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Ain't no sunshine when she's gone. ▲ Caeraël

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Ain’t no sunshine when she’s gone.
Caerdydd & Kenaël



Pour une fois que tu ne t’étais pas levé tard, c’était à cause d’un cauchemar. Tu détestais cela, ça te donnait l’impression d’être impuissant ce qui t’énervait au plus haut point. Ouais, tu aimais avoir cette vague impression d’être intouchable, même si tu es le mieux placé pour savoir qu’à l’heure actuelle, t’étant attaché à un nombre incalculable de personnes, c’est beaucoup plus facile de t’atteindre. Bref. Tu sortais de ta cabine, assez tôt, voulant changer d’air. Parce que oui, quand tu te réveilles, tu n’arrives plus à te rendormir, surtout si les cauchemars sont la seule cause de ton réveil. Foutu réveil, oui. Tu t’installais si aisément sur un rocher, sortant ton premier mégot de la journée, regardant ce roi jaune installé dans son royaume bleu à travers tes lunettes de soleil. Tu n’étais tout de même pas suicidaire pour exposer ton regard aux rayons de soleils, violents, agressifs, prêts à t’arracher tes pauvres prunelles dès que tu lèveras ton regard vers eux. Tu respirais alors cette fumée asphyxiante de ton pétard, te permettant à te vider l’esprit de ce mauvais rêve.

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Ain't no sunshine when she's gone.
C'était devenu habituel. Lorsque je devais dormir dans un endroit qui ne m'était pas familier, je connaissais toujours des premières nuits agitées, et celle-ci était surement la première d'entre-elles. Après la journée d'arrivée, nous avions été répartis en plusieurs équipes, ces mêmes équipes qui avaient été mises sur des bateaux différents. Pour le moment, tous les bateaux étaient à quai, et il n'était pas prévu que nous prenions la mer avant quelques jours . Etant réveillée depuis de longues minutes, et ne voulant pas déranger plus longtemps mes voisines de cabine, je m'étais préparée pour aller courir sur la plage, histoire de me changer les idées. A peine sorti sur le pont que l'air frais, enfin moins chaud que celui du reste de la journée, me saisissait. Je descendis alors du bateaux et entama ce petit footing ravigotant. Cela faisait quelques minutes que je courais sur une plage paradisiaque, quand j'aperçus quelque chose qui ressemblait étrangement à une silhouette humaine. Continuant ma course, et me rapprochant des rochers, je dessinais de plus en plus les courbes de la personne, jusqu'à son visage. Finalement, quand je ne fus plus qu'à une dizaine de mètre, je fus en mesure de distinguer parfaitement la personne assise sur les rochers et, quelle surprise de le voir a cette heure-ci, lui qui habituellement était une vraie marmotte. Alors que je ralentissais mon rythme et me dirigeais vers Kenaël, que je distinguais maintenant parfaitement grâce à la faible lumière présente, je vis qu'il était encore avec l'un de ses pétards. Je soufflais un coup tout en m'approchant de lui, mais après tout, je n'étais pas sa mère, et même s'il était vraiment important pour moi, il avait bien le droit de faire ce qu'il voulait, dans les limites du raisonnable.

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Tu étais assis, là, à te pourrir les poumons et t'asphyxier avec ton mégot, un mégot qui ne voulait quitter tes lèvres même pendant ce voyage. Cependant, assis en compagnie de ce vent ce matin-ci calme, tu savourais ce mégot qui te permettait de t'évader, plus ou moins. Mais tu n'étais pas seul, ce fut des pas qui te firent sortir de tes pensées, tu avais la flemme de te retourner pour savoir qui était-ce. Tu restais alors un instant assis, sentant ou plutôt entendant les pas se rapprocher de toi. Trop flemmard pour te retourner. Trop curieux pour ne pas te retourner. Tu restais un instant immobile jusqu'à ce que tu n'entendais plus de pas, sûrement la personne en question était assez proche de toi. Ayant inspiré cette fumée asphyxiante, tu la laissais s'échapper de tes lèvres avant de prendre la peine de te retourner, ouais, tu étais plus curieux que flemmard et tu étais déjà content de t'être retourné. Ta chère Caerdydd était là. Un sourire vint déchirer tes lèvres, tu la regardais en souriant, cachant ton pétard. Coucou toi. Chuchotais-tu d'une voix cassée. Une voix matinale, ta voix matinale.
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Ain't no sunshine when she's gone.
J'étais toujours debout, à quelques mètres de Kenaël. Une légère brise soufflait, venant caresser mes jambes a moitié nues que mon short laissait paraître, et me rafraîchissant après ce court moment sportif. J'avais ôté mes écouteurs, et je l'observais. Même son dos était terriblement sexy. Cependant je le regardais fumer son pétard, attendant patiemment qu'il me remarque, ou qu'il le finisse. Je le voyais savourer cette merde, comme j'avais pu la savourer, et maintenant ça me dégoûté, au plus au point. J'affichais une moue de dégoût, quand il se décida à se retourner pour me faire son petit sourire tout mignon. Je vis aussi qu'il s'empressa de cacher son pétard. « Coucou toi. » déclara-t-il avec sa petite voix cassé, celle qu'il avait le matin au réveil, celle qui me faisais craquer, et qui devait surement en faire craquer d'autre. Cette dernière pensé me serra le cœur, mais je n'en laissais rien paraître. Kenaël n'était pas " à moi " et je n'étais pas à lui, nous étions deux personnes libres de faire ce qu'elles voulaient, et surtout pendant ces vacances. Je m'approchais encore un peu de lui, me mettant accroupie derrière son dos et passant mes bras autour de son cou pour lui faire un câlin. « Coucou » déclarais-je avant de lui faire un bisou sur la joue. Cependant, cette douce étreinte prit fin quand l'odeur de son pet rencontra mes narines, ce qui fit ré-apparaître une moue de dégoût.  

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Tu n'aimais pas fumer quand elle état là, tu te dégoutais toi-même de devoir sortir une cigarette sous ces yeux parce que tu savais mieux que quiconque ça ne faisait que la torturait, alors autant souffrir à sa place et patienter pour fumer une cigarette. Sauf que ça te faisait mal au cœur de jeter cette clope que tu venais tout juste de commencer, peut-être étais-tu capable de faire un sacrifice pour elle. On ne sait jamais... C'est alors que tu lâchais ton mégot, le cœur serré, tu l'écrasais avant que la belle ne vienne derrière toi pour te faire un câlin si mignon. Chose qui te fit bizarrement sourire tel un idiot. Tu passais ta main par derrière pour lui caresser les cheveux avant de tourner ta tête, cherchant à lui faire un bisou sauf que la fumée qui sortit de tes narines lui fit tirer une petite moue dégoûtée, c'est alors que tu tourna ta tête de l'autre côté, soufflant enfin toute cette fumée avant de te retourner vers la belle. Désolé... Disais-tu d'une moue légèrement désolée, tu n'aimerais pas qu'elle se remette à fumer, ô que non, pas à cause de toi. C'est alors que tu te penchais légèrement vers l'arrière pour être plus proche d'elle - et pour te casser le dos aussi au passage vu que ta position était loin d'être confortable - et lui déposer un bisou à ton tour sur la joue.
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En y réfléchissant un peu, j'étais la spécialiste pour venir ou bien voir Kenaël juste aux moments où il était en train de fumer. La plupart des fois où nous nous voyons, il était tout le temps en train de fumer une cigarette ou un pétard fraîchement entamé, qu'il se forçait bien souvent à jeter en ma présence. C'était pour cette dernière raison que je l'appréciais tellement, qu'il était tellement pour moi. Pour cette capacité à se sacrifier pour moi. J'aimais penser que c'était parce que j'étais quelqu'un d'assez spécial et d'assez importante pour lui pour qu'il puisse se défaire de ses pétards et ses cigarettes. Il me sortit de mes pensées. « Désolé... » déclara-t-il avec sa bouille d'enfant désolé. Je remarquais alors qu'il avait encore une fois abandonné sa drogue pour moi, ce qui me fit timidement sourire. Alors que j'avais fait un mouvement de recul par rapport à lui, je vis le beau brun se tordre dans tous les sens pour me faire à son tour, un petit bisou sur la joue. Je ne pus retenir un petit rire en le voyant se tordre. J'en profitais pour me lever et venir m'asseoir à côté de lui. Alors que je posais mes fesses sur le rocher, j'en profitais pour lui piquer ses lunettes de soleil, et les poser à mon tour sur mon nez. Je le regardais en souriant, et en attendant une petite pique de sa part sur le fait que je venais de lui voler ses chères lunettes.

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Tu sacrifierais bien cette clope pour elle. C'est alors que tu l'écrasais contre le rocher, laissant sortir toute cette fumée avant de te penchais vers l'arrière tel un petit enfant, ce que ça pouvait faire mal à la colonne vertébrale, mon dieu ce que tu pouvais suffoquer à cette minute-là, tout ça pour lui faire un bisou sur la joue. Quel enfant tu faisais. Tu te redressais quand la belle se leva, venant s'asseoir près de toi, tu tournais ta tête en sa direction en souriant avant que tu ne remarqua que ces sauvages de rayons de soleil arrivèrent à atteindre ton regard noisette, quand la brunette te piqua sans aucune gêne tes lunettes de soleil, tu fronçais les sourcils et baissais la tête pour ne pas avoir affaire à cette lumière aveuglante. Mais tu vas arrêter de tout me piquer, oui ? Disais-tu. Elle adorait te voir souffrir celle-là, toujours à te forcer à lâcher tous tes mégots avec sa petite bouille, aujourd'hui à s'amuser à te laisser face à cette lumière aveuglante. Manque plus que tu me piques mes boxer toi. Continuais-tu de râler, sous l'espoir qu'elle te rende tes chères lunettes sans lesquelles tu ne pourrais survivre plus longtemps.
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Assise à côté de lui, je passais mon bras dans le sien, et caressais son avant bras du bout de mes ongles. Quand il commença à râler par rapport a ses lunettes, comme je l'avais prévu, j’arrêtais mes petites papouilles. « Mais tu vas arrêter de tout me piquer, oui ? » Je lâchais un petit rire, avant d'enlever sa précieuse paire de lunette et de les reposer gentiment sur son nez. Je lui refis un petit bisou sur la joue pour me faire pardonner. « C'est bon, ça va mieux ? Monsieur le râleur professionnel » déclarais-je dans un sourire mignon. « Manque plus que tu me pique mes boxer, toi. » J'explosais de rire. Il avait toujours la petite phrase qui me montrait qu'il rigolait, qu'il n'était pas vraiment énervé contre moi et le ton qu'il avait utilisé, accompagné de son air boudeur me rendais terriblement faible. « Oh, ça, c'est quand tu veux, y'a pas de soucis pour moi. » retoquais-je. Cependant je me devais de le taquiner un peu, et je fus dans l'obligation d'ajouter « Même si je pense que vu tes grosses fesses, ils seront trop grand pour moi.» et je lui tirais la langue telle une enfant.

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Elle commençait à te caresser l'avant-bras avec ses ongle ce qui te fis la chair de poule, tu regardais ton bras avant qu'un frisson ne te traversa. Regarde moi ça, tu m'as donné la chair de poule. Disais-tu en lui montrant ton bras avant de te mettre à râler quand elle venait te piquer tes lunettes, non pas que ça te dérangeait qu'elle te les pique mais bien parce que la lumière aveuglante te dérangeait, ils ne s'appelaient pas des lunettes de soleil pour rien non plus. Elle te rendait finalement tes lunettes ce qui te fit légèrement sourire, tu passais ta main au-dessus de ses épaules quand elle venait déposer un nouveau bisou sur ta joue ce qui t'arrachait un sourire, surtout vu son si joli petit sourire qui te rendait si faible... Argh ce que tu détestais ce pouvoir qu'elle avait sur toi. Avoue que t'aimes bien ce râleur. Disais-tu en la rapprochant de toi avant de lâcher un petit rire quand elle disait que ça ne la dérangeait pas plus que ça de t'emprunter tes boxers... Intéressant tout ça. Tu venais lui déposais un bisou sur la joue avant qu'elle ne lâcha une phrase qui te laissa choqué, tu la lâchais d'un coup, la regardant d'un air outré. Pardon ?! Disais-tu en la regardant d'un air faussement vexé.
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J'étais tellement bien collé à lui. Cependant il trouvait toujours un moyen de râler, que se soit parce qu'en lui faisant des papouilles je lui avais donné des frissons, ou parce que je lui avais piqué ses lunettes. Alors que je lui avais rendu ses lunettes, il passa son bras par dessus mes épaules. Je me sentais tellement bien avec lui. Savourant chaque instant avec lui, en préférant penser que j'étais la seule avec qui il était comme ça, il déclara « Avoue que t'aimes bien ce râleur. » Je levais mes yeux vers lui, plongeant mon regard noisette dans le sien. « Je pense que si tu râlais plus, j'pourrais plus t'aimer. » C'était tellement compliqué comme relation. Vouloir être avec une personne, mais vouloir la garder comme ami, tous ces sentiments confus, et ces paroles ambiguës. Et pourtant. Je fus surprise de me retrouver d'un seul coup sans la chaleur de son bras sur mes épaules. « Pardon?! » lacha-t-il outré par mes paroles qui se moquait de la taille de ses fesses. Prenant mon regard du chat potté, je ne pus m'empêchais de dire « Mais tu sais, tu as les plus jolies grosses fesses du monde. »

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