Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(fb) Caym & Diego ❥ You and I go hard, at each other like we're going to war - Page 2
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(fb) Caym & Diego ❥ You and I go hard, at each other like we're going to war

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« J'allais le faire. » Caym détestait les ordres et honnêtement, c’était amusant de lui en donner. Pour une fois, madame ne faisait pas sa petite chef. Alors qu’elle refermait la porte derrière elle, j’en profitais pour m’installer sur le sol, m’appuyant contre le mur. Cette cabane était vraiment petite. On aurait dit une mini remise. D’ailleurs, c’était surement cela. Il y avait des planches de surf un peu partout. C’était une chance que j’ai réussis à m’appuyer sur le mur sans toucher une planche. Se tournant vers moi, elle laissait échapper le ton de sa voix. Elle prenait un air autoritaire qui me déplaisait. Comme si cela allait fonctionner ! « Bon, on va faire simple. On ne s'adresse ni parole, ni regard, ni quoi que ce soit.. et tu restes à au moins un mètre de moi. Comme ça, peut-être que ça paraîtra supportable. » Ne pas lui parler, c’était possible, mais rester à un mètre d’elle, ça allait être dur. Il y avait peu de place et pour le peu que j’allonge mes jambes, je touchais les siennes. Juste parce qu’elle m’avait demandé de me taire, j’allais parler. « Tes petits ordres, ça fonctionne pas sur moi. Alors, inutile de te donner de la peine » Une vrai petite bourge. Elle ne pétait pas plus haut de son cul. J’étais moi-même fils de riche avocat et pourtant, je détestais ce milieu de merde. Dehors, la pluie se faisait de plus en plus forte, tandis que les orages continuaient de gronder. Leur intonation était parfois très forte ou moyenne. « Tu devrais t’assoir, s’tu veux pas tomber. Tu trembles » Vous voyez, je n’étais pas toujours méchant. « Une vraie poule mouillée » Ou pas.  
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La petite princesse, ou du moins dont elle avait le comportement, n'était pas en position de force, et elle détestait ça. Oh oui, cela l'insupportait au plus au point. Pourtant, elle n'avait pas le choix, elle devait rester là, avec lui, le temps que l'orage ne passe. « Tes petits ordres, ça fonctionne pas sur moi. Alors, inutile de te donner de la peine » Un léger bruit d'agacement s'échappa de la bouche de Caym, tandis qu'elle se mordait la lèvre inférieure pour rester calme. Non, tu ne deviendras pas ni vulgaire, ni trop directive. C'était ce qu'elle tentait de faire intégrer à son cerveau, bien qu'il semblait que ce soit peine perdue. « Tu devrais t’assoir, s’tu veux pas tomber. Tu trembles » Elle baissa les yeux vers lui, son regard froid croisant le sien. « Ta gueule, juste, ta gueule. » Jamais personne n'avait parlé de ne pas paraître un tant soi peu vulgaire. En réalité, Caym aboyait plus qu'elle ne mordait, et c'était rapide à discerner. Mais cela ne voulait pas dire pour autant qu'elle se laissait marcher sur les pieds, ça, jamais. « Une vraie poule mouillée » Sa présence, elle la supportait de moins en moins. Les bras croisés sous la poitrine, elle roula des yeux. « T'as rien de mieux à dire? Ton discours reflète bien la personne que tu es; pas la moindre once d'utilité. » Ne perds pas ton sang froid. Même si elle s'en crevait la tête à s'obstiner à y penser, en face de lui, c'étaient des efforts phénoménaux qu'elle faisait pour ne pas le perdre, son sang-froid. Le tonnerre résonnait encore, dehors, mais Caym s'efforçait de ne pas y penser. Pas de faiblesses, que de la résistance. Elle ne pensait plus qu'à ça. C'était stupide, inutile sûrement. Mais ses désirs égoïstes chevauchaient facilement ce que lui ordonnait sa raison, c'est à dire de rester calme, mais dans tous les sens du terme.
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« Ta gueule, juste, ta gueule. » Caym vulguaire, enfin. « Oh oh madame est vexé » Un sourire narquois prenait possession de mes traits, alors je lui disais de s’assoir. Chose qui apparemment ne lui avait pas plus étant donné sa réaction. « T'as rien de mieux à dire? Ton discours reflète bien la personne que tu es; pas la moindre once d'utilité. » C’était censé me blessé ? Non, parce que vraiment, il en fallait plus pour me faire du mal. « Tu ne marches pas toi, tu courre » Un rire mesquin s’échappait de mes lèvres, alors que je lui disais ses mots. Rejetant la tête en arrière, je me mettais à fixer le plafond. Elle voulait que l’on ne se parle pas, très bien. De toute façon, j’en avais rien à foutre. Soudain, un éclair particulièrement puissant venait illuminer la cabane de ses reflets bleutés métallique. Cela me rappelait mon pays natal. Autrefois, je m’amusais à écouter les orages violents qui s’abattaient sur Narja durant l’été. Assis sous le perron de la villa, je regardais le spectacle qui s’offrait à moi. Je pouvais encore entendre ma grand-mère me dire de rentrer, car je pouvais perdre la vue. A cette pensée, une brume nostalgique m’envelopper de son voile translucide. Je détestais repenser à mon enfance ou de l’Espagne. Pour moi, c’était une partie de ma vie qui était résolu. Je ne voulais pas y repenser.
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« Oh oh madame est vexé » Il savait exactement comment l'énerver, il savait exactement quoi dire pour qu'elle se réveille. Et autant dire qu'elle réagissait au quart de tour, tout comme il l'espérait. En tentant de dominer, elle rentrait dans son jeu. « Tu me lasses. Autant dans ce que tu dis que ce que tu fais. » lâcha-t-elle enfin, levant les yeux au ciel. « Tu ne marches pas toi, tu courre » Caym se mordait la lèvre inférieure avec insistance. Reste calme, reste calme. C'était ce qu'elle tentait de s'ordonner, sachant pertinemment qu'elle n'allait pas le rester bien longtemps. Pourtant, il fallait dire qu'elle était tout de même rassurée de ne pas être seule en plein orage. Certes, elle n'était pas en bonne compagnie, mais au moins, c'était mieux que d'être seule. Lorsqu'un coup de tonnerre particulièrement puissant retentit, elle eut un sursaut; elle leva vivement sa main, ce qui lui valut de se couper sur un petit clou qui ressortait du mur sur lequel elle était adossée. Caym baissa alors les yeux vers sa main, dont elle avait ouvert le revers sur environ quatre centimètres de largeur. Bien entendu, ce n'était qu'une petite coupure de rien du tout, le genre qui cicatriserait dans deux jours, mais ce n'était pas pour lui plaire. Ou même, cela lui déplaisait grandement. « Mais quelles vacances de merde. » siffla-t-elle, énervée. Il fallait dire qu'entre sa rencontre avec Emmet, l'orage, et ça, la demoiselle n'était pas gâtée en évènements positifs, alors qu'elle était venue à Curaçao pour se détendre, et oublier un peu le travail.
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« Tu me lasses. Autant dans ce que tu dis que ce que tu fais. » Comme si j’allais la croire ! C’est pour ça qu’elle répondait à la moindre des phrases que je disais. Un sourire narquois venait prendre naissance sur mes lèvres, alors que je lui disais qu’elle courrait dans ce que je lui racontais. A ça, elle ne trouvait rien à redire, car un coup de tonnerre puissant venait interrompre notre échange. D’un geste instinctif, elle levait sa main pour venir se blesser avec un clou rouillé. « Puta*** tu peux pas faire gaffe ! » Mais pourquoi est-ce que les femmes faisaient des conneries ?! Bordel, pourquoi les femmes avaient-elles autant de maladresse en elles ?! Puis, merde, pourquoi est-ce que j’étais énervé ? J’en avais rien à foutre d’elle et de sa santé. « Si tu chope le tétanos vient pas te plaindre ! » Agacé, je jetais un regard sur l’entaille qui s’était formée sur sa main. « Puis, merde ! » Fallait faire un bandage. Ce n’était pas grand-chose, mais le sang continuait de couler et quelque chose me disait que cela allait empirer. « Retire ton t-shirt. Et croit pas que j’veux te mater. Faut te faire un bandage » Je n’avais pas de t-shirt, sauf une combinaison baissé à la taille.
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« Puta*** tu peux pas faire gaffe ! » Elle leva les yeux vers lui, à la fois agacée et étonnée qu'il ait réagi. Ne pouvait-il pas sagement rester dans son coin comme l'aurait bien souhaité la jeune fille? « Je peux savoir en quoi ça te concerne? » demanda-t-elle à son intention. Ce n'était rien du tout, et au pire, elle aurait tout le temps de se soigner plus tard. « Si tu chope le tétanos vient pas te plaindre ! » Baissant les yeux vers la blessure, Caym poussa un soupir. Elle s'était blessée des dizaines de fois rien qu'en aidant sa mère à la couture de la maison Burnfald. Ses mains avaient résisté à bien pire. « Je te savais pas si attentionné. » lança-t-elle ironiquement, juste avant qu'il ne reprenne la parole. « Puis, merde ! » Oui, cela étonnait la jeune fille qu'il ait réagi à sa blessure. En même temps, cela se comprenait, ce n'est pas comme s'il montrait de quelconque intérêt pour elle à la base, et ce n'était qu'une plaie minime. « Retire ton t-shirt. Et croit pas que j’veux te mater. Faut te faire un bandage » De toute manière, qu'il la mate ou non, ce n'était pas comme si elle en aurait grand chose à faire; Caym aimait son corps, qu'on la regarde ne l'avait jamais dérangée. Même si c'était un mather, et même si c'était également un ennemi. « Je sais pas si tu réalises un peu l'argent que tu m'fais perdre. » répondit-elle nonchalamment, avant de s'exécuter. De toute manière elle n'avait rien à perdre, si ce n'était que du temps, alors autant se laisser faire.  
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« Je sais pas si tu réalises un peu l'argent que tu m'fais perdre. » C’était bien le discours d’une gosse de riche prétentieuse. Je n’en avais rien à foutre de son pognon. A moins, qu’elle préférait avoir le tétanos. « J’suis sûr que papa te donne suffisamment d’argent pour que tu t’en achète dix » disais-je d’un ton condescendant. Qu’elle le prenne mal, cela ne me faisait ni chaud ni froid. Les filles dans son genre, étaient entretenues par leur père. Bon, je ne pouvais pas dire mieux, étant donné que mes parents me payaient Harvard. Retirant son t-shirt, elle se dévoilait à moi en haut de maillot de bain. Sans me gêner, je la matais. Caym était une garce, mais il fallait bien reconnaitre qu’elle était bien faite. Une fois qu’elle eut enlevé son haut, je me rapprochais d’elle pour lui prendre des mains. Puis, je le déchirais sans aucune pitié, avant de lui créer une sorte de bandage. Je n’avais pas de désinfectant, mais cela éviterait que des échardes ce coincent dans sa plaie. Elle était plutôt profonde pour une petite blessure. « Me dit pas merci » disais-je en reculant pour m’adosser contre le mur. « Alors comme ça t’as peur des orages ? Tu fais ta petite fille dure, mais en fait, t’es une trouillarde » Non, je ne me moquais pas du tout.
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« J’suis sûr que papa te donne suffisamment d’argent pour que tu t’en achète dix » S'il n'avait pas tort, il n'était pas totalement dans le vrai non plus. Après tout, Caym travaillait, autant en dehors de l'université qu'avec son père, et c'était pour cela qu'elle recevait de l'argent. « Désolée de te décevoir mais l'argent que je gagne, j'le mérite. » Par la suite, elle retira son t-shirt avant de le lui tendre. En soi, ce qu'il en fit ne lui fit ni chaud, ni froid; après tout, elle pouvait en avoir des dizaines rien qu'en claquant des doigts, surtout si cela venait de sa propre firme. C'était ce qu'elle préférait dans le fait d'être une héritière d'une maison de couture; lorsqu'on est accro à la mode comme Caym, cela permet d'avoir un dressing sur mesure dès que l'on le souhaitait. « Me dit pas merci » Soupirant, elle releva les yeux vers lui. « Je ne te suis pas reconnaissante j'imagine que tu t'en doutes, mais juste pour te faire plaisir.. merciiiiii. » répondit-elle d'une voix au ton ironique et au timbre exagéré, juste histoire de lui prendre la tête. Oui, elle agissait comme une gamine, mais non, elle n'était pas prête de changer. Surtout pas pour ce genre de personnes. « Alors comme ça t’as peur des orages ? Tu fais ta petite fille dure, mais en fait, t’es une trouillarde » Croisant les bras sous sa poitrine, elle répondit. « T'as un intérêt personnel à le savoir? Je vois pas en quoi ça a une once d'intérêt, ce dont j'ai peur ou non. » Oh demoiselle, comme tu t'engages facilement en terrain miné. Détester ne pas contrôler une situation, c'est bien ton style, n'est-ce-pas? Caym ne relâcherait pas tant qu'elle ne se sentira pas en position de force. Seulement, elle dévoilait bien trop facilement ses faiblesses.
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« Désolée de te décevoir mais l'argent que je gagne, j'le mérite. » Je ne connaissais rien de sa vie et je n’en avais rien à faire, mais ce que je savais d’elle, c’est qu’elle adorait se vanter. Par conséquent, travaillait-elle vraiment ? Hm. Une question que je ne méditerais pas. Ignorant ce qu’elle me disait avec perfection, je m’occupais de penser un minimum sa chrono blessure. Je ne souhaitais le tétanos à personne ! « Je ne te suis pas reconnaissante j'imagine que tu t'en doutes, mais juste pour te faire plaisir.. merciiiiii. » Le ton de sa voix était théâtralisé, mais cela suffisait à m’arracher un sourire. Le premier depuis que je la connaissais ! Me ressaisissant, je recommençais à la charrier sur sa peur de l’orage. « T'as un intérêt personnel à le savoir? Je vois pas en quoi ça a une once d'intérêt, ce dont j'ai peur ou non. » Non c’est vrai. Cela ne m’étais d’aucun intérêt, mais avoué que c’était plutôt con de ne pas se parler, alors que nous allions rester coincé ici pendant un bon bout de temps. « T’as raison, j’en ai rien à faire. J’essayais juste de meubler le silence » Est-ce que j’étais vexé ? Non. Il en fallait bien plus pour me blesser. Soupirant, j’appuyais ma tête contre le bois de la cabine. Jetant un coup d’œil par la fenêtre, je fus témoin d’un spectacle impressionnant. Dehors, les éléments se déchainaient. Le ciel était d’un gris profond, parsemé de touche métallisée. Pendant plusieurs secondes, je ne pouvais détacher mon regard de cette vision. Ainsi, j’avais la sensation de me regarder. Dans un sens, ma vie était aussi chaotique qu’un orage. Cela me rappelait quelque chose que m’avait dite ma grand-mère. Elle m’avait comparé à ses fameux orages d’été et plus je grandissais, plus je m’y retrouvais.
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« T’as raison, j’en ai rien à faire. J’essayais juste de meubler le silence » Caym soupira et laissa alors le silence reprendre le dessus. Enfin, du moins, tant que le tonnerre ne venait pas le briser de lui même, ce à quoi elle tentait de faire moins attention pour ne pas se blesser encore une fois. Ce ne serait vraiment pas de chance, ou ce serait même plutôt bête. Lorsqu'il se tourna vers la fenêtre, elle qui ne regardait que le sol ou du moins ce qu'elle avait dans son champ de vision, releva un instant les yeux vers lui. Tout deux se connaissaient mal, très mal, même. Autant dire qu'ils se haïssaient sans même connaitre les grandes lignes de la vie de l'un et de l'autre. Quelques secondes seulement, ce fut le temps durant lequel elle garda ses yeux sur lui, à le détailler comme si elle ne l'avait jamais vu. Puis son regard se tourna sur le mur qui se trouvait à sa droite, tandis qu'un coup de tonnerre retentissait encore. « Meubler le silence, hein.. » murmura-t-elle pour elle même. Pourquoi parler? De toute manière ils ne savaient que s'envoyer des piques voir même se montrer blessants l'un envers l'autre. Dans ce genre de situations, n'était-il pas mieux de simplement se taire? Qu'importait. Oui, qu'importait. Parler ou pas, cela ne dérangeait pas Caym, après tout. Tout ce qu'elle espérait, c'était que l'orage passe, malgré que celui-ci ne semble pas près de s'en aller. Et malgré qu'elle en avait mal au coeur tellement le bruit l'insupportait, elle restait toujours aussi impassible. La jeune héritière avait du mal à accepter bien des choses, mais finissait toujours pas y être confrontée de manière spectaculaire; lorsqu'il s'agissait de personnes, tout comme lorsqu'il s'agissait de ses phobies. Et même lorsqu'elle tentait d'y faire face, elle s'empêchait d'aller plus loin.
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