PRIAPE&LEEVY ∇ you want to discover my secret

Priape & Leevy
Les vacances étaient enfin arrivés et je pouvais pas dire le contraire j'en était vraiment contente, j'avais passée une année abominable entre la mort de ma fille, le départ de l'homme que j'aimais et aussi pas mal de problème avec mon travaille de mafieuse j'étais même pas certaine de pouvoir compter combien de balle je m'étais prise cette année. C'est donc sur et certain que j'allais profiter de se summer camp à fond et puis les vacances étaient sous l'esprit de la compétition et j'adorais ça, c'est donc logique qu'en tant que capitaine je voulais absolument faire gagner mon équipe. C'est le deuxième jour aux Bahamas que je décida de sortir le soir rejoignant une grande fête organisée sur la plage qui était un bon moyen de m'amuser et de partir en pleine débauche. Une fois arrivée habiller d'une robe d'été sur la plage il faisait nuit et la plupart des personnes dansait, buvait et se baigner. Bref c'était l'éclate totale. Je m'approchais alors du bar pour aller prendre un cocktail pour finalement regarder autour de moi et finir par apercevoir Priape, j'eu alors un sourire en coin contente de le voir à cette petite fête. Cela faisait un moment déjà que nous nous tournions autour même si j'avais des doutes sur sa sincérité vu que c'était le meilleur ami de Valentin avec qui j'étais pas mal distante en se moment. Mais bon malgré tout je n'allais pas mentir j'adorais la compagnie du brun. Une fois mon verre servis je m'approchais de sa personne en venant l'enlacer par derrière en passant ma main sur son torse. Coucou toi. Dis-je en murmurant contre son oreille tout en affichant un sourire en coin.

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Leevy & Priape

Les vacances commençaient bien : soleil et détente. La journée d’aujourd’hui avait été constructive pour moi puisque j’avais pu rencontrer mon amie Elia. J’espérais sincèrement que malgré notre nuit ensemble à Vegas, nous allions retrouver notre amitié et notre complicité comme elles avaient pu l'être auparavant. L’explication que nous avions eu sur la plage me laissait en tout cas présager que c’était encore possible. Ce fut donc l’esprit plus léger et avec une décontraction nouvelle que je me rendis à cette fête organisée sur l’une des plages. Je pris aussitôt la direction du bar, commandant un punch fruité pour me mettre dans l’ambiance exotique de cette soirée. L’endroit était bondé de monde, d’étudiants enivrés qui dansaient et célébraient la fin de cette année scolaire. Alors que j’observais un instant l’agitation autour de moi, je sentis une présence dans mon dos et des bras qui m’enlacèrent, alors qu’une voix féminine familière vint me saluer en soufflant doucement au creux de mon oreille. Un petit sourire étira mes lèvres en reconnaissant le timbre familier de Leevy. Je tournai doucement la tête pour constater que j’avais raison, je reconnus la jolie blonde. « Salut toi. » La jeune femme, une ex conquête de Valou, avait une attitude intrigante et mon meilleur ami m’avait parlé de ses soupçons. Je tachais donc de l’aider à en découvrir plus sur l’énigmatique demoiselle, mais dans ma manœuvre, je commençais à m’attacher vraiment à elle. J’étais d’ailleurs plutôt content de la retrouver ici ce soir, cette fête risquait d’être soudain bien plus intéressante, en espérant qu’elle allait avoir un peu de temps à me consacrer. « Tu es venue toute seule ici ? » demandai-je en cherchant un instant des yeux un cavalier ou un groupe d’amis avec qui la jeune femme aurait pu se rendre sur place.

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Priape & Leevy
En venant à cette fête je savais déjà que j'allais rencontrée des amis et la première personne sur qui je tombais été Priape et j'en étais assez contente vu que j'aimais beaucoup passer du temps avec lui mais j'avais peur que ses intentions à mon égard soient mauvaise. Après tout je connaissais très bien son meilleur ami Valentin ayant fait un petit séjour en prison avec lui pour ensuite le retrouver et former presque un couple avec lui, mais après qu'il se soit mit avec quelqu'un j'avais préférée prendre mes distances ne voulant pas être au milieu de son couple qui n'était d'ailleurs plus d'actualité. Mais je savais qu'il soupçonnait des choses chez moi, comme mon métier de tueuse à gage pour la mafia et c'était loin d'être le genre de chose qui devait se savoir. J'espérais donc que Valentin n'avait parler en rien de tout ça à Priape parce que je voulais seulement passer du bon temps avec lui sans me demander si je devais lui faire confiance ou non. J'étais donc venue près de lui me montrant toujours aussi tactile avec lui, ça n'avait jamais eu l'air de le déranger j'avais donc aucune raison d'arrêter. Je souris alors en le regardant pour ensuite venir me poser à côté de lui et m'accouder contre le bar tout en pinçant un peu ma lèvre en le regardant. Non je suis seule, si tu veux je suis à toi pour toute cette soirée. Dis-je d'un sourire en coin alors que je buvais une gorgée de mon verre. Et toi t'es avec personne ? J'espère pas trouver une fille sous le bar.

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Leevy & Priape

J’avais demandé à Leevy, à la fois pour savoir si elle était juste momentanément disponible ou si j’allais pouvoir profiter de sa compagnie toute la soirée, mais cette question était aussi intéressée : j’avais toujours à cœur de collecter plus d’infos sur l’ex de Valentin. La jeune femme s’accouda ensuite au bar, en me répondant sourire aux lèvres qu’elle était venue seule et qu’elle était à moi pour toute la soirée. La réflexion qui suivit sa question m’arracha un petit rire. « Non, aucune fille sous le bar, tu peux vérifier ! » répondis-je en riant. « Je suis avec personne en effet. Pour la soirée et dans la vie, passe le mot à tes copines célibataires. » plaisantai-je alors. « Et en attendant, j’accepte volontiers ta proposition de t’avoir toute à moi pour la soirée. » acceptai-je finalement avant de lever mon verre en direction du sien pour trinquer. Boire à deux était toujours plus agréable que seul. « Bon alors, raconte-moi un peu le début de ton summer camp. T’es dans quelle équipe ? »

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Priape & Leevy
En voyant Priape j'avais évidemment envie de passer ma soirée avec lui. Après tout il était gentil, drôle et puis c'était surtout un beau mec. Bon puis j'avoue que me rapprocher de lui m'arrangeais pas mal vu que je savais que ça pourrait peut-être mettre les boules à Valentin que j'avais assez de mal à voir en peinture en se moment donc bon autant fréquenter son meilleur ami. Je riais alors un peu amusée une fois qu'il m'annonça qu'il était bien seul et que je pouvais même voir sous la table, c'est bon je le crois, je le crois. Si je préviens mes copines tu vas voir une tonne de fille te supplier d'être avec elle, donc mauvaise idée. Dis-je en souriant amusée, après tout il était canon, quelle fille voudrait pas d'un mec comme lui ? D'accord je prend ça comme une promesse, si tu vas voir ailleurs ça ira mal. Dis-je en riant un peu, bah ouais il disait être d'accord pour passer la soirée à mes côtés donc il allait avoir le devoir de tenir sa promesse. Je leva alors aussi mon verre en souriant et en bu une gorgée et haussa alors doucement mes épaules à sa question. Bah ça se passe tranquillement et franchement les vacances ça fait du bien, j'ai tellement passée une année de merde. Sinon je suis capitaine de l'équipe 5, ils sont cool là-bas ! Et toi coco ?

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Leevy & Priape

Je souris en entendant la réponse de la blondinette après ma suggestion sur ses copines… C’était flatteur de sa part, Leevy savait toujours s’y prendre pour glisser des compliments. « Je serais bien idiot d’aller voir ailleurs alors que je peux passer une soirée avec toi… » répondis-je à mon tour avant de l’interroger sur le début de ses vacances. Elle appréciait ce summer camp et décompressait, elle précisa que cela lui faisait du bien après l’année qu’elle avait passé. Ce fut ces mots qui attirèrent particulièrement mon attention, attisant ma curiosité. «Une année de merde, je connais ça. » Je ne pouvais que compatir. L’année scolaire avait été un vrai désastre pour moi aussi. Heureusement que mes études se passaient bien, parce que ma vie personnelle était un vrai fiasco par contre. « Qu’est-ce qui s’est passé pour toi ? » demandai-je alors à la jeune femme. « En tout cas, tu as raison de profiter. Et puis capitaine quoi ! » sifflai-je impressionné. « Il faut que je fasse un salut militaire ou un truc dans le genre ? » demandai-je en riant. « Moi je suis dans l’équipe numéro 2 et l’ambiance est super aussi. »

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Je me sentais bien là, sur le coup j'en oubliais presque que je devais faire attention à Priape, mais il me m'était vraiment à l'aise donc je me détendais simplement et je passais une bonne soirée, après tout j'étais venue à cette petite fête pour ça. Si tu dis ça c'est parce que tu ne connais pas mes mauvais côtés. Dis-je en souriant amusée, après tout ouais de face je pouvais passer pour une grande blonde qui aimait rire et s'amuser mais y'avait pas que ça, j'étais aussi très chiante, têtue et parfois je manipulais les gens juste pour le plaisir. Bref j'avais deux personnalités en fait. Non, non je ne suis pas bipolaire. Je souriais ensuite doucement une fois qu'il annonça que les années de merde il connaissait aussi, je pouvais pas dire qu'il me comprenait vu que je doute qu'il à eu les même problème que moi. Beaucoup trop de chose.. Je suis tombée malade à cause de la bombe, je suis tombée enceinte mais ma fille est morte et puis j'ai vraiment un boulot de merde. Dis-je en haussant un peu mes épaules tout en buvant une gorgée de mon verre, j'avais fait un gros résumé en fait et là je me sentais vraiment idiote d'avoir parler de mon boulot, faite qu'il me pose pas plus de question sur ça, s'il vouuus plait. Je souriais alors amusée une fois qu'il annonça que c'était la classe d'être capitaine, ouais c'est pas faux et j'étais plutôt fière mais bon c'était pas toujours facile, trop de truc à gérer. Et ouais j'ai la classe ! Je pense qu'une révérence m'ira ! Dis-je avec ironie puis je souriais alors doucement contente qu'il passe aussi de bonne vacances. Bah c'est super alors, t'es tombé avec des gens que tu connais ?

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Leevy & Priape

La réflexion de Leevy m’amusa : pourtant c’était vrai, je ne connaissais pas ses mauvais côtés. Je la côtoyais toujours dans un contexte festif et je n’avais pas forcément eu l’occasion d’entrevoir son côté plus sombre et plus secret, pourtant je savais qu’il existait en elle puisque Valentin m’en avait parlé. « Faut dire que tu ne te dévoiles pas facilement… » lui répondis-je en souriant également. L’année avait été dure pour Leevy aussi apparemment, un point commun entre nous puisque moi aussi j’avais plutôt collectionné les galères. Je ne pus m’empêcher de la questionner sur ce qui avait cloché pour elle et je fus surpris de la facilité et la franchise avec laquelle elle me répondit : maladie, perte d’un enfant et problèmes au boulot. « Je suis désolé Leevy, je savais pas pour ta fille… » fis-je avec sincérité. J’ignorais qu’elle avait perdu un bébé, j’aurais probablement pris plus de pincettes pour la questionner sinon. « J’espère que ça va mieux côté santé en tout cas… » ajoutai-je ensuite avec une note d’inquiétude dans la voix. « Qu’est-ce que tu as eu ? » La bombe avait fait plus de dégâts qu’on ne pensait dans la vie des étudiants même si aujourd’hui chacun semblait avoir repris son train train quotidien, les séquelles existaient toujours, physiques et morales. « En tout cas, tu devrais peut être changer de boulot. » Rien ne ferait revenir sa fille, ses problèmes de santé étaient quelque chose qu’elle ne maitrisait pas mais son job, ça au moins c’était un domaine sur lequel elle avait le contrôle. « Tu fais quoi d’ailleurs ? » demandai-je, étonné de constater qu’elle ne m’en avait encore jamais parlé. Nous positivions ensuite un peu en parlant du summer camp et de la nomination de Leevy comme capitaine qui me réclama une révérence en riant. Je me pliais alors à sa demande et me penchai vers l’avant respectueusement avant de me relever et de me mettre à rire avec elle. Elle m’interrogea sur mon équipe : « Je suis avec ma cousine, la sœur de mon meilleur ami, et plusieurs autres connaissances donc j’avoue que je suis bien tombé. » expliquai-je sur un ton enjoué. « Et toi de ton côté, tu es satisfaite de tes moussaillons ? »

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Je crois que finalement ça me fait du bien de parler un peu de mes problèmes, vu que je suis le genre de femme qui cache un peu tout et qui se fait passer pour une femme forte ce qui n'est pas forcement faux mais parfois ça faisait du bien d'enlever se masque et de se dévoiler. Après je ne savais pas si Priape était la bonne personne pour ça mais bon maintenant que j'avais commençais autant continuer. Pourquoi je ferrai ça ? Après tout c'est plus sympas de découvrir des choses sur la personne au fur et à mesure du temps. Dis-je d'un léger sourire alors qu'il m'avait ensuite demander pourquoi mon année été aussi merdique et va savoir pourquoi je lui avais un peu tout dis. Et la conversation concernant ma fille était arrivée, au départ c'est clair que c'était dur mais j'avais réussis à passer autre chose, je détestais déprimer sur les même chose pendant des années, après tout il valait mieux avancer dans la vie. Oh t'as pas à t'excuser, c'était pas facile au début mais maintenant je me dis que c'est la vie, après tout j'en ai jamais voulu et même si je l'ai aimée directement quand je l'ai eu vaux mieux cette situation, j'aurai été une mère atroce. Dis-je d'un léger sourire en finissant alors mon verre cul sec, ouais j'crois que j'en ai bien besoin. Cancer du poumon, mais j'ai eu de la chance de trouver un médecin qui à eu la solution de m'enlever un poumon pour vivre vu que j'étais une têtue qui voulait pas me guérir. Dis-je d'un petit sourire, après tout je me serrais jamais vu faire de la chimio pour perdre mes cheveux et devenir un légume, non même pas en rêve. J'étais vraiment entrain de me dévoiler j'sais pas ce qui m'arrive, j'suis sûre que c'est la tête d'ange de Priape, il me faisait trop d'effet celui-là. Je pinçais alors un peu ma lèvre quand il me parla de mon boulot, bon je devais pas perdre mes moyens, je devais inventer un boulot ou j'sais pas mais impossible pour moi de lui dire que j'étais mafieuse. Oh c'est pas le genre de boulot où on peut partir quand on veut.. Et j'suis pas certaine de pouvoir t'expliquer de quoi il s'agit, ça va t'ennuyer et j'ai pas envie de passer pour une femme ennuyante. Dis-je d'un petit sourire, ok j'avais trouvée que ça sur le moment mais bon ça allait peut-être plus le faire poser de question. Oh bah en parlant de ton meilleur ami, toujours contact avec lui ? Dis-je d'une voix qui paraissait beaucoup moins gentille mais bon j'étais en mauvais terme avec Valentin, j'y pouvais rien. J'haussais ensuite mes épaules à sa question, oui j'étais pas mal déçu de mon équipe. Bah je connaissais personne en fait, tous mes proches sont dans les autres équipes donc forcement quand on voyage en mer, j'ai l'impression que je vais devenir folle.

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Leevy & Priape

Leevy avait enchainé les galères durant l’année, et je fus étonné de la facilité avec laquelle elle se livra. Elle si énigmatique et secrète habituellement, elle semblait ce soir dans de bonnes dispositions pour se dévoiler un peu plus, ce qui n’était pas pour me déranger. J’avais envie d’apprendre à la connaître mieux, et ne pas me contenter de cette façade souriante et parfaite qu’elle s’appliquait à nous montrer. Elle me parla de ses difficultés à accepter la perte de sa fille puis comment elle l’avait finalement accepté avant de boire son verre d’une traite, geste qui me dévoila que son deuil n’était pas encore complètement fini. « Tu sais, je suis là si ça va pas… » assurai-je en posant ma main sur la sienne alors qu’elle venait de reposer son verre vide sur le bar. J’étais toujours partant pour une petite soirée comme ce soir, mais je pouvais aussi me libérer pour la jeune femme si elle avait des baisses de moral et des moments de moins bien où elle souhaitait un ami à ses côtés. Elle m’informa ensuite de la guérison de son cancer, qui avait été détecté après l’explosion de la bombe. Je fus immédiatement soulagé d’entendre qu’elle s’était faite opérée et qu’elle allait désormais mieux. Un sourire orna mes lèvres, rassuré. Mais je sentis ensuite une crispation apparaître chez mon interlocutrice lorsque j’évoquais son travail. « Tu passeras jamais pour une femme ennuyante auprès de moi Leevy. » assurai-je après qu’elle m’ait servi son excuse selon laquelle son job était chiant. « Je crois même que si tu me faisais une émission sur la reproduction des fourmis, tu arriverais à rendre ça passionant. » la complimentai-je, n’imaginant pas un instant avoir une discussion lassante avec la jeune femme. Je plaisantais, usant de l’humour pour essayer d’en savoir plus, parce que dans le fond sa façon d’éviter ce dernier sujet m’intriguait. Elle s’était confié sur sa fille, sa maladie, des évènements bien plus sensibles et douloureux qu’un boulot ennuyant… Et pourtant c’est sur ce dernier point qu’elle refusait d’en dire plus. Je la sentis toujours crispée lorsqu’elle m’interrogea sur Valentin. J’hochai la tête positivement à sa question : « Toujours oui. Même si malheureusement on est pas dans la même équipe. C’est toujours tendu entre vous deux ? » demandai-je en sentant que son ton s’était un peu endurci. Son équipe était constituée principalement d’inconnus, chose qui devait compliquée sa prise de poste de capitaine c’est sur. Je tentais de la rassurer : « Je suis certain que tu vas très vite tous les mettre dans ta poche. »

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