S'il te plaît ne m'en veux pas. { Emrys

Je voulais etre là pour elle, enfin j'aurai voulu et elle m'avait clairement évincé ; moi, son frère, son ami, son confident et j'étais choqué car moi je n'avais jamais menti, j'avais toujours fait plus pour que mes instincts ne restent pas et que je dise tout à la belle mais en gros, elle, elle n'avait rien fait pourtant je commençais à l'accepter, la comprendre car plusieurs fois, j'avais pensé à faire ça et aurais-je prévenu ? Aurais-je été me plaindre ? Non, je ne crois pas, en fait, je sais pas surement auprès de mon frère mais peut etre pas auprès des autres mais j'aurai aussi compris leur réaction donc quer devais-je faire vis à vis d'elle ? je grimaçais alors qu'elle s'expliquait en me faisant comprendre que ça n'aurait pas servi surement que si mais qu'à ce moment là, elle voulait pas et une fois encore, elle s'excusa. Je pris alors ses mains comme prenant conscience d'une chose et lui dit en la dixant d'un air débile : Je t'en supplie ... ne me sors plus que tu es désolé ... Je soupirais avant de baisser le regard, soupirer et la fixer de nouveau. Je ne t'en veux pas ... enfin si ... mais je veux pas te rayer de ma vie alors que tu es là maintenant ! Je veux juste du temps pour retrouver la complicité d'avant Aby! Avais-je dit presque ému mais gardant mon sang froid au maximum.

Je crois qu'elle ne s'attendait clairement pas a ce que je réagisse ainsi au final quoique elle savait que j'étais quelqu'un de rancunier, que je pouvais ressentir les erreurs du passé a tout moment mais aussi, etre le plus tendre du monde malgré toutes les erreurs commises car j'avais conscience que j'avais pas patte blanche non plus ; j'avais conscience de l'erreur qui est soi disant dans l'etre humain et tout à fait humaine justement contrairement à d'autres qui le zappé et rayer toutes personnes de sa vie à jamais. Je la regarde avec émotion parce que je me rend fou de ne savoir quoi faire avec elle, je crois et que je me rend compte qu'on a besoin de l'un de l'autre ... qu'elle fait parti de ces nombreuses personnes qui avec le temps ont avancés dans mon estime et on fait d'Emrys un mec moins solitaire que dans son enfance et son adolescence ! Je grimace alors que je vois qu'elle ne se sent pas bien de me voir comme ça et me sort déjà qu'elle ne me veut pas ainsi. Je grimace ; elle aurait du s'en douter en me faisant trop d'émotion, en revenant d'un coup. Elle comprend tout et ça me rend mieux parce qu'elle comprend puis me montre que ça fait réellement mal de me voir comme ça alors je reprend ses mains avant de lacher pour la prendre dans mes bras : Je suis content que tu sois revenue petit soeur ... Ouais, elle était surement l'unique personne que j'arrivais a appeler comme ça parce qu'elle avait souvent dit des phrases, que petite, Thalya, ma véritable sœur décédée avait dit me forçant presque à devenir mentalement instable en l'appelant ainsi. Tu es revenue depuis quand ? J'appréhendais sa réponse mais j'avais besoin de savoir.

Je montre tout de meme à la demoiselle que tout n'est pas négatif dans mon attitude, ma réaction ; faut qu'elle sache que ça me fait plaisir de la voir mais clairement, je ne pardonne pas si vite et puis, je n'aime pas montrer donc c'est un gros effort. Elle remercie d'ailleurs mon effort en me disant qu'elle en est heureuse que ça redevienne normal très vite entre nous et que je ne me ferme pas complètement mais je suis perplexe car en gros, on s'est foncé dedans mais ça se trouve elle serait jamais venu et je suppose qu'elle vient pas d'arriver alors j'ai besoin de tout savoir, vaut mieux tout encaisser maintenant alors quand je vois qu'elle hésite à répondre : je sens que ça va pas me plaire ... dis-je dans ma barbe. Je l'entend alors prononcer timidement deux mois et là, mes yeux tournent dans leur orbite, s'agrandisse la regardant alors comme un merlan fris; je suis trop choqué ! Mais j'arrive pas à réagir si bien qu'elle a le temps de chercher une explication me disant que d'autres ont tellement mal réagi mais voilà, on est si proche comme elle dit alors pourquoi je ne fus pas dans les premiers et pourquoi n'a t elle pas tenté la mauvaise réaction : ne suis-je pas important ? je la regarde, énerve de nouveau et me contente d'une unique phrase : Alors en somme ... je ne suis pas si important que ça à tes yeux ... avais-je dit en tournant le regard pour voir l'horizon et ne plus croiser son regard qui me décevait.