Il neige sur l'île de Skye en ce 23 Décembre 1986. Un froid de canard paranormal cadenasse la ville. Les vieux spéculent, il pourrait s'agir du jour le plus froid du monde. A croire que le soleil a disparu pour toujours. Le vent est coupant, les flocons plus légers que l'air. BLANC ! BLANC ! BLANC ! Explosion sourde. On ne voit plus que ça. Les maisons font penser à des locomotives à vapeur, la fumée grisâtre qu'exhalent leurs cheminées fait pétiller un ciel d'acier.L'air ambiant semblent être assimiler comme le prochain Noël, cette odeur de dinde précuite qui font saliver les clochards alors que les enfants rêves du matin de noël en subissant la pré-indigestion du repas de Noël.
Skye était un village de pêcheur aux maisons au couleur voyante. Malgré cette neige, les rues et les maisons se métamorphosent. Les fontaines se changent une à une en bouquet de glace. Même la mer avait enfilé son plus beau manteau de glace, figeant les bateaux et même les poissons sembler être gelé sur place. Le givre fait des merveilles en pailletant le corps des chats. Les arbres ressemblent à des grosses fées en chemise de nuit blanche qui étirent leurs branches, bâillent à la lune et regardent les voitures déraper sur une patinoire de bitume. Le froid est tel que les oiseaux gèlent en plein vol avant de s'écraser au sol. Le bruit qu'ils font dans leur chute st incroyablement doux pour un bruit de mort.
C'est le jour le plus froid du monde. C'est Aujourd'hui que je m'apprête à naître.
Alors qu'une troupe de sauvageon semblait chanter des cantiques un peu spéciales, qui chantaient au abord de la ville. Cette route glacé laissé paraître une femme, une jeune femme accompagné de son mari. John et Elizabeth Moriarty. Il semblerait bien qu'Elizabeth semblait me portait à bout de ventre sur le long de la route. Leurs destination était l'une des maisons les plus délabrés de la ville, on pouvait sentir l'obsession de la sage femme qui fut dîtes folle par tout les habitants, mais quand vous êtes enceinte et que l’hôpital est sur la grande Bretagne cela n'aide pas au raisonnement. Le Docteur Harris, elle vivait dans une maison très rustique taillé dans le bois, aux poutres apparentes rustique. Elle était du genre obsédé par les coucou-suisse. Ma pauvre mère semblait souffrir pleurant des larmes de glaces qui tombèrent sur le sol empalant les fourmis glacé sur le bitume blanc.
Arriver dans cette maison de fortune style cabane de Tom Pouce. Ma mère semblait déjà s'en aller dans un autre monde, la doctoresse l'emmena sur la table où elle s'allongea pour l'examiner, elle avait des grands airs de sorcière les cheveux coiffé tel une montgolfière, des doigts crochus usé par les touches de son vieux clavecin. Je sentais les coups de son mini maillet de fée se cogner contre mon habitat si douillé... Après l'accouchement j'étais porté comme de la viande par les pieds, elle écouta mon cœur n'entendant pas mes cris... J'avais froid beaucoup trop froid... « Oh non... non non » répétait elle sans cesse, avant de me poser sur une autre table, je pouvais apercevoir un mur remplit de coucou des coucou suisses qui faisait tic-tac... Un son qui bizarrement me rassura je me demandais si c'était du au faite que je n'allais sûrement pas voir l'Aurore prochain.
Je n'entendais plus un bruit ce fut comme si le monde c'était mis en mode silence alors que mon cœur s’arrêtait de battre, j'ai sentis des ciseaux se planter dans mon thorax comme si on me prenait pour un vulgaire poulet griller qui se dore la pilule au soleil en banlieue parisienne le genre de cliché qu'on peut apercevoir que dans des films avec Audrey Tautou pour vous dire. Elle était une véritable artiste, elle tiraillé ma peau tel un génie des lames formant ce qu'on pourrait croire une horloge, elle tenta de réchauffer mon cœur... Bon effectivement ces ce qu'on m'a raconté, mais effectivement après ma naissance. Je fus le premier bébé a qui on pose un pace-maker. Le truc le plus inattendu n'empêche, mais après avoir échapper à la faucheuse, j'ai vu mon enfance passer tel un coucou. Je voyais les choses différent plus de couleur, c'était peu commode. Cela ressemblait à un vieux cartoon avec la Sabre dance dans la tête. J'avais l'impression que le monde aller trop vite pour moi comme si mon cœur se mettait a jouer les machines a accélérer le temps... Je pouvais même entendre le petit bruit du pace-maker dans ma poitrine... Le bruit se mélanger au battement de mon cœur tic-tac- boboum tic-tac boboum... Ce son m’énervait déjà. Les semaines passèrent, bizarrement je n'étais plus sur l'île de skye, bien que je ne l'a connaissait pas à l'époque. Dans mon parc je n'étais pas seul... Pff moi j'aurais aimé être seul, mais non y avait cette ange, elle avais deux ans de plus que moi... Elle passait son temps avec moi quand mes parents lui rendaient visite à la capitale... les cheveux roux ondulé, elle était comme un coucher de soleil, elle avait une odeur de tarte aux pommes à la cannelle, avec un soupçon de chantilly. Je n'étais qu'un petit enfant et pourtant mon cœur faisait déjà sa comédie, a chanter tel un chanteur d'opéra du mariage de Figaro. Le genre de chose qui rester grave tel une pyrogravure sur ma peau... Mais la Sabre dance reprit de plus belle, le monde défila sous mes yeux tel une des inventions de mon père pour émerveiller ma mère par tant d'amour passionné... D'ailleurs je ne vous ai pas parlé de ma famille. Je n'ai connu mon nom de famille qu'à partir de 3 ans... pourquoi ? Dites moi simplement connaissiez vous le prénom de votre mère a votre naissance ? Non vous l'appeliez maman comme tout chérubin qui se respecte. Cela dit mon nom de famille résonne comme une parfaite harmonie... Moriarty... Un nom banal je le sais bien, mais quand on voit ma famille qu'on se dit « C'est gens là... Tu vois eux ? Les Moriarty... Faut pas croire... D'une ils sont blindée de chez blindée parole d’écossais ! Après tu sais les Moriarty c'est le Clan principale de l'île de Skye... Faut pas croire c'est des bourges ! Des saloperies de Bourges ! VIVA LA REVOLUCION ! » Bon je ne l'ai entendu qu'une fois dans ma vie . C'était à l’école. Le Docteur Harris était devenue ma Nounou Infirmière sexy qui m'emmenait à l’école, elle s'assurait que mon cœur mécanique tiendrais le coup. Il s’appelait Elwyn, c'était ce genre de grand gars sans scrupule... le genre de mec qui tiendrais pas à sa vie même pour les yeux d'une jolie espagnole. Mais passons je n'en étais pas encore là. Eira douce Eira, c'était ma cousine cette jolie rousse qui partageait mon parc, tout ça pour jouer avec moi... Elle était gentille, nous étions toujours ensemble, on n'arrivait jamais a se lâcher quand il était temps de se dire « Au revoir à la prochaine » pour moi ce fut un adieu, car la prochaine était trop loin. J'aimais joué, elle avais de drôle d'idée et d'air d'Oiselle majestueuse... Elle donnais envie de s'aventurer dans les méandres de mon imagination. Perdre le fil et l'aiguille pour se faufiler directement dans la boite à malice.
Les années ont passé bien trop vite, mon cœur a eu du mal à suivre et cela se ressentait comme si mon cœur s'était réduit à l'état d'un moteur de vielle locomotive qui tousse et crachote cette fumée noirâtre qui se confond au nuage. Je n'avais que six ans, six ans est un bien bel âge pour comprendre ce que s'est l'amour, pas le stupide amour d'enfant, non alors que je joué les pères de famille sans problèmes juste des rêves avec Eira, je l'ai rencontré a ce moment là, elle semblait si fragile, si volatile. Je pense bien que j'aurais pu la perdre a ce moment là, la perdre pour toujours, mon cœur à découvert une nouvelle sensation, j'aimais cette sensation dans mon torse qui me donner une impression de pétard explosif dans mon ventre... le goût sucré du chocolat sur les papilles... j'avais l'impression de vivre un rêve, elle dansait dans son jardin comme un arbre en fleur jouant avec le vent, mais sa maladresse maladive me fit doucement sourire, ses pieds qui s’entremêlent formant un meli melo de talons rouge. Il semblerait qu'elle ne portait pas ses lunettes, cela se voyait... Je me suis sentit pousser des ailes que je n'ai pas pu m’empêcher d'aller la voir et de danser avec elle pour pas qu'elle ne tombe... Londres était la plus belle ville pour moi à présent. J'en étais persuadé cela dit cela ne dura que le temps d'un été, car mon cœur n'avais pas tenu le choc impressionnant que produisait l'amour. Je ne l'a connaissait pas, mais il semblerait bien que par notre valse handicapé par les sentiments cela deviendra rockambolesque. Le temps du badinage n'est plus il fallait partir, retrouver mon royaume. Tel un roi en Pyjama je devais retrouvais les couleurs flashi des maisons environnante et laisser ma Princesse dormir jusqu'à notre prochaine rencontre.
Les jours ont passés de fil en aiguille j'en ai perdu l'envie de voler. Elle hanta mes rêves tel un cauchemars duveteux et rougeoyant. Je jouais toujours avec Eira bien qu'une petite chevelure est apparu dans ma vie celle de Emma. La jolie Emma avec ses grand yeux et sa tête d'oiseau aussi fantasmagorique que la mienne. Ce fut une nouvelle qui est arrivé dans ma famille, j'ai pris exemple sur Eira je l'ai couvé comme un papa oiseau... Ce fut pour moi une véritable petite sœur moi qui n'est pas de sœur, ni frère. Je ne pouvais compter que sur les deux jeunes filles qui faisait partit intégrante de ma vie. Eira, de sa chevelure rousse et de notre mariage des plus enfantin. Les années défilent, malgré que mes souvenirs de cette petite danseuse ne quitte pas mon esprit, je grandit peut être un peu trop vite, mes cheveux roux prennent de l'ampleur, les murs de ma chambre sont recouvert de poster de Pixies ou bien d'autre groupe que j'affectionnais. Je suis devenu un adolescent, au départ on me prenait pour un rat de bibliothèque. Je n'aimais pas la popularité et j'étais plutôt pudique ma cicatrice. A 15 ans, le problème c'est aggravé, j'ai rencontré cet homme il s’appelait Andrew. C'était le genre de grand brun ténébreux qui ferait peur même à un feotus, dans ses air de grand fantôme mirobolant il m'assaillait de coup dans la gueule. Me trouvant trop bizarre pour être réel... Surtout qu'on avait un point en commun. Ce mec était amoureux d'une fille, il semblerait que c'était la même qui dansait et dont je suis tomber si vite amoureux sans pouvoir jamais la revoir... J'en ai eu marre... Cette putain de vie ne m'aidait pas et mon cœur a lâche. Je me suis réveiller à l’hôpital.
Les murs blanc, ce goût de métal dans ma bouche. Ce n'était pas ce que j’appréciais le plus dans les hôpitaux. J'étais allongé dans ce lit blanc, tout était blanc et aseptisé... Mes envies de partir me reprenait, mais soudain je sentis mon cœur qu'il était différent j'ouvris la blouse remarquant un énorme bandage recouvrant mon torse. Une infirmière du style prof de math sexy m'accueillit a mon réveil m’annonçant que mon pacemaker avait lâché et qu'il me fallait une transplantation... Ma mère était derrière en larmes mon père cacher ses larmes de crocodiles qui filer sous ses rides marquer. Il semblerait que je me rétablisse mais la seule question qui m'est venu c'était : « A qui il appartenait ? » je voulais savoir par curiosité morbide, il semblerait que c'était un homme d'une 30aine d'année en bonne santé, un historien qui serait mort d'un accident de la route, le truc des plus morbides, n'empêche.
Audences Fortuna Juvat, La chance sourit aux imprudents. Peut être que c'est ainsi que cette phrase me désigne bien... C'est le dicton de ma famille depuis des milliers d'années... Je dirais qu'elle correspond bien a mon cas... Un an s'est écoulé depuis que j'ai ce nouveau cœur, j'ai grandit, je ne me sent plus dans mon propre corps c'est assez étrange comme sensation... J'ai sentis en moi cette envie de voyager, c'était assez bizarre, mais la vie sur l'île de Skye ne me paraissait que pur fumisterie, j'ai décidé de tout quitter. J'ai pris mes sac et j'ai dit adieu a cette putain d'île qui ressemblait de plus en plus à Alcatraz. Je suis parti en Islande, je savais pas ou allait. La-bas je suis aller dans un bar histoire de me réchauffer, j'aimais bien cette île, elle semblait tiré tout droit d'un compte de fée. J'ai rencontrer deux hommes qui faisait tache dans le paysage, des genres d'agent secret américain... Ils sont venu me voir sûrement me prenant pour un enfant : « Bonjour mon garçon, nous venons de l'entreprise Kinder... nous recherchons quelque chose peut être pourrait tu nous aider... » mais qu'elle est ce grand délire putain. Ils m'ont parler qu'ils étaient à la recherche de nouvelle idée de jouet pour les Kinder Surprise. Je n'en croyais pas un mot, mais j'étais curieux de savoir où ils allaient décotés ça, je les ai suivit, ils avaient avec eux une glacière et un thermos, qu'ils n'ont jamais ouvert... Arriver sur le volcan j'ai entendu : « Je ne rentrerai pas dans votre putain de thermos ! » Qui pouvait bien rentrer dans un thermos si petit... j'entendis une légende intéressant sur l'Islande, l'histoire d'un Géant qui était aussi grand que les galaxie et qui s'amusait a manger des planète jusqu'au jour ou son corps de glace, il avala une étoile tel le soleil, son cœur est devenu magma il se les arraché pour le jeter sur terre. On dit que c'est de la qu'est crée les Volcan et que l'Islande serait enfaîte le cœur du géant, son bras se glisserait contre l’Écosse. Histoire des plus hallucinante, je fus interrompu par un bruit sourd de caillasse qui me fit fuir... J'avais l'impression de vivre un rêve, après avoir trouver un petit travail de plonge dans un restaurant, je suis partit m'étant assimiler toute la culture locale... D’après les vieux de la ville... Ce serait des Elfes... Qui vivent dans les volcans... Je ne savais pas si je devait y croire. Au bout de deux mois je suis partit pour la première fois à Londres avec mon nouveau cœur.
A Londres, j'ai trouvé un petit boulot de nettoyeur dans une salle de restaurant rapide a coté de Camden Town, mais ce qui m’intéresser le plus c'était les librairies... j'aimais toujours autant lire et les histoires était juste magique. On était en plein dans les années 2000, j'avais 17 ans. Et je ne croyais pas ce que je voyais j'avais l'impression de vivre dans un autre monde. C'était dans un magasin de luminaire. Les lustres avait de drôle de forme, des formes de fée. Un peu immonde je trouvais. On avait l'impression qu'elles étaient réel... D'après le vendeur ce sont des « Fée Lustre » Ce mec était aussi barré que ses représentant de Kinder... Il m'a raconté cette histoire... bizarrement j'avais l'impression de lire un livre. Malgré être parti j'ai gardé contact avec ma famille. Mes parents pleurent encore de mon départ, ne comprenant pas que je étouffait au point de crever à leurs cotés. Eira je lui envoi des lettres je trouvais plus conventionnel, je lui racontait mes histoires et mes aventures... je ne vivait pas comme les autres sûrement ce cœur de vieux que j'avais dans la poitrine qui me faisait tournoyer.
Mais je l'avais revu, je l'aurais reconnu entre mille, cette danseuse. Elle était encore plus belle dans mes souvenirs malgré que dans mes moments de solitude elle m'est accompagné de ses jolies mini talons aiguille... J'ai tenté le tout pour le tout, je me suis cassé royalement la gueule sur le bitume pour tenter de m'approcher d'elle. Elle a accouru vers moi, ses grand yeux d'arbre en fleur m'ont presque ému... Je n'étais même pas présentable, depuis quand je n'avais pas vu un coiffeur, mes cheveux long aux boucle tenait presque de la décadence, mon corps avait prit en muscle mais on voyait la cicatrice sur mon torse malgré le polo que je portait. Nous avons discuté, je lui ai pas dit qui j'étais et encore moins que je suis amoureux d'elle depuis que j'ai 6 ans. Margaret, quel jolie nom... Elle semblait tout droit sortie d'un roman d'Agatha Christie. Elle jouait du violon, je sentais encore l'odeur du cirage pour violon sur ses doigts abîme par les cordes... Nous nous voyons toujours dehors, sur un banc ou dans un café devant un chocolat chaud. Nous nous sommes de suite bien entendu. Au point que nous devenions presque inséparable, nous nous sommes aimé... Mais je n'arrivais pas à l'aimer comme je le voulais mon cœur était détraqué je ne savais pas quoi faire... Du jour au lendemain je suis parti, laissant un mot sur notre banc habituel : « Je reviendrais...t'emmener dans les nuages avec moi. » Je suis partie pour la France à ce moment là.
La Normandie... La Bretagne, je vous passe ses légendes des plus ennuyantes... C'est des choses que les gens connaissent pourquoi en reparler non... je vais vous parler d'une ville qui m'a marqué... elle se trouve dans le sud sur la route où je comptais atterrir : l'Andalousie. Toulouse, Toulouse la ville Rose... je me suis trouver un petit boulot assez durement mais bon, dans le bâtiment. J'entendais les ouvriers se racontait des histoires pour se faire peur quand un jeune garçon me raconta l'histoire de la déesse de Toulouse. Celle qui aurait transformer cette ville en Rose... C'est une fée qui aime se baladé entre le rêve et la réalité... Se planquant dans la tête des gens, flottant entre la Réalité de l’hémisphère droit et le rêve de l’hémisphère gauche... il m'arrive souvent de la sentir de flotté dans ma tête sentir son corps se cogner et m'effleurer de ses ailes douces... Je suis descendu en Andalousie, je ne savais pas ce que j'allais trouver... Mais je n'avais plus d'argent, je suis arriver là bas je fus héberger par un vieux magicien, qui c'était occuper de moi alors que je suis tomber devant sa porte... une énorme déshydratation et de peine de cœur... Elle me manqué... j'aurais aimé resté, mais je ne savais où tout ça allait me mener, cette vie me plaisait... Je voyais a pied ou en train, il m'est même arrivé de faire un bout en Skate board... Cela dit je voulais rentrer, le magicien était un homme sage qui m'apprenait quelques petits trucs pour la vie, mais il me fallait de l'argent pour rentrer... Je remarqua qu'il cherchait un nouveau maître de la frayeur pour le train fantôme, je suis arrivé devant le comptoir d'une vieille aigri qui rien qu'à me regarder je savais bien qu'elle ne m'aimerait pas. « Que sait tu faire ? » Bonne question, que je savais faire pour faire peur j'ouvris ma chemise montrant mes cicatrice qui n'aimais pas belle a voir, lui montrant celle en forme d'horloge... « J'ai eu une horloge à la place du cœur... J'ai rencontre des elfes en Islande qui m'ont appris à faire le rugissement d'un géant... Les Toulousains m'ont appris a kidnapper le rêve des gens pour en faire ce que je veux... j'ai connu un luminariste qui m'a appris a dépecer des fée pour en faire des lustres majestueux. » La jeune femme me prit pour un fou avec un peu trop d'imagination : « Bon bah tu as un jour d'essai se soir ! Soit prêt... » Elle m'emmena dans une salle, c'était les costumes je trouva alors un costume a mon goût aussi déstructure que l'était ma vision du monde, un long tresh noir en vieux velours au bordure rouge et un chapeau haut de forme difforme et me voilà en tant que Roi du Train Fantôme... J'étais le plus pitoyable des méchants de train fantôme, je ne leur faisait pas peur mais surtout rire avec mes bruit in-saisissant de tic tac boboum... Le son le plus effrayant que j'ai connu depuis petit... un son imaginaire qui me rappelait que mon cœur a était une bombe d'amour a retardement. Je suis parti comprenant que ma place n'était pas ici...
Les années ont passés comme des fils sur une broderie. J'ai 21 ans, je sens mon coeur divaguait a chaque coup de houle sur ma vie. J'ai passé deux ans dans l'université de Cambridge, alors que je ne voulais qu'une chose philosophé sur la rivière de la vie, même que mes professeurs en avait marre de moi et de mon imaginaire sur-developper, j'ai appris qu'il y avait une bourse pour les Anglais venu de Cambridge pour venir s'installer a Cambridge au USA pour fréquenter la prestigieuse université d'Harvard. Mon envie d'aventure a repris. Ayant pris le premier avion pour Boston, j'ai pris l'audace de me prendre une voiture automatique. Le truc irréalisable, depuis que j'ai le permis c'est de conduire ce genre de voiture de feignasse, dans un Jumper, je me suis trimbaler dans tous l'état pour visiter avant d'arriver à Harvard, j'ai compris pourquoi elle avait cette réputation, de grand bâtiments. Des espaces de verdures aussi grandes que celle de cambridge. Au départ j'ai eu comme tout le monde cette petite chambre d'étudiant 4m². Je me serais cru dans le cercle des poétes disparus tellement que c'était glauque, j'ai commencé par prendre Philosophie, j'ai adoré mon professeur aussi fou à lié que moi, cela faisait plaisir a voir. Il avait de grand discours sur la vie et la polémique des espèces. A partir de la troisieme année, je me suis lancé dans la littérature. Ayant commencé a travailler pour un journal locale à Boston, je me suis longuement occupé de la rubrique des chiens écrasé : " Ce mardi, Medor un teckel à poils longs s'est suicidé par amour pour son âme sœur, Otawa une jeune cocker Spaniel qui vivait sur Edwige street... Leurs amour fusionnel était elle qu'il a décidé de s’écraser contre les rayons d'un fauteuil roulant ambulant le transformant ainsi en coiffe de sheruki payen." Cela fait maintenant 6 ans que je suis a Harvard, je me plais bien ici. Même si je ne suis pas très fervent des USA. J'ai qu'une hâte finir mes études et partir voyager de nouveau avec mes folles envie de m'envoler.