Avec Calvin, on se connait comme si on c’était tricoté. J’ai parfois même l’impression qu’il est moi au masculin parce qu’on se ressemble à un point presque inimaginable. On n’a pas besoin de parler pour comprendre ce que l’autre ressent et quand on le fait, on sait déceler très facilement ce qui se trouve être un mensonge ou non. Comme le russe savait très bien que je n’avais pas envie de partir malgré ce que je venais de dire. Je préfère ne rien répondre, pour faire durer le doute encore un peu parce que c’est amusant malgré tout. À la place je fis doucement glisser ma main vers son short pour qu’il se retrouve désormais en sous-vêtements devant mes yeux. Rien d’autre ne comptait à ce moment, que ce soit la possibilité que quelqu’un nous surprenne ou quoi que ce soit d’autres. Non, lui et moi, voilà la seule chose qui m’importe. Un sourire se dessina même sur mon visage alors qu’il disait de moi que j’étais pressée. Ce n’est pas totalement faux en fait, je suis impatiente dans mon genre, mais pas avec lui. Plus ça dure longtemps plus j’aime ça vous voyez. « Tu crois ? » Mes paroles se volatilisèrent dans un murmure alors que j’enroulais mes jambes bien serrées autour de sa taille pour sentir son corps contre le mien. Je fis dévier ma tête légèrement vers la droite, posant un baiser au coin de ses lèvres, passant également ma langue délicatement sur celles-ci. Pour certains ce n’est qu’un truc physique, un besoin de base, mais pour nous c’est plus que ça. Ça nous évite de nous renfermer sur le mal qui nous habite tous les deux.
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Avec Calvin, on se connait comme si on c’était tricoté. J’ai parfois même l’impression qu’il est moi au masculin parce qu’on se ressemble à un point presque inimaginable. On n’a pas besoin de parler pour comprendre ce que l’autre ressent et quand on le fait, on sait déceler très facilement ce qui se trouve être un mensonge ou non. Comme le russe savait très bien que je n’avais pas envie de partir malgré ce que je venais de dire. Je préfère ne rien répondre, pour faire durer le doute encore un peu parce que c’est amusant malgré tout. À la place je fis doucement glisser ma main vers son short pour qu’il se retrouve désormais en sous-vêtements devant mes yeux. Rien d’autre ne comptait à ce moment, que ce soit la possibilité que quelqu’un nous surprenne ou quoi que ce soit d’autres. Non, lui et moi, voilà la seule chose qui m’importe. Un sourire se dessina même sur mon visage alors qu’il disait de moi que j’étais pressée. Ce n’est pas totalement faux en fait, je suis impatiente dans mon genre, mais pas avec lui. Plus ça dure longtemps plus j’aime ça vous voyez. « Tu crois ? » Mes paroles se volatilisèrent dans un murmure alors que j’enroulais mes jambes bien serrées autour de sa taille pour sentir son corps contre le mien. Je fis dévier ma tête légèrement vers la droite, posant un baiser au coin de ses lèvres, passant également ma langue délicatement sur celles-ci. Pour certains ce n’est qu’un truc physique, un besoin de base, mais pour nous c’est plus que ça. Ça nous évite de nous renfermer sur le mal qui nous habite tous les deux.