrais une autre future bizut Lowell, chose plutôt intéressante. Tu savais que tu n'allais pas être le seul dans cette situation, cela t'aurait étonné, mais c'était plutôt chouette d'avoir la confirmation qu'il n'y avait pas que des premières années en bizuts. Certes, elle semblait même plus jeune que toi au nombre des années... mais tu ne seras pas le premier à entrer dans une confrérie en cours de scolarité. Après, elle avait tout de même intégré les Cabots avant, pendant deux ans, et cela te surprenait : elle n'avait pas vraiment l'air de leur ressembler, mine de rien. Tu entres donc en troisième année ? Et c'est vrai que, vu comme ça... Tu ne fais pas très Cabot. Après, tu n'avais peut-être pas une bonne vision de cette confrérie, mais des gens très bien pouvaient sûrement s'y trouver, mine de rien. Une confrérie entière ne pouvait contenir uniquement des filles superficielles après tout. Je vais être aussi chez les Lowells à la rentrée, après 6 années sans confrérie.
Le jeune homme me demandait si je rentré en 3 IIème année . Pas vraiment je rentrais aussi en 6 ieme année, mais bon j’avait fait 2 ans sans confrérie et un an a Londres en plus. Il me voyait pas chez les Cabot, a sa c’en est encore un qui pensait que les Cabot n’était que des filles superficielle. « Non, j’ai passé 2 ans sans confrérie, et l’an dernier j’étais a Londres, alors oui je rentre aussi en 6 ième année. Ah les Cabot, beaucoup pense qu’on est que des filles superficiel, mais c’est loin d’être le cas, on est très soudé et fidèle les unes au autres. C’est cette ambiance qui me plaisait, après maintenant je me concentre plus sur mon dessin et mes études. » Mensonge, c’était pas pour cela que je changeait de confrérie mais pour être tranquille parce que je ne voulait pas me faire harceler de question sur mon changement de comportement, et afficher un sourire tout les jours , un sourire faux. Je savais que les Lowell était pas une confrérie aussi soudé les un au autres, j’aurait plus de solitude.
Tu ne la pensais pas de ton âge à vrai dire, ses traits fins étaient relativement trompeurs. Après tout, si tu suivais bien ce qu'elle t'avait dit, elle n'avait qu'un an de moins que toi. Tu as été à l'université de Londres ? Tu as aimé ? C'était toujours bizarre, de croiser des gens que tu connaissais de ton ancienne vie, ou qui avait fréquenté la même ville que toi. Après tout, si rien ne s'était produit, tu aurais pu être dans cette université, mine de rien... c'était normal de se renseigner, non ? Et la voilà en tout cas maintenant en train de faire l'éloge des Cabots, voyez-vous ça. Bien sûr qu'elles pouvaient être soudées et fidèles entre elles, entre filles partageant les mêmes valeurs : cela te semblait même naturel. Autant dire que ce n'était pas si peu qui allait te faire changer d'avis sur la question. La raison était étrange cela dit : quitter une ambiance qu'elle adorait pour ses études artistiques ? Bien sûr que les Lowell étaient les meilleurs dans ce domaine... mais si elle aimait l'ambiance de sa fraternité, cela ne devait pas l'empêcher d'y rester, non ? En gros, tu pars pour tes études... alors que les Cabots sont solidaires entre elles et pourraient accepter cela ? C'est étrange.
Devyn était un petit curieux il était temps de reprendre les bonne vieille habitude, il fallait que j’elude ses questions, d’habitude c’était sur mon enfance mais la c’était sur mon année a Londres et mon envie de changé de confrérie. « Oui, c’était bien mais ma vie est ici sa me manquait » Je n’allais pas lui dire que je n’arrivais pas a gérer la perte de ma mère, et de devoir passé la ou je l’avais rencontré tout le temps la revoir au même endroit. C’était trop sure pour moi et j’étais rentré pour retrouvé mon frère. Il était reparti sur mon choix de changer de confrérie. « J’ai besoin du calme de la Lowell house et de côtoyer des artistes, de baigner vraiment la dedans, pour pouvoir vraiment évoluer et bon la sixième année sera encore plus compliqué. J’ai besoin d’être a fond » J’espérais bien que cette explication lui conviendrais.
Il était sûr que la vie londonienne et cambridgienne avaient pas mal de différence, et tu n'étais pas totalement sûr de savoir quoi répondre si on te demandait de choisir entre les deux. En fait, si, tu dirais que tu resterais ici, mais cela ne serait dû qu'à ton passif : si on jugeait la vie elle-même, tu les mettais à égalité. Chacun avait ses avantages, son charmes, mais aussi ses inconvénients. Actuellement, tu ne prévoyais absolument pas de retourner vivre à Londres un jour, no way, mais on ne pouvait jamais prévoir le futur, n'est-ce pas ? C'est vrai que la différence est assez grande entre les deux villes. En tout cas, sa raison d'entrer dans une nouvelle confrérie était plutôt bonne au final, c'était l'une de celles qui t'avaient également fait y entrer, en plus du fait que tu allais pouvoir y rejoindre ton petit-ami bien sûr. C'est sûr que pour être à fond dans l'artistique... On ne peut pas faire mieux ! J'y passais pas mal de temps cette année déjà, il y a tout le temps de quoi observer dans ce domaine, des expositions, tout ça... On va s'y plaire. Toi, tu en étais en tout cas déjà convaincu, c'était de toute façon la seule confrérie qui te conviendra. Si cela ne passait pas au final... Tu resterais simple étudiant, et ce ne serait pas si grave après tout. Tu avais tenu 6 ans de la sorte, tu tiendrai jusqu'à la fin de ta scolarité au pire.
J’avais fait une bref allusion a mon année passé a Londres et j’espérais vraiment qui ne s’attarderais pas dessus. Heureusement ce fut le cas, je n’étais pas prête a en parlé et encore moins a un inconnu. Il parlait du côté artistique des Lowells. Je pensais aussi a une chose qui disais changement de confrérie disais bizutage a la rentré, j’étais pas une folle de ses pratiques loin de la mais je tenais a passé Lowell alors je m’y pliait. « Oui c’est sur, je pensais au bizutage qu’on vas subir. Tu penses qui vont nous faire faire quoi ? » Après j’étais prête a faire presque tout, sauf me mettre en porte a faux avec la lotie, et tout se qui serais complètement immoral.
Apparemment, le chapitre "Londres " était terminé et expulsé en-dehors de la conversation. Bien, le message était passé au moins, elle ne semblait pas avoir plus que cela envie d'en parler, même si c'était dommage en quelque sorte. Même si tu n'aimais pas parlé de ton passé en lui-même, la ville en elle-même te manquait parfois, alors en avoir des nouvelles fraîches aurait pu être agréable... mais soit. Chaque personne avait ces zones d'ombre, et tu n'étais pas du genre à chercher à les découvrir. En tout cas, elle semblait plus avoir envie de parler des Lowells, ce qui t'intéressait fortement aussi. Apparemment, il était commun de s'inquiéter du bizutage, vu qu'elle aussi se demandait à quelle sauce nous allions être mangés. Toi aussi, tu flippais un peu quand même, malgré le fait que William avait tâché de te rassurer à ce sujet. Tu n'étais pas habitué à ce genre de choses, et tu craignais franchement être ridicule... mais c'était la tradition et tu devais t'y plier. Après tout, deux mois, cela passait vite, non ? A ce qu'on m'a dit... C'est assez soft et tourner vers l'artistique. On m'a parlé d'un bizutage où la personne devait composer un hymne pour la confrérie par exemple. Rien d'humiliant apparemment. Au pire, on ne sera pas seuls.
J’avais détourné la conversation sur le bizutage que nous allions subir a la rentré. Il avait heureusement suivie je n’avais pas le cœur de passé de l’année précédente. Le bizutage m’intriguait un peu, je n’étais pas prête af faire n’importe quoi non plus. Devyn me rassurait en me disant que c’était soft et très tourné vers l’art, que de toute façon on ne serait pas seul. Cela me rassurait un peut tant que sa restait dans l’art sa devrait être a possible. « Oui tu as raison, tant que ça reste dans le domaine de l’art on devrait s’en sortir. Une chose est sur on sera tous les deux, pas forcement bizuté par la même personne mais ravie de connaitre quelqu’un qui subira le même sort que moi »
Oui, si c'était sur l'Art, le bizutage risquait d'être un peu mieux que prévu, certes... Mais c'était tout de même un domaine très vaste. Et si tu tombais sur quelque chose à chanter par exemple ? Tu avais une voix de casserole, et certaines personnes de ta connaissance seraient sans doute ravies de te filmer en pleine action rien que pour te la ressortir en temps utile. Il y avait d'autres domaines artistiques où tu n'étais pas très doué, mais cela sera sans nul doute moins humiliant que ce que tu pensais initialement, en effet. Si le bizuteur est sympa, cela se passera bien, en effet. Tu ne connaissais pas non plus une multitude de Lowells... mais tu te disais que si tu tombais sur quelqu'un comme Cody, tu étais franchement pas sorti de l'auberge. Il n'était pas méchant, loin de là, juste un peu excentrique et mettant très facilement les gens dans l'embarras. Si tu l'avais en bizuteur, tu étais presque sûr d'avoir un bon nombre de casseroles à te traîner, ce qui n'était pas pour te réjouir. Mais effectivement, bienvenue dans cette galère de la rentrée... Ton bizutage chez les Cabots s'était bien passé, toi ?