(+ Jasey) We can't deny we belong for each other

Le soleil des Caraïbes, quoi de mieux en cette merveilleuse été qui s’annonce. Bon bientôt on partira en mer et ça risque d’être moins bien mais pour le moment on profite. C’est d’ailleurs ce que je fais depuis ce matin, je profite. Je me suis tellement fait griller au soleil que je vais avoir l’air d’un bébé homard demain. C’est pourquoi je décide de me rendre à l’ombre et je tombe sur… Jasper… Mon meilleur ami. Meilleur ami à qui je n’ai pas reparler depuis que j’ai gâcher sa vie en lui balançant que j’étais sa sœur. Ouais ouais je vous jure, comme dans les films là ! Il est grand temps que je prenne sur moi et que j’aille le voir. Je m’avance donc en direction du brun, timide comme jamais je ne l’avais encore été.« Ce coin est utilisé ? » Vous sentez cette odeur nauséabonde ? Celle qui vient avec les énormes malaises là ? Moi oui et franchement je déteste ça. C'est nul, nul, pire que nul. Jasper a toujours ma moitié, ma base, et notre nouvelle relation démontre hors de tout doute que nous ne pouvons vivre l'un sans l'autre. Maintenant que je me sens plus ou moins obligée de l'éviter parce que je sais qu'il n'est pas prêt à accepter que son père soit un idiot qui abandonne sa fille, j’ai l’impression de perdre une partie de moi-même et ma confiance en moi en souffre énormément. Voilà pourquoi je suis planté là comme une idiote à attendre son approbation pour le rejoindre. J’essaie de me dire que s’il accepte, alors peut-être parviendrons nous à retrouver notre complicité…

Rester coincé sur un bateau. Génial, j'ai hâte. Oh, en plus y a Diego et Leyna ? Mais attendez, c'est la nouvelle définition du paradis quoi. Normalement, Jasper aurait été heureux de partager cet été sur le même voilier que sa meilleure amie.. sœur. Vous voyez, ça veut pas rentrer. Il veut toujours pas de cette idée foireuse son cerveau. Là-dedans, tout est bien classé dans des cases, et on a pas le droit de changer de boite comme ça, sans autorisation. Sinon ça fout le bordel, comme là. Et ça donne des scènes surréaliste, telle que Leyna attendant une autorisation pour venir s'installer à côté de lui. Il est dans un espèce de grand hamac, à l'ombre. Et ils sont aux caraïbes, putain. Un instant il avait hésité à rester à N-Y pour régler cette affaire. Mais il ne méritait pas de se punir. C'est pas Jasper qui a merdé. Lui, c'est la victime. Ouais, et Elle aussi. Il a juste du mal à le voir. Pas besoin de tourner son regard vers la demoiselle pour reconnaître cette voix, d'ailleurs, il ne le fait pas, restant ses billes fixées droit devant lui. « Nop. » C'est court, ca claque contre ses lèvres qui s'élargissent en un sourire discret. « C'est bien, t'as déjà la politesse légendaire des Ellington. » Il ironise le bougre, sans vraiment l'avoir réfléchit. C'est amer, un peu. Douloureux surtout.

Tout ce que je veux cet été c'est de pouvoir repartir à zéro, m'amuser, profiter de la vie comme une jeune adolescente innocente et oublier toute la merde qui s'accumule dans mon placard. Pourquoi je n'y arrive pas ? Sans doute parce que j'ai désormais 23 ans et qu'il commencerait à être temps que j'affronte cette merde plutôt que de la remettre à plus tard. Ouais voilà ce que je vais faire. Et avec celui dont j'ai récemment bousillée la vie dans mon champ de vision c'est un assez beau début vous ne trouvez pas. Déjà il n'est pas entrain d'essayer de m'étrangler et il ne m'a pas pris pour me noyer dans la mer ça commence bien cette petite discussion. Faut bien que ces années à te côtoyer aient servies à quelque chose. Normalement c'est censé être une blague, ou du moins ça en a la forme, sauf que le ton a quelque chose d'étrange. On sent que ce n'est pas naturel, que je me force à essayer de faire une blague pour faire semblant que rien n'a changé et que nous sommes toujours aussi complices. Mais c'est faux, y a un truc important de brisé dans notre complicité et on le remarque de par la tête que j'aborde actuellement. Enfin Jasper ne la voit pas car il ne me regarde même pas. C'est bien, comme ça sa me permet de détourner le regard au loin moi aussi, admirer le paysage magnifique devant nous... et éviter à tout prix le regard à la fois doux et blessant de mon très cher frère. Pas trop déçus de m'endurer encore cette année ? Ouais car l'an dernier nous avions également été dans la même équipe lors du Summer Camp et franchement on était trop doués. Sans lui j'aurais probablement jamais survécu au Laser Game d'ailleurs. Ouais on est vraiment doués ensemble, ça doit être les liens du sang.

On va pas faire semblant que tout est pareil, que rien n'a changé. A d'autres, hein. On est entre nous, on a pas besoin de jouer. La vérité, c'est que Jasper n'y arrive pas. Il est fils unique, et ça lui va très bien comme ça. En soit, ça ne change rien. Oui, des années à se côtoyer, et elle connaît tout de lui. Son entreprise, sa maison, son père, sa famille. La leur. Finalement, des meilleurs amis, c'est pas aussi un peu de votre famille ? Peut-être même plus proche. Ils ont évité les années où frère et sœur s’écharpent et se jalousent. Si l'on devait lui coller une nouvelle Ellington, autant que ça soit Leyna. Sauf que.. c'est pas si simple. Ca reste bloqué encore dans sa gorge. Ca l'empêche de respirer, parfois. Et ça ruine tout entre eux. Vous l'entendez la dunster ? A essayer de plaisanter, mais ça ne sonne pas comme tel. Elle galère, comme lui. Pour la forme, Jasper souligne ses lèvres d'un vague sourire. Sa part de chemin, de bonne foi. De toute façon, ils sont dans la même équipe. Autant oublier tout de suite l'idée de s'ignorer pendant deux mois. A la rentrée, ils seraient encore ensemble. Condamnés à se parler. « De toute façon, on est coincé ensemble pour un paquet de temps.. » Le SC, l'année scolaire.. la vie, en fait. Ils l'étaient déjà, d'une certaine façon. C'est juste officiel désormais. « Mais merci de m'avoir défendu.. avec Théo là. » Son regard se dévie enfin vers Leyna. Il sait qu'elle a du choisir, sur le coup. Et elle l'a choisit lui. Du moins, il le voit comme ça.

Je crois que de toute les disputes que nous avons eu, toutes les situations embarrassantes, celle-ci est sans contredis la pire. Je ne me suis jamais sentie aussi mal en la présence de mon meilleur ami-frère parce que cette fois je sais que je ne peux rien faire pour régler les choses. Aucune excuses, rien à pardonner. Il faut simplement vivre avec cette idée irréaliste que le même sang coule dans nos veines. En soit, nous nous sommes toujours considérés comme étant frère et soeur, plus proche que ça même car même durant notre enfance jamais nous n'avons ressenti le besoin de prouver quoi que ce soit l'un à l'autre. Il est lui, je suis moi et ça nous suffi. Jusqu'à aujourd'hui. J'apprécie néanmoins ses efforts pour bien paraître, son sourire pour me faire sentir bien. Mais malgré tout sa réponse me fait un petit pincement au coeur. Désormais on est coincé ensemble, donc j'en comprends qu'il n'a pas forcément envie d'être en ma compagnie. Je le comprends, tout est si frais. Il me remercie même d'avoir pris sa défense avec Théo, ce qui pour moi était une évidence absolue. Je sais maintenant mieux que jamais que je ne veux plus jamais me retrouver dans une situation où l'on se retrouve l'un contre l'autre, on a déjà assez de truc comme ça. Je me retourne vers lui, fixant ses yeux noisettes le plus sincèrement du monde. ;A ce moment là je suis un véritable livre ouvert. C'est rien. Cette année notre amitié en a pris un coup, mais je compte bien m'accrocher aux personnes qui sont réellement importante pour moi. Et qu'il soit mon frère, mon président, mon meilleur ami ou n'importe qui d'autres pour moi, Jasper est la seule et unique personne qui compte réellement pour moi. Ça fait niais je sais sauf qu'on commence à s'y faire. Après tout il est le seul qui ne m'a jamais réellement blesser malgré nos dispute et Dieu sait qu'il en a des raisons de me détester mon grand frère. Et puis tant qu'à être dans notre lancée aussi bien continué tout de suite comme ça la discussion pourra redevenir un peu plus normal ensuite. Je sais qu'on ne retrouvera jamais ce qu'on avait avant, mais je ne vois pas pourquoi on ne peut pas y travailler tous les deux. Je suis toujours là Jasper, ça sa ne changera pas. Parce que je n'ai pas vraiment envie qu'il soit simplement "coincé" avec moi vous voyez. C'est beaucoup lui demander, car je me doute de combien il est blessé par les évènements et s'il croit que je ne souffre pas également il se trompe. Nos parents ont déjà fait bien assez de dégâts avec leurs histoires, je ne veux pas leur faire le plaisir de détruire ce que nous avons bâti au cours de ces quinze années ensemble.

« Coincé », c'est le terme. Dans une situation que Jasper ne veut pas. Lui a l'habitude de gérer sa vie comme il l'entend, de prendre des décisions réfléchies, d'ordonner ses journées. Tout est prévu, choisit. Or, là, il n'est pas question de choix. Toc toc, voilà, ouvre la porte et découvre ta sœur. Elle est là, tous les papiers sont signés. Et t'as pas le droit de dire non. Tu peux ne pas l'aimer, mais le problème, c'est que c'est bien la seule partie qui est déjà remplie. Leyna, il l'aime. Depuis des années, des dizaines même. C'est déjà la première personne vers qui le garçon se tourne quand il a besoin de parler, déjà aussi celle avec qui il élève la voix, mais pardonne vite. Elle est sa sœur depuis le début. C'est maintenant officiel. Jasper a pourtant l'impression que ça change tout. C'est idiot, même lui en est conscient, mais la rancœur de l'enfant unique persiste. Oh, ils surmonteront ça, comme toujours. Mais c'est encore frais, la chair repose à vif, saignant à la moindre égratignure. Bien sur Leyna le panse, lui rappelant qu'elle compte rester proche de ses amis, et qu'elle sera toujours à ses côtés. Comme elle l'a été face à Théo. C'est une preuve, non ? Allez Jasper, fait un effort. Ca lui entraîne un soupire, freinant des pieds à cette idée. « Si on retrouve pas ce qu'on avait avant... on peut peut-être avoir mieux encore. » Qu'elle ne compte pas sur lui pour la regarder en balançant ça, ça lui coûte déjà trop. Il le pense, évidemment, mais ça ne rend pas les choses plus faciles. Luttant contre cette envie d'envoyer tout valser. « T'as déjà été le voir ? » Pas prêt à dire « notre père », il la laisse compléter les trous.

J’ai des défauts, ça je le sais, mais je sais reconnaître mes tords. Et dans ma relation avec Jasper dieu sait que j’ai merdé un nombre incalculable de fois. Particulièrement au cours de la dernière année, je crois que je l’ai un peu pris pour acquis et aujourd’hui je regrette comme pas possible. Il faut croire que c’est réellement lorsqu’on perd quelque chose qu’on se rend compte de sa valeur. Mais à mes yeux, Jasper a toujours eu une valeur inestimable, pour lui je pourrais renoncer à tout même à ma fortune et ça c’est beaucoup. Je l’avais déjà fait en quelques sortes. Lorsque j’avais su qu’il était mon frère, j’aurais pu le garder pour moi, ne pas creuser cette histoire plus loin et nous aurions conservé chacun nos vies en tant que meilleurs amis. Parfois je me dis que c’est sans doute ce que j’aurais dû faire, ça aurait été plus facile pour l’un comme pour l’autre. Seulement j’avais pris la décision inverse. Parce que lui, lui et moi, voilà la seule chose qui compte pour moi. J’en avais renié mon propre père adoptif pendant un temps, mon avenir d’ambassadrice et je n’avais pas l’intention d’avoir fait ces sacrifices pour rien. Tout ce à quoi il pouvait penser m’avait déjà traversé l’esprit 100 fois et je m’étais rendu à l’évidence que rien ni personne ne pouvait nous détruire après toutes ces années. Je voulais qu’il puisse le ressentir aussi, comprendre qu’à partir du moment où je lui avais bouleversé la vie, c’était une manière de lui attraper la main et de continuer tous les deux. On avance plus lentement, certes, mais à deux nous sommes plus forts. Alors que l’Ellington affirmait qu’il était possible que nous ayons une meilleure relation qu’avant si jamais nous ne retrouvions pas l’ancienne. Je profitai du fait qu’il ne me regarde pas pour laisser ce grand sourire s’installer sur mon visage détruit, je donnai la permission à mes yeux de briller. J’avais envie de lui demander s’il le pensait réellement, en fait cette question me brûlait les lèvres, j’entrouvris même la bouche pour la poser. Et je m’abstins. Car Jasper ne dit jamais rien qu’il ne pense pas, il n’est pas comme ça, et ça a dû être tellement difficile à dire qu’il n’avait pas à le répéter une seconde fois. Je ne lui ferai pas cela. L’espace d’un instant je m’imaginai un monde où tout était parfait entre nous, aucunes prises de tête, aucun haussement de la voix. C’était irréaliste. Je m’attardai plutôt sur la question qui suivit. « Non, je ne suis pas prête pour cela. Si j’y vais-je perdrai mes moyens et je m’interdis de fondre devant lui. »

Merci au timing, tout ce déballage avait lieu pendant les vacances. Là où Jasper peut compenser son envie d'hurler en regardant la vue, là où il peut noyer son désarroi dans un cocktail, sans croiser des regards étranges. Noyé au milieu des inconnus, ne croisant que Leyna par mégarde, c'était parfait pour la digestion. Pourtant, il aurait aimé accueillir la nouvelle avec joie. Sa meilleure amie, parce qu'elle le restait, ne vous méprenez pas, avait prit toutes les précautions, usés de toutes les tournures, pour ne pas trop l'esquinter. Elle aurait mérité qu'il lui rende la pareille, au lieu de se comporter comme un gamin à qui on apprend qu'il va avoir une petite sœur, et se met à chouiner car il ne veut pas partager ses parents et ses jouets. C'est lui le grand frère, et il n'en assume pour l'instant aucune charge. Son seul pas, c'est lui laisser la porte ouverte sur une meilleure relation. Lui dire que ça ira mieux.. après. « C'est pas un monstre. » Ellington junior défend Ellington père, toujours. Le type qu'elle a décrit, c'est pas du tout celui qu'il a côtoyé pendant toute sa vie. « J'ai été le voir.. On a pas parlé longtemps de ça, mais il sait que t'es au courant, et moi aussi. » Il relève son regard vers la brune. Maintenant, il pouvait reconnaître des traits communs à sa mère, du moins, des photos qu'il avait vu. Son père allait s’effondrer en la voyant, c'est sur. Mais il savait aussi qu'il lui fallait assumer, désormais. La lâcheté n'était pas une valeur qu'il avait enseigné à son fils. « Je viendrais avec toi, si tu veux. » Pour la soutenir. Les soutenir, en fait. C'est comme ça qu'on fait dans une famille non ?

J’avais envie de croire à un avenir meilleur pour nous, comme un enfant qui croit au Père Noël. On est assez forts pour réparer les dégâts que nos parents ont causés et reconstruire des bases encore plus solides. Pour preuve, on arrivait déjà à discuter de la situation presque comme si c’était normal. « Et ça c’est bien passé ? » Car je connais leur relation habituelle, je sais combien mon meilleur ami admire son cher papa puisqu’autrefois je ressentais le même sentiment envers mon propre père. J’ai du mal à l’imaginer avoir cette discussion un peu étrange avec son père, disons surtout que je me sens coupable. Il ne s’en rend surement pas compte mais je ferais n’importe quoi qui était en mon pouvoir pour lui faciliter les choses si seulement c’était possible. Et je réalisais par les paroles qui suivaient que c’était un sentiment réciproque. Qu’on le veuille ou non nous avions toujours malgré nous agis comme frère et sœur, comme si une partie de nous l’avait su. Que ce soit en se surprotégeant ou en se prenant la tête, on finissait toujours par se retrouver parce qu’on s’aime. Je décide finalement de me retourner vers lui en posant ma main sur la sienne, je savais que ce qu’il me disait n’était pas anodin et ça me donnait un brin d’espoir que nous allions bel et bien parvenir à retrouver une meilleure relation tôt ou tard. « Ce serait plus facile si tu étais là oui. » Reviens la partie où je suis une sale petite égoïste. Jasper ne m’avait surement fait cette proposition que par gentillesse car devoir m’accompagner dans cette rencontre serait pour lui encore plus difficile que ce ne l’était déjà, mais sa présence me ferait un bien fou sans quoi j’ignore si je parviendrais à aller voir notre père.

Et ça s'est bien passé Jasper ? Ca dépend du point de vue où on se place. D'accord, son père n'a pas reçu un flot d'insultes en pleine tête.. elles étaient bien retenues dans sa tête à lui. Bloquées par l'estime que le garçon porte encore à son supérieur. Hors de question de perdre leur relation sur un coup de tête. Il paraît que les enfants se rendent compte un jour que leurs parents ne sont pas si idéaux qu'ils le pensaient étant gosses. C'était arrivé. Maintenant, il le voyait comme l'homme pleins d'erreurs et de failles, mais c'était tout de même son père. Le mec a la tête de sa famille, qui les avait sauvé de la pauvreté, et lui avait apprit à se servir de sa tête pour s'en sortir. « Ouais.. on peut dire ça. Il m'a tout expliqué depuis le début, s'est excusé.. Je peux pas le détester, quoiqu'il ai fait. » Il s'en excusait presque, passant sa main derrière la tête d'un air quasi gêné. Oui, ce qu'il avait fait était horrible, mais il ne pouvait juste pas le haïr. C'était comme avec Leyna. Malgré les disputes, ils ne pouvaient pas rester loin l'un de l'autre, et ce même s'ils avaient enchaîné les prises de tête ces derniers temps. Alternant disputes et réconciliations, comme des frères et sœurs. La main féminine sur la sienne lui fit tourner la tête, mais il se retint de l'ôter. Il fallait que Jasper s'y fasse, et le plus tôt serait le mieux. « Alors j'y serais, si tu préfères. » Acquiesce-t-il avec un léger signe de tête. De toute façon, il n'allait pas la laisser seule avec son père pour un petit tête à tête. Leur père. Mais pas sur qu'il ne détourne pas le regard quand viendrait le câlin fatidique où quelconque marque d'affection qu'un paternel offre à sa progéniture. « Ne soit pas trop dure avec lui, il s'en veut suffisamment.. » Qu'il prévient, séparant enfin leurs mains. Conséquence d'un esprit qui les imagine côte à côte, comme une vraie famille. « Si tu veux je le ferais venir ici, ça t'évitera de le voir chez nous. » Sur le terrain de la brune, et pas celui de l'Ellington.