Parce que mon amour dépasse toutes les frontières. - (HOT) Avec Charlotte.

J'avais eu envie de revoir Charlotte, j'en avais besoin, je me surprenais à déprimer lorsque je n'avais pas de nouvelles d'elle. C'est d'ailleurs pour cela qu'à présent, je la tenais contre moi, nous étions en boite de nuit, on s'était décidé à se voir, et personnellement, je n'avais pas envie de la quitter, danser contre elle était un pur bonheur, même le paradis n'était pas aussi merveilleux. Sentir sa présence, son odeur qui caressait mes narines, j'étais heureux, apaisé. Nous avions passés une soirée intéressante, nous avions bus des verres, ça se sentait dans la marche titubant que j'adoptais en partant. Je tenais Charlotte contre moi, la serrant contre moi par les hanches. Nous marchions jusqu'à la maison des Eliot, je voulais la ramener. Je déposais des baisers sur sa tempe pendant qu'on arrivait devant sa maison.

DAMIAN « Je t'accompagne jusqu'à la terrasse quand même! »

Je rigolais à cause de l'alcool que j'avais dans le sang. Je continuais de marcher, tenant Charlotte toujours contre moi. J'avais pas envie de quitter ses bras, j'avais juste envie de rester avec elle, de passer le reste de la soirée à ses cotés. Je glissais ma main dans la sienne, pour la garder contre moi. Je la tenais par les hanches, pour la rapprocher de moi, sentant son souffle caresser ma peau. Je remontais ma main, frôlent « accidentellement » sa poitrine et vint à poser le dos de ma main sur sa joue pour la caresser tendrement. J'avais envie de l'embrasser, de me glisser dans la maison des Eliot, et passer la nuit avec elle dans mes bras.

DAMIAN « J'ai pas envie de partir, Charlie... »

Je souriais, repensant à tous les moments que nous avions passés ensemble. Et aussi à mes sentiments qui se prononçaient au fur et à mesure que je la côtoyais, j'avais l'impression d'être inhumain à force de résister à mes envies. Je la regardais, je la dévorais du regard, j'avais envie d'elle, de ces lèvres, de son corps entier, je la désirais depuis bien trop de temps à présent, j'avais besoin de céder, même si je ne comprenais pas pourquoi je la désirais, pourquoi je jalousais tous les hommes qui l'approchait. Sur ces pensées, je faiblissais, je n'en pouvais plus, je voulais juste qu'elle soit à moi. Je descendis alors mon visage, mes lèvres rencontrèrent les siennes. Mes mains remontèrent le long de son dos, mais en dessous de son tee-shirt, caressant sa douce peau. J'avais envie de la dévorer, de la posséder...

J'avais revu Damian. J'en avais eu envie, besoin même, depuis quelques temps. La façon dont avait évolué mes sentiments ne me rassuraient pas, je n'arrivais pas à savoir ce que pensait Damian. Mais je n'en avais rien à faire, je voulais juste être auprès de lui. On avait décidé de se revoir, en soirée. En boite de nuit, avec du monde, de l'alcool, de la musique. On avait dansé, et le savoir contre moi, c'était tout simplement bon. La soirée finit par se terminer, et Damian me raccompagna chez les Eliots, chez moi. Il me serrait contre lui, et je sentais sa démarche titubante. Il avait bu un peu plus que moi, et le fait que je me collais à lui me permettait de marcher de manière un peu plus droite. « Je t'accompagne jusqu'à la terrasse quand même! » Je rigolais avec lui, et je me blottissais encore plus dans ses bras. Je sentis sa main se glisser dans la mienne et je souriais, heureuse. Mes yeux brillaient, et je souhaitais me souvenir de cette soirée. Je sentis sa main remonter le long de mon corps, frôlant ma poitrine. C'était probablement accidentel, j'avais peut être même halluciné ce contact, je ne savais pas. C'était si furtif. Sa main remonta jusqu'à mon visage, que Damian caressais, doucement. Je plantais mes yeux dans les siens, mesurant à quel point j'avais envie qu'il m'embrasse. Je voulais qu'il reste avec moi, ce soir, cette nuit, je ne voulais pas qu'il parte. « J'ai pas envie de partir, Charlie... » Je lui souriais, doucement. On s'était arrêtés, à quelques pas de la porte. Je passais mes bras autour de lui, et relevais la tête.

« Je veux pas que tu partes non plus. Reste. » Je murmurais, en un souffle. Je baissais les yeux, pensant à tous les moments manqués que nous avions déjà eu. Dans le Wyoming, cet après midi là à Cancùn... Est ce qu'aujourd'hui allait aussi être ajouté à la liste ? Je relevais ma tête vers Damian, observant ses yeux, ses lèvres, son visage. Je ne voulais plus resister. Je voulais céder à mes désir. Et puis l'inespérable se produisit. L'espace entre nos lèvres se réduisit à néant, et je profitais de cet instant. Je m'écartais un instant, réouvrant les yeux. « Dam, je... » Mes pensées n’allèrent pas plus loin, et je refermais les yeux, et déposait mes lèvres sur les siennes. Les mains de Damian sur ma peau nue laissaient une marque brûlante dans mon dos, contrastant avec la fraicheur du soir. Je ne frissonnais pas, bien au contraire. Je réalisais à quelle point je le désirais. Je ne voulais pas m'arrêter. Nos lèvres se séparèrent, et j'attirais Damian contre la porte. Je sentis à nouveau ses lèvres contre les miennes. Un mince sourire étira mes lèvres, j'avais attendu cela depuis si longtemps. Je plongeais mes yeux dans ceux de Dam. « Deux minutes » Je cherchais tant bien que mal les clefs de la maison, dans mon sac, sans succès rapide. Le son caractéristique de mes clefs se fit finalement entendre. Je les levais, et les agitais doucement. « Tu restes, hein ? » Je plantais mes yeux dans les siens, pleine d'espoir. Ne me quitte pas. J'étais probablement faible, mais je ne voulais pas me séparer de lui.

Je n'avais pas envie de partir, j'avais envie rester, d'être dans ses bras, de passer le reste de ma vie à ses cotés. L'alcool ne m'aidait pas dans ce que je ressentais, j'étais fou, j'avais besoin d'elle. Et malheureusement pour moi, j'avais cédé. Elle m'avait dit de rester, je ne pouvais pas faire autrement, je l'embrassais, je la gardais contre moi. La demoiselle s'écartait de moi, mais au final, on se retrouvait encore et je reprenais mes caresses sur sa peau. Je n'en pouvais plus, depuis des semaines j'avais envie de lui faire l'amour, je pensais tellement à elle que parfois je me demandais ce que je faisais sans elle. La demoiselle arrêta notre baiser, se mettant à chercher quelque chose dans son sac, probablement ses clefs. Je souris, elle était vraiment mignonne. Je posais ma main sur la sienne, pour lui faire lâcher prise de son sac et ses clefs, j'étais pas pressé d'entrer, je m'en foutais que l'on pouvait nous voir.

DAMIAN « J'ai envie que de rester, et pas pour me retenir... »

L'alcool me permettait de céder à la tentation, de céder aux envies que je retenais depuis des semaines. Je glissais mes mains sur les hanches de la jolie blonde, pour la plaquer doucement contre le mur, je repris possession de ses lèvres, alors que mes mains glissaient sous sa jupe pour venir caresser ses cuisses. Mes mains se glissaient sur ses jolies fesses, en dessous de son sous-vêtement, je caressais sa peau, je l'embrassais aussi langoureusement que je le pouvais. Je glissais mes mains vers le bas, faisant alors tomber son sous-vêtement au sol, je souriais. Mes lèvres vinrent à se positionner sur sa mâchoire, déposant de petits baisers sur sa peau, descendant alors jusqu'à son cou pour déposer d'autres baisers puis je pris sa peau entre mes lèvres pour la suçoter un peu.

DAMIAN « Je te veux, Charlotte... Tu es à moi, ma reine, ma princesse, mon...amour. »

Je ne me rendais pas compte de ce que je faisais. Mes mains sur ses fesses, serrant contre moi pour sentir son bassin contre le mien, bien que je devais avouer que mon pantalon commençait à me serrer sur cette partie. J'avais envie d'elle, de sa peau, de sa fraicheur. Je remontais mes lèvres jusqu'à ses lèvres pour l'embrasser alors qu'une de mes mains vint à ses glisser entre les cuisses de la main et à caresser la partie intime de la demoiselle, caressant la demoiselle alors que nous étions dehors, sur le palier de la maison des Eliot, qu'on pouvait être surpris. Je m'en foutais, j'avais envie de Charlotte, j'avais juste envie de lui faire l'amour.

DAMIAN « On a besoin d'un peu d'intimité, ma belle. »

je souris, arrêtant alors la caresse que je lui offrais. J'attrapais ses clefs, ouvrant la porte, tirant la demoiselle par le bras pour nous engouffrer dans la maison des Eliot. Je la regardais, lui volais un baiser chaste, et plutôt rapide, avant de monter les escaliers jusqu'à sa chambre, la tenant toujours par la main. Mais une fois devant la porte de sa chambre, je la plaquais contre la porte, glissant mes mains sur ses cuisses, glissant mon bassin entre pour venir taquiner la demoiselle. Je ne savais pas si elle voulait de moi, si elle acceptait, mais j'avais envie d'elle, elle ne pouvait que m'accepter. Je l'embrassais fougueusement, je la désirais, je lui montrais, j'avais envie de Charlotte. La fille qui m'obsédait, qui me rendait fou...fou d'amour même si je ne me rendais pas compte.

Je voulais qu'il reste, Toujours. Qu'il ne me lache pas, que je reste dans ses bras. Nos lèvres se quittaient pour mieux se retrouver, comme si elles avaient finalement trouvé la place qui leur fallait. J'avais envie de lui, et je ne fis rien lorsque ses mains me firent lâcher sac et clefs. Je passais mes doigts autour de sa nuque, alors qu'il me soulevait pour me plaquer contre le mur de la maison. On pouvait nous voir, mais je n'en avais plus rien à faire. Plus rien ne comptait sauf Damian et moi. J'étais sienne, entièrement. Il continua ses caresses sur mes jambes, remontant délicatement, jusqu'à arriver sous ma jupe. Je manquais un battement lorsque je sentis Damian tirer sur mon sous-vêtement, le tirant au sol, c'était si... différent. J'aimais ça. « Je te veux, Charlotte... Tu es à moi, ma reine, ma princesse, mon...amour. » Je souriais et mes lèvres retrouvèrent les siennes sur ces mots, dont la portée m'échappait sur le moment. Je savais juste que j'aimais les entendre, et que, si je me sentais sienne, il était mien également. Je me serrais à lui, l'embrassant langoureusement, le désir se faisant ressentir. Je frissonais de plaisir lorsque je sentis la main de Damian se glisser sur mon intimité. Je l'embrassais en retour et mes mains fébriles commencèrent à déboutonner le haut de sa chemise. Ses paroles vinrent à m'arrêter. « On a besoin d'un peu d'intimité, ma belle. » Il avait totalement raison - comme souvent - et avant que je ne puisse réagir, je me faisais déjà entrainer à l'intérieur de ma maison, vide. On monta vers ma chambre, mais avant même de l'ouvrir, je me sentis plaquée contre la porte. Je passais mes bras autour de son cou, et lui rendait son baiser, avec une certaine fougue. Les couloirs étaient parfaitement vides, mais rentrer dans ma chambre était probablement une meilleure idée que de rester là. J'ouvrais ma porte, et rentrait à reculons, tirant Damian à l'intérieur. Nous avions à présent toute l'intimité nécessaire. Je souriais, avant de lui revoler un baiser, furtif. J'avais envie de lui, c'était certain, et pour une fois, j'étais presque certaine que mes sentiments étaient réciproques. Je ne pensais qu'à ça depuis quelques semaines, ce temps d'attente m'avait rendue à moitié folle. Je levais la tête, l'embrassant fougueusement, et recommençais à déboutonner sa chemise, pour finir par la lui enlever. Je passais mes mains sur ses muscles, caressant du bout de mes doigts ses abdominaux, avant de remonter sur ses pectoraux. Je levais la tête, plantant mes yeux dans les siens. « T'es sûr, hein... » Je n'attendais pas de réponse, et l'embrassais à nouveau. Combien de fois avais-je songé à cela, sans jamais oser ? Je sentais mon coeur battre à s'en arracher la poitrine. Je nichais mon visage dans le creux de ses épaules, où je déposais quelques baisers. Je respirais sur sa peau, sentant la chaleur qui émanait de lui, me collant encore plus à lui, mes mains jouant encore sur sa peau dénudée.

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