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You are an alibi to me ♡ DEXEY

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Dix-huit jours. C’est le temps qu’il m’avait fallu à me décider pour venir rejoindre tout le monde dans les caraïbes. Au final, j’étais incapable de rester seule. Même si Nandita était avec moi, je n’en pouvais plus. C’était lourd d’être dans cette grande maison sans réelle compagnie. De plus, lorsque j’étais seule, j’avais bien trop de temps pour penser et penser sans arrêt et ça, c’était mauvais. La dernière fois que j’avais eu autant de temps pour penser comme ça, c’était  avant mon entrée à Harvard et j’avais bien failli y passer dans mon grenier à Santa Fe…. Je frissonnai rien que d’y penser. Ces souvenirs n’étaient pas les meilleurs que j’ai, soyons franc. Bien que cette fois je ne sois ni dépressive, ni suicidaire, me retrouver toute seule loin de mes amis et de mon petit ami était difficile. D’autant plus que nous étions en pause avant son départ et que, malgré notre dernière soirée ensemble qui était mémorable, cela faisait plus de vingt jour maintenant que je n’avais plus eu de ses nouvelles. J’étais inquiète et j’avais la nausée rien qu’à penser qu’Elysa était au Summer Camp avec lui et qu’il y avait donc des chances pour qu’ils se voient… passe du temps ensemble avec un verre ou deux ou plus même. Je me secouai, non, il ne fallait pas que j’y pense. J’avais la chance d’être ici et j’espérais bien le retrouver rapidement. Ou qui que ce soit que je connaisse d’ailleurs. Il y avait bien Dwight que j’aimerais voir pour lui demander comment il allait… lorsqu’il avait appris être père il semblait totalement bouleversé et ça m’avait mise dans tous mes états de ne pas pouvoir être auprès de lui. Quant aux filles, j’avais hâte de leur dire que la maison serait toute belle à leur retour puisque j’avais eu largement le temps de m’en occuper en leur absence. Laissant Cadence aux bons soins de Nandita sur le voilier super luxueux que j’avais réussi à obtenir avec l’aide de Romane, je me rendis sur l’île de St-Barthelemy où les summer camper devaient se trouver. Je portais une robe blanche toute simple qui me collait aux jambes à cause du vent et je déambulais non loin de la plage où les bateaux étaient tous accostés. Je n’arrivais pas à croire que je ne sois encore tombé sur personne que je connaisse, jusqu’à ce que je le vois au loin. Oh Dexter… comme il m’avait manqué. Il était parti sans rien dire et voilà que je le trouvais lui avec son éternel tête d’enterrement. « Dexter! » hélai-je en levant le bras, un sourire me barrant le visage. Je détestais le voir dans cet été et marchait aussi rapidement que je le pu vers lui. Comme j’avais hâte de lui parler. Tant pis pour mon imbécile de petit ami qui préférait faire la fête que s’occuper de moi.
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Encore une belle occasion de déprimer. Le soleil était radieux, trop, il me narguait presque. Je ne brouillais que le noir, ignorant les couleurs secondaires et primaires. J’avais fait le con au cours des derniers jours et quelque chose me disais que ma longue descente aux enfers n’arrivait pas encore à son terme. J’avais but, j’avais avalé mes petites pilules blanches et je m’étais vêtu d’un même souffle, puis j’avais entamé l’une de mes longues et interminable marche sur le sable brulant. Le dessous de mes pieds était couvert de brûlures au second degré, la douleur aidait un peu. Je ne laissais  même plus de liberté à mes pensées, certaines choses étaient simplement voués à être oubliées.  « Dexter! » Il me semblait pouvoir goûter la joie dans la prononciation des voyelles, mes oreilles s’en ravir. Par réflexe, je relevai les yeux, risquant la déception du mirage, mais le risquant quand même. C’était elle. La femme qui n’existait plus qu’en exemplaire réduis. Dévouée, fidèle et sincère. Si belle dans sa robe blanche qui faisait ressortir la couleur brunis de sa peau. J’en perdis le souffle et en restai figé un trop long instant. Que faisait-elle ici? Cela devait bien faire deux mois que nous ne nous étions plus vu, une éternité. «Hey.» Soufflais-je le regard remplis d’étoiles et un point d’interrogation tatoué sur le visage. Je n’osais plus la toucher, pas depuis... mais je fantasmerai toujours sur son idée, je voulais à tout prix une femme comme elle. «Tu... wow, je ne m’attendais pas à te voir et je...» Mon coeur, mon stupide coeur, chaque fois il devait faire le même numéro. Elle me rendait totalement nerveux. Je posai une main sur mon torse dénudé, cachant mon coeur, comme si elle pourrait l’entendre sans cette protection. «Tu es venue avec Wyatt?» Ce prénom serait toujours amer sur ma langue, c’était un mal nécessaire pour me rappeler son existence et l’irréalisme de mes pensées.
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Je le rejoins enfin et louchai sur son torse nu bien malgré moi. Il était toujours aussi beau, mais son visage était assombri par la peine. Une peine qui semblait le grugé de l’intérieur. Et pourtant, plus que m’approchais, plus j’avais l’impression d’illuminer son regard. Peut-être que c’était juste moi. Que je m’imaginais tout ça. Que j’espérais lui faire cet effet… «Hey.» Je souris, trop contente de le voir. «Tu... won, je ne m’attendais pas à te voir et je...» Un sourire niais étira mes lèvres et je le vis poser une main sur son cœur. Il avait pris trop de soleil? Il allait faire un malaise? Je posai doucement une main sur son épaule, n’osant lui demander si ça allait puisqu’il semblait ne pas avoir terminé sa phrase. Mais gardai ma main en place juste au cas. S’il tombait je ne pourrais certainement pas le rattraper, mais au moins, je le sentirais défaillir avant la chute et pourrais peut-être lui dire de s’assoir. «Tu es venue avec Wyatt?» Je me rembrunis, baissant la tête un moment en avalant difficilement ma salive. Non, je n’étais pas venu avec lui. Et je ne savais même pas où il se trouvait d’ailleurs. Je secouai négativement la tête, tentant de garder le sourire pour lui qui semblait en avoir de besoin. « Non… il est parti au Summer Camp sans moi… on est en pause depuis le bal et.. » je ne savais pas si je devais lui raconter tout ça. Il semblait avoir déjà le poids du monde sur les épaules, il n’avait pas en plus besoin d’entendre mes histoires. Pourtant, j’avais envie de lui dire. Envie de me confier à lui. C’était d’ailleurs toujours comme ça avec Dexter. Il était si facile pour moi de lui parler, c’était tout à fait naturel. Comme s’il avait toujours été là. « Je croyais que c’était terminé cette pause… mais il est parti sans me donner de nouvelle et… je ne sais plus quoi penser. » Je posai ma main libre sur mon ventre de façon protectrice, pensant à l’enfant que nous aurions avant que la neige ne tombe sur Cambridge. Devyn, mon bébé… dans quelle vie viendras-tu au monde?
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Ce ne devrait pas être légal d’être aussi belle. Sa simple vision suffisait à refaire battre mon coeur, à refaire circuler le sang dans mes lèvres qui n’avaient plus sourient depuis bien trop d’éternités. C’était toujours difficile de me tenir face à elle, j’avais nourrit tant de fantasmes éveillés à son égard que j’en venait à craindre qu’elle ne soit en mesure de lire dans mon esprit salace. Très peu de femmes pourraient se féliciter de me faire un tel effet. Comme à mon habitude, je m’assurai gauchement de l’appartenance de son coeur en lui parlant de son chéri de longue date. Elle posa une main sur mon épaule, me tétanisa d’un simple contact… oh ça en devenait ridicule. À ma question, je la vis baisser la tête, une fraction de seconde après avoir vu son regard normalement amoureux se noircir. Elle me lança quelques mots, mais je n’en retenu qu’un seul; pause. Elle parlait d’un arrêt dans leur relation, d’un miracle pour mon compte. Je ne pu cacher mon sourire parfaitement irrespectueux alors qu’elle semblait réellement en peine. Je bombai le torse, comme assaillit d’une nouvelle vague d’énergie, comme prêt à lui faire passer une meilleure journée en ma compagnie. «Tu le déteste de te faire ça? Il te met en colère?» J’ignorais ce qu’il me prenait tout à coup de lui parler aussi franchement. J’attendais simplement ce signe qui me donnerait le feu vert. Je la vue placer une main sur son ventre, geste maternelle qui pour moi… oh était complètement aphrodisiaque. Le tableau était complet, la chose que je voulais le plus au monde c’était de devenir le père de cet enfant, de n’importe quel créature miniature qui aurait besoin de moi éternellement. Mécaniquement je posai une de mes mains sur la sienne, écartant les doigts pour qu’ils se rejugent entre les siens. «Il a déjà commencer à montrer sa personnalité?» Je voulais qu’il se manifeste sous ma paume, sous mes doigts. J’étais passionnée par la vie qui grandissait, par l’innocence et par le miracle que c’était. «T’es magnifique Torrey, tu le sais? Vous êtes tous les deux magnifiques.» Me corigeais-je ensuite. Si j’avais été moi, si je n’avais pas été aussi brisé, jamais ce moment n’aurait pu se produire, comme quoi la vie avait parfois une drôle de manière de se jouer du destin.
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Je me sentais mal tout à coup. Plus mal que je ne l’avais été avant d’arriver ici. J’y avais pensé, certes. Mais je n’avais jamais eu à le formuler tout haut. Wyatt ne m’avait pas donné de nouvelle durant plusieurs jours et j’étais morte d’inquiétude. Allez savoir ce qui se tramait entre lui et Elysa. Ou entre lui et Maëlys. Pour ce que j’en savais, il y avait peut-être même d’autre fille qui lui courait après et j’étais totalement impuissante. Une main sur l’épaule de Dexter, je me rendais compte que je l’avais peut être posé là pour me tenir moi-même sur mes pieds et pas que lui. Surveillant ainsi ses moindres gestes, mais prévenant  aussi ma chute en cas de défaillance. La tête baissée sous le poids de la honte, je ne remarquai pas qu’il avait souri. «Tu le déteste de te faire ça? Il te met en colère?» Je relevai la tête et cru voir une lueur dans son regard. J’hochai lentement la tête. « C’est un enfer qu’il me fait vivre depuis le bal de fin d’année.. » et je ne mentais pas. Non seulement nous nous étions pris la tête quelques mois plus tôt concernant notre bébé à naître, mais depuis, c’était carrément silence radio. Il me semblait même qu’il était devenu impossible pour nous d’avoir une relation saine et harmonieuse….Je posai une main sur mon ventre en regardant Dexter d’un air désespéré, lui semblait ravis. Je ne comprenais pas très bien pourquoi, mais son sourire me donnait presque envie de le lui rendre. Puis, je cru comprendre ce qui lui donnait ce sourire. Il posa doucement la main sur mon ventre, enlaçant nos doigts sur cette protubérance plus ou moins visible. J’avais de la chance de ne pas ressembler à une baleine.  «Il a déjà commencé à montrer sa personnalité?» J’hochai lentement la tête en relevant les yeux une seconde pour le regarder. « Oui.. il aura du caractère, c’est certain. » Je souris, espérant qu’il voudrait bien se manifester pour le plaisir de Dexter. Pour le miens aussi puisque j’aimais le sentir en mon sein. J’inspirai un grand coup, sachant qu’il n’appréciait pas vraiment quand je prenais d’aussi grande respiration. «T’es magnifique Torrey, tu le sais? Vous êtes tous les deux magnifiques.» Je regardai à nouveau Dexter, le regard brillant. C’était la première fois que quelqu’un touchait ainsi mon ventre en me regardant comme si j’étais la plus belle chose sur terre. J’avais le cœur gros et une féroce envie de pleurer, mais je me retins. Je serai la mâchoire en sentant mes yeux s’embuer. Wyatt n’avait jamais dit une chose pareille. Il n’avait d’ailleurs jamais cherché à sentir le bébé bouger. Limite, il avait la trouille rien qu’à penser à notre enfant à naître et, pire encore, il n’osait pratiquement plus me toucher. « Merci… » Murmurai-je simplement faute de trouver mieux. J’aurais voulu lui dire à quel point il me faisait plaisir. À quel point c’était bon de savoir  que je n’étais pas un monstre parce que je portais la vie en moi, mais bien l’inverse. Pourtant, je ne trouvais ni les mots ni le courage. Je raffermis simplement ma prise sur son épaule, sentant enfin Devyn donner un petit coup. J’hoquetai presque. « Tu l’as senti? »
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C’était totalement égoïste de ressentir de la joie dans un tel moment, mais je n’y pouvais rien. C’était tout mon corps qui s'embaumait d’espoir renouvelé et je ne pouvais rien feindre pour cacher mes envies. J’aimerais la saisir, la voler, la refaire sourire comme on en rêvait toujours. Être ce super-héros qui règle tout. Torrey m’assura que les choses n’allaient plus depuis un long moment, remontant même jusqu’au bal. D’une envie soudaine et incontrôlable je posai la main sur son ventre, espérant en ressentir cette vie qui déformait son corps d’une si belle manière. La silhouette d’une femme enceinte m’inspirait la plus poignante tendresse, non que j’étais accoutumé à ce désir presque déchirant, mais j’en avais fantasmer bien longuement. L’envie d’avoir ma propre famille à moi me rendis presque malade tellement ce manque fut violent en cet instant magique. Elle m’assura que son petit homme avait de l’énergie à revendre et je ne pouvais qu’en agrandir mon sourire. La santé en fait c’était bien tout ce qu’il nous fallait pour être heureux. Je me rendis compte que je n’avais plus rien dit depuis un moment, me contentant de les regarder le regard remplis d’étoile. « Tu l’as senti? » Puis un léger mouvement réveilla mes sens, un faible petit coup de pied qui frôlait la parois de sa peau. Mon coeur en explosa d’émerveillement. Je m’étais imaginé mille fois ce moment, mais jamais je ne l’aurais imaginer si… Je relevai les yeux pour voir le visage de Torrey, les siens étaient humides de bonheur ou de peine je ne savais plus, tout ce que je voyais… C’était la plus belle femme au monde. «Pardonne moi.» Soufflais-je contre ses lèvres alors que j’approchais mon visage du sien sans jamais perdre de vu mon objectif. Je m’arrêtai juste à temps pour humectai mes lèvres, ma langue frôlant sa bouche à demi par accident. Fuck… Du bout de mon nez je découvrais le parfum de sa peau, la douceur de cette effluve qui habitait sur la commissure de ces lèvres. J’en frisonnai de plaisir avant même de violer son intimité, de lui voler ce baiser que j’avais attendu trop d’éternités. Je rapprochai mon torse de sa poitrine, la rencontrant avec lenteur et passion. Mes mains glissèrent dans son cou, tirant ces cheveux vers l’arrière pour ne jamais qu’ils se mettent en travers de mon objectif; lui offrir ce baiser qui nous donnait envie de mourir juste après. Parce que c’était trop beau pour être vrai. J’étais trop perdu dans ce désir de la conquérir que j’en oubliai d’y prendre moi-même plaisir. En séparant nos lèvres, un bruit de succion claqua l’air. Sublime à mon oreille. Hum. Je me reculai d’un pas, les yeux toujours mi-clos, mes dents refermés sur ma lèvre. «Je rêvais de faire ça depuis tellement longtemps… tes lèvres sont sucrés comme une fraise.» Pas comme, elles goûtaient bel et bien la fraise, je me demandais quel parfum portait le reste de son corps. Une envie pour une autre fois peut-être. «Et je suis désolé, encore…» Un sourire éclaira mon visage. «En fait, non, je vais pas te mentir, mais la prochaine fois, c’est toi qui m’embrassera la première.» Je la regardai plein d’assurance mal placée, mais c’était beau de rêver, non?
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Son visage s’illumina alors qu’il sentait le coup donné par Devyn. Je souris à travers mes larmes, c’était un moment que je n’allais pas oublier de sitôt. «Pardonne moi.» Le pardonner, mais de quoi? Je ne voyais franchement pas pourquoi j’aurais à pardonner quoi que ce soit à Dexter. Bien au contraire. Il avait toujours été présent pour moi, quoi qu’il arrive. Il avait toujours su me faire sourire et à bien y penser, il était probablement le seul à m’avoir fait souris chaque fois que ça allait mal avec Wyatt. Aussi loin que je me souvienne, ça avait toujours été le cas. D’ailleurs, s’il m’avait demandé, j’aurais très bien pu l’accompagner au bal ou n’importe où. Mais qu’importe puisque maintenant j’étais là avec lui. Il valait mieux que j’en profite. Même si j’aurais aimé trouvé Wyatt, je me surprenais à penser que cette rencontre avec Dexter était probablement cent fois mieux. Il me faisait sourire, lui. Même qu’il me disait à quel point j’étais belle et touchait mon ventre comme si c’était une nouvelle merveille du monde. Son visage s’était rapproché du miens et j’en avais à peine conscience. Je relevai lentement les yeux pour le voir si près que je du cligner quelques fois avant de le voir clairement. Qu’est-ce qu…. Allait-il? Sa langue glissa lentement sur ses lèvres, frôlant les miennes. Je ne bronchai pas, trop surprise pour faire quoi que ce soit. Je clignai à nouveau des yeux avant que ses lèvres ne rencontrent les miennes. À ce moment précis une vague immense de sensation me happa de plein fouet. J’aurais pu tomber à la renverse s’il n’avait pas posé la main derrière ma nuque, me tenant par les cheveux et me donnant pratiquement des ailes. Ce baiser était si doux et pourtant si déstabilisant. Mais il n’était pas saint. Dexter ne pouvait pas m’embrasser… Et moi non plus du reste. Et pourtant je lui rendais chaque mouvement imperceptible de lèvre, le cœur battant si fort que je cru qu’il allait me sortir du corps. Mais non, puisque le torse du beau blond était bien collé contre ma poitrine, gardant mon cœur bien en place –aussi déchiré soit-il par ce qui lui arrivait. Puis aussi vite que ça avait commencé, tout ce termina dans une pluie d’étoile devant mes yeux. Je les clignai à nouveau, très lentement cette fois, encore sous le choc. «Je rêvais de faire ça depuis tellement longtemps… tes lèvres sont sucrés comme une fraise.» Je portai lentement la main à mes lèvres, effleurant celle du bas d’un doigt incertain et tremblant. «Et je suis désolé, encore…» C’était pour ça qu’il s’était excusé? Qu’il m’avait demandé pardon? Parce qu’il avait prévu de m’embrasser? Un sourire étira ses lèvres et je fronçai les sourcils. «En fait, non, je vais pas te mentir, mais la prochaine fois, c’est toi qui m’embrassera la première.» Cette fois je ne contrôlai même pas mon geste, ma main partie toute seule, s’abattant violemment sur son visage. Le bruit sec de la peau tendu et maintenant rougis sembla raisonner dans l’air autour de nous alors que le vent balayait mes cheveux devant mes yeux. Cette scène était digne de tous les films hollywoodiens. « P.. Pourquoi ne pas l’avoir fait plus tôt alors?! » J’étais en colère, j’avais pratiquement hurlé ces paroles. Je regrettais de l’avoir giflé, mais il devait comprendre. Il ne pouvait pas poser ce genre de geste. Pas tant que j’étais avec Wyatt. Que dis-je? J’aurais préféré qu’il le fasse avant? Oui. Franchement, oui. S’il y avait pensé un an plus tôt les choses seraient peut-être différentes. Je respirais bruyamment, mitigé entre l’envie de partir d’ici en courant ou de l’embrasser en retour. Maudit sois-tu mon cœur pour m’affliger ainsi!  
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Je m’excusais sans cause, car ce baiser je l’aurais refais cent fois sans en éprouver le moindre regret. C’est Shakespeare qui l’a découvert le premier, qui l’a posé sur papier, mais il est possible de trouver la mort dans une chose aussi pleine de vie. Sur ce baiser je meurs . Le plus beau cadeau qu’elle aurait pu me faire, elle me le donne, elle me le rend avec cette même intensité et cette même douceur. Peu importe la suite j’aurais toujours ceci, ce mouvement bien assumé de ses lèvres contre les miennes, arg, elle est de moi un homme heureux de nouveau. L’instant d’éternité s'écourte par mon recul. Je deviens gourmand et curieux de ressentir autre chose, je veux que ce prochain échange vienne de sa propre initiativee. Je ne sais pas, les ailes qui m’ont poussées me donnent de l'arrogance à revendre. Ses yeux dans les miens me réchauffaient le coeur soudainement froid de solitude, ses doigts se portèrent à sa bouche, une fine caresse qui mordit tout droit dans ma jalousie. Puis sans que je ne m’y attende, sa main passa de ses lèvres à ma joue, me giflant férocement d’une intensité qui en trahissait sa véritable rage. J’arquai les sourcils, plus meurtris par la réflexion qui avait mené au geste que la douleur elle-même. C’était la première fois que ça m’arrivait. « P.. Pourquoi ne pas l’avoir fait plus tôt alors?! » S’écria-t-elle pour ponctuer son coup. J’écarquillai les yeux. Il y avait trop de manières d’interpréter cette question, mais une seule d’y répondre. «Tu ne me l’aurais pas rendu, je suis pas un complet idiot.» Je portai ma main à ma joue, celle-ci était tiède et sensible, c’était la preuve nécessaire pour prouver que ceci n’était pas seulement qu’un rêve. «Et toi pourquoi t’as… qu’est-ce qui t’as pris de m’embrasser comme ça?» Je glissai mes dents contre ma lèvre inférieure. «Comme si je pouvais m’en contenter, mais t’en fais pas, j’te toucherai plus, j’voudrais pas encore me faire gifler.» Je souris, réellement amusé par la situation, ce baiser elle ne pourrait jamais me l’enlever, c’était ce qu’il y avait de beau là-dedans. «Quoi que… c’était pas si mal.» Soufflais-je d’une voix mi-sensuel, mi-gêné, je n’avais certainement pas l’habitude d’être aussi direct avec elle, mais ce qu’elle pouvait être irrésistible à la fin… arg.
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Je ne comprenais plus rien. Cette situation me mettait dans tous mes états et mon cœur et mon esprit se disputait férocement pour savoir qui des deux aurait raison de moi. Après qu’il m’ait embrassé, j’avais mis, il me semblait, une éternité avant de réagir. Les doigts glissant sur ma lèvre encore sensible du souvenir lancinant de ses lèvres contre les miennes. Je lui avais rendu son baiser, j’en avais eu envie. Et pourtant… Pourtant je l’avais giflé si fort que je pouvais sentir mon pouls dans ma main –preuve formelle des battements puissant qui résonnaient aussi dans ma poitrine. Dexter arqua les sourcils et je cru voir une expression de surprise et de tristesse traverser son visage. Seigneur, qu’avais-je fait? Mais non, ce n’était pas moi qu’il fallait blâmer, c’était lui. Je lui gueulai tout de même dessus, lui demandant pourquoi, dans ce cas, il n’avait pas fait ça plus tôt. Il écarquilla les yeux et j’aurais regretté ma question si je n’avais pas autant eu envie d’en connaitre la réponse. «Tu ne me l’aurais pas rendu, je suis pas un complet idiot.» Je secouai négativement la tête. Comment est-ce qu’il pouvait être aussi sûr de lui? Je venais tout juste de le lui rendre ce baiser et je n’en avais aucunement le droit. Alors quoi? Il croyait que si j’avais été libre de le faire, je lui aurais ris au nez? Il porta la main à sa joue et je suivis le geste d’un regard embué, j’aurais voulu mettre ma main là moi aussi, m’excuser et le caresser doucement. Je gardai néanmoins ma main bien près de mon corps, inerte. «Et toi pourquoi t’as… qu’est-ce qui t’as pris de m’embrasser comme ça?» J’haussai les sourcils en ouvrant la bouche, surprise. De quoi!? « Je ne t’ai pas… » commençais-je, sans pouvoir terminer ma phrase. Ses dents prirent sa lèvre et un frisson me parcourut alors que j’imaginais mes dents à la place des siennes. Dieu me vienne en aide, j’étais incapable de contrôler mes pensées. «Comme si je pouvais m’en contenter, mais t’en fais pas, j’te toucherai plus, j’voudrais pas encore me faire gifler.» Je perdis la face une fois de plus, douloureux souvenir que cette gifle que je lui avais servie d’un geste vif. J’aurais voulu lui dire qu’il n’avait rien à craindre. Que j’avais été trop prompte à réagir. Mais ç’aurait été faux. Il n’avait aucunement le droit de m’embrasser ainsi. Encore moins le droit de me donner envie de recommencer. Ses lèvres avaient été si douces et ses gestes si parfaitement naturels et réconfortants. Je me perdis dans la contemplation de son sourire. Un sourire qui trahissait ses pensées salaces. «Quoi que… c’était pas si mal.» Quoi? Parce qu’il avait aimé que je le gifle comme ça? Je serai lentement le poing, une rage inexplicable s’emparant de moi alors que le ton de sa voix laissait à penser qu’il avait clairement envie de recommencer. Là, tout de suite, maintenant. Rien que pour voir si j’allais lui rendre, le frapper à nouveau ou m’enfuir. Mais je n’étais pas une lâche, je ne fuirais pas. Il ne me restait donc plus que deux options. « Dexter tu sais très bien que tu ne peux pas faire ça! Qu’est-ce qui t’as pris? J’étais vulnérable et… tu t’es servi de moi! » J’étais indigné tout à coup, songeant qu’il avait pu faire ça rien que parce qu’il avait envie d’embrasser une fille et que je m’étais trouvé dans les parages. Mais non, il n’était pas comme ça. Pas vrai? Je signifiais quelque chose à ses yeux… c’était obligé. Je baissai la tête, sentant des sanglots me monter à la gorge. Je ne voulais pas pleurer. Pas devant lui, pas encore. Et surtout, surtout pas pour ça. J’étais mal aimé, certes, mais tous les hommes n’étaient pas des goujats –il fallait bien y croire. « Tu as tord… je te l’aurais rendu. » murmurai-je finalement, relevant lentement la tête vers lui, le regardant au travers de mes cheveux qui me tombaient sur le visage, à peine soufflés par le vent.
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Dans un bruissement faible et coupable malgré lui, elle marmonna sa défense. « Je ne t’ai pas… » Cette tentative me fis sourire de pleines dents, elle était mignonne quand elle essayait, mais elle ne bernera personne aujourd’hui. J’arquai un sourcils pour la mettre au défi de terminé cette phrase, mais elle se muta rapidement. Tant mieux, ce baiser elle n’avait pas le droit de me l’enlever, je l’avais attendu plus d’une année. Dévoilant un peu de mes fantasmes, je lui affirmai que je n’étais pas totalement contre l’idée de recommencer. Une telle démonstration passionnée nous restait toujours sur l’appétit. Encore, me soufflais-je intérieurement. Et toujours. Pour se défendre elle m’accusa presque de l’avoir forcer. J’ouvris la bouche, semi indigné, mais tout de même amusé. «Bien sûr que tu peux, la vie est trop courte pour ne pas en profiter… pour ne pas faire exactement ce dont… on a envie.» Je glissai ma langue avide contre ma lèvre, m’approchant d’elle d’un pas très long, jusqu’à sentir la chaleur que dégageait sa peau caresser la mienne. C’était insupportable de me tenir si près d’elle. Une fois goûter on y prenais goût, on en fait une obsession… en cet instant, il me semble n’avoir jamais autant désiré une chose de ma vie. En un dernier souffle elle m’avoua qu’elle me l’aurais rendu mon baiser de jadis. Belle poésie. Il n’était jamais trop tard heureusement. Ses yeux étaient humides de nouveaux, son visage partiellement cachés par ses cheveux épais… ce que j’aimerais pouvoir la saisir juste là, partout. «Prouve le alors… rend le moi, rembourse ta dette.» Je levai la main pour lui attacher une mèche de cheveux, un souffle brûlant me parcourra le torse, seigneur… «Je n’en dormirai pas de la nuit si tu ne m’aides pas Torrey, tu me rends dingue.» Je lâchai ses cheveux, trop séduit pour me retenir de faire plus. Véritable ensorceleuse celle-là.
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