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- J'étais heureux dans ses bras, et ce n'était pas l'alcool qui me faisait dire ça. Je l'embrassais aussi langoureusement que mes forces me le permettaient, je lui faisais l'amour aussi passionnément que mon corps et mon cœur pouvaient lui offrir. Je cherchais à faire plaisir à ma princesse, car sentir qu'elle prenait le plaisir, ça me faisait tout autant plaisir. Je la sentais sous mes mains, sous les mouvements de bassins et même je l'entendais, elle était mignonne. Et le fait qu'elle ai répondu à mon amour, à mon avoue sincère malgré l'aide de l'alcool, j'étais motivé à lui offrir tout ce qu'elle voulait à ce moment là, elle était encore mieux posée qu'une princesse, c'était une reine à mes yeux. C'est alors que j'entendis qu'elle m'appelait : « Dam ». J'étais surpris, je ne comprenais pas vraiment. Je la regardais, sentant la faiblesse de son corps, je posais ma main sur sa joue après l'énième baiser, pour lui dire de s'allonger entièrement. Je voyais bien qu'elle était à bout, que notre étreinte n'allait pas continuer longtemps. Je la ménageais, je faisais en sorte qu'elle ne soit pas trop fatiguée par les mouvements que je lui offrais, ralentissant alors l'allure de mes mouvements, tout en caressant sa joue pour la réconforter. Mes mouvements se faisaient plus lent, pour lui laisser le temps de reprendre ses esprits au fur et à mesure, et pour ma part, je ne pouvais qu'avouer que rester ainsi en elle, ça me faisait du bien. A présent que je m'étais arrêté, je restais quand même en elle, et volait ses lèvres, profitant encore de l'étreinte que nous avions ensemble. J'étais fatigué, le moment que nous avions passés avait été plutôt sportif. Mes lèvres s'échappèrent alors, glissant malicieusement vers sa poitrine pour venir titiller la tendre chair de la princesse, m'amusant soit à droite, soit à gauche, je profitais du contact de sa peau, inconsciemment je sentais que la fin était proche et que je n'allais pas la revoir mais pourquoi ? J'en savais rien, l'alcool m'empêchait de réfléchir correctement. Puis finalement, je me résignais, je sortais de son corps et je m'allongeais à ses cotés. Je posais ma main sur sa joue pour la tourner vers moi et l'embrasser langoureusement. Je descendais cette main pour caresser la belle Eliot, m'attardant sur sa poitrine, son ventre et glisser ensuite ma main entre ses cuisses, m'amusant à continuer à lui offrir un peu de plaisir sans qu'on se fatigue de trop tous les deux.
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