ELIO&SIAM • Tu n'arrives plus à te passer de moi c'est ça ?

Cuba charmante petite île, je lui trouvais un truc en plus qu les Bahamas, je ne savais pas quoi, mais j'y étais bien. De toute façon il faisait beau donc que demander de plus, franchement rien et puis le séjour dans le bateau c'était bien passé donc je ne voulais rien demander de plus. Je marchais comme ça sans avoir véritablement de but, oui je voulais juste profiter de la beauté de l'île. Quand je sentis quelqu'un me bousculer, bon c'était de ma faute je ne regardais pas en face donc je ne pouvais pas crier. Je relevais lentement la tête pour voir qui s'agissait-il et je découvris que c'était Elio. Et bien je le voyais souvent en ce moment ! Deux fois en quoi trois jours !   « Ah bah tiens c'est toi. Tu ne veux plus me quitter c'est ça ? » dis-je en riant. Oui j'essayais de plaisanter, Elio avait le sens de l'humour ? Je n'en savais rien en même temps je ne l'avais vu qu'une fois et notre conversation n'avait pas pu s'éterniser. Cette fois ci je pourrais prendre le temps de discuter avec lui à moins qu'il ne devait faire quelque chose ?  «Alors ton voyage en mer ça c'est bien passé ? Tu t'es éclaté ou au contraire tu as passé ta journée dans les toilettes ?  » dis-je toujours avec humour.

tenue ♣ Le voyage en bateau s’était terminé sur la petit île de cuba. On avait cette fois-ci un peu plus de temps libre qu’à cuba pour le meilleur et le pire. J’étais sorti en ville marchant simplement pour découvrir un peu la façon de vivre des habitants. J’étais avec quelques potes au début mais comme prévu, ils sont tous parti draguer les jolies filles de Cuba. Après, c’est moi qu’on traîne de donjuan. Je marchais en regardant autour de moi alors que je sens quelqu’un me foncer dedans, ou alors c’est moi qui lui aie foncé dedans. Je baisse la tête et me retrouve finalement une nouvelle fois en face de ma jolie fiancée. J’eus un sourire sur mon visage en l’entendant parler. Pourquoi voudrais-je quitter ma jolie fiancée mhh ? dis-je avec un petit ton moqueur. Quoi que finalement elle était vraiment jolie et même si je n’ai pas pour habitude de sortir avec des asiatiques, je les trouve tout de même très charmante avec un petit plus. Je ne peux pas avoir le mal de mer, je passe généralement tous mes étés sur le bateau de mon père. Je me suis très bien amusé et toi ? Je ne t’ai pas trop manqué ? dis-je en penchant la tête sur le côté avec un sourire au coin. On ne se connaissait pas vraiment tous les deux mais je pense qu’on va finir par bien s’entendre surtout si en plus on doit vraiment se marier. J’ai beau jouer mon rebelle, je sais que je ne fais pas le poids contre mon père.

J'étais donc sa jolie fiancée, c'était flatteur. J'étais contente quand on me faisait un compliment. Mais je ne me laissais pas avoir si facilement du moins je ne me laissais plus avoir facilement, car je savais qu'autrefois j'aurais pu tomber bêtement dans la panneau en croyant à ce qu'un garçon me disait.  « C'est vrai je suis tellement belle et puis tu aimes te rincer l'oeil en me regardant. » dis-je avec un sourire en coin. Oui je savais que les garçons avaient toujours un oeil baladeur et ELio ne devait pas échapper à cette règle. Après tout moi aussi je pouvais bien l'examiner dans sa jolie petite tenue. Je devais avouer qu'il était pas mal et qu'en temps normal j'aurais tenté de le charmer, mais là c'était différent et c'était un peu dommage parce que j'aurais pu profiter de ce corps pendant une nuit. Enfin on n'a pas ce que l'on veut dans la vie.  « Cela c'est très bien passé. Si je n'ai pas arrêté de penser à toi. Cela me fait tellement du bien de te voir. » dis-je avec un sourire en coin. C'était faux et vrai, car j'avais pensé une ou deux fois à lui, mais bon il n'avait pas non plus hanté mes pensées ! Et puis j'aimais bien jouer la carte de l'ambiguïté.

En même temps quel personne ne regarde pas quelqu’un ? Certes les garçons aiment mater les filles comme j’aime le faire bien sûr, mais les femmes matent aussi beaucoup. L’être humain a des yeux, il faut bien qu’il les utilise tout de même. Comme toi tu me mates en ce moment. Je ne peux pas t’en vouloir après tout, je suis ton fiancé tu peux bien regarder. Comme moi j’ai le droit de te regarder. ce qui risque d’être le plus drôle après le mariage forcé ça va être de dormir ensemble même si je doute qu’il ne se passera rien entre nous avant le mariage… Je voyais bien qu’elle se moquait de moi en me disant qu’elle a pensé à moi. Même si je me doute qu’elle l’ait quand même fait. Bien sûr que tu l’as fait comme moi je l’ai fais, disons que cela nous perturbe un peu cette histoire de mariage mh. dis-je en haussant les épaules doucement. Je me demande si elle a quelque chose de prévu sinon ça nous permettrait de passer du temps ensemble et ainsi mon père n’aura pas besoin de m’harceler de question sur ma fiancé. Tu as quelque chose à faire là ? On pourrait aller se balader sur la plage nan ? dis-je en arquant un sourcil l’interrogeant ainsi du regard.

En plus il ne s'en cachait même pas. Et moi je ne le matais pas non je regardais juste de temps en temps. Que lui si je me retournais ses yeux se poseront sur mon arrière train. Pour le devant on ne peut pas dire que j'ai grand chose donc bon je ne sais pas s'il a grand chose à regarder.   « Et en plus tu ne t'en cache pas. Désormais je vais devoir protéger mon corps pour éviter que tu regardes. Et puis même si tu es mon fiancé tu dois normalement attendre le mariage non ? » dis-je avec un sourire en coin. Oui c'était un argument totalement bidon, car attendre le mariage et pour moi une tradition idiote.  « Et cette histoire de mariage me perturbe c'est vrai. Parce que de une je me demande comment je vais fable semblant d'être heureuse dans une robe de mariée avec des invités qui je suis sûr je ne connaîtrais pas. Enfin c'est loin d'être une partie de plaisir le mariage. Et puis tu te rends compte je deviendrais Madame Ferrari c'est atroce quand on y pense. » dis-je. Je disais cela pour rigoler, ou pas non en vérité je pensais vraiment que cela serait atroce. Mais bon j'attendais de voir. « Non je peux bien t'accorder un moment sur une plage. » dis-je souriante.

Comme si, il était interdit maintenant de regarder sa fiancée. Même si on ne se connaissait pas encore trop bien, il faut bien comprendre qu’on a tout de même le titre tous les deux. Puis c’est quoi cette histoire de mariage là ? Il est hors de question qu’on attende le mariage si on en a envie tous les deux. Je ne porte pas de bague de pureté après tout. Attendre le mariage ? On n’est plus au 18ème siècle tu sais. Et puis, je ne vois pas en quoi c’est mal de te regarder… Cela prouve que je te trouve jolie nan ? dis-je en arquant un sourcil. Les filles sont compliqués tout de même quand on les regarde cela ne va pas et quand on ne les regarde pas cela ne va pas non plus… Il faut savoir ce qu’elles veulent quand même. A croire que cette idée de mariage l’affecte plus que moi, pourtant ce n’est pas si grave que cela, on ne se marie pas tout de suite. Nos parents peuvent encore changer d’avis… Bon je n’y croyais pas trop mais bon. Quoi tu n’aimes pas l’idée que tu t’appelles Ferrari ? Ca fait plaisir tiens. Ce n’est pas comme si je pouvais m’appeler Liang… Elio Lui Ferrari-Liang… dis-je en haussant les épaules doucement en faisant une légère grimace. Cela ne rendait pas moche non plus mais bon. Je l’invite ensuite à aller faire un tour sur la plage pour passer un peu de temps ensemble. Je souris quand elle accepte et me place à côté d’elle passant mon bras autour de son cou. Un rapprochement en effet, mais bon au pire on peut toujours être amie si on ne s’aime pas. Je me mets à marché en direction de la plage qui n’était pas si loin que cela. J’ai mon maillot de bain, je pourrais toujours aller me baigner un peu.

Apparemment il ne voulait pas attendre, ça faisait plaisir après tout ça voulait dire qu'il ne serait pas contre une nuit avec moi. Et puis c'est vrai qu'il marquait un point en disant que c'était plaisant, oui c'était forcément plaisant, mais il n'était pas obligé de me le dire. Enfin bref je n'allais pas me disputer pour si peu après tout ce n'était pas bien grave, mais j'étais tout de même obligée de lui répondre.. «  Ah ce que je vois tu n'as pas l'air très conservateur des anciennes traditions ! Et puis non tu ne fais rien de mal c'est vrai, il faut juste que je ne le remarque pas. » dis-je tout simplement. Par contre quand il commença à dire que son nom de famille avec le siens n'allait pas? Il s'énervait donc pour si peu, cela me fit sourire après tout mon nom de famille était très bien et le siens aussi. C'est juste porter un nom comme cela ça ne doit pas être facile tout les jours. D'ailleurs c'est ça que je crains que je n'arrive pas à porter la pression, parce qu'en plus de mon métier que j'aurais plus tard je devrais toujours garder un oeil sur les affaires de la famille. Donc en bref je sais que ça va être compliqué. Mais je ne préférais pas y penser, Il passa son bras autour de mon cou, j'étais contente, après tout c'était un bon cadre pour un rapprochement. Même si je n'envisageais rien d'extraordinaire je pouvais devenir une bonne amie à lui.    « Ce n'est qu'un nom de famille après tout, mais non ce que je disais c'est que le nom de famille que je vais porter n'est justement pas facile à porter. Enfin bref je pense que ça ne sert à rien de penser au mariage. Après tout il n'arrivera pas avant des mois. » dis-je. Je décidais de mettre mon bras autour de sa taille, bon c'est vrai que là j'étais vraiment proche de lui, mais ce n'était pas déplaisant. Je marchais en direction de la plage. La mer, la plage un contexte paradisiaque.

Ce n’est pas l’idée de conserver les vieilles traditions, c’est juste qu’il est bien trop tard pour faire cela à mon avis. Ben oui, cela fait déjà un moment que j’ai passé le capte de la première fois et elle aussi. C’est quand on est encore vierge qu’on attend la nuit de noce pour pouvoir coucher avec sa femme. J’allais faire plus attention quand j’allais la regarder alors si cela lui fait plaisir, les femmes sont tout de même compliqué. C’est quand on est vierge qu’on attend après le mariage. Je pense qu’on est loin d’être vierge tous les deux mhh. Oui, je te regarderai de loin alors promis. dis-je en haussant la tête. Je fus tout de même vexé qu’elle puisse être en quelque sorte dégoûté de porter mon nom de famille. Il n’est pas si moche que cela et c’est signe de fortune. Certes ce n’est pas facile à porter mais tout de même… Puis bizarrement nos deux noms de familles s’accordaient plutôt bien bizarrement. Il n’est pas facile à porter mais on s’y fait et oui, plusieurs mois voire année peut-être. Puis rien ne me dit que ça sera vraiment elle à la fin. Je penche ma tête sur le côté et l’emmène en direction de la plage, j’avais passé mon bras autour de ses épaules et elle autour de ma taille. Vu comme cela on ressemblait tout de même à un couple mais bon, on était tout de même fiancé même si c’est dur à vivre. Alors tu connais beaucoup de monde dans ton équipe ? dis-je en essayant de faire un peu la conversation alors qu’on mettait maintenant les pieds dans le sable.

Ce n’est pas comme si je voulais absolument coucher avec elle, elle est certes jolie mais ce n’est pas du tout mon genre. Elle devait sûrement penser le contraire vu la façon qu’elle a de réagir. Elle finira bien vite par se rencontre que je ne suis pas ce genre de mec. Je n’ai peut-être pas envie non plus de consommer tout court tu sais. dis-je avec un sourire au coin moqueur. Je me foutais un peu de sa tronche en effet, mais bon c’était tout de même la première fille qui me disait ne pas vouloir coucher avec moi. Bon après, il faut une première fois pour tout comme on dit. Pour l’instant, on s’entendait assez bien tous les deux en tant qu’ami. Elle était gentille et semblait tout faire pour ne plus se montrer aussi naïve qu’elle l’était. J’avoue qu’Elio Liang est un peu bizarre mais Siam Ferrari ça rend pas mal quand même… Sauf si tu veux garder ton nom comme Siam Liang-Ferrari. dis-je en haussant les épaules. Mon bras était toujours autour de ses épaules, j’avançais dans le sable avec elle avant de finalement m’arrêter pour regarder l’océan bleu. C’était un peu comme le paradis ici. Cela changeait de l’Italie et d’Harvard. Tu aimerais vivre en Italie plus tard ? dis-je en la questionnant du regard. Il ne faut pas oublier que je suis l’héritier donc forcément, je vais devoir vivre dans mon pays natal…