stuck in a moment you can't get out of ↛ marley

Il faut croire que Marley la prostituey lui avait laissé un bon souvenir. Un très bon souvenir impérissable, ah la la, presque Leo en rêvait la nuit. Mais la jeune femme allait devoir rester une nuit de honte, parce qu'il l'avait payé pour qu'elle accepte gentiment de s'offrir à lui. Tellement dommage. Pourtant ce soir-là, allez savoir pourquoi, il avait une folle envie d'aller la voir et de gratter l'amitié. Le brunet avait décidé de pas sortir pour rattraper le sommeil en retard voyez-vous, mais vers minuit et demi, il avait toujours les yeux grands ouverts, comme si ses paupières étaient trop courtes pour recouvrir ses yeux. Et la seule chose qui lui vint à l'esprit de faire, c'était de s'introduire sur le bateau de Marley pour ravir la belle et continuer à la questionner sur ses impressions sur leur soirée. Et puis parce qu'elle avait un visage tout à fait agréable à regarder et Halberstam aimait bien regarder les jolies choses. Et puis il s'ennuyait, il avait besoin d'un peu d'action dans sa vie, voilà ! Du coup il enfila un short par-dessus son caleçon, attrapa un tee-shirt au pif, il n'était même pas sur que ce soit le sien mais bon c'est pas grave. Il quitta son bateau en réveillant au passage la moitié de sa cabine avant de rejoindre le quai et chercha le bateau des Red Waves – oui parce qu'il s'était renseigné sur là où se cachait Marley. Quand il l'eut trouvé il monta dessus, genre c'est chez lui, sans pression le mec. Il allait s'introduire à l'intérieur même du bateau, à la recherche de la chambre de la jeune femme quand il vit une silhouette émerger du couloir. « Il y a quelqu'un ? » La question conne que tout le monde pose quand il est évident qu'il y a quelqu'un. Finalement c'était celle pour qui il avait risqué sa vie en montant sur un bateau ennemi. « Tiens, je te cherchais. » Il sourit grandsourire avant de s'approcher, un peu plus en confiance. Quoique, c'était peut-être la jumelle maléfique de Marley.

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Ce soir, je n'avais clairement pas envie de sortir. Pourtant, les filles avaient insisté, ils partaient tous, j'crois que tout notre bateau se faisait une soirée sur la plage ensemble ou j'savais pas quoi, j'avais pas tout compris. Disons que j'avais pas cherché à comprendre non plus. Je me retrouvais alors seule, le bateau pour moi toute seule. Il fallait dire qu'après l'appel de mon mac, je n'avais plus envie de rien. J'arrivais pas à croire qu'il avait encore réussit à trouver mon nouveau numéro.. Enfin, après quelques minutes de réflexion, j'avais décidé de sortir de ma cabine pour aller chercher une bouteille d'alcool. Rien de mieux que de me bourrer pour tout oublier. Une fois la bouteille d'alcool dans la main, j'hésitais à rester sur le pont ou à retourner dans ma cabine. Mais alors que je ne m'y attendais pas, une voix me sortit de mes pensées. Oh putain, un homme, c'est quoi ça ? J'étais censé être seule ! S'il le faut, j'éclaterais ma bouteille d'alcool sur la tête de cet inconnu ! Mais pas la peine, ce n'était que Leo. T'es con putain, tu m'as fait peur !.criais-je en reprenant mon calme. Il s'avançait vers moi et je marchais aussi vers lui mais.. D'ailleurs, pourquoi il était sur mon bateau lui ? Pourquoi il me cherchait ? C'est quoi le délire ? Qu'est-ce que tu fous sur mon bateau ? On dirait presque qu'il m'appartient et que personne ne pouvait venir dessus à m'entendre. Je l'observais, une fois assez proche de lui, avant de croiser mes bras contre ma poitrine. Mais surtout, pourquoi tu me cherchais ? demandais-je en lui souriant légèrement. Finalement, j'allais peut-être pas passer ma soirée en tête à tête avec ma bouteille de tequila, mais plutôt avec Leo..

« Je t'ai fait peur ? Moi ? » Leo eut un petit sourire en coin. En mode, ouais ouais c'était fait exprès pour t'embêter. En vrai, il était tout fier comme un gamin de lui avoir fait un blagounette. Son âge mental se comptait sur les doigts d'une main pas plus. Ils avaient aucun sens de l'accueil sur ce bateau. Merde alors, ils avaient transformé Marley en chien de garde, méchant chien chien. Elle était violente et aussi froide qu'un hiver de nudisme dans les Alpes. Heureusement, le jeune homme avait glissé qu'il venait la voir elle en particulier, ce qui la fit sourire, tout de suite ça allait mieux. Oui il venait la voir, il n'était pas sur que l'explication 'j'avais envie de te voir, comme ça, ça arrive' ça ne suffirait sûrement pas. Elle allait se faire des films après, du genre, Halberstam peut pas se passer de Marley, il vient la harceler sur son bateau. Faut rappeler qu'ils s'étaient rencontrés tous nus, il avait appuyé sur un bouton sur son téléphone et elle était apparue en très petite tenue devant lui. C'est quand même assez gênant de venir voir une fille qu'on a rencontré comme ça sur son bateau. Et de lui dire qu'on avait juste envie de la voir. Bon d'accord, elle n'officiait plus, mais Leo avait toujours l'impression qu'il se voyait pour ça. « En fait, t'es la seule que je connais sur ce bateau et on m'a dit que la literie était meilleure ici, du coup je voulais savoir si on pouvait échanger nos matelas. Ou alors tu me fais une place dans ton lit, comme tu veux, mais il fait très chaud, je sais pas si je vais tenir. » Tout ça dit sur un ton très sérieux, il finit par sourire, bien content de lui. Quand je vous dis que ça dépasse pas les cinq ans dans sa tête.

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Et il était content en plus ! Ce mec était vraiment un gosse, mais bon, faut quand même aussi dire qu'il était grave canon. Disons que cela commence sa débilité bien apparente. Je fronçais les yeux, écoutant son charabia qui.. n'avait ni queue, ni tête. Non mais, il se foutait clairement de ma gueule là ? Il croit que j'étais débile ou quoi ? Tu sais, si tu veux juste passer une nuit à dormir avec moi, tu peux le dire clairement, au lieu de raconter de la merde. disais-je sérieusement, avant de rire légèrement. Je ne savais pas ce qu'il voulait, mais soit, il avait qu'à venir tester mon matelas. Au moins, avec un mec de ce genre, je risquais pas de m'ennuyer et j'étais sûre de rire vu.. Qu'il avait pas un âge mental très élevé, apparemment. Suis-moi va, je vais te montrer nos merveilleux matelas. disais-je en lui faisant signe de me suivre, m'avançant jusqu'à ma cabine, qui était complètement vide. Comme l'était tout le bateau, finalement. D'ailleurs, ça pouvait paraître légèrement flippant d'être sur un aussi grand bateau seule, quand j'y pensais.. Mais qu'importait, je n'étais plus seule maintenant. Je ne savais pas pour combien de temps, mais bon. Une fois dans ma cabine, je me tournais vers Leo. Là, c'est le seul endroit où tu peux poser ton cul. disais-je en lui montrant le lit près du hublot. Il avait juste simplement pas intérêt à s'asseoir sur le lit de mes colocataires, déjà qu'à la base, il n'avait pas le droit d'être là ! Le temps que monsieur aille soit disant tester mon matelas, j'ouvrais la bouteille de tequila et en prenant une gorgée. Ca faisait du bien, j'en avais vraiment besoin, fallait quand même le dire. Je me concentrais ensuite de nouveau sur le beau brun, allant m'asseoir sur mon lit. Et sinon, c'est quoi la vraie raison de ta venue ici ? demandais-je, le sourire aux lèvres. Parce que, ouais, j'avais pas cru un seul mot de ce qu'il avait dit tout à l'heure, mais bon, il devait bien s'en douter.

Il la fixa, un sourire en coin. Alors comme ça, avec elle il fallait y aller franc jeu ? C'était pas un soucis, mais même s'il était un mec relou niveau drague, il préférait quand même la jouer fine. Au moins, maintenant le jeune homme avait le droit d'aller droit au but, Marley ne pouvait rien dire, c'était elle qui lui avait donné son accord pour qu'il puisse ouvrir sa bouche en toute liberté. « D'accord, si t'insistes, je dors avec toi ce soir. » Il haussa les épaules comme s'il s'était résigné à cette dure réalité. Mais bien sur, au fond de lui il jubilait. Non, en fait il jubilait tout court. Le brunet suivit la jeune femme dans sa cabine, il était content qu'elle ait accepté de lui faire une visite guider de leurs matelas. Il n'était pas venu pour ça à la base, mais maintenant qu'il était lancé, il trouvait super génial de tester les matelas. Elle désigna son lit et Leo s'assit dessus sagement, faisant de petits rebonds pour tester le matelas. D'un coup de talon, il quitta ses chaussures avant de s'allonger sur le lit de la jeune femme. Attention, quitte à tester son matelas, il fallait faire ça bien, et il respectait les règles d'hygiène élémentaires. Il croisa les mains sur son ventre, ferma les yeux, se tourna sur le côté droit, le côté gauche, sur le ventre. Pendant que Marley commençait à boire et s'était assise à son tour sur le lit. Leo finit par se rasseoir à côté d'elle. « Je t'ai dit : je viens tester la literie. » Il piqua la bouteille de Marley pour en boire quelques gorgées avant de reprendre son petit sourire de 'je vais faire une connerie incessamment sous peu' avant de presque chuchoter à la jeune femme. « Tu veux tester avec moi ? »

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Je disais cela en rigolant, mais lui, bien évidemment, il avait pris au sérieux ! Bon, après tout, c'était pas non plus comme si cela me dérangeait énormément de dormir avec lui. Enfin, je ne savais pas pourquoi, mais je le voyais mal faire que dormir.. On verrait bien. Je n'avais rien dit et je l'avais emmené jusqu'à ma cabine, tranquillement. Je lui avais indiqué mon lit et.. Mais est-ce qu'il était sérieux ? Le mec sans gêne quoi, il enlève ses chaussures tranquillement. Il essayait même toutes les positions pour dormir et je n'avais pas pu empêcher de lâcher un rire. Fais comme chez toi surtout hein, tu veux pas te mettre sous les draps non ? demandais-je en riant une nouvelle fois, avant de boire une gorgée de ma bouteille de tequila. Ce qu'on pouvait dire sur Leo, c'était qu'il n'avait honte de rien ! Mais bon, au moins, c'était amusant. J'étais ensuite allé m'asseoir à côté du jeune homme, qui continuait de s'enfoncer dans son mensonge. Mais soit, ce n'était pas grave, j'allais le suivre. Et alors, c'est assez confortable pour monsieur ? demandais-je doucement, puis il m'avait piqué ma bouteille. J'allais râler comme à mon habitude, mais je m'étais retenue. Après tout, je lui aurais bien dit qu'il aurait pu demander avant de se servir mais.. Vu comme il avait pas de retenu, ça devait être totalement logique pour lui. La suite de ses paroles m'interpellèrent, alors que je tournais la tête, fronçais les sourcils et.. PUTAIN J'AI COMPRIS ! T'es venu pour baiser, c'est ça ? Tout en classe et en finesse, du grand Marley ça. Mais je savais bien qu'il y avait quelque chose derrière cette histoire de matelas, j'avais trouvé, enfin, je crois... Je récupérais ensuite ma bouteille, pour en boire une nouvelle gorgée.

La jeune femme ne pouvait s'en prendre qu'à elle. Elle donnait l'autorisation au brunet de pratiquer ses expériences sur son matelas, elle n'avait qu'à préciser que c'était une blague lui, il prenait ça au sérieux. Il était presque en train de se convaincre qu'il devait écrire un mémoire de cinq cents pages sur la qualité du matelas de Marley. Et de la qualité de Marley tout court, mouhahaha. « Non je ne me mettrais pas sous les draps sans ton autorisation promis. » Après c'est sur que si elle insistait, il allait pas dire non non plus. « Oui c'est pas mal, assez dur en fait, j'aime bien les matelas moelleux, tu sais ceux qui prennent la forme de ton corps. Je trouve qu'on dort bien dedans. » Leo continua à boire à même le goulot la bouteille de tequila empruntée à la jeune femme – j'ai bien dit empruntée et pas volée, il allait lui rendre. Et alors là, il n'était pas d'accord. Comment elle l'accusait. Il se renfrogna en lui tendant la bouteille. Pour quoi elle le prenait ? Comme si il était comme ça lui. Bon il était clairement comme ça, mais le jeune homme n'aimait pas qu'on l'agresse comme ça. « Je vois pas de quoi tu parles, nan mais pfu, n'importe quoi, tu me prends pour qui ? » Il récupéra la bouteille et re-but une gorgée avant de la poser parterre. Non mais il était choqué d'avoir été si injustement accusé. Il baissa la tête vexé … Ou pas vraiment en fait. « Je fais pas ce genre de choses vulgaires, je fais l'amour moi. Tu veux essayer ? » Il demandait, par acquis de conscience, s'il se prenait un vent, il pourrait encore tourner ça à la rigolade et retourner tester le matelas de Marley tout seul. Sad life.

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Je l'observais, alors qu'il profitait tranquillement du confort de mon lit. Parce que, oui, moi je le savais très bien qu'il était confortable. Fallait dire que j'étais heureuse, parce qu'au début, je pensais vraiment que l'on aurait des chambres de merde et des espèces de lit tout dur. Heureuse de savoir cela. répondais-je en riant légèrement. Parce que si je le voyais se glisser sous mes draps, j'allais très clairement faire une tête très bizarre. Je ne savais même pas comment je réagirais d'ailleurs.. Je levais les yeux au ciel à la suite de ses paroles. Je te rappelle que l'on est sur un bateau, pas un hôtel 4 étoiles. De toute façon, je n'avais certainement pas les moyens de me payer un hôtel de ce style. Du moins, je préférais garder mon argent pour d'autres choses que cela, étant donné que l'on avait nos cabines. Il me piquait ma bouteille, avant de me la reprendre encore quand je l'avais récupéré. Maaais, il comprenait pas que j'avais horriblement besoin de boire ce soir ! Après ma superbe phrase pleine de classe et de finesse, il avait l'air tout bizarre d'un coup. Je fronçais les sourcils, le regardant. Je te prends pour ce que tu es. Il paraît vraiment que t'es un espèce de coureur de jupon, fin, j'en ai entendu parler quoi. Il n'était pas pire que ce connard de Zakhar, mais il paraissait qu'il était pas mal dans son genre. Après, les rumeurs, moi, j'en sais rien. Il s'était quand même payé une prostituée, moi, alors ça paraissait étrange. Je reprenais la bouteille sur le sol, pour en boire une nouvelle gorgée et.. Je réfléchissais à sa proposition. Why not ? Allez, c'était pas comme si c'était la première fois. disais-je en riant, posant la bouteille sur le sol. Après tout, qu'est-ce que j'avais à perdre ? Il avait été l'un des meilleurs, mais ça je lui dirais jamais, j'voudrais pas qu'il prenne la grosse tête non plus quoi.

Ça il l'avait vu qu'ils n'étaient pas dans un hôtel quatre étoiles ni dans un hôtel tout court, qu'est-ce qu'on s'ennuyait sur ces bateaux ! À part le bar il ne voyait pas ce qu'il pouvait faire de bien intéressant. À part attendre une escale pour venir embêter Marley. Et apparemment, il y réussissait plutôt bien. Enfin, pas qu'il l'embêtait mais au moins il avait attiré son attention. Et puis il y avait autre chose, la jeune femme lui disait carrément ok. Mais pas genre ouiiiii attends on fait ça dans les règles de l'aaaaart, non, c'était en mode sauvage. Enfin pas sauvage, mais très … professionnel. Elle lui disait ça comme ça, yolo, tu fais ce que tu veux moi je suis opé. Leo était pratiquement sur qu'elle avait déjà bu une bouteille de tequila avant l'actuelle. Sinon pourquoi elle était si tranquille. « Bon d'accord, euh, on fait comment ? » Enfin c'était pas la bonne question, c'était pas ça qu'il voulait dire, mais elle lui disait oui comme on dit oui à une glace ou à un verre. Du coup il savait pas comment s'y prendre. Il devait la déshabiller directement et passer à l'action en deux-deux ou il faisait genre la fille ne s'était pas clairement proposée pour tester le matelas à deux ? Le brunet finit par adopter une conduite assez soft, c'est-à-dire qu'il l'embrassa en mode jevaisteboucherleslevres avant de commencer à la débarrasser des premiers bouts de tissus qui lui recouvraient le corps. Il lui laissa un peu d'espace afin que la jeune femme puisse faire sa part du boulot à son tour. Merde boulot et plaisir c'était la même chose pour elle, c'était une pro. Il eut un léger mouvement de recul en pensant à ça, puis finalement il reprit ses embrassades passionnées avec Marley la prostituée.

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J'avais besoin de décompresser. Après l'appel de mon mac, j'avais clairement besoin de profiter, de m'amuser. On pouvait dire que Leo était tombé à pic, non ? Surtout que le monsieur avait l'air bien intéressé et ces plusieurs propositions m'avaient bien fait comprendre qu'il voulait tester le matelas.. Mais avec moi. Il fallait quand même avouer que c'était plus drôle, non ? Je fronçais les sourcils à sa question, comment ça comment on fait ? Il sait plus faire l'amour le petit ? Je croyais que monsieur était un pro des filles, tu vas pas m'dire que tu sais plus comment t'y prendre ? disais-je en riant légèrement. Je me moquais clairement de lui pour le coup, mais ce n'était en aucun cas méchant ! Je ne serais pas méchante avec lui, je n'en avais aucune envie. Il m'embrassait alors, je profitais donc du baiser, le prolongeant et le laisser me retirer le début de mes bouts de tissus. C'était étrange.. Bah ouais, je savais pas pourquoi, mais je me rappelais vaguement de mon ancien boulot du coup.. Après tout, la première fois qu'on avait couché ensemble, c'était dans ce cadre-là.. Il eut un léger mouvement de recul, ce qui me faisait fronçait les sourcils une nouvelle fois, mais il reprenait. Je glissais alors mes mains sous son tee shirt pour le retirer. On continuait de s'embrasser, je laissais glisser mes mains sur son torse et.. Merde ! J'avais tellement d'images de mon ancien boulot.. Je me reculais, l'observant quelques secondes. Attends. disais-je simplement, prenant la bouteille pour en boire une trèèès longue gorgée. Clairement, il risquait de me prendre pour une alcoolo mais c'était pas l'cas. J'me disais juste que si je buvais, j'arrêterais peut-être d'avoir ses images en tête et je pourrais profiter au maximum du moment. Ca devrait se faire, non ?

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