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(+Bleeker) Peace and love

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Depuis le début du Summer Camp, je jouais les associable. Je restais autant que possible enfermée dans ma chambre, sur le bateau, loin de toute activité humaine. Surtout que j’avais eu le malheur de tomber dans l’équipe de Lizzie. Non seulement je ne la portai pas dans mon cœur, mais en plus, nous nous étions récemment accrochées de façon plutôt violente juste avant la fin des cours. Autant dire que j’étais transportée de joie dès que je la voyais. Et pour couronner le tout, j’avais eu la bonne idée de suivre les conseils de Bleeker et d’appeler en France pour prendre des nouvelles de Siméon. Il n’avait pas été loin de la vérité dans son mensonge. Certes, il n’était pas atteint d’une maladie incurable. Mais il avait eu un accident de voiture deux ans auparavant, et après un an de coma et de respirateur, ses parents l’avaient finalement débranché. Je n’avais même pas eu la force de pleurer, restant complètement amorphe pendant une semaine entière entre la fin des cours et le début du Summer Camp, ne prenant contact avec personne. Je n’en avais même pas parlé à Charlie. Non, j’étais restée dans mon mutisme, ne réalisant qu’à moitié ce que j’avais appris. J’avais l’impression de ne ressentir aucune émotion, comme si mon cœur avait cessé de battre, me laissant en vie sans que rien ne m’anime. Plus d’amour, plus de haine, plus rien. Le vide intersidéral. Dans un sens, c’était préférable vu ce qu’il m’attendait. Je me levai, quittant mon lit si douillet pour aller affronter la brûlure du soleil et la réaction encore inconnue de celui que je devais aller voir.  J’allais marcher sur la plage, rassemblant mes idées, cherchant mes mots pour aborder Bleeker sans qu’il ne se renferme instantanément ou qu’il m’envoie bouler comme une vieille chaussette. Je n’eus pas le temps de réfléchir bien longtemps, car j’aperçu une silhouette à quelques pas de moi, assis sur la plage. Il était là, je n’avais plus le choix. Je devais bien ça à Jackie. J’allai m’asseoir à côté de lui en douceur, évitant tout geste brusque – depuis notre dernière entrevue, il avait toutes les raisons du monde de se méfier de moi… «  Ne t’inquiète pas, pour une fois je ne viens pas pour t’agresser, mais plutôt pour faire la paix… » Je fixai l’horizon, incapable de tourner mes yeux vers lui de peur de ne voir que de l’hostilité sur son visage.
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Saint Barthelemy, aaaah Saint Barth la belle, la magnifique … Cody ne savait pas pourquoi mais cette île lui donnait envie d’épouser la plage, de se rouler dans le sable et de faire des bébés grains de sable puis se masser le dos sur les galets. Il n’était pas plageophile mais là, il était à la limite d’aller sur Wikipedia pour vérifier si le mariage avec une plage était possible. Ben quoi, certaines personnes épousaient bien des chiens ou des arbres. Pourquoi pas une plage de Saint Barthelemy ? Ce matin, Bleeker s’était levé aux aurores. Il ne savait pas top pourquoi, franchement, il n’avait rien d’autres à faire que de glander sur la playa à longueur de journée. Mais là, il était intrigué par la poésie d’un lever de soleil sur une plage aussi paradisiaque. Il quitta ses quartiers et marcha le long d’un chantier, les mains dans les poches, la tête légèrement inclinée en avant pour se parer conte la brise matinale. C’était parfait. Il abandonna ses orteils dans le sable doux encore frais puis s’assit face à la mer, le regard vide, les idées peu claires. Ce Summer Camp était juste complètement irréaliste, il n’en revenait pas de tout ce qui se passait quoi, à cheval entre le rêve et le cauchemar en fait. Il plia ses jambes et passa ses bras autour de ses genoux, se mordillant la lèvre, pensif. On le tira bien vite de ses songes quand on l’aborda. Il eut un mouvement de recul, se penchant allègrement vers le côté opposé à Norah en gardant un appui avec son bras. La dernière fois, elle l’avait frappé. OK, Cody, on le frappait beaucoup ces derniers temps mais il ne voulait pas que ça devienne une habitude quoi. « La paix ? C’est quoi ce plan foireux ? » Il doutait de la sincérité de Norah. D’accord, il avait merdé avec elle. Mais ne pouvaient-ils pas juste en rester là ?
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Comme je m’y attendais plus ou moins, il se jeta de l’autre côté, prêt à parer à toute attaque possible de ma part. Je restais impassible, fixant l’horizon, le menton appuyé au creux de mes mains alors que je m’étais assise en tailleur. Après tout, je ne pouvais pas lui en vouloir. A chaque fois que l’on se voyait ou presque, j’avais eu la fâcheuse tendance de m’énerver, allant jusqu’à le frapper plutôt violemment. Il avait l’air plutôt ridicule appuyer sur son bras, pencher ainsi d’un seul côté, mais je ne fis aucune remarque. Il était grand temps d’apaiser les esprits et de mettre les choses au clair entre nous. Plus de Siméon, même si la ressemblance me frappait toujours autant, si ce n’est plus depuis que j’avais appris sa mort. C’était d’ailleurs sûrement pour ça que j’étais incapable de le regarder dans les yeux, de poser mon regard sur ce visage. Je me serais cru dans un film d’horreur, et vraiment, je n’avais pas besoin de ça, loin de là. Evidemment, sa réponse était hostile, et il semblait plus que méfiant, sur la défensive. Sans hausser le ton, ni même chercher à rentrer dans le lard – mais où donc est passé mon impulsivité légendaire ? – je lui répondis de ma voix la plus calme, qui en fait était dénuée de toute émotion. « Je sais que ça peut te paraître plus que louche, mais c’est pas un plan foireux. C’est juste que… Je suis proche de Jackie, et avec ce qui lui est arrivée, je me suis dit qu’il était peut-être temps d’enterrer la hache de guerre. Je te demande pas d’être mon ami, rassures-toi. Mais juste de calmer le jeu, de faire cet effort pour elle. Plus d’engueulades, plus de mensonges, et promis je te frapperai plus. En gros, une entente cordiale. T’en penses quoi ? » Je jouai mécaniquement avec le sable, le prenant dans mes mains avant de le laisser retomber, attendant sa réponse. Tout dépendait de lui maintenant, et de s’il voulait bien me croire ou non. Tant qu’on ne passait plus notre temps à nous déchirer, c’était l’essentiel. Et pour ça, nous n’étions  pas obligés de devenir les meilleurs amis du monde, et heureusement.
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La présence de Norah ne lui plaisait pas. Elle était trop proche de lui, il avait bien vu de quoi elle était capable quand elle se laissait submerger par ses émotions. Et en présence de Cody, ce n'était pas la mer calme, non, elle était renversée par un torrent, un tsunami d'émotions. Il n'y pouvait rien s'il lui rappelait son Français. Peut-être était-ce parce qu'il était Canadien et qu'il fut jadis un grand pêcheur à la ligne ? Il pêchait régulièrement le saumon. Saumon … Siméon … Vous voyez la ressemblance ? Oui, ça devait être un medley de tout ça. Cody s'efforçait de ne pas partir en courant face à cette proximité. Les paroles de Norah le laissèrent perplexe. Faire la paix pour Jackie ? Drôle de principe. Pourquoi pas. Gagnant un peu confiance en elle, il se redresse légèrement, mais toujours prêt à se protéger dans l'éventualité où elle lui sauterait dessus. « Corrige-moi si je me trompe mais quoi ça me concerne ? Si je me rappelle bien, celle qui provoquait les engueulades … C'était toi. » Lui, les mensonges. Et encore, ce n'était qu'un demiiii mensonge quand il s'était fait passer pour son ex. Sur le coup, c'était la meilleure solution mais il s'était déjà assez tué à le lui faire vainement comprendre.
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Il eut un mouvement de redressement, ne restant plus penché de façon ridicule sur son bras. C’était toujours mieux que rien, enfin une avancée de sa part ! Parce qu’avec lui, et vu sa réponse, j’avais l’impression de pédaler dans la semoule, de m’épuiser pour rien, comme s’il n’en avait strictement rien à foutre de ce que je pouvais lui dire. Si ce comportement avait par le passé eu le don de m’agacer – voir de me pousser à devenir violente lorsqu’il s’entêtait à être aussi borné – je n’avais cependant pas la force de me battre ce jour là. Heureusement pour lui j’imagine. Mais il ne faut pas rêver, il ne me donnait pas non plus l’envie d’être d’une amabilité chaleureuse. Poussant un soupir face à ses insinuations – quelle mauvaise foi, celui qui avait commencé à mentir, c’était quand même bien lui ! – mais je n’arrivais pas à faire ressortir mon agressivité légendaire. Non, je restais parfaitement amorphe, comme désespérée face à un enfant capricieux, le genre de sale gosse qui râle parce qu’on lui a donné de la pâte à tartiner et pas du Nutella, parce que ô rage, ô désespoir, ça n’a pas du tout le même goût ! Il ne pouvait pas juste apprécier l’effort surhumain que je venais de faire en m’approchant de lui pour engager les négociations de paix ? « Bon écoute, on ne va pas revenir sur le pourquoi du comment on en est arrivé là. J’ai peut-être commencé les engueulades, n’empêche que c’est moi qui viens pour calmer le jeu. Après, si toi t’en as rien à faire, tant pis, je m’en vais et je te laisse à ta contemplation. » Je fixai toujours l’horizon, encore incapable de me tourner vers lui et son visage fantôme.
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Norah D'Angély. Que ne ferait-il pas pour elle ? Pour qu'elle lui fiche la paix ? Cody ne la sentait pas derrière ses retranchements, ça sentait la meuf qui avait une idée derrière la tête. Il n'avait pas envie qu'elle ait une idée derrière la tête, pas quand elle se trouvait près de lui, pas à une telle proximité qu'elle pouvait jauger de sa place l'état de nervosité du jeune homme. Non, il n'était pas nerveux, plutôt prêt à bondir si jamais elle s'amusait à l'attaquer. Au fond, ça devait l'éclater de ressasser avec Bleeker leurs mésaventures. Peut-être n'avait-elle pas d'autres amis ? Pourtant, Cody avait envoyé William en opération Norah, mais elle n'avait pas la tête d'une femme pleinement comblée par le charme British de notre Kane et Barbie officiel. « Reste. » finit-il par dire sans détourner son regard de l'horizon. Il n'avait – bizarrement – pas envie qu'elle parte. OK, soyons tous d'accord pour dire que cette fille était clairement tarée. Il lui manquait deux-trois case, si ce n'est plus, mais Bleeker était pris d'affection pour cette psychopathe. Elle avait su le rendre fou comme personne n'en était capable et bien qu'il n'était pas certain d'aimer cette partie de la personnalité de la jeune femme, et bien qu'il préférait ne pas la voir du tout plutôt que la voir et s'engueuler tout le temps, là, elle lui proposait son amitié. « Je ne savais pas que tu étais proche de Jackie ... » Bizarre, cette dernière ne lui avait jamais parlé d'elle. En même temps, depuis sa grossesse, Cody avait le sentiment que quelque chose s'était brisé.
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Finalement, le Bleeker n’était pas si hostile que ce qu’il avait laissé croire au premier abord. Il acceptait même que je reste assise à ses côtés. Est-ce que nous allions enfin réussir à avoir une conversation civilisée, sans hausser le ton, ni se jeter l’un sur l’autre au bout de cinq minutes ? De façon étrange, il me laissait une lueur d’espoir, comme quoi tout peut arriver. Est-ce que j’allais retrouver le Bleeker presque gentil que j’avais aperçu lors de notre première rencontre ? Laissons le temps au temps, avec un peu de chance je n’aurais pas à faire plus d’efforts que ce que je n’avais déjà fait. Je me détendais légèrement, un peu plus à l’aise, un peu moins froide. Presqu’adoucie lorsqu’il mentionna Jackie. Apparemment, je n’étais pas la seule à ne pas connaître les fréquentations de la jeune femme. Au moins ne m’avait-elle pas menti quand elle m’avait dit ne pas être au courant de tout ce qui avait pu se passer entre son meilleur ami et moi. Je pris une profonde inspiration, repensant à cette conversation autour d’une glace, qui avait dégénéré en torrent de larme. Il n’y en avait pas eu une pour rattraper l’autre ce jour là. Rien que d’y repenser, je me sentais incroyablement pathétique. « J’ai commencé par lui apprendre un peu de français, puis finalement on est devenu amie. Et disons que… notre expérience commune nous a rapproché. » Sans m’en rendre compte, je laissai glisser une main sur mon ventre. Si notre vécue n’était pas tout à fait le même, nous avions quand même toute deux connues la même perte, la violence de cet arrachement contre nature. Heureusement, grâce à la gaffe que j’avais faite lors du Spring Break, je n’avais pas besoin de lui donner plus de détails – enfin, en espérant qu’il s’en souviendrait. « Je sais ce qu’elle traverse. Et elle a besoin de soutien. C’est pour ça que j’aimerai calmer le jeu entre toi et moi. Si ça peut l’aider d’une quelconque façon… » Tout est bon à prendre, non ?
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Peut-être qu'avec Norah, elles avaient plus en commun que Cody ne le voudrait. Jackie. Norah. Jackie et Norah. En fait, ce n'était pas si étonnant. Elles se ressemblaient beaucoup les deux femmes, si ce n'est que là où Jackie était drôle et douce, Norah était violente et cassante. Chacun son truc. Ce point différent de leur personnalité ne semblait pas les empêcher d'être amies et ce n'était pas plus mal. Cody n'avait pas su gérer la grossesse de Jackie, il l'avait limite supplié d'avorter. Lui, le père de famille si parfait – ou pas – qui ordonnait à sa meilleure amie de ne pas réaliser son rêve de fonder une famille. En même temps, sur le coup, ça lui paraissait tellement justifié. Porter le gosse d'un homme qu'on n'aime pas, c'est lui retirer les armes pour se battre avant même que le combat ne commence. Et quand elle l'avait perdu, même s'il n'était pas là en train de dire 'ouf', il avait craint du boudin niveau soutien. La présence de Norah près de Jackie le rassurait. « Ah, vos histoires de bébé. » murmura Cody avec un niveau de tact égal à zéro. Il n'avait jamais été et ne sera jamais doué pour se mettre à la place des gens. Sa place étant suffisamment relou, il ne rajoute pas de problèmes supplémentaires. « Et on est censé agir comment quand on se croise, hein ? J'veux bien tourner la page Norah, mais je n'oublie pas pour autant ce que j'ai lu avant. Et des chapitres, il y en a. » Malgré les paroles, son ton ne se voulait nullement accusateur. Il s'avérait à la fois las et comblé d'une volonté de bien faire. Pour une fois.
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Je ne relevais même pas sa remarque sur nos histoires de bébés. J’avais bien assez pleuré sur le sujet ces derniers temps, ce n’était pas avec ça qu’il parviendrait à m’atteindre s’il telle était son intention. Quoique je restai désorientée face au gouffre qui séparait le ton qu’il employait des paroles qu’il prononçait. Si, à l’entendre, il n’y avait qu’à lui qu’on avait fait du mal et qu’il était le seul à devoir oublier des choses affreuses, la façon dont il énonçait tout ça me laissait croire à une ouverture, une possibilité de m’exprimer calmement sans que la conversations ne montent dans les tours, ou que l’un de nous ne montent sur ses grands chevaux – sachant que pour une fois, ce ne serait pas moi, je ne lui ferais pas ce plaisir. S’il voulait s’énerver ou créer un nouveau conflit, ce serait tout seul. J’allais juste me permettre de remettre les pendules à l’heure, sans pour autant me montrer agressive. Contrairement à ce qu’il pouvait penser, je savais me montrer gentille quand il le fallait. Je pouvais même être un vrai bisounours. Mais ça, il ne le saurait probablement jamais, sauf si le destin venait à nous jouer un de ces tours dont il est le seul à connaître le secret. « Qu’est-ce que tu crois, je ne compte pas oublier non plus tout ce qu’il s’est passé. Je crois que même si je le voulais je n’y arriverai pas, de toute façon. On peut… je sais pas moi, peut-être juste éviter de se détester ? » Je ne lui demandais pas la Lune non plus. Et puis se haïr et s’éviter comme on le faisait, c’était fatigant à la longue…
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Vous pensez que les gens peuvent évoluer ? Cody avait toujours pensé que la seule personne qui pouvait évoluer, c'était Carapuce en Carabaffe. Ou Bulbizarre en Herbizarre. Bref, seuls les Pokemon pouvaient évoluer. Ça faisait déjà pas mal d'évolution mais il n'aurait jamais pensé voir un jour chez Norah cette lueur d'espoir envers sa relation avec Cody. Honnêtement, ils étaient plutôt mal partis. Et là, il ne faisait pas référence à la nuit où il s'était fait passer pour Siméon. Même avant ça, Norah débloquait carrément en sa présence et c'était vraiment étrange, comme si elle avait passé la porte de la Lowell House en pensant fouler le seuil d'un hôpital psychiatrique. « Et pourquoi tu ne voudrais pas ? Qu'est-ce que ça t'a apporté de plus à part de la souffrance et des larmes ? » OK, c'est en faisant des erreurs qu'on apprend. Oui, en général, pour les exercices de maths ça fonctionnait à merveille. Mais pour les épreuves de la vie, adopter cette philosophie faisait de chaque individu un martyr qui endurait des douleurs profondes dans le vain espoir que ça le construise. La vie, c'est pas comme ça. Cody préférait éviter les obstacles. Pas foncer droit dessus. Avec Norah, il n'était pas parvenu à sauter par-dessus, la marche était trop haute, et depuis, il le traînait comme un boulet à ses pieds. Il aimerait s'en débarrasser mais il ne pouvait tout simplement pas. « Evitons de nous détester. » affirma-t-il, sereinement.
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