Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityHurt me, cause you only know that for me - Page 2
Le Deal du moment :
SSD interne Crucial BX500 2,5″ SATA – 500 ...
Voir le deal
29.99 €


Hurt me, cause you only know that for me

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Motya, Devyn & William


Hurt me, cause you only know that for me


William était un tant soit peu largué quant à la scène qui venait de se dérouler. Tout était allé si vite, en plus. Il pensait en avoir fini avec la demoiselle aux cheveux rouges, il s’avança donc vers Devyn il fallait qu’il lui demande qui elle était puisqu’il semblait la connaître. Une fois près de lui, il lui dit que c’était lui. Pas elle. William ferma les yeux, inspirant profondément. Oh, la belle boulette. Lorsque Devyn répondit à l’homme aux cheveux rouges que William s’excusait, il les rouvrit. Pas question, il l’aurait fait s’il n’avait pas reçu de coup de sac. Mais maintenant, face au fait qu’il l’ai considéré comme une femme, il devait lui en présenter, pas le choix. Génial. Le Kane écarquilla cependant les yeux lorsqu’il ajouta qu’il pourrait s’excuser pour lui. Là, il lança à Devyn ; « Pas question. » Et maintenant, c’était au tour de Motya d’y mettre son grain de sel. Ils en étaient à comparer la taille de ce qu’ils avaient dans le pantalon maintenant ? Génial, retour en primaire. Ce truc là, ce n’était pas pour lui. Levant les yeux au ciel devant l’absurdité du moment, il siffla ; « Tu m’en vois ravi. Elle fait le café aussi ? » Oui, ça commençait à l’énerver cette histoire. Ils auraient pu en rester là non ? Il commençait à avoir de moins en moins envie de s’excuser. Et cela ne fit que s’accentuer lorsque Torgnole le Rouge s’en prit à Devyn. Non, là, ça n’allait clairement pas le faire. Faisant un pas en avant pour se placer devant l’anglais comme si cela pouvait l’empêcher d’être atteint, il railla ; « Si tu ne redescends pas sur Terre tout de suite, il y autre chose qui va être écrasé, et ce n’est surement pas Devyn. Au passage, c’est moi qui t’ai bousculé, pas lui, alors t’es bien gentil et tu lui fous la paix. » Fixant l’homme dans les yeux malgré le fait qu’il soit à distance respectable de lui, il ne cillait pas. S’il s’en prenait à Devyn, il pourrait bien devenir agressif, pas seulement verbalement.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Hurt me, cause you only know that for me

Bon, réfléchissons un peu. Tu avais affaire à une sacrée histoire : tu bousculais Motya qui finissait par passer outre, puis c'était au tour de William... qui se disputait avec lui. La question était de savoir comment désamorcer le tout, et tu n'avais pas quatre heures comme en philosophie. Autant dire que, pour toi qui n'étais pas vraiment doué pour les conflits, tu risquais le zéro pointé. En plus, il semblerait qu'ils aient tous deux décidé de parler de... la taille de leur sexe et de leurs différentes fonctionnalités. Et ça, franchement, tu ne savais pas particulièrement gérer. Bon, certes, William avait pensé qu'il s'agissait d'une fille, mais toi aussi au départ, et il ne t'avait pas vraiment sorti ce genre de phrases. Et toi qui n'aimais pas les disputes, tu te sentis obligé d'intervenir, même si ce ne fut pas particulièrement couronné de succès vu la réplique cinglante à laquelle tu eus le droit. Ton... petit-ami ? Sauf que William n'était pas gay ou bisexuel, à ta connaissance. Et oui, je m'écrasai de nouveau devant lui, comme l'idiot que j'étais, me contentant de baisser la tête, en espérant que William comprenne le problème et que l'on s'en aille. Tu étais suffisamment mal à l'aise comme cela. C'est alors que tu vis que William, justement, s'était placé juste devant toi : mais qu'est-ce qu'il faisait ? Il ne voulait pas s'excuser et maintenant te défendait ? Enfin, tu mentirai en disant que tu n'étais pas touché, mais ce n'était pas vraiment cela qui allait te remonter l'ego, loin de là. Un gars obligé de se cacher derrière un autre pour se protéger, n'était-ce pas... ridicule. En plus, il ne savait pas que tu l'avais bousculé juste avant, mais tu ne pouvais pas lui dire maintenant à haute voix, c'était trop tard de toute façon. Tu pris juste le temps de le lui murmurer à l'oreille. C'est bon William, laisse tomber. Je l'ai déjà bousculé avant, inutile d'envenimer l'histoire.
lumos maxima
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Hurt me, cause you only know that for me - Page 2 Tumblr_n54watipHC1sb1p0zo4_250
Je commençais à cerner la personnalité de ce raté. Il se donnait un genre de mauvais garçon qui tient tête à tout le monde. Sauf qu'il sait que je suis plus faible, il n'a donc pas spécialement peur de m'affronter. Mais aurait-il les mêmes ambitions en face d'une armoire à glace ? Pas sûr. Il répliqua à chacune de mes réflexions en essayant tant bien que mal d'assimiler la répartie, l'humour et le rabaissement. En plus de se sentir pousser des ailes, il commençait à employer les menaces, chose qui me fait doucement rire. Des menaces ? Mais tu penses vraiment t'en sortir indemne si tu oses me faire quoi que ce soit ? J'ai peut-être pas les moyens physiques de me défendre, mais j'ai les moyens financiers pour te faire enfermer en claquant des doigts. D'un autre côté, je les trouvais mignons. Il faisait le héros pour défendre son petit ami, qui lui lui demande d'arrêter les festivités. Ton copain à raison. Disais-je en appuyant les paroles de Devyn, que j'appréciais pour sa lâcheté. Je commençais vraiment à être lassé de cette situation qui ne s'arrêtait pas. Il répondra à chacune de mes réflexions, mais mois aussi, donc la discussion n'avance pas, on rese ici à perdre notre temps, surtout moi. Je suis en train de ternir mon image à parler avec ces mecs-là.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Motya, Devyn & William


Hurt me, cause you only know that for me


Des menaces, des menaces… Tout de suite les grands mots. Ce ne sont que de simples mises en garde, voilà tout. Et puis lui, avec le coup de sac à main qu’il lui avait assené, il se croyait au dessus de tout ça ? Pas du tout, il était au même niveau, surtout que William n’avait rien fait encore qui justifiait ce coup. Irrité, il répondit ; « Ce sont des mises en garde, nuance. » Voilà qu’il se mettait à étaler son argent comme tous les richards qu’il n’avait que trop bien connu. Pris d’un haut le cœur, il railla ; « Je m’en fiche pas mal de ton argent, de ce que tu peux faire ou ne pas faire avec. » Il s’approcha vers lui, quelques centimètres les séparaient lorsqu’il lui demanda ; « A quoi ça te sert d’étaler ton fric comme ça ? Ce n’est pas tes menaces qui me vont me faire trembler. » Il désigna son sac à main d’un geste du menton, dedans devait surement se trouver un une infime partie de sa fortune. « Tu te défend en te cachant derrière ton argent, mais quand tu seras vraiment dans la merde, il n’accourra pas pour te sauver la mise. » Après ces paroles sèches, il recula de quelques pas. Après ça, il lui sortit que son copain avait raison. C’était son ami, bordel. Il leva les yeux au ciel, ne le relevant même pas. S’adressant maintenant à Devyn, il siffla ; « Je ne vais pas me laisser marcher dessus par un type qui a confondu son shampoing & sa bouteille de ketchup. » D’accord, en temps normal, la couleur de cheveux du jeune homme lui aurait peu importé, il aurait même pu apprécier sa démarcation. Mais maintenant qu’il les attaquait tous les deux à cause d’une simple bousculade, il n’allait pas en rester là.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Hurt me, cause you only know that for me

Cette histoire confirmait bien quelque chose : tu étais bel et bien incapable de gérer les conflits. Seul face à quelqu'un, tu fuyais ou te débinais très facilement. A 2 contre un avec toi dans le camp supérieur, tu te planquais et voulais fuir en utilisant des arguments inutiles. Si tu avais été un animal, tu serais sûrement une souris... ou un ver de terre, au choix. Si William se fichait de l'argent de Motya, toi, tu prenais au sérieux ses menaces : il te les avais déjà lancées, et tu avais eu l'impression de ne les éviter que de justesse. Non, l'argent ne faisait effectivement pas le bonheur, mais il aidait bien, il ne fallait pas le nier. Lui n'avait sûrement pas à surveiller ses dépenses pendant le Summer Camp et n'avait pas dû réfléchir s'il pouvait se permettre ses vacances avant d'en payer les frais d'inscription. Et maintenant, il pouvait même vous flanquer un procès sur le dos comme il le disait, et tu le croyais, peut-être naïvement. Mais d'un sens, William n'avait pas tort : ce n'était pas toujours l'argent qui sauvait la mise, quand on était soi-même dans la mouise jusqu'au cou. Le jour où il tombera sur plus fort que lui, son argent sera inutile. En attendant, nous n'étions pas ces gens plus forts, ou en tout cas tu ne l'étais pas. William ne se laissait pas démonter en tout cas, même si tu lui demandas de s'en aller, car tu savais que cela n'en finirait jamais. Pourtant, lorsque William te répliqua au sujet de la couleur de cheveux de Motya... Tu ne pus t'empêcher de rire légèrement : il n'avait pas totalement tort. C'était nul comme réplique dans une dispute, mais tu n'avais pas pu t'empêcher de laisser sortir ce rire. Sans doute risquerez-vous d'être plutôt mal barrés à deux...
lumos maxima
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Hurt me, cause you only know that for me - Page 2 Tumblr_n54watipHC1sb1p0zo4_250
Des mises en garde ? Il peut se justifier comme il veut, je les perçois comme des menaces, et seule ma vision des choses compte. De plus il n'appréciait pas que j'étale les moyens que je peux déployer financièrement pour me défendre. Sans doute faisait-il "l'anti-riche" pour camoufler sa peur, ce que je comprends. Et me dire que mon argent ne me sauvera pas quand j'aurai besoin d'aide est bien maladroit. C'est là que tu te trompes, bad boy du dimanche. Peut-être qu'effectivement il ne me sauvera pas dans l'instant présent, mais sache que les mauvaises choses que tu peux me faire maintenant auront des répercutions plus tard. Encore une personne de la classe médiocre qui pense qu'on ne peut pas tout résoudre avec un bon avocat et de bons pourboires, c'est mignon. Après ce débat folklorique sur l'importance de l'argent, ce cher garçon se permit de m'attaquer sur le physique. Waouh. Il n'y a rien de plus lâche que d'attaquer ce domaine. Je sais qu'avec moi c'est simple de lancer ce genre de pique plus bas que terre, mais même venant de toi j'aurais espéré un peu plus de dignité. Suite à cette remarque plus immature que minable, je ne ressentais que de la pitié envers lui désormais. Il faut croire cependant que ça faisait bien rire son copain. Au lieu de te marrer derrière ton copain tel un gosse derrière les jupons de sa mère, t'as peut-être quelque chose à dire ? Valait mieux qu'il se mette sagement dans un coin, parce que même si son ami est ici, rien ne m'empêchera de lui dire la vérité entre 4 yeux.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Motya, Devyn & William


Hurt me, cause you only know that for me


Comment une journée banale pouvait-elle prendre un virage à cent-quatre-vingt degrés comme présentement ? William n’était pas du genre à chercher les embrouilles, il tachait de les régler sans bavures, avec diplomatie et tact. Mais là, devant cet homme dont il ignorait tout, jusqu’au nom… Il perdait les pédales. S’en prendre à lui, pour des futilités qui plus est, c’était une chose. Mais immiscer Devyn là-dedans, ce n’était pas acceptable. S’ils avaient eu un différent, qu’ils le règlent entre eux, mais qu’il ne se serve pas de Devyn comme un jouet maintenant. Et puis… Non, sérieusement ? Bad boy du dimanche ? Cette pseudo-insulte fit rire William plus qu’autre chose. Soyons francs, il ne voulait pas que ça se finisse en baston, pas du tout, mais il voulait faire comprendre à l’homme qu’il devait arrêter son délire de supériorité absolue. C’est nouveau, on bouscule quelqu’un et le fait tomber, on se récolte un coup de sac à main. Ok, ce n’est pas agréable de se ramasser, je le concède. Mais de là à en venir –presque- aux mains, il y a une marge, non ? Surtout quand il s’agit d’un accident. Dépité du discours de l’homme, William soupira ; « En engageant un excellent avocat, en le payant grassement, merci, je connais la combine. » Son frère était une personne qui abusait du pouvoir des billets, à une échelle insoupçonnée. Il pourrait diriger le monde s’il le voulait, avec la jugeote qu’il avait. Mais il se cantonnait au rang de PDG d’une multinationale Londonienne, vivant la vie qui s’en suit. Affligeant. Et puis de nouveau, le jeune homme reprit la parole. Oui, attaquer ses cheveux, c’était bas, il le savait. Mais il avait sortit ça spontanément, brûle-pourpoint, mais il ne le regrettait pas pour autant, du moins, pas pour le moment. Il railla ; « Dit celui qui a largement sous-entendu que les menaces étaient bien basses choses avant d’en sortir lui-même. » Il fixait les yeux bleus de l’homme, il venait d’attaquer Devyn de nouveau. Il tapa dans ses mains pour attirer son attention, criant ; « Eh ! Lorsqu’il fut sûr d’avoir capté son attention, il rajouta ; C’est entre toi et moi, d’accord ? » Si Devyn & lui avaient eu un différent, il devait être laissé de côté. Là, ça se jouait entre eux deux.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Hurt me, cause you only know that for me

Bad boy du dimanche, William ? Tout ça parce qu'il ne s'écrasait pas devant lui contrairement à toi ? C'était la bonne blague du jour. Certes, ton ami pouvait être particulièrement froid, asocial et tout ce qui en découlait, mais il était loin d'être un bad boy, il ne fallait pas exagérer. Bon, s'attaquer à sa couleur de cheveux ne volait pas très haut non plus, certes, mais il fallait avouer que ce n'était pas totalement faux, ce qui expliquait ce rire que tu n'avais pas réussi à contenir. Là, cela tournait à la partie de ping-pong quand même... Sauf que la balle t'arrivait dessus de temps en temps quand tu étais visé par Motya, et William la lui renvoyait à chaque fois. Sauf que d'habitude, Motya se reportait relativement bien vers William, contrairement à maintenant. Il t'avait considéré comme un gosse sous les jupons de sa mère, et il n'avait pas forcément faux si on regardait la globalité de la scène. Et tu n'avais pas toujours William pour te défendre. Ce fut sûrement pourquoi tu t'avanças légèrement, malgré la réplique de William avant de prendre la parole. En effet. Il t'a bousculé, d'ailleurs, et tu lui as fichu un coup de sac. C'est bon, tu es quitte maintenant, non ? Donc tu peux suivre ce que tu t'apprêtais à faire avant l'arrivée de William... Partir Waouh, tu avais réussi un mini-exploit là, en lui parlant sans baisser la tête et d'une traite, sans bafouiller. Peut-être l'effet Kane qui faisait ça.

lumos maxima
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Hurt me, cause you only know that for me - Page 2 Tumblr_n54watipHC1sb1p0zo4_250
Je sens clairement qu'on tourne en rond, et c'est en aucun cas quelque chose qui me plaît. Il me tacle, je le tacle, il me tacle, je le tacle... Je trouvais ça marrant les 3 premières minutes, mais là ça devient limite irritant pour tout le monde. Ce gars n'était plus crédible, mais j'ai l'impression qu'il a décidé d'en rajouter en osant dire que ce n'était qu'entre lui et moi. C'est là que tu te trompes. Si je t'ai donné ce coup de sac, c'est parce que tu venais de faire ce que ton ami venait de faire. Donc en ce qui me concerne, j'ai autant de rapport avec l'un comme avec l'autre. Qu'il n'essaye pas de défendre son ami qui est 3 fois plus coupable, m'ayant bousculé 3 fois. En parlant de ce cher jeune homme, voilà que des ailes ont poussé sur son dos dès l'instant où il a enfin daigné me répliquer. Alors c'est ça qu'il te faut pour me répondre convenablement ? Avoir ton copain avec toi et contre moi ? Être 2 contre 1, en espérant avoir un minimum de crédibilité et de courage ? Ils étaient décidément très décevant. Je n'en revenais pas de la situation, et éprouvant autant de pitié que de désolation, je décidais de partir. Mais tu as raison, je vais vous laisser fricoter, vous m'avez assez fait perdre mon temps. Je donnais certes raison à la victime qui venait de me répondre avec le peu de virilité qui lui restait, mais au moins je partais la tête haute.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)