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Perfect Lies - PV Kim'

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Elle a voulu joué à ça, alimenter ta jalousie. Elle avait réussie en un sens, sauf que tu le montrait que très peu, plutôt bizarre d'ailleurs, en temps normal tu aurait déjà plus râler que ça et puis t'aurais cherché à savoir de qui il s'agissait. C'est vrai, tu te demandais qui pouvait bien avoir le privilège sur toi en ce qui concernait le fait d'accompagner Kimberley au bal de fin d'année. C'était quelque chose qui te tracassait, au fond. Alors elle avait choisi de te faire deviner, bonne idée tiens, comme ça tu démonterait ce rival dés que tu en connaîtrais le nom. Et puis la description qu'elle te donne elle te fait effectivement penser à quelqu'un, mais ce n'est pas un rival non, puisqu'il s'agit de toi. Tu lui répond alors simplement tu ferais en sorte d'être plus en forme qu'aujourd'hui. Il est vrai que tu es plutôt pitoyable à l'instant même. Tu la vois alors soupirer, mais pas un soupire de déception non, elle est soulagé qu'au final tu ai trouvé. Ouais, parce qu'elle te connaissait suffisamment pour savoir que tu serait capable de chercher à savoir qui était celui qui osait t'affronter, en quelque sorte, oui approcher Kim' était un affront à ta personne. Non pas amicalement, elle pouvait avoir tous les amis qu'elle voulait, autant masculins que féminins, tu te méfiais juste. Parce qu'au fond, t'as peur de la perdre, ouais t'as peur qu'on te la vole et que tu ne puisse rien y faire. Tu sais que c'est pas près d'arriver et pourtant, elle est tout de même là cette peur, ce qui te pousse à être méfiant et jaloux. Enfin, tu assume et tu la laisse tout de même vivre, t'es pas collant, ni même à l'interroger comme si elle avait fait un crime à chaque fois qu'elle adressait la parole à quelqu'un. Et puis, tu sais qu'au final, elle est comme toi. Elle te réplique alors que tu es plus intelligent que tu en a l'air, mais.. c'est qu'elle te cherche en fait. Ouais, tu le sais qu'elle te cherche, elle veut juste te faire réagir. Tu la regardes et fait une grimace « aha aha aha ! Évidemment tu crois quoi ? » Tu peux pas t'en empêcher, de faire le fier, de toute façon t'es pas un prétentieux de service mais tu sais bien le jouer, la preuve. Tu souris alors « il faut bien que je sois un minimum digne de toi » pour le coup tu joue pas le prétentieux, tu le penses vraiment. T'as beau sécher la plupart de tes cours, t'es pas un abrutit fini et tant mieux pour elle en un sens. De toute façon, tu ne peux pas être un abrutit fini avec tout ce que t'as mère t'emmerdes avec son entreprise, enfin tu préfère ne pas y penser.

Tu lui rappelles ensuite ce qu'elle a dit, à savoir que tu pourrais faire d'elle tout ce dont tu avais envie. Dit comme ça, ça te faisait penser à un jouet, et elle était loin d'être un simple jouet. Non, elle était ta petite amie et elle méritait que tu la respecte et non que tu ne la traite comme un vulgaire objet, parce que cette fille là, elle te rends fou ouais. Ça réponse te surprends qu'à moitié, tu savais qu'elle trouverais quelque chose à dire pour te chercher mais tu ne savais pas quoi. Maintenant c'était dit, et c'était clair, elle cherchait vraiment à te faire réagir. Tu sais qu'elle n'est pas sérieuse mais tu rentre dans son jeu tout de même. Tu la regardes, faussement vexé puis tu souris en coin « tu vas voir si j'vais te mordre moi! ». Tu fait un léger rire, quelque peu sadique certes, puis tu glisse tes lèvres dans son cou avant de mordiller sa peau avec douceur, tu n'as nullement l'intention de lui faire mal, loin de là. Tu souris alors à nouveau et dépose un baiser à l'endroit que tu as gentiment mordillé puis tu remontes tes lèvres le long de son cou jusqu'à arrivéerà ses lèvres que tu effleures. Tu l'embrasse rapidement puis plonge ton regard dans le sien. « sale gosse vas » Tu rigoles, elle le sait bien. Ce n'est pas comme si c'était la première fois que tu lui disais quelque chose du genre. En un sens tu n'as pas tord, c'est vraiment une sale gosse quand ça lui prend mais c'est comme ça que tu l'aime. Ouais, tu l'aime pour ce qu'elle est, sinon tu ne serais pas avec.. Enfin si tu serais avec mais tu serais pas aussi sérieux dans cette relation ou même au niveau de tes sentiments.

Tu finis finalement pas changer de sujet. Tu te redresse et change de position pour t'allonger et poser ta tête sur ses jambes. Tu lui demandes alors ce qui l'a énervée en plus de toi, parce que tu sais bien que tu n'es pas ce qui l'a mis dans un état pareil, c'est impossible, il aurait fallut que tu sois pire. Tu attends alors qu'elle te réponde, peut être qu'elle te répondra pas, mais dans ce cas tu feras tout pour savoir ce qu'il lui est arrivé. C'est alors qu'elle t'annonce que ce n'est rien de grave, bizarrement tu n'y crois pas. Enfin peut être que ce n'était pas important mais pour elle ça devait l'être, sinon elle ne se serait pas énervée de la sorte, tu le sais. Si tu t'es inquiété ? Forcément, tu te redresse alors et soupire doucement. « évidemment que je m'inquiètes quand ça te concerne. » Pour le coup tu as été direct, tu n'as pas fais de sous entendu, ce qui prouvait bien à quel point tu pouvais t'inquiéter pour elle. C'était peut être ridicule mais ouais, tu t'inquiètes pour elle, quasiment constamment. Ou du moins, lorsque tu sens que quelque chose ne vas pas et que tu n'en es pas la raison. C'est justement là que tu t'inquiètes, quand tu ne sais pas ce qu'il lui est arrivé. C'est alors qu'elle reprend la parole, tu tourne la tête vers elle pour la regarder et tu l'écoutes attentivement. Elle s'arrête alors au plein milieu d'une phrase, tu arque un sourcil « et..? » Oui tu veux savoir la suite, heureusement pour toi elle fini sa phrase. Alors c'est le fait de s'être endormi durant les cours qui l'a mise dans cet état. Tu allais lui répliquer qu'il n'y avait rien de dramatique à ça lorsqu'elle te rappelle que si son père l'apprenait ça risquait d'être dur pour elle. Il est vrai que tu 'oubliais un peu lui, tu ne veux pas qu'elle y pense, parce que tu sais à quel point ça la rend mal. Et toi, tu veux la voir sourire et la tête qu'elle tire en ce moment même ne te fais absolument pas plaisir. L'idée qu'il puisse l'éloigner de toi ne t'étais jamais venu à l'esprit, non, tu ne t'imagines pas loin d'elle, tu ne t'imagines pas maintenant vivre séparé d'elle, c'est une chose que tu ne conçois pas. C'est alors qu'elle te pose une question qui pourrait paraître plus que cruciale pour n'importe qui, mais pas pour toi. Tu la regardes alors, voir son sourire disparaître comme ça en deux secondes, c'est plutôt fatale. Tu te tourne alors pour être face à elle et attrape doucement sa main pour la redresser et l'attirer contre toi. Tu passe alors tes bras autour de sa taille puis pose ton regard sur son visage. Tu décale une mèche de cheveux qui se promenait sur son visage et la cale derrière son oreille avant de prendre son menton entre tes doigts pour la forcer à te regarder. « Si je devais tout quitter pour venir avec toi, je le ferais. Mais je ne le laisserais pas t'éloigner de moi, il en est hors de question. » Tu lui fais un sourire pour appuyer tes mots et pour la rassurer, tu es on ne peut plus sincère et tu n'as pas hésité une seule seconde pour lui dire ces mots. Parce que même si tu les penses, tu sais qu'elle avait besoin de les entendre. « Kim' tu t'es juste endormi pendant un cours, tu peux très bien le rattraper chez quelqu'un, le bout de cours qu'il te manque, non ? Et puis, je suis certain que c'était pas intéressant ce que t'as raté » Tu y mets une touche d'humour, oui. Et puis, pour toi aucun cours n'est vraiment intéressant, mais le fait de le lui dire à elle, qui prends méticuleusement chaque cours, c'était un peu la charrier. Mais il fallait la faire sourire, et tu y arriverais, par n'importe quel moyen. Tu déposes alors un baiser sur sa joue « ça te dis d'aller faire un tour, histoire de te changer les idées ? On va où tu veux, ok ? » Oui, tu la laisse choisir, de toute façon, tant que tu peux être avec elle, peu t'importe l'endroit et l'activité, tu serais même capable d'aller à la bibliothèque avec elle, juste pour pouvoir être à ses côtés. Un peu fou, certes, mais, tu assumes.
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J’avais commencé à le provoquer par un simple baiser, et continué de plus en plus par la force des mots. Alors c’est vrai, et c’est sans doute normal, ça m’amusait bien. Là encore, je venais de lui faire part d’une sorte de découverte concernant son intelligence à laquelle je ne pensais pas venant de lui – ce qui, au fond de moi, n’était pas du tout vrai, étant donné que je savais très bien qu’il avait quelque chose dans la tête. Et évidemment, je savais qu’il ne resterait pas là sans rien dire, parce que malgré le fait qu’il soit malade, son répondant ne s’en est pas totalement en aller. Alors oui, rien que le fait qu’il se mit à grimacer me fit sourire, et ses paroles ne firent qu’intensifier mon rictus. « Ah aha aha ! Evidemment tu crois quoi ? » Prétentieux ? En un sens, oui, mais dire qu’il est péteux lui conviendrait mieux – bien que leurs sens ne soient pas bien différents au final. « Il faut bien que je sois un minimum digne de toi » Pardon ? Ce qu’il venait tout juste de dire coupa mon élant quant à une réponse un peu cassante – si on peut dire ça comme ça –, provocante. Pourquoi ? Tout simplement parce que là, je le trouvais trop mignon pour l’emmerder avec cette histoire… Alors je ne fis rien d’autre que lui sourire, attendrie, sans lui donner aucune réponse.

Mais en attendant, ma si belle provocation ne faisait que continuer en s’intensifiant. Alors oui, je venais de lui répondre que j’allais devoir me préparer mentalement à la journée qui s’annonçait étant donné que j’aurais à le supporter, lui et son ennui. Parce que oui, j’étais assez folle pour insinuer qu’il était l’homme le plus ennuyeux de cette planète, et que je risquais fort bien de m’endormir d’un moment à l’autre vu que me divertir n’était pas son point fort… Certes, c’était un beau et gros mensonge à son égard ; mais rien n’empêchait que ça pourrait nous amuser tous les deux. Et oui, si quelqu’un m’avait entendu, cette personne m’aurait demandé pourquoi donc je m’obstine alors à rester avec quelqu’un qui pue si fort l’ennui, la monotonie, et qui me servait plus de somnifère qu’autre chose… Et c’est là qu’on se rend compte des personnes qui ne me connaissent pas – et qu’ils sont bien nombreux au final. Et en plus de lui faire des pseudo-reproches à cause de cette pseudo-partie de sa pseudo-personnalité, je lui faisais de pseudo-menaces. Lesquelles ? Simplement que s’il tentait, de quelque manière qui soit, de me réveiller, de me sortir du profond sommeil qui risquerait de me prendre à cause de lui au cours de cette journée qui s’avisait à être pseudo-longue, je le mordrais. Et que trouvait-il à me répondre en affichant ce magnifique sourire en coin qui prouvait bien qu’il allait jouer ? Un « Tu vas voir si j’vais te mordre moi ! » ? Aha, aha ; alors oui, lui aussi se trouvait être marrant et… voilà qu’il me mordillait le cou. Doucement, certes, mais tout de même ; j’avais l’impression de risquer de mourir suite à la morsure d’un pseudo-vampire. Aha, aha. Puis le voilà à m’embrasser au même endroit… Si je comptais faire semblant qu’il m’avait fait mal dès qu’il retirerait ses lèvres ? Evidemment ; mais en attendant, je frissonnais comme une belle idiote. Et finalement, je le retrouvais à remonter ses lèvres le long de mon cou, jusqu’au moment où il finit par m’embrasser rapidement, tout juste après avoir effleuré mes lèvres… Et j’aurais voulu crier pour cette injustice. Laquelle ? Celle qu’il venait tout juste de faire en mettant fin à ce baiser beaucoup trop vite. Mais je n’allais pas lui sauter dessus pour autant, alors je me contentais d’écouter ce qu’il avait à dire… « Sale gosse vas » Ehhh ! Fronçant les sourcils, je fis mine de bouder, comme attrister. Alors oui, j’avais tous les droits de faire l’enfant étant donné qu’il me traitait de « gosse » pour strictement rien. Mais plus sérieusement, ce n’était pas comme s’il m’avait vexée… J’étais habituée à sa connerie après tout. « C’est toi le sale gosse ! Fuh~ tu vas regretter tes paroles, espèce de petit babouin abruti ! » Ne voyez là aucune véritable insulte, évidemment. Ca avait juste été une envie comme une autre, de le traiter ainsi… aussi gentiment.

Et nous voilà partis sur un sujet qui ne plaisait pas tant que ça, étant donné qu’il venait tout juste de me demander la raison de mon énervement passé, lorsqu’il m’avait attrapée dans le couloir. Et forcément, j’avais commencé à lui répondre que ce n’était rien ; chose que j’aurais dit à tout le monde pour n’inquiéter personne. Et j’ai continué en lui demandant simplement s’il s’inquiétait pour moi, chose à laquelle il répondit assez rapidement par un « Evidemment que je m’inquiète quand ça te concerne. » Mmh, évidemment, j’avais posé une question idiote. Mais je m’en doutais après tout, c’était juste une manière comme une autre de tenter de détourner le sujet… Sauf que non, puisque j’avais moi-même décidé de tout de même lui faire part de ce qui m’était arrivé. Je m’attendais à tout de sa part, étant donné qu’il ne voyait pas les études sous le même angle que moi… Redressé depuis quelques instants déjà, le voilà qu’il me fixait, jusqu’au moment où je m’arrête en plein milieu de ma phrase, hésitante à expliquer la suite… Mais forcément, son « et ? » prouvait bien qu’il n’allait pas me laisser m’arrêter ainsi, je me doutais qu’il insisterait autant qu’il le pourrait pour connaître la suite. Alors, j’ai continué, perdant rapidement mon sourire dès que le sujet mon père arriva. Parce que oui, les études ont beau être primordiales pour moi, c’est surtout à cause de mon père que je me mets constamment dans des états comme ça lorsque je fais quelque chose de travers à ce niveau… Parce que monsieur Ricci semblerait, pour tout le monde, n’avoir aucune compassion ; à croire qu’il ne sait pas à quel point la vie étudiante est dure. Mais forcément, je n’ai rien à dire, je n’ai pas à ouvrir ma bouche, je n’ai pas à lui donner d’explications, puisqu’après tout, il n’en croirait aucune. Têtu, aussi, oui… Sale caractère, finalement. Mais au fond, je l’aimais tout de même, puisque je n’en serais sans doute pas là au moment même, je ne connaîtrais pas cette université si j’avais été dans une autre famille ; et surtout, je ne connaîtrais pas Keylan. Mais ce que mon père était capable de faire pour une petite erreur comme celle-ci due à un peu trop de fatigue, je me doutais bien que Keylan ne le savait pas. Je me doutais qu’il ne savait pas qu’il pourrait facilement m’envoyer à l’autre bout du monde pour étudier là-bas et perdre ici toutes mes relations qui, pour lui, sont toujours le soucis ; et ce depuis que je suis toute petite. Et me voilà à poser une question cruciale à Keylan ; chose que finalement, je me disais que je n’aurais pas dû faire, pour la simple et bonne raison que j’aurais effrayé n’importe quel homme ainsi étant donné que ça nous projetait sans doute un peu trop dans le futur. Et là, je n’avais qu’une envie : lui dire d’oublier ce que je venais de dire, parce que je n’avais pas envie qu’il m’en veuille pour une idiotie pareille. Sauf qu’il fut plus rapide que moi lorsqu’il me redressa pour passer ses bras autour de ma taille, me fixant ainsi, avant de retirer une mèche de mon visage et de prendre mon menton entre ses doigts. Et mon cœur se mit à battre plus vite, chose qu’il pouvait sans doute sentir, étant donné que les battements parcouraient tout mon corps. « Si je devais tout quitter pour venir avec toi, je le ferais. Mais je ne le laisserai pas t’éloigner de moi, il en est hors de question. » Et tout mon corps s’était comme figé. Mes yeux avaient cessé de cligner, de bouger, et mon visage tout entier semblait mort. Je ne savais pas quoi dire, ni comment réagir. J’étais touchée par ses paroles, mais il m’avait comme bloquée. Et pour moi-même, c’était bien plus qu’étrange ; j’avais comme l’impression d’avoir perdu le contrôle de mon propre corps. « Kim tu t’es juste endormie pendant un cours, tu peux très bien le rattraper chez quelqu’un, le bout de cours qu’il te manque, non ? Et puis, je suis certain que c’était pas intéressant ce que t’as raté » Toujours aucun mouvement de ma part, ni aucune réponse, jusqu’au moment où il dépose un baiser sur ma joue ; j’ai l’impression de me réveiller. Puis je me mets quelque peu à sourire, me rappelant encore de chacun de ses mots. Et plus j’y pensais, plus je souriais. « Ca te dit d’aller faire un tour, histoire de te changer les idées ? On va où tu veux, ok ? » A peine eut-il fini sa phrase que je m’emparais de ses lèvres pour quelques instants. Et dès que je mis un terme à ce baiser, je repris le sourire qu’il m’avait rendu quelques instants auparavant. « Keylan, t’es vraiment un ange… Si seulement tu savais comme je t’aime ! » puis je mis mes bras autour de sa nuque quelques instants, avant de me relever rapidement.

En quelques mouvements, je me retrouvais debout. Et à peine fus-je debout que je me mis à m’essuyer de toute part ; et ce fut un peu comme un automatisme, un réflexe un peu douteux en même temps. Parce que le fait était que je n’aimais pas être sale, moi ; alors rien que de penser que mes vêtements pouvaient l’être, ça me répugnait un peu, en un sens. Alors histoire de retirer toute herbe qui avait pu rester coller à mon joli petit derrière, je me le frottais ; et non, c’était bien loin d’être des attouchements à ma propre personne. Puis je me baissais pour attraper la main de Keylan, le regardant en souriant. « Alors, tu viens ? On va voir ce qu’on peut faire ! » Et j’étais déjà à moitié remise de la mort soudaine de mon corps sur lequel je n’avais plus eu aucune autorité pendant quelques instants, et du sujet le plus désagréable pour moi : mon père. Et le fait que je sois en partie remise était sans aucun doute dû au soulagement que venait de provoquer le Greene. Mais pour le moment, je m’efforçais tant bien que mal de tenter de le tirer pour qu’il se lève enfin, lâchant quelques petits cris à cause de la pseudo-force que j’utilisais pour… ne pas réussir à le faire se lever. Fronçant alors un moment les sourcils, je repris la parole sur un ton insistant « Alleeeeez, lève-toi ! Tu sais bien que j’ai pas de forces, alors m’embêtes pas ! » Parce que oui, j’étais certaine qu’il faisait exprès de se faire plus lourd encore. Alors je tirais un peu plus fort sur son bras, jusqu’à ce que je me retrouvais parterre, assise sur les fesses. « T’es lourd ! Tu pèses combien, hein ? T’es pire qu’un sumo espèce de babouin nain ! Puis en plus j’ai mal aux fesses maintenant… Tu me dois un massage de derrière, et paf, aha ! » Et l’humour avait fini par revenir.
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Elle t'avait provoqué, évidemment elle avait réussi. Toi, tu rentrais dans son jeu et tu n'avais rien trouvé d'autre que de répondre de façon faussement vexé d'abord. En la regardant tu avais bien vu son air, celui qui disait qu'elle allait répondre pour renchérir, seulement tu continua avant qu'elle ne puisse prendre la parole en disant qu'il fallait que tu sois un minimum digne d'elle et donc que tu ne pouvais pas être un parfait idiot. Tu la vois sourire, tu l'as coupé dans son élan tu le sais mais tu en es fier, ouais, t'aime bien de temps en temps sortir des phrase dans le genre, suffisamment mignonne pour qu'elle n'ai plus envie de te provoquer. En un sens ça ne te dérange pas qu'elle te provoques, c'est un jeu plutôt intéressant autant pour toi que pour elle, seulement t'aime bien aussi la couper dans son élan de la sorte. Tu souris alors en voyant son air attendrie, ouais t'avais réussi. Seulement elle avait tout de même trouvé un autre moyen pour te chercher, et toi, tu étais évidemment rentré dans son jeu, une fois de plus. Elle avait osé insinuer que tu étais le mec le plus ennuyeux de la planète, même si tu sais qu'elle ne le pense pas, une fois encore tu avais prit un air faussement vexée. De plus, elle t'avait menacé de te mordre si tu osais la sortir du sommeil dans lequel elle tomberait par ta faute, c'est alors que tu as choisi de jouer, à ton tour. Tu as donc répondu avant de glisser tes lèvres das son cou pour la mordre gentiment, tu n'étais pas violent, loin de là. C'est alors que tu venais de l'embrasser rapidement et de la traiter gentiment de sale gosse qu'elle fronça les sourcils. Tu sais qu'elle n'est pas vexée mais son air le montre, n'importe quel imbécile passant par là aurait pensé que tu l'avait blessée en la traitant de la sorte, seulement c'est mal te connaître, il n'y a rien de méchant dans tes paroles. Et puis, elle l'a compris vu ce qu'elle répond. Elle te traite de petit babouin abruti, quoi ?! PETIT.. BABOUIN..ABRUTI ? Tu la fixe alors avant de faire un léger sourire et de répondre à ton tour. « Tu vas voir ce qu'il va te faire la babouin, non mais oh ! » Elle sait que tu rigole, tu n'es pas sérieux, ça se voit, ou du moins, quiconque te connais le verrait immédiatement. Tu souris alors avant de te redresser et de changer de sujet.

Tu lui avais demandé ce qui l'avait énervée en dehors de toi plus tôt dans la journée. Elle t'a alors expliqué ce qu'il c'était pas, tu allait lui répliquer que ce n'était rien de grave seulement elle renchérit en avançant le sujet de son père. En effet son père n'était pas des plus tendre avec elle en ce qui concernait les études, tu ne le connais pas personnellement, enfin c'est peut être mieux ainsi après tout, tu risquerais de ne pas être très cool avec lui. Pourquoi ? Simple, tu ne supportes pas de la voir avec cet air triste sur le visage, dés qu'elle vient à penser à son père, c'est le même air que tu vois. Tu préfère la voir sourire, c'est alors lorsqu'elle te pose une question qui serait plus que délicate pour n'importe quel autre petit ami que tu la fait gentiment se redresser pour la prendre dans tes bras, tu lui dis alors en la regardant que quoiqu'il puisse arriver, tu ferais tout pour rester avec elle, même si tu devais partir à des kilomètres de là, tu le ferais, tout ce qui t'importe au fond, c'est de pouvoir être avec elle. Tu la vois alors se figer sur place, ce que tu viens de lui dire a du la surprendre, oui elle ne devait pas s'y attendre, peut être qu'elle s'attendait à ce que tu lui dise que tu préférais ne pas aborder ce sujet là, que tu aurais détourner la conversation, ou peut être ignorer ses propos. Mais non, tu lui a dis clairement le fond de ta pensée et tu ne lui as pas menti juste pour lui faire plaisir, tu ne lui mens jamais, c'est une chose que tu ne peux pas faire, sauf si c'était pour lui sauver la vie et que tu n'avais pas d'autre choix. Tu déposes ensuite un baiser sur sa joue, ce qui a l'air de la réveiller en quelque sorte. Tu fais un sourire en voyant le sien réapparaître, c'est tout ce que tu voulais, revoir un sourire sur son visage. Tu lui propose alors d'aller faire un tour quelque part pour lui changer les idées, et puis pour occuper la journée, maintenant qu'elle sèche les cours, il fallait bien faire quelque chose. Tu as à peine le temps de finir ta phrase qu'elle s'empare de tes lèvres, tu fais un sourire et répond au baiser tout en le prolongeant. Lorsqu'elle y met fin, tu vois à nouveau ce sourire qui te plait temps, tu as réussi à la faire sourire et tu en es fier, ouais. Les mots qu'elle te dit ensuite te font sourire tu la regarde alors, te demandant si tu vas la taquiner ou non. Tu pourrais simplement rétorquer que tu sais déjà ce qu'elle vient de te dire mais tu ne vas pas te risquer à la faire bouder à nouveau, tu réponds alors simplement. « Tu ne pourras jamais m'aimer plus que ce que je t'aime ». De la provocation, en un sens oui, mais si peu. Tu lui fait un clin d'oeil avant de sourire en coin, tu sais qu'elle ne pourras pas ne pas répondre, elle cherchera forcément quelque chose à renchérir à ça.

En moins de deux secondes la voilà debout entrain de se frotter énergiquement pour faire partir les pseudo-saleté qu'elle peut avoir sur ses vêtements, tu la suit du regard et reste assit. Elle se penche alors pur attraper ta main pour que tu te lève, tu la laisse alors te tirer, même si elle n'y arrive pas vraiment. C'est à croire que tu ne veux pas aller avec elle, bien sûr que si, tu veux juste l'embêter un peu plus. Tu la laisse alors y mettre toute sa force, qu'elle n'as pas réellement, ou du moins, pas comparé à toi. Tu fait un léger sourire en voyant tout l'effort qu'elle met à tenter de te relever sans résultats. Sa phrase te fait d'autant plus sourire. C'est alors qu'elle retombe sur les fesses et fait une moue, en voyant son air renfrogné tu ne peux t'empêcher de rire. Elle est vraiment trop mignonne. Évidemment tu as fais exprès de te faire d'autant plus lourd pour l'embêter, comme tu as l'habitude de faire à vrai dire. A nouveau tu te fait gentiment insulté de babouin nain, et en plus elle t'avance que tu lui dois un massage, ben voyons rien que ça. Enfin, c'est une preuve que la Kim que tu connais est de retour, l'humour à reprit le dessus et c'est tant mieux. Tu souris alors en coin et te redresse pour te pencher vers elle, tu rapproche ton visage assez près du sien et la fixe. « tu sais ce qu'il te dit le babouin nain ? Petit asticot.. » Oui oui tu n'as rien trouver d'autre à dire, tu te lève alors et la regarde, elle a l'air de bouder encore assise parterre, tu fait un sourire et te met accroupie à côté d'elle, tu passe alors un bras dans son dos et l'autre derrière ses genoux puis te te relève en la soulevant, tu la porte alors comme si tu portais une princesse.. Aha. La blague. Enfin bref, tu la regarde alors avec un sourire « bon et on va où ? ». Que les gens vous observent, à vrai dire tu t'en fiche, tu commence à avoir l'habitude, il vaut mieux, au bout de cinq mois. Tu fini tout de même par la poser au sol, pas qu'elle est lourde mais tu ne vas tout de même pas la porter tout le long, elle a des jambes, c'est fait pour marcher.
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En sa présence, j’avais l’impression de passer des journées entières à jouer un jeu que je ne ferais pas avec un autre. Pas que les autres n’aient pas d’humour, mais je réservais en quelque sorte ce côté de ma personnalité pour Keylan. Peut-être parce que j’aime agir comme une parfaite gamine lorsque je suis avec lui ? Mais ça ne peut pas être l’unique raison, évidemment. Au fond, je ne suis jamais trop sûre de sa réaction, même si je sais parfaitement qu’il n’en viendra pas à la violence, qu’elle soit physique ou morale ; mais je suppose qu’il doit être dans le même cas que moi, à ne pas savoir ce que je pourrais répliquer… Alors oui, évidemment, il y a toujours une part d’excitation. Et je sentais qu’aujourd’hui, nous n’allions pas moins jouer qu’un autre jour, sauf que là… ça risquait bien d’être pire étant donné qu’à présent, j’étais forcée de passer la journée avec lui. Les gens pourraient facilement nous prendre pour de parfaits idiots à nous chercher ainsi, toujours là à nous provoquer… mais non ; ils n’ont qu’à tester par eux-mêmes. Je lui avais donc fait part de mes mensonges, chose à laquelle il avait répondu en me mordillant puis en me traitant de sale gosse. Alors non, je n’allais pas rester là sans rien dire, à ne pas bouger, et à me laisser ‘humilier’, en quelque sorte, par le Greene. Et pour répliquer, je m’étais mise en tête de lui lancer des pseudo-insultes qui, au final, sonnaient dans ma tête comme étant les insultes les plus mignonnes au monde… Parce que oui, j’arrivais presque à trouver les macaques mignons. Mais après tout, ces singes sont plus qu’amusants, non ? Et évidemment, le sourire qu’il venait d’afficher me prouvait bien qu’il ne le prenait pas mal et que, bien au contraire, ma petite connerie était plutôt bien passée. C’est donc avec un ton plutôt enjoué qu’il m’avait envoyé ce « Tu vas voir ce qu’il va te faire le babouin, non mais oh ! » qui, en toute sincérité, m’avait donné envie de rire aux éclats. Sauf que je m’étais contenue, me mettant en tête qu’un simple sourire et une langue tirée suffiraient… en plus de nouvelles ‘attaques’, qui arriveraient par la suite, étant donné que le sujet venait tout juste de basculer vers quelque chose de beaucoup moins amusant.

Lorsque je dis beaucoup moins amusant, c’est loin d’être un sujet triste, mais plutôt quelque chose de prise de tête et assez désagréable à aborder… Alors oui, mon père était strict et l’avait d’ailleurs toujours été, chose que je pouvais comprendre ; mais à force, j’avais presque réussi à craindre les réactions qu’il pouvait avoir vis-à-vis de toutes les choses que je faisais mal, selon lui, concernant mes études. Parce que non, il ne me semble pas que le fait que je sois à Harvard lui suffise pour lui prouver que je ne suis pas une idiote et que je sais, quelque part, gérer mes études toute seule. Et forcément, parler de ce qui avait pu m’arriver et des conséquences qui risquaient de suivre, ça m’avait sérieusement retiré le sourire et plombé le moral… chose que Keylan devait sans doute comprendre, sachant très bien dans quel état pouvait me rendre une discussion tournant autour de mon père. Sauf qu’il ne l’avait jamais vu et… me comprendrait d’autant plus s’il le voyait. Mais je sais bien qu’au fond, papa Ricci n’est pas si vilain que ça, et que malgré son autorité un peu trop présente, il détenait un cœur, beau et gros comme peu d’hommes en ont. Cette conversation m’avait tellement retourné le cerveau que j’avais réussi à poser cette question débile qu’il faudrait à tout pris éviter… en général. Mais à ce que j’avais pu voir, Keylan ne s’était pas gêné pour y répondre. Et ses répliques m’avaient tant touché que je n’avais plus réussi à bouger ; j’avais l’impression de rêver éveillée, et ce devait sans doute être la raison pour laquelle j’avais perdu possession de mon corps quelques instants. Mais rapidement, après un baiser qu’il m’avait délicatement posé sur la joue, j’ai retrouvé mes esprits ; et forcément, je n’étais pas restée là sans rien dire, et souhaitais lui prouver, en quelque sorte, que je l’aimais plus que n’importe qui d’autre ne pouvait l’aimer ; et pour ce faire, je n’étais pas passée par quatre chemin, j’avais pris la solution facile en le lui disant. Mais pas un simple « je t’aime », j’avais tout de même voulu ‘marquer le coup’ en lui disant qu’il ne pouvait pas savoir à quel point je pouvais l’aimer. Sauf que lui, forcément, n’était pas resté là sans rien dire non plus, puisqu’il avait rétorqué ce « Tu ne pourras jamais m’aimer plus que ce que je t’aime. » Ah ouais ? Est-ce qu’il était sérieux, là ? J’étais certaine qu’il savait que j’allais ouvrir ma bouche, que je ne pouvais pas m’empêcher de répondre à sa petite provocation, même si ce n’était pas grand-chose. Alors, réfléchissant un instant, je repris rapidement la parole : « Es-tu sûr de ce que tu avances ? Parce que moi je crois plutôt que c’est le contraire, hein… Tu peux sortir ça à n’importe qui d’autre, mais pas à moi, monsieur le macaque vert ! Comme si c’était possible ça… m’aimer plus que je ne t’aime. Franchement, hein ! Faut te réveiller, c’est plus l’heure de dormir là ! » J’étais sérieuse sans l’être par la même occasion, oui. Mais je n’avais pas dit n’importe quoi pour autant… Je croyais à certaines de mes paroles, et un peu moins en d’autres. Et puis, après tout, dans tous les cas, j’étais certaine qu’il m’aimait tout autant que je l’aime ; je ne disais ça que pour reprendre notre petit jeu de crétins…

Et me voilà, debout, à le tirer comme une parfaite idiote, tentant de le faire se lever lui aussi... Sauf que je devais avoir oublié que je manquais sérieusement de force pour réussir à le lever. Et j’avais fini, assez vite tout de même, par le réaliser, étant donné que je me retrouvais installée dans l’herbe, une nouvelle fois, mais pas pour les mêmes raisons que précédemment. Alors oui, pendant ce court instant, j’avais, malgré tout, réussi à lui lancer de nombreux mots à l’affilé et… oh, miracle ! J’avais même réussi à former des phrases correctes, sans trop réfléchir et en me faisant passer pour une débile. C’est une parfaite preuve que je suis multi-fonction, non ? Oui, bon, trêve de plaisanterie. Je voyais l’espèce d’énergumaine me faisant face, en train de bien se foutre de moi… ou en tous cas, c’est ce que j’en avais conclu, étant donné qu’il ne pouvait que rire de moi. Tout en grimaçant encore quelques instants, je le vois qui s’approche de moi, et qu’une fois son visage près du mien, sort ce « Tu sais ce qu’il te dit le babouin nain ? Petit asticot… » Oh ! C’était quoi cette insulte, au juste, hein ? Depuis quand c’est beau un asticot ? Mais étant donné que la vengeance est un plat qui se mange froid, et que j’étais un peu trop occupée à bouder quelques instants encore, je m’étais décidée à ne pas répondre, chose qui pouvait sembler étrange venant de moi, en fin de compte… Puis en quelques mouvements, me voilà dans ses bras, portée comme une princesse, voire même une femme fraîchement mariée – aussi fraîche que de la laitue sortant du potager, oui oui. Alors oui, je n’avais pas pu m’empêcher de sourire à son geste et à trouver ça mignon… jusqu’à ce qu’il me repose. Mais, hey ! Mais en attendant, il m’avait également lancé ce « Bon et on va où ? » auquel je ne savais pas trop quoi répondre étant donné que je n’avais absolument aucune idée du lieu où on pourrait se rendre… Rapidement, je m’étais mise à courir autour de lui, tout juste avant de lui sauter sur le dos et de m’agripper autour de son cou, sans pour autant l’étrangler. « Je ne te permets pas de me dénigrer en me traitant de petit asticot ! Puis si c’était ça ta vengence, elle était nulle d’abord… En plus, à cause de toi, je me suis faite mal. Alors fais gaffe, hein ! Je risquerais de me venger moi aussi si t’es pas gentil avec moi, espèce de vilain macaque de la forêt tropicale ! Puis d’abord, t’es même pas beau avec ta tête de ver de terre, fuh ! » Connerie, quand tu nous tiens. Mais oui, j’avais actuellement l’impression de battre des records en débilité, tout autant qu’en gaminerie vu le comportement que je venais d’adopter… Ca m’aurait presque fait pitié.
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Alors tu réponds à sa pseudo insulte en faisant semblant d'être vexé. Comme si le fait d'être traité de babouin nain abrutit allait te vexer pour de vrai, il faudrait être idiot pour être aussi susceptible là dessus. Et puis tu sais qu'elle rigole, la preuve lorsque tu lui réponds en pseudo boudant elle te fait un simple sourire avant de te tirer la langue. Tu fais un sourire et rapproche ton visage du sien et souffle contre ses lèvres « Mh.. c'est pas bien de tirer la langue.. vilaine » tu souris en coin, tu sais parfaitement qu'elle va réagir, c'est une chose plutôt évidente. Mais le sujet tourne vite au désagréable, par là tu penses à son père. Tu sais parfaitement que rien que le fait de parler de lui la rend triste, c'est pour cette raison que vous n'en parlez pas souvent, tu ne l'as d'ailleurs jamais rencontrer. Mais tu avais bien compris qu'il était a raison pour laquelle elle était aussi stricte avec elle en ce qui concernait les cours, et le fait d'avoir raté cinq minute l'avait tout de même assez chamboulé. Si ça avait été toi, tu aurait dormi jusqu'à la fin du cours mais elle n'a pas tout à fait la même relation avec son père que celle que tu as avec ta mère. En tout cas, le fait d'avoir loupé cinq minute de cours l'avait perturbé au point qu'elle avait déjà imaginé le pire, autant pour elle que pour toi, à savoir le fait qu'elle soit envoyé dans une autre école, loin de là où vous êtes actuellement. Ce qui te dérangerait fortement. Elle t'a donc posé cette question devant laquelle n'importe quel lâche aurait fuit mais à laquelle tu as répondu de façon sincère. Tes mots l'ont d'ailleurs assez touché au point qu'elle ne puisse plus bouger, ce qui la réveilla en quelque sorte fut le baiser que tu as déposé sur sa joue à la suite avant de repartir dans un réplique un peu moins sérieuse. Tu lui as tout de même fais énormément plaisir qu'elle te fit une déclaration en te disant que tu ne pouvais pas savoir à quel point elle t'aimait. Et bien sûr tu ne t'es pas empêcher de répliquer en dénigrant un peu ses propos. Mais tu savais qu'elle ne resterait pas sans rien faire et sa réaction ne tarda pas. Tu fais alors un sourire et la regarde tout en l'écoutant attentivement. Et l'humour a refait surface, preuve tu te fait gentiment traité de macaque vert, mh.. on peut dire que ça reste dans le même registre. Tu ne peux t'empêcher de sourire un peu plus, elle est vraiment mignonne quand elle s'y met, et ces petits jeux te plaisent. Oui, ce n'est pas le genre de chose niaises qu'on se dit, non vous vous préférez vous chercher constamment sans pour autant vous fâcher et tu préfère ça, c'est plus mouvementé, déjà, et puis vu vos caractère respectifs c'est assez amusant. Même si certaines personnes vous observent en ce demandant si vous êtes réellement sérieux ou non certains diraient même que tu ne la traite pas comme il faut ou inversement. Seulement vous savez, et c'est ce qui compte au fond, toi tu sais quand elle rigole et quand elle est sérieuse et tu sais que dans cette phrase elle l'était à moitié et d'un autre côté elle voulait continuer ce petit jeu. Alors, tu continue en posant ton indexe sur son front et en appuyant doucement, aucun geste brusques, tu n'en as jamais eu envers elle même énervé elle a toujours été la seule avec laquelle t'es incapable d'être brusque ou violent. Tu souris donc en coin avant de répliquer « Arrête de rêver. Tu sais très bien que ton amour pour moi n'est pas aussi fort que celui que j'éprouve pour toi.. Alors, pourquoi t'acharner, mh ? » Encore de la provocation, oui, mais tu trouve assez drôle et puis tu sais parfaitement qu'elle ne peut pas rester là dans rien dire, elle renchérira forcément.

Et ça y est elle est reparti, elle te tire de toutes ses forces pour réussir à.. ne pas te lever, en effet elle a une force de mouche, ce qui te fait toujours sourire. Enfin elle passa rapidement de la position debout à celle assise dans l'herbe parce qu'elle venait de tomber toute seule, en effet tu ne l'as pas tirer pour qu'elle tombe ni qui que ce soit, tu as simplement mis tut ton poids pour ne pas te lever. Ah, ce que tu aime l'embêter de la sorte. Et la voilà à faire la moue et à bouder, une nouvelle insulte fait surface, dans le même registre que les autres alors que toi tu te moque légèrement d'elle, oui oui tu assume totalement. Tu fais ensuite un sourire avant de rapproche ton visage du sien et de répliquer, et bien sûr tu n'as rien trouvé de mieux comme insulte que petit asticot. En plus, un asticot c'est moche et elle, elle était tout ce qu'il y avait de plus beau à tes yeux, enfin bon passons. Tu te lèves alors finalement pour ensuite la porter, puisqu'elle a décidé de rester là à bouder, elle ne répond d'ailleurs pas à ce que tu as dit, mais tu penses bien que ça ne va pas tarder. Tu la repose un peu plus loin et lui demande où elle voudrait aller. Et là, elle fait quoi ? Elle te tourne autour avant de te sauter sur le dos, un sourire se dessine sur ton visage, tu la rattrape et la tien, histoire qu'elle ne tombe pas, ou qu'elle ne t'étrangle pas en s'accrochant. C'est alors qu'elle prend la parole, tu l'écoute donc tout en avançant pour sortir de là, même si tu ne sais pas où tu dois aller. Ses paroles te font sourire, voir rire, oui, elle a un quota de connerie assez important, mais c'est toujours un suspense pour toi de savoir ce qu'elle peut encore inventer et là tu dois dire qu'elle a fait fort. Tu es quand même passé du babouin nain à la tête de ver de terre en passant par le macaque vert. Heureusement pour toi que ce ne sont que des insultes lancées sans trop réfléchir parce que sinon tu pourrais te poser des questions. Tu tourne légèrement la tête vers elle pour la regarder « Dis moi.. t'es sûre de ce que tu dis là ? Un tête de ver de terre, non mais.. j'aurai tout vu avec toi hein » à nouveau l'humour prends place, il est évident que tu ne l'engueule pas, loin de là et elle le sait. Tout en avançant tu réfléchit tout de même à ce que vous pourriez faire, tu regarde alors devant toi, histoire de regarder où tu marche. « Bon alors. Tu veux aller manger quelque chose ? Genre crêpe ou glace ou je sais pas.. Ou tu veux aller voir une amie pour récupérer ton cour ? » Non tu n'as pas oublié, évidemment qeu tu n'as pas oublié et bien que tu ai une attitude je m'en foutiste par rapport les cours, elle ne l'a pas et tu la respecte, parce que tu sais à quel point c'est important pur elle, tu sais à quel point elle tient à réussir et tu la soutiens peu importe la situation. Elle le sait, que quoiqu'il puisse se passer dans sa vie tu seras toujours avec elle, à moins qu'elle ne te demande de dégager de sa vie, certes ce serait assez délicat et plutôt long pour pouvoir la virer de ta vie, mais pour le moment tout va bien et tu vas tout faire pour que tout aille bien encore longtemps. Et tu sais aussi faire la part des choses, bien que tu lui demandé de resté avec toi la journée, si elle voulait aller travailler tu irais avec elle, bien que ça ne t'enchante pas plus que ça. C'est pour cela que tu lui propose d'aller récupérer ce qu'elle a raté, bon, peut être qu'elle ne voudra pas y aller mais ce ne sera pas faute de lui avoir proposé.

I'm sorry to be late T^T ♥
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