EMRYS ♫ boys, boys, boys!

Le summer camp venait à peine de commencer, vous étiez arrivés hier et tu comptais bien t’amuser et en profiter à fond. Seule ombre noir au tableau c’était l’absence de Konrad qui était reparti à Londres histoire de se ressourcer. Vous aviez donc fait un break et ça te faisait grave chier mais au bout d’un moment tu comptais bien être un peu égoïste et penser à ta gueule avant la sienne pour une fois. Te réveillant donc ce matin dans la cabine de ton navire. Ouais, ouais ton navire, car tu étais co-capitaine de ton équipe donc c’était ton navire. Tu allais donc directement sur le ponton afin d’admirer la magnifique vue des Bahamas que tu pouvais avoir. « Wahou… » Tu n’en revenais pas et tu pris tout un tas de photo avec ton iphone afin d’immortaliser le moment pour le montrer à je ne sais qui mais tu avais envie d’immortaliser l’instant. Et puis, tu allais prendre ton petit déjeuner, puis te doucher et te préparer pour aller faire une surprise à Emrys. Depuis que vous vous étiez réconciliés, tu avais besoin de passer du temps avec lui. Enfilant donc ton bas de maillot de bain bleu turquoise comme l’eau de cette mer des Caraïbes. Enfilant ensuite ton mini-short en jean, tu enfilais ton haut de maillot de bain et une paire de nu pieds ainsi que tes lunettes de soleil sur le bout du nez. Passant une main dans tes cheveux, tu partais du navire afin de trouver Emrys et heureusement pour toi, tu fis seulement quelques mètres avant de voir ton beau blond qui sortait de son navire accompagné de quelques personnes. « Emrys ! » Tu secouais ta main et marcher d’un pas rapide vers lui. Une fois arrivait à sa hauteur, tu déposais un baiser sur sa joue. « Tu vas bien ? » Tu lui souriais alors que ses compagnons partaient à leurs occupations.

Quoi de mieux qu'une bonne petite matinée baignade et compagnie, non ? Je me levais comprenant très vite que ce n'était pas un rêve, j'étais bien au Bahamas, j’étais surtout bien dans la chambre de Sir mon cul Mcdouggy et puis, j'étais bien séparé encore une fois des plus proches amis ; heureusement, Charlie Wilcox, mon petit frère de cœur sauver les pots cassés. Sans aucun doute, l'été serait mouvementé au summer camp mais ça promettait aussi des merveilles alors pas de prises de têtes. Je partais prendre ma douche en vitesse ; j'avais bien fait de me lever tôt, j'étais pas prêt pour la guerre des salles de bain au petit matin. J'enfilais un short de bain très classe surplombant un maillot de bain plus moulant Calvin Klein en shorty trouvé en friperie puis un marcel, mes lunettes et je sortais pochette sur le coté avec mes précieuses objets inséparables dedans sans zapper la serviettes autour du coup en mode beau gosse. Je prenais un petit déjeuner prenant le temps alors que les autres arrivaient mais je ne parlais pas trop. Un peu plus tard, je descendais donc enfin pour profiter de l'ile paradisiaque. Là, j'entendais une voix de fille m'interpelait, je tournais directement le regard vers la voix et découvrait la belle Grace a qui j'adressais un sourire lumineux montrant mon enchantement et je la rejoignais à mi-chemin alors qu'elle embrassais doucereusement ma joue en me demandant des nouvelles. Je la prenais dans mes bras pour montrer à mon tour mon enthousiasme laissant les autres partir pour leur occupations et je répondais : Mais bien sur que je vais bien encore plus maintenant que je vois un visage connu et aussi chou ... Dis-je avec un petit sourire charmant sur le visage. J'avançais maintenant à ses cotés : Et toi alors ? je suis étonné que tu viennes me saluer ... moi .. dis-je en me marrant la taquinant.

Ce petit matin était juste magnifique, tu ne rêvais que de marcher sur le bord de l’eau sans forcément aller te baigner étant donné que tu n’avais pas pris de serviette de bain. Tu pensais également être seule mais tes plans de la journée ou tout du moins de la matinée aller bien vite être changer étant donné que tu venais d’apercevoir Emrys au loin. T’approchant de lui tu venais le saluer alors qu’il venait à te taquiner. « Je peux repartir si tu le désires. » Tu lui lâchais un petit sourire avant de faire mine de partir vers ton navire mais évidemment que la main du jeune homme venait te retenir. Te retournant doucement vers lui, tu le regardais. « Tu vois tu m’aimes trop. » Tu riais doucement avant de secouer doucement la tête. « Bon qu’as-tu prévu pour ce summer camp ? » Tu le regardais toujours. « Moi je suis venue en célibataire en quelque sorte, avec Konrad nous avons décidés de faire un break sauf que ça fait quatre mois qu’on a eu quasiment aucun contact autant te dire que je vis une relation avec un fantôme. » Tu riais mais tu riais pas sincèrement car dans le fond ça te faisait horriblement chier mais que voulez-vous.

Evidemment que j'allais pas la laisser partir et que j'étais heureux qu'elle soit venu me voir. Ce serait mentir de dire le contraire franchement parce que j'apprécie trop Grace depuis que je l'ai redécouverte. Je suis bien heureux de cela d'ailleurs mais pas au point de lui dire quoique en la retenant, je lui dis. Enfin ! Je la vois me regarder avec une certaine satisfaction parce que je ne l'ai pas laissé partir et voilà qu'elle se vante. Je bouge mon visage de gauche à droit pour montrer qu'elle dit n'importe quoi. Je répond alors : J'ai pas dit ça ... je dis juste qu'il faut que je retienne mon bouche trou favori .. Dis-je en me moquant avant de l'attraper de coté et d'embrasser sa joue comme on ferait à une proche amie ou sa sœur mais mes mains ne disent pas que je la vois comme un sœur. C'est là qu'elle me demande ce que j'ai au programme pour ce summer camp mais évidemment, elle me laisse pas tout de suite parler, c'est du Grace St-james tout crachée. Elle me raconte qu'elle vient en célibataire et inutile de dire que forcéemnt, je me demande pourquoi elle me précise ça si bien que je lève un mono sourcil d'inquiétude face à ses intentions. Je souris et répond un peu gêné ; Bien... je vis au jour le jour, je ne prévois pas et vois ce qui se passe ... je répond la vérité sans aucune arrière pensée en espérant qu'elle n'imagine rien. Je ne dis pas que son petit cul me manque pas mais bon, soyons sérieux. Mais du coup, tu veux que je t'aide à trouver de quoi te mettre sous la dent c'est ça ? Dis-je toujours aussi provocateur tout de meme.

Emrys restait Emrys et forcément il n’allait pas te faire de fleurs, ni de cadeaux. Il t’avait retenu mais ça s’arrêtait là puisqu’il enchaînait sur le fait que tu n’étais qu’un bouche trou pour lui et tu venais le regardais d’un air outrée. « Tu vas briser mon petit cœur encore une fois.. » Tu baissais la tête prenant un air triste alors que ton ami venait te prendre dans ses bras pour t’embrasser la joue comme un ami ferait à son amie mais la seule différence entre vous c’est que depuis votre réconciliation il y avait ce côté tactile qui n’était pas normal. C’est-à-dire que tu sentais au pression, au toucher d’Emrys sur ton corps qu’il n’y avait pas que de l’amicalité là-dedans. Enfin bref, tu ne relevais pas et te décollais du jeune homme alors que vous vous mettiez en marche vers la plage en vérité vous longiez la plage et toi tu racontais tes histoires. Une fois ton récit terminé, tu venais attraper la main d’Emrys pour le faire dévier et arrivait sur le sable avec toi. Tu lui souriais alors qu’il te proposait de quoi te mettre sous la dent, tu riais doucement. « T’en fais pas pour moi et puis tu sais cet été j’ai envie de changer. Je ne dis pas que je deviendrais un ange mais je ne sais pas, je serais un peu moins Grace méchante et un peu plus Grace douce. » Tu lui faisais un petit clin d’œil avant de marcher jusqu’au bord de l’eau pour simplement y mettre tes pieds. « Bon et toi, tu ne devrais pas être enfermé à écrire ? » Tu le regardais, le taquinant un peu.

Alors encore une fois, elle était à fond dans le pâté la fille et croyait réellement que c'était le genre de chose véritable, je n'étais pas comme ça alors quand elle se la jouait martyr, je ne pus m’empêcher de rigoler. C'était agréable de passer du temps avec elle bien que je ne savais jamais quoi penser de notre relation si ambiguë parfois mais ça restait plaisant réellement. Elle semblait apprécié ce coté tactile incontrôlable que j'avais et puis, c'était ainsi. Elle me tira pour que nos pieds touchent enfin le sable et qu'on puisse profiter au maximum de notre balade. Là, elle trempa le bout de ses pieds et a aucun moment, je pus refuser. « T’en fais pas pour moi et puis tu sais cet été j’ai envie de changer. Je ne dis pas que je deviendrais un ange mais je ne sais pas, je serais un peu moins Grace méchante et un peu plus Grace douce. » Je rigolais face à ses dires. Je ne m'attendais pas réellement à ça de sa part, je ne la voyais ni douce ni méchante alors c'était assez compliqué d'entendre ce genre de chose mais bon, je ne pouvais guère la contrarier, je voulais qu'on passe un moment sans embrouilles. Elle poursuivit quelques petits sourires s'affichant sur son visage. Elle me regardait avec ces grands yeux en poursuivant taquine : « Bon et toi, tu ne devrais pas être enfermé à écrire ? » Je la regardais navré touchant alors ses cheveux alors qu'un de mes bras entoura ses épaules, affectueusement. Je passais doucement mes doigts dans son coup pour faire du bien à mon ami et tempérer son caractère sachant que ça pouvait marcher alors que je répondais déjà : Et bien écoute, je ne vais pas m'enfermer car je fais une pause... le roman étant déjà envoyé et bientot pret à publication... je me pose ... dis-je en rigolant moi aussi et lui souriant comme pour faire le fier. Je secouais la tete comme pour montrer ma lassitude puis je dis, étonné au fond de moi en fait : Tu te rends compte qu'on arrive à se parler sans s'entretuer ? Dis-je me stoppant en me tournant pour lui faire face en attrapant ses hanches.

Retrouver Emrys ici ça te faisait vraiment plaisir et surtout du bien. Depuis que vous arriviez à vous parler sans pour autant vous jeter des objets en pleines figures c’était quand même plaisant. Cette petite balade matinale à ses côtés était également plus que plaisante mais ça tu ne l’avouerais jamais, il risquerait de se sentir trop puissant mais bon Emrys reste Emrys quoi. Tu ne le voyais plus comme le mec de la fin de votre relation mais comme le mec que tu as rencontré la première fois c’était un peu comme-ci tu le rencontrais à nouveau. Enfin bref, vous veniez de bifurquer sur la plage pour mettre le bout de tes pieds dans l’eau mais également les siens alors que tu venais à parler de ton roman. Emrys qui avait entouré son bras de tes épaules, t’apaisait avec cette douceur qu’il n’avait eu envers toi que lorsque vous étiez ensemble. Regardant au loin, tu souriais en l’écoutant te raconter l’histoire de la future parution de son roman. Tu le regardais vraiment souriante, car tu étais vraiment contente pour lui. « Un artiste comme toi ne sors pas dans ce genre de soirée mais dans des soirées où tout le monde boit des coupes de champagne avec le petit doigt levé. » Tu riais un instant avant qu’il ne vienne te prendre par les hanches, réduisant quelques peu la distance entre vous pour te dire que vous n’étiez plus en train de vous entretuer. Tu riais de plus bel avant de planter tes prunelles dans les siennes. « J’hésite à te faire un traumatisme crânien avec une noix coco mais bon j’ai peur des représailles moi. » Tu lui faisais un petit clin d’œil avant d’attraper doucement sa nuque et de le faire tomber sans qu’il ne puisse s’y attendre dans la vague qui arrivait derrière lui. Tu riais en le voyant basculé, surpris par ton geste.

La promenade avec ma belle ex petite-amie ne faisait que plus me plaire à chaque instant comme le fameux diner à cambridge, je la redécouvrais peu à peu. Ma redécouverte me plaisait clairement parce qu'elle était splendide, resplendissante sans se droguer et je retrouvais ma tendre Grace d'avant. Je sentais l'appréciation de mes caresses sur son bras, son épaule alors que je l'entourais chaleureusement et c'était plaisant de voir que le ressentiment était similaire des deux cotés. Un simple sourire, presque timide. J'avançais doucement alors qu'elle se foutait encore de moi, parlant de mes sorties en société avec le petit doigt levé et j'étais mort de rire face à ces dires. Je lui souriais tout en tirant la langue face à sa moquerie ; on aurait dit la comparaison aux eliot alors que pas du tout. Je vis ensuite à son sourire qu'elle appréciait le rapprochement que j'avais débuté, prenant fermement ses hanches dans mes grandes mains, appréciant les courbes de son corps. Là, elle me regarda, nos yeux se croisèrent comme deux pupilles attirées l'une par l'autre et contre tout attente, ne pouvant se quitter et l'humour revint quand je parlais de notre rapprochement soudain : « J’hésite à te faire un traumatisme crânien avec une noix coco mais bon j’ai peur des représailles moi. » Je rigolais et secouais doucement la tete montrant que j'étais lasse de ces blagues et du fait qu'elle assumait pas qu'on puisse s'entendre parfaitement puis un instant plus tard, elle passait sa main doucement dans mon cou. Un sourire, qu'allait-elle faire ? Peut-être était-ce le temps de se séparer mais elle profita de ma relâche musculaire pour me faire tomber dans l'eau, la vague qui arrivait derrière heureusement que le bas était un maillot de bain. Je rigolais tout en la tirant bien avec moi dans ma chute avant de trouver la force d'avoir la tete hors des éclaboussements. Alors comme ça, on essaie de me couler ? Dis-je pleins de fausses questions et rigolant. Là, je lui lâchais un sourire à la hollywood puis je l'attrapais dans mes bras laissant glisser un de mes mains le long de ses bras : Aviez-vous peur d'avoir l'envie de m'embrasser mademoiselle ? Dis-je provocateur.

Depuis que vous vous étiez retrouvés c’était un peu bizarre entre Emrys et toi. Vous étiez censé n’être que des amis mais il y avait toujours cette ambiguïté comme lorsque tu l’avais rencontré pour la première fois au garage. C’était quelque chose que tu détestais mais en vérité, tu n’avais jamais pu enterrer cette histoire, car cette rupture tu n’en avais pas voulu toi. C’était lui, lui qui avait décidé de mettre fin à tout ça à cause de tes conneries avec la drogue. Et aujourd’hui tu avais replongé à pique mais hors de question de le dire à Emrys, car cette fois-ci tu comptais t’en servir pour mettre cette phase de ta vie complètement derrière toi. Alors, que vos deux corps se rapprochaient dangereusement, tu avais décidé de profiter de sa détente musculaire pour le pousser dans la vague qui venait d’arriver mais Emrys n’était pas une petite nature et évidemment qu’il t’emmenait dans sa chute. Tu riais en gardant tout de même ta tête hors de l’eau. « Moi essayais de te couler ? Tu me connais mal on dirait. » Tu riais doucement, alors qu’Emrys te tenait légèrement dans ses bras. Te redressant, tu retirais ton mini-short en jean qui te gênait et tu le lançais sur le sable pour ensuite retourner dans l’eau avec Emrys. Tu le regardais ensuite, souriant doucement à sa phrase. « Peur qu’on s’embrasse ? Ce n’est pas de la peur quand c’est quelque chose qu’on ne veut pas. » Tu riais un peu, avant de t’éloigner un peu du rivage, entraînant Emrys avec toi.

Et nos regards se croisent mais je ne sais quoi penser à ces agissements souvent pleins de provocations car clairement, il n'y a plus rien entre nous meme si nous sommes des provocateurs. Elle a son Konrad, j'ai ma Charlie et je tiens à la conquérir ma violette. Je souris à la belle car malgré tout, j'aime nos jeux, j'aime nos regards en fusion. Et elle continue dans l'humour, dans la connerie à nier sans cesse ces agissements comme pour me provoquer, se jouer de moi et j'adore alors je rie. Alors que je la tenais dans mes bras, la belle se redressait et m'abandonnait un instant. Je l'admirais alors enlever son short sur la place avant de me rejoindre. là, elle lançait un pique n'avouant pas que plusieurs fois, elle avait poussé le bouchon jusqu'à un point qui pouvait laisser croire à une attirance revenue. Elle niait dans un humour bien connu chez elle : « Peur qu’on s’embrasse ? Ce n’est pas de la peur quand c’est quelque chose qu’on ne veut pas. » Elle riait fière d'elle puis elle m'attira doucement à rester contre elle pour partir plus loin dans l'eau, baignade d'un instant à deux .. pourquoi garder tant de proximité alors ? Sans réponse alors, je décidais de prendre mon propre recul en me mettant plus loin, nageant, marchant dans l'eau seul sans la toucher ou quoi. Je ne répondais pas, ne me montrait guère déçu de sa réponse mais me contentais de garder une séparation. Je profitais de l'eau, m'y allongeant sur le dos pour faire la planche, ajoutant alors juste : Toute manière, c'est bien connu tu ne veux jamais rien ... Dis-je en pouffant lègèrement appuyant là sur un de ces défauts son indécision constante. Là, je continuais ma planche sans chercher à écouter quoi que ce soit avant de dire : Pourquoi venir me voir pour me piquer sans cesse ma chère ?