Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityParce que mon amour dépasse toutes les frontières. - (HOT) Avec Charlotte. - Page 2
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Parce que mon amour dépasse toutes les frontières. - (HOT) Avec Charlotte.

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Je sentais déjà l'alcool diminué dans mon sang, et mes inquiétudes apparaissaient petit à petit. Mais j'étais fatigué, je venais de donner toute ma force à la femme que j'aimais. Et je voulais rester dans ses bras, je voulais profiter de la chaleur de son corps. Et lorsque j'étais contre elle, je sentais que ce n'était pas l'alcool qui m'avait vraiment poussé à lui faire l'amour, mais mes sentiments à son égard. Je n'en étais pas entièrement conscient, j'étais fatiguée et j'étais encore ivre de la soirée que nous avions passés tous les deux. Je profitais de ses lèvres, de son corps, et ça me plaisait. Je luttais ardemment contre la fatigue pour être dans ses bras. J'enlevais ma main d'entre ses cuisses pour la poser sur son bassin et la ramener contre moi pour l'embrasser tendrement. Je caressais son dos, de l'omoplate jusqu'au creux de ses reins. Elle était si belle, si douce, j'avais envie de continuer ainsi, à rester contre elle, profiter de notre étreinte. Mais je me sentais faiblir, je sentais que la fatigue commençait à avoir raison de mon corps, et j'en souffrais. Au fond, j'avais l'impression que si je m'endormais, les choses seraient différentes, que tout changerait. Mais dire de quelle façon, de qui le malaise viendrait, je n'en savais rien. Je caressais sa joue, alors que mes yeux se fermaient petit à petit, la gardant contre moi. Je rouvrais soudainement les yeux, et déposais un baiser sur les lèvres de la belle Eliot alors que je prenais la couverture pour nous en couvrir tous les deux, la serrant contre moi. Ce fut les dernières forces que j'eus avant que Morphée m'enveloppe dans ses bras. Je m'endormais, j'étais heureux à présent, je me sentais si léger. Je passais alors une nuit merveilleuse.
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L'alcool, bien que présent dans mon corps, commençait, lentement, à disparaitre et à éclaircir mes pensées. Je me rendais à présent plus ou moins compte que nos actes précédents allaient avoir d'énormes conséquences. Cependant, je me sentais relativement prête à y faire face. Les mots, que nous nous étions échangés, tous comme nos actions, nos gestes, n'étaient que synonymes de nos sentiments. L'amour que je ressentais pour lui, qui me rongeait depuis ce voyage dans le Wyoming, amour que j'espérais réciproque et que les mots de Dam n'avaient fait que confirmer... Je les percevais comme une promesse tacite, le début de quelque chose de plus que notre amitié jusqu'alors persistante, à mon grand damne. Je sentis la main de Damian quitter mon intimité pour remonter le long de mon dos, puis rejoindre mes omoplates, puis mes reins. Je fermais les yeux, me délectant de ces douces caresses, sentant mes paupières s'alourdir. Je luttais contre la fatigue grandissante, voulant encore profiter de l'étreinte que Damian m'offrait, des derniers instants de cette soirée. Je me lovais contre le beau Winthorp, jouissant de la chaleur que m'offraient ses bras. Je ne résistais en revanche plus au sommeil, fermant doucement les yeux. Je sentis Damian me recouvrir des draps de mon lit, avant de déposer un baiser sur mes lèvres. A ce contact, je réouvrais furtivement les yeux, plongeant mon regard dans les prunelles de Damian, avant de laisser tomber mes paupières. Je sentis ses bras me serrer encore plus contre lui, et je me blottissais contre lui, un mince sourire sur les lèvres. J'étais heureuse, j'étais dans ce fameux état de bonheur dont parlait mes cours de philosophie humaine, cet état de passivité heureuse où tout est parfait. Je sentais mes pensée m'échapper, se diriger vers d'autres contrée avant de plonger dans un sommeil profond.
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La seule chose dont je me souvenais, c'était que je m'étais endormi heureux. Mais je ne savais pas que ce bonheur était entier à cause de l'alcool qui m'empêchait de regretter mes actes. C'est d'ailleurs en me réveillant avec Charlotte dans les bras, et un mal de tête horrible que je commençais à avoir peur. Nous étions nus, nous étions...nous avions couchés ensemble, ce n'était pas un de ces fameux rêves où l'on a l'impression de faire l'amour à l'être aimé. Je sentais la pression monté, ça ne se faisait pas ce que je faisais. Coucher avec une amie de ma sœur, profiter d'elle alors qu'elle ne m'était pas destinée. J'avais beau être riche comme elle, je ne l'étais pas autant, ses parents cherchaient peut-être mieux qu'un simple fils de riche dont les parents ne possédaient qu'un magazine et un label de musique, c'est sur qu'il pouvait y avoir plus riche que ça. Je me sentais mal et pourtant, j'étais dans le même lit que la fille que j'aimais. Je déserrais mon étreinte, prenant milles précautions pour ne pas la réveiller. À présent, je pouvais voir son corps entier : sa poitrine nue que je rêvais de casser, son ventre si doux rien qu'à le regarder et ses cuisses si jolies, si belles, son corps entier me plaisait. J'avais l'impression d'être un monstre qui a abusé de la tendresse d'une demoiselle, de quelques verres d'alcool en trop pour coucher avec elle. Ça serait quelqu'un d'autre, je n'aurais même pas de regrets mais c'était Charlotte, elle était un ange à mes yeux, un ange que je venais de souiller à cause de mes sentiments qui s'étaient exprimés trop fort à cause de l'alcool. Je ne savais pas quoi faire à ce moment-là, la réveiller et essayer de savoir ce que nous avions fait ? Peut-être avions nous juste dormi et que j'avais rêvé à son corps ? Non, c'était idiot, nous l'avions fait, on était dans la même position que dans mes souvenirs. Mais... je voulais profiter vraiment de cette occasion, de sentir ses lèvres sans l'aide de l'alcool, et elle ne verrait rien, ne serait peut-être jamais au courant. Je déposais un rapide baiser sur ses lèvres avant de m'écarter d'elle à la recherche de mes vêtements. J'avais mis mon caleçon et mon jean, c'étaient les premiers que j'avais trouvé. S'en suivis les chaussures, mais lorsque je trouvais mon tee-shirt, il était en faite sur le buste harmonieux de la belle Eliot. Doucement, tendrement, je m'étais mis à califourchon sur elle, et je glissais ma main sous son dos pour l'élever un peu et prendre mon tee-shirt, j'étais peut-être idiot de croire qu'avec ça, elle ne se réveillerait peut-être pas ?
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J'avais bien dormi, très bien dormis même. Une nuit heureuse, paisible, j'avais dormi profondément. Le sommeil se faisait plus léger, et je sentais les draps se bouger autour de moi, mais je ne me réveillais pas, restant dans un état second, détendue. Soudain, je me sentis être soulevée, doucement, certes, mais je ne m'attendais pas à cela. J'ouvrais doucement les yeux, et vis la tête de Damian à devant moi, ses bras autour de moi, pour, apparemment, récupérer le t-shirt qui était sur moi. J'eus un moment de blanc avant de me rappeler ce qui s'était passé la nuit dernière. J'esquissai un sourire, et lui laissait prendre le t-shirt alors que je m'enroulais dans les draps, encore à moitié endormie. Je ne regrettais pas la nuit passée, malgré le fait que ce soit allée vite et le rôle que l'alcool y avait joué. Mais j'avais attendu cela pendant si longtemps, que je ne voulais pas effacer cette soirée. Je me relevais et observais Damian, déjà à moitié habillé. Habillé. Je posais mes yeux dans les siens, et ce que j'y trouvais me surpris. Les sentiments de la nuit dernière semblaient s'être évaporés, je rencontrais un mur. Est ce que... Qu'il regrettait ? Qu'il aurait préféré ne rien faire ? Que ce qu'il m'avait dit... il ne le pensais pas ? L'incompréhension traversa mes pensées. Il ne lui manquait plus que son t-shirt. Souhaitait il s'en aller avant même de me revoir ?

Dam... tu voulais.. partir ?

Je ne le reconnaissais pas dans ses actes, je ne comprenais vraiment pas. Si je m'étais aussi dit que entre nous deux, cela n'allait jamais pouvoir fonctionner, j'avais commencer à changer d'avis. Il était plus que le frère d'Apple, nos quelques années d'écart ne jouaient plus de rôle, et j'aurais pensé que tous les moments que nous avions passés ensemble auraient aussi fait basculer son avis ? Ou avais-je complètement tord, et en réalité, il ne voulait pas partir. J'avais beau espérer que ce soit le cas, j'en doutais fortement. Je fronçais les sourcils, et me levais de mon lit, allant jusqu'à mon armoire. Je m'emparais d'un grand t-shirt ample que j'enfilais, après avoir ostentatoirement fait glisser la couverture sur mon corps nu. Allait-il voir qu'il ne devait pas regretter ce que nous avions fait ?
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Je devais partir, je ne voulais pas m'éterniser ici. Je souffrais de lui avoir fait l'amour, de ne pas respecter la personne qu'elle était. C'était un ange, une femme qui méritait bien plus qu'une simple nuit, elle méritait bien plus qu'un futur petit avocat, peut-être procureur si j'ai de la chance, mais j'étais franchement rien pour elle, je m'en doutais. Elle était une Eliot, elle cherchait certainement un homme riche, puissant, pas un garçon comme moi malgré que mes parents étaient célèbres mais pas aussi riche qu'elle. C'était aussi l'amie d'Apple, ma sœur m'en voudrait de toucher à ses amies, j'en manquais vraiment pas une. Elle s'était réveillée et stressé par la situation, voyant que la jolie nymphe était debout, je tirais rapidement mon haut. Je me reculais, le remettant. Je m'en voulais d'avoir coucher avec elle, je m'en voulais affreusement. Elle me demandait si j'allais partir, je n'osais pas répondre à ce qu'elle me posait comme question. Une petite voix me disait de ne pas partir, que ce n'était pas grave et que je devais tenter, mais il y en avait une autre, celle de la raison qui me disait que j'aurais pas du le faire. Elle s'habillait rapidement, je la regardais faire, à la fois admiratif, inquiet...anxieux...en faite, pleins de sentiments se mélangeaient en moi, et ça me faisait peur. L'image d'une possible relation avec elle me faisait peur. Je n'avais jamais été capable de prendre soin d'une fille jusque là, mes relations avaient toujours été basé que sur une seule chose mais jamais l'amour. Mais jusque là, je n'avais jamais ressenti autant de chamboulements en moi. J'essayais de me calmer quelques secondes, et je me décidais à parler, enfin. On a commis une erreur, Charlotte. Cette nuit, j'aurais pas du le faire, j'ai toujours rechercher de la tendresse avec toi, mais je n'ai jamais... enfin jusque là, je ne me rendais pas compte que j'avais besoin de plus qu'un câlin, plus d'une confidence...ça me trouble. Je t'ai souillé, je t'ai fais l'amour alors...alors que je te respecte, toi, ton corps, excuse moi. L'alcool nous pousse à faire des choses que l'on ne souhaites pas forcément. Je préfère partir, avant de te faire souffrir plus que ça. Je poussais un long soupir, avant de franchir le pas de la porte. C'était mieux ainsi, que je partes loin. Ce n'était pas convenable ce que nous avions fait tous les deux.
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J'avais bien eu tord de penser qu'il y avait quelque chose entre nous deux, que notre relation aurait pu vraiment devenir quelque chose, que les sentiments que j'avais pu ressentir pour lui pouvaient être réciproque. Si jusqu'à deux minutes auparavant, je ne m'en voulais pas, maintenant, je n'en étais plus vraiment sure. Il était plus vieux que moi, c'était le frère d'Apple... Tous les doutes que j'avais refoulés au fur et à mesure de nos rencontres réapparaissaient maintenant, violemment, me prenant de court. Je reculais d'un pas, m'écartant au mieux de Damian. J'étais blessée, brisée. Je n'aurais jamais cru que Damian aurait pu être la source de tels ressentiments, et pourtant. Comme quoi, on se trompait toujours, et aucune relation de confiance ne pouvait réellement durer. Heureusement que la famille était là, finalement, on ne peut compter que sur sa famille. Ma poitrine me faisait mal, mon coeur me donnait l'impression d'être déchire en mille morceaux. Tristesse, rancoeur, désenchantement, déception, douleur, chagrin, haine même... tous ces sentiments se mélangeaient en moi, créant une boule de ressentiments que je ne pouvais avaler. Les mots que Damian prononca furent quand même le coup de grâce, qui m'anéantis. On a commis une erreur, Charlotte. Cette nuit, j'aurais pas du le faire, j'ai toujours rechercher de la tendresse avec toi, mais je n'ai jamais... enfin jusque là, je ne me rendais pas compte que j'avais besoin de plus qu'un câlin, plus d'une confidence...ça me trouble. Je t'ai souillé, je t'ai fais l'amour alors...alors que je te respecte, toi, ton corps, excuse moi. L'alcool nous pousse à faire des choses que l'on ne souhaites pas forcément. Je préfère partir, avant de te faire souffrir plus que ça. Pétrifiée par ses mots, paralysée par la tempête de sentiments qui déferlait en moi, je ne disais rien. Une larme, unique, roula sur ma joue, alors que Damian passait le seuil de la porte, ne manquant pas de la refermer, me laissant seule, isolée, dans ma chambre. J'aurais eu tellement de chose à lui dire, mais aucun son ne pouvaient passer, et je sentais sa présence s'éloigner de moi, tout comme les illusions qui avaient flotté dans mon esprit depuis quelques semaines. Si, comme il le disait, il me respectait, pourquoi me laisser ainsi en plan, comme une vulgaire conquête. Ou es ce que toutes nos rencontre n'étaient que dans ce but ? Qu'il m'avait manipulé pendant ce temps ? S'il me respectait, jamais il ne m'aurait traité ainsi. L'erreur, je doutais que nous l'ayons faite. D'après moi, c'était lui qui venait juste de la commettre. Au moins aurait il pu rester pour en discuter, pour éclaircir ce qui s'était passé... Car je souffrais déjà, et je sentais que cela n'allait pas aller en s'arrangeant. Je passais dans le mini frigo de ma chambre et pris un pot de Häagen Dasz, avant de me coucher dans mon lit, les larmes commençant à couler sur mes joues, se mêlant à la glace. J'étais brisée, en milles morceau, et je me demandais bien comment j'allais pouvoir me relever, car pour le moment, aucune issue ne semblait éclairer le tunnel de sentiments contradictoires dans lequel j'étais enfoncée.
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