Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityI need the both of you | Darnell&Aaliyah - Page 2
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I need the both of you | Darnell&Aaliyah

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I need the both of you
w/ Zara & Darnell

Je m'en allai. Très lentement certes, mais je m'en allai quand même, jusqu'à ce que j'entende sa longue tirade. Je ne savais pas comment le prendre. Je savais qu'elle me provoquait, qu'elle disait ça pour me mettre en colère et le problème est que ça marchait à la perfection. Je serrai le poing avant de faire demi-tour et d'accélérer le pas en sa direction. Je lui mis une gifle en pleine figure. Ne plaisante pas sur ça ok ! Ne joue pas avec moi, j'suis pas ta pote ! Ne me cherche pas où tu risques de le regretter ! Oh et puis merde ! Je parlais beaucoup trop et agir me paraissait être la meilleure des solutions. Je fermais la bouche et le plus naturellement possible, je lui sautais dessus. Mes gifles n'existaient plus. C'étaient mes poings qui la frappait. C'est pas vrai. La vraie Aaliyah n'habitait plus mon corps. Elle était partie. Aucune larmes, aucun cri. Je n'étais que colère et coups. Elle me les rendait également mais je ne réagissais pas. Aucun cri de douleur ne sortait de ma bouche.
Elle en avait fait exprès. Je pense au fond de moi qu'elle savait parfaitement que ces mots me mettraient hors de moi, me ferait carrément quitter mon corps mais elle les avait quand même dit et comme une idiote, j'étais tombée dedans. J'avais plongée dans sa connerie la tête la première.
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J'avais quitté Zara et avait fait signe à Aaliyah. En gros, elle pouvait la rejoindre. J'en avais fini avec cette garce. Je m'étais éloigné d'elles. Je ne voulais rien savoir de leur conversation même si je savais que Liyah viendrait tout me dire à la fin. J'étais assis sur le sable et je les regardais. Physiquement, elles étaient toutes les deux magnifiques, parfaites, limite identiques, les tatouages en moins pour Zara. Sauf que l'une était blonde et l'autre brune. Et pourtant mentalement, c'était le jour et la nuit. Le nord et le sud et ainsi de suite. Liyah était le bien, la fragilité, la douceur, la gentillesse et parfois même la naïveté alors que Zara était le mal incarné. La provocation, la manipulation, la possessivité. Elle ne laissait pas marcher sur les pieds, elle ne se laissait pas faire et elle n'autorisait personne à entrer dans son petit monde, à découvrir la Zara dont j'étais tombé amoureux au tout début. Elle montrait à tout le monde cette blondasse prétentieuse que je ne supportais plus et qui m'avait poussé à toutes ces sorties et toutes ces tromperies quand nous étions encore ensemble. Elle avait fait souffrir Liyah et moi aussi par la même occasion. Elle avait monté de toute pièce une scène ridicule avec Nicholas. Et dire que j'étais prêt à me battre avec lui en voyant cette scène. Je suis content et fier de moi. Fier d'avoir su garder le contrôler sur mes émotions, sur mon impulsivité, ma colère.
J'étais loin dans mes pensées mais je regardais toujours dans leur direction. Assis par terre, sur le sable blanc. Liyah faisait demi-tour, elle venait dans ma direction et je sortis de mes pensées à cet instant mais finalement. Elle revint vers Zara. Elle avait l'air plus en colère que jamais. Je ne savais pas ce que la Lowell avait bien pu lui dire mais ça ne lui avait pas plu et dans un silence glacial, blanc, elle lui mit une claque. Je pensais que ça allait s'arrêter à ça mais non, elle se jeta sur elle, la rouant de coup. Elles se battaient et ni une, ni deux, je me précipitais vers les deux femmes. Zara rendait les coups, ce qui était normal mais ce qui me choquait le plus, c'était Aaliyah. Ce n'était pas dans son habitude, mais le plus surprenant, c'était sa tête, son corps. C'était comme un robot qui ne faisait rien d'autre que frapper. Comme si elle ne respirait plus, qu'elle ne pensait plus. Aaliyah bordel stop ! Je l'entourai de mes bras, la soulevant et surtout, l'éloignant de Zara. Elle ne se débattait pas. Elle était comme absente.
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Darnell&Aaliyah

Non mais je rêve ! Elle venait de me gifler là ? Apparemment, la classieuse et calme Aaliyah n'existait pas, ce n'était qu'un mythe et c'est bien une pauvre conne et garce, hypocrite et manipulatrice comme je le disais depuis le début. Puis, je m'attendais à ce qu'elle s'arrête à là mais non. Elle allait beaucoup plus loin. Je savais qu'en disant ça, je l'avais poussée à bout, d'où la gifle mais je ne m'attendais pas à ce qu'elle aille encore plus loin et qu'elle me mette à terre pour me rouer de coup. Je me défendais du mieux que je pouvais. Hurlant des insultes, lui demandant de dégager, de me lâcher. Je lui rendais les coups et bien qu'elle soit mince -aussi mince que moi vous me direz- ses coups faisaient mal, ils me blessaient vraiment. Elle était totalement hors de contrôle. Je tirai ses cheveux sur le côté, je lui collais des pain en plein dans la lèvre. Je ne m'y attendais pas du tout. Aaliyah qui se bat quoi, on aura tout vu.
Je savais qu'il lui arrivait de devenir totalement hystérique. Mais elle ne s'en prenait jamais directement aux gens, jamais physiquement. C'était comme un principe chez elle. Apparemment, ça ne l'était plus depuis que j'avais insinué que c'était une pauvre petite fille riche et dépressive. Je le pensais et j'assumais chaque mots qui étaient sortit de ma bouche. Et soudain, plus rien. Darnell l'avait soulevée, prise dans ses bras et éloignée de moi. Je me levais, fixant Aaliyah. « Calme ta putain ok ? ». Elle ne bougeait pas. Elle ne parlait pas depuis qu'elle m'avait sauté dessus. J'avais envie de le faire à mon tour mais Darnell était là à présent et on s'en était assez mit sur la figure je pense. « Ne m'approche plus jamais sale tarée ! Et toi, quand elle se tapera le premier mec qui lui dira qu'elle est bien roulée, pense à moi te disant, je te l'avais bien dit ! » Rester près d'eux ? Merci mais non merci. Je m'en allai, faisant un salut rapide de la main. Je n'avais jamais vu ça. Elle restait de marbre. Elle ne parlait pas, ne clignait pas des yeux, comme si elle était possédée ...
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w/ Zara & Darnell

Je m'acharnais sur elle, au sens propre du terme. Je ne maîtrisais pas la vitesse à laquelle mes coups atterrissaient sur son visage. A vrai dire, je ne maîtrisais plus rien. Je ne me maîtrisais même plus. C'était comme si j'étais sortie de mon corps et que je regardais la scène de l'extérieur. Je l’amochais et pourtant je ne souriais pas, je n'étais pas heureuse, ni triste, ni en colère. Je n'étais plus là. Puis, je me vis sortir d'au dessus d'elle. Je sentie ses bras, ceux de Darnell autour de moi. Me serrer fort. J'entendais la voix de Zara. Je savais qu'elle parlait mais je ne comprenais pas. C'était des bruits sourds. Je ne sentais rien d'autre que le vent sur mon visage et les bras de Darnell, son souffle chaud sur mon visage. Tout son corps me réchauffait.
Puis, elle s'en alla et c'était comme si mon esprit était revenu dans mon corps. Ma tête était retombée toute seule sur l'épaule de Darnell. Mes jambes tremblaient, mes mains également. Les larmes se mirent à couler sur mes joues... Je pense que si Darnell ne me tenait pas dans ses bras, je serai tomber au sol. Je me retournais lentement pour lui faire face. Posant mes mains sur ses joues, je l'embrassais. S'il n'était pas intervenue, Dieu seul sait combien de temps je serai rester à terre à la frapper de toutes mes forces. J'avais mal aux mains mais bizarrement, c'était le cadet de mes soucis. Ne me quitte pas, reste toujours à mes côtés ! J'ai besoin de toi, je t'... Je ne terminai pas ma phrase. Je n'y arrivais pas alors plutôt que d'utiliser des mots, je terminais cette phrase par un baiser. Rien à voir avec le fait que se soit trop tôt pour le dire. La durée d'une relation n'a rien à voir avec la sincérité de celle-ci. Je l'aimais. J'en étais à présent sûre et certaine mais je n'arrivais pas à le dire. Je bloquais. La dernière fois que je l'avais dit, le mec m'avait quitté pour se taper quelques heures plus tard la majeure partie d'Harvard.
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Bien qu'elle ne soit plus entrain de ruer de coups Zara, Liyah n'était toujours pas revenue à elle. J'avais peur, peur pour elle et à cet instant, j'avais aussi peur d'elle. Genre le truc stupide, mais j'avais peur de ce qu'elle était capable de faire dans cet état. Je pense que peu de personne avait eu l'occasion de la voir ainsi et ils rataient sûrement quelque chose d'anormal, de peu commun. En se relevant, Zara me dit de retenir Ma Putain, selon ses propres mots. Cette nana avait vraiment un don pour provoquer la colère des gens. Elle ferait mieux de se la fermer avant qu'elle ne se reprenne exactement les mêmes coups qui venaient de s'abattre sur elle, voire plus. Je lui fis signe de s'en aller, mais elle en remit une couche, me disant carrément que j'allai lui donner raison si Liyah me causait du tord en allant voir un autre mec, comme si nous étions ensemble elle et moi pour commencer déjà. Puis elle se cassa de ma vue, ce que j'attendais depuis pas mal de temps déjà. C'est à ce moment là qu'Aaliyah lâcha tout son corps, tout son poids et tout ce qu'elle ressentait dans mes bras. Elle était tremblante et semblait si fragile alors qu'il y a peu, c'était tout le contraire. Je la serrai fort dans mes bras, pour la réchauffer et surtout lui montrer que j'étais là. Mais j'étais bouche bée en l'entendant parler. C'était pas le fait qu'elle parle qui me choquait mais plutôt ce qui sortait de sa bouche. Elle n'était pas allée au bout de sa phrase mais j'avais compris. J'avais compris qu'elle m'aimait. Je clignais des yeux plusieurs fois, comme pour revenir à la réalité, sait-on jamais, j'étais peut-être entrain de rêver. Mais nan, j'avais beau cligner des yeux, l'image était identique, rien ne changeait. Elle avait bien dit qu'elle m'aimait. Je t'aime aussi Hulkette ! J'essayais juste de prendre à la rigolade ce qui venait de se passer sous mes yeux, d'où le petit surnom, mais bon, je n'oublierai jamais ça.
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