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I'm not homophobic [Ado, Matthew]

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Je n’avais vraiment pas pensé avant d’agir quand j’avais embrassé mon petit Adonis sur la tête. Je comprendrais si Adonis m’en voulait, car je n’avais pas respecté son choix. Surtout que je venais de le faire sortir du placard devant son frère et peut-être que ce n’était pas la manière dont il aurait voulu le faire. Je partis immédiatement vers la cuisine afin d’aller chercher les tasses. L’appartement d’Adonis n’était pas bien isolé, donc je pus donc entendre légèrement Matthew converser avec Adonis. Je ne pouvais pas croire ce qu’il lui disait. Matthew semblait un peu offusqué qu’Adonis soit en couple avec moi. Je pris une grande respiration et pris les tasses de thé. Je ne voulais pas commencer de dispute, mais Matthew ne pouvait pas parler à Adonis comme cela. Je n’entendis pas ce qu’Adonis lui répondit, car il semblait chuchoter. J’entrai dans la salle à manger, déposai les tasses sur la table sans parler. Personne ne parlait. L’ambiance était très froide, voire glaciale. Quelques instants après que je me sois assis, Adonis affirma qu’il manquait du lait et du sucre. Je savais que cela n’allait pas bien. Étonnamment, Adonis effleura ma joue avec sa main. Il m’avait surpris.

Adonis était dans la cuisine depuis quelques minutes. Un silence polaire s’installa après le départ d’Adonis. Ce n’était plus glacial, mais bien polaire. Rien n’aurait pu survivre ce froid intense entre deux êtres, même pas une bactérie de la grippe. Voyant qu’Adonis ne revenait pas, j’allais parler à ce fameux Matthew. J’allais essayer de ne pas m’enflammer contre lui. Je savais bien que mon amoureux était probablement entrain de verser des larmes. Je voulais aller le voir et le consoler, mais je devais vraiment savoir le problème de Matthew. «Je ne te connais pas, tu ne me connais pas, mais je vois que tu as un problème que je sois le copain de ton frère. Je l’aime, je couche avec lui, je l’embrasse et je le prends dans mes bras. Tu dois savoir qu’il est plus heureux que jamais en ce moment. Plus heureux que les dernières six années que tu n’étais pas là pour l’aider à passer à travers. Scheisse, dans quel monde tu vis, pour ne pas être d’accord que deux mecs peuvent s’aimer. » Je commençais à m’énerver et je voyais que Matthew aussi.




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Matthew venait de découvrir l’homosexualité de son frère, son Adonis gay, c’était même pas imaginable a ses yeux, pour un homophobe comme Matt. Quand  Adonis lui envoya en pleine face que Lukas avait été le seul a  avoir été la pour lui. Il voyait très bien que son frère était mal a laisse il serra les dents pour ne pas faire de réflexion.  Ce fut le moment ou Lukas reviens de la cuisine et Adonis se leva en lui donnant un geste d’amour Matthew détourna le regard. Quand Adonis eu quitté la pièce, les jeunes hommes ne s’adressait pas la parole.  Matt se forçait de ne pas peter un capable.  Matthew faisait déjà d’un improbable self contrôle inimaginable. Il ne pensait pas être capable.
Lorsque le jeune homme qu’il ne connaissait pas ouvra la bouche pour lui faire la leçon, il sortit les mots interdit les mots a ne jamais dire a Matthew, déjà venant de son petit frère il l’avait très mal pris mais alors venant d’un parfaite inconnue. Il venait de lui dire que lui avait été la pour Adonis et que Matt n’était pas la pendant les 6 derniers années, alors ça. Matthew se leva d’un coup tout son self contrôle s’envola.  Il attrapa Lukas par le col et le plaqua contre le mur, c’était pas tant l’homophobie qui le travaillais mais plus les mots de Lukas par rapport au passé.
« Mec tu sais pas se qui c’est passé y a 6 ans lui non plus je suis le seul a le savoir. »
Il s’approcha de son oreille pour qu’Adonis n’entende pas
« Adonis a une tombe a son nom en Australie a coté de mes parents, je l’ai chercher pendant  1 an avant qu’il soit déclaré décédé.  Alors quand tu ne sais pas, tu ferme t’as gueule !  »
Il le plaqua contre le mur. Le lâcha attrapa sa veste et claqua la porte. Il ne pouvait pas rester après ce qu’il venait de faire.  Il sortit devant l’immeuble.
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Nous venions accidentellement de révéler notre homosexualité à mon frère. Lukas s’en était allé à la cuisine, et j’avais pu avouer à mon frère que pendant six ans, il était le seul à avoir été à mes côtés. Mon cher et tendre était revenu, il y eut un nouveau malaise. Je servis du thé avant de prétexter qu’il manquait le sucre et le lait pour pouvoir quitter la pièce trop lourde. J’avais enfoncé un peu le clou en caressant la joue de Lukas pour que Matthew vît que l’amour de Lukas était réciproque. Dans la cuisine, je fondis lamentablement en larmes. Lorsque je m’apprêtais à sortir, il y eut un raclement de chaise et je vis Matthew attraper Lukas par le col. Je n’étais ni courageux ni téméraire et je me cachais derrière le mur de la cuisine, une main plaquée sur ma bouche. La colère perçait dans sa voix lorsqu’il déclara que nous ne savions pas ce qu’il s’était passé il y avait six ans de cela. Il était le seul à connaître la vérité. Il baissa la voix, et de nouveau je ne saisis pas ce qu'il chuchotait à l'oreille de mon cher et tendre. J’entendis par contre très nettement sa dernière phrase. Je sortis de ma cachette au moment où il claquait la porte. Je jetais un regard désemparé à Lukas qui était encore contre le mur. Je posais sucre et lait sur la table, me précipitai vers lui. J’écartai les cheveux de son visage et posai les mains sur ses joues.

-Lukas ! Ça va ?

J’étais J’attendis sa réponse avant de déclarer.

-Je vais voir Matthew avant qu’il ne parte trop loin. Je reviens, pose toi sur mon lit si tu veux en attendant.

Je lui indiquai mon matelas sous le toit.

-Fais attention à la tête.

Je l’abandonnai et descendis les marches quatre à quatre. J’en loupai une et me rattrapai de justesse à la rambarde. Celle-ci, en piteux état, ne supporta pas mon poids soudain et je débaroulai sur les dernières marches.

-Cet appartement veut ma mort…

Je me relevai cependant et me trouvai rapidement dehors. Je regardai à droite et à gauche. Matthew ! J’attrapai son poignet et me penchai en avant, pour reprendre un peu ma respiration. J’avais mal aux côtes et au bassin avec mes exploits dans les escaliers.

-Attends, Matthew… Pars pas comme ça...

Je relevai les yeux vers lui.

-Dis-moi ce qui s’est passé… Il y a six ans...
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Matthew venait d’avouer la vérité a Lukas. Il l’avait provoqué le jeune homme l’avait trouvé. Tout ces efforts pour changé ne ressemblait a rien face a se Connard. Il n’y avait pas d’autre mot pour le qualifié. Ensuite il venait aussi de découvrir que son frère était en vie, mais vivait dans un appartement totalement insalubre. C’était déjà trop et qu’en plus il était gay. Matthew était dehors. Il alluma une clope il devait se détendre. Quand il entendit la voie de son frère, il voulait le retenir. Il se retourna, il regarda au tour d’Adonis, personne, encore heureux que Lukas ne l’es pas suivie.
«Non je te le dirait pas maintenant tu n’es pas prêt a l’entendre, rappel toi quand je t’ai retrouvé tu es tombé dans les pommes. Je veux faire sa comme y faut Adonis, le passé est enterré, ne le déterrons pas toute suite. Une chose, que toi tu m’en veuille je peux le concevoir, mais lui ce n’est pas concevable. Il me parle encore une fois comme ça et mon poing raterie direct dans sa tête. »
Lukas le provoquait encore une fois, surtout maintenant qu’il connaissait la vérité, il lui ferait comprendre qui il est et comment on doit lui parlé. Il ne supporte déjà pas qu’on lui manque de respect. Mais la encore pire quand on lui reproche les fais du passé, alors qu’il ne pouvait rien y faire. Matthew s’en veut déjà énormément.
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La soirée avait définitivement mal débuté. J’avais appris tout plein de choses et je comprenais ce que Matthew avait pu subir, mais j’étais extrêmement en désaccord avec son attitude envers Adonis et moi à propos de notre couple.  Je n’avais pas été extrêmement violent, mais Matthew me plaqua contre le mur et sembla un peu agressif. Matthew m’énerva un peu et je commençai à devenir aussi agressif, mais pas à cause de l’histoire d’amnésie et la recherche de son frère, mais à cause de son homophobie. J’avais trouvé son point faible et je savais que je pouvais l’utiliser pour l’énerver et le rendre frustré. Ce n ‘était pas trop bien parti entre mon beau-frère et moi. Après m’avoir plaqué contre le mur, Matthew partit de toute vitesse en claquant la porte. C’était à ce même moment qu’Adonis entra dans la pièce et je me sentais un peu mal d’avoir causer des ennuis, mais je n’avais vraiment pas aimé l’entendre dire que moi et lui ne pouvait pas fonctionner.

Ma douce moitié me demanda si j’allais et pour être franc j’étais pompé et assez agressif. «Oui !»  Adonis m’avait demandé d’attendre sur son sois disant lit pendant qu’il allait parler à Matthew. Adonis quitta l’appartement et je pris le temps de me ressaisir. Je ne savais pas si je devais descendre ou pas, mais je ne voulais pas laissé Adonis tout seul, car j’avais peur que Matthew sois encore sous haute tension et aussi lui dise encore des bêtises. Je descendis d’une vitesse extraordinaire, poussai la porte extérieur et vis mon amoureux. J’étais là pour protéger Adonis et rien, absolument rien n’allait lui faire du mal tant physiquement ou mentalement, car cet homme était tout pour moi et je l’aimais…





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Cette soirée était un désastre… Moi qui me faisais une joie de voir mon mec et mon frère, ils n’avaient visiblement pas l’air de supporter. Je me trouvais pris en sandwich entre le loup et la panthère, mais je ne savais pas s’ils se jetteraient d’abord l’un sur l’autre ou sur moi. Dans un cas comme dans l’autre, je ne me sentais pas mieux qu’un faon, proie des deux carnassiers. Matthew après s’en être pris à Lukas avait quitté mon appartement miteux. J’avais conseillé à ce dernier de s’allonger pendant que je courrais après mon frère.

Dehors, je le saisis par le poignet, essayant de récupérer tant bien que mal mon souffle. Je n’étais pas un grand sportif et ma chute dans l’escalier m’avait un peu sonné. J’allais avoir un joli bleu ! Je lui demandais de me dire tout ce qu’il savait sur le drame familial mais il refusa, prétextant que ma faiblesse l’emporterait sur tout autre chose. Il ne voulait pas que je ne lui fasse un autre malaise. Ma main se crispa sur son poignet, tout mon corps se tendit. Je ne sentais que rarement la colère m’envahir, c’était assez déplaisant, d’autant que j’étais d’un naturel calme et réfléchit. Ce qui mit le feu aux poudres, c’était en relevant la tête. Je constatai que mon frère fumait. Quel exemple ! Je détestais cette odeur répugnante. C’était ça qu’il voulait que je visse ? Lui en train de perdre pied ? Je lui arrachai sa clope des doigts avec fureur et le jetai sur le macadam.

-Approche Lukas.

Je m’étais exprimé d’une voix froide et calculée. Je l’avais senti dans mon dos, comme si ses yeux transperçaient mon dos. Faisant fi de la douleur dans mes côtes, je m’emparais de sa main et le conduisais à côté de mon frère. Je voyais une sorte d’aura électrique entre les deux, dès qu’ils s’étaient approchés l’un de l’autre, c’était comme si leur karma respectif en se touchant s’échauffait et produisais de petits éclaires qui crépitaient dans l’air. L’atmosphère était lourde comme avant un orage.

-Ecoutez-moi bien. Lukas, tu es le mec de ma vie, que ça plaise ou non à certains. Oui, je suis gay, et alors ? Les filles me font peur, ce ne sont que des garces stupides, sans scrupules, qui jouent avec les sentiments des gens, les manipulent, les rabaissent. Ce sont des menteuses, je ne leur fait pas confiance. Lukas, j’ai foi en toi. Je t’aime. Mais bon sang, ce que tu peux être possessif ! Je ne suis pas un morceau de steak haché qu’on s’arrache à la supérette du coin ! Matthew, tu es mon grand frère, celui qui vient de me tomber du ciel. Je ne te connais plus, tu ne me connais pas non plus. JE pense que j’ai beaucoup changé, sans doute trop. Ca fait six ans. Je te reproche de m’avoir laissé dans la merde le jour de mon anniversaire, quand nos parents sont morts, tu n’étais pas là. Je veux bien écouter tes raisons, je ne suis fermé à rien, mais laisse-moi le temps. C’est ma vie, je tiens à mener la barque. Je sais que tu cherches à me protéger. Vous le cherchez tous les deux, mais pour des raisons différentes. Chacune de vos intentions est bonne, mais vous vous y prenez mal pour me montrer votre affection. Grandissez un peu, et quand vous serez calmés, remontez, la porte sera ouverte, et on pourra discuter.

Je les plantais là, littéralement. Je tournai les talons, les laissant seuls ensemble avec leur aura électrique. Je retournais vers l’entrée de mon appartement. EN posant la main sur la poignée, je leur jetais un dernier regard.

-Matthew, la prochaine fois que je te vois fumer, je te jure, je ne serais pas aussi clément.

J’espérais m’être fait comprendre. Je remontais les escaliers, et à chaque marche gravit, un peu de ma superbe retombait. Je me tenais les côtes. Arnica me voilà ! Je jetais un coup d’œil à la rambarde cassée. Elle était en bois, bouffée par les mites. Pas étonnant qu’elle n’ait pas tenue… Je rentrai chez moi, fermai la porte mais sans la barrer. Mon sang, j’avais été bien lunatique… Passer de la peur panique à l’idée de perdre mon frère à la colère remontant presque à la rage… Qu’est-ce que j’avais bien pu faire ? En soupirant, je me dirigeais vers ma petite pharmacie. Je ‘avais que de l’alcool à 90°C, des cotons, et des petites billes d’arnica pour les bleus et les bosses. Il devait me rester un ou deux pansements, mais guère plus. J’ôtai mon T-shirt pour regarder l’étendue des dégâts. Je n’avais pas de bleu, il n’avait pas encore eu le temps d’apparaître, mais sûrement que demain matin je ressemblerais déjà plus à un Schtroumf… Décourager, je pris quelques billes blanches que je mis sous ma langue pour fondre et me rhabillais. Je m’allongeais sur mon matelas, m’enroulant dans ma vieille couverture trouée. S’ils voulaient rentrés, grand bien leur fasse, moi, je ne supportais plus leurs jérémiades. Ils devraient me tirer du lit ! Je me tournai face au mur, ayant juste l’espace d’y coller mon front avant que l’avancée de toit ne me bloquât, et fermai les yeux. Je me concentrai sur ma respiration, lente et régulière. Je les attendais de pied ferme.
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Lukas venais de nous rejoindre, pas lui non. Je voyais Adonis entrain de fulminé c’est la première fois que je le voyais dans un état pareil, le gamin calme et posé que j’avais connu n’était plus. Que c’était il passé pendant ces 6 ans ? Je ne le serais probablement jamais. Il venait de m’arraché la cigarette des mains. Alors ça c’était la chose qui me rendais dingue. J’avais arrêté tout le reste mais la clope c’était autre chose je ne pouvais toujours pas m’en passé. Il me parlait de mon homophobie, c’est sur que j’étais loin d’aimer se genre de choses mais je ne suis pas assez con pour perdre mon frère que je viens de retrouvé pour ça, je l’avais relayé au second plan, je savais que sa serait très dure a accepter mais pour lui je le ferais, si Lukas se tenait bien sur. Depuis quand il avait peur des filles lui ?
Il me reprochais de l’avoir abandonné y a 6 ans, ses paroles me faisait tellement mal , j’aurais tout donné pour être la il y a 6 ans, je donnerais ma vie pour que rien ne lui sois arrivé, c’est mon petit frère, celui que j’aime le plus sur cette terre. Il parlait de mené sa vie comme il l’entendait, mais c’était au dessus de mes force je ne pouvais pas le laisser vivre dans cette endroit insalubre, pas lui. Il tournait les talons, en me menaçant pour la prochaine fois que je fumerai il ne serait pas aussi tolérant, non mais il se prend pour qui ? Il me parle de le laisser géré sa vie et il me laisse pas faire se que je veux ? Faudrait quand même qu’il tienne un discours cohérent sa serait quand même mieux. J’étais son grand frère et il me reprochait ce qu’il c’était passé, c’étais atroce comme sensation. Je n’accordais aucune intention a Lukas qui étais a coter, lui je ne voulais même pas entendre le son de sa vois. Je rallumais une cigarette. Je ne savais plus quoi faire, une partie de moi voulais partir, mais l’autre refusais de le laisser après ces paroles, il avait été si blessant a mon égard. Ses paroles sortant de la bouche de n’importe qui d’autre, il aurait gouté le bitume, mais j’étais incapable de faire du mal a mon frère et je n’y pensais même pas. Ma clope arrivait sur sa fin, que devais-je faire ? Monter lui raconter toute l’histoire ou partir ? La dernière fois qu’on c’était vue il avait fait un malaise en comprenant qui j’étais, la c’était un vrai choque que je suis apprenne tout sa. Je ne pouvais pas partir la dessus c’est mon frère. Celui que je viens de retrouver après tant d’année en le croyant mort. Je n’avais pas calculé Lukas et il valait mieux avant que je passe mes nerfs sur sa gueule. JE montais les marches et me retrouvais dans cet appartement. C’étais a moi de lui lâcher tout se que j’avais a dire mais en évitant les choses trop grave
« J’ai une seul chose a te dire c’est que j’aurais donné ma vie pour être la se jour la et que rien de tout sa te sois arrivé, tu es mon frère et je t’aime et sa sera toujours comme ça maintenant si tu veux me revoir t’as mon numéro, tu m’en veux c’est une chose sache que je m’en suis voulu pendant 6 ans. Tu veux en savoir plus je te le dirais mais pas maintenant sa suffira pour aujourd ‘hui. On en reparlera quand tu m’enverra un message. Salut » Sans attendre de réponse ou quoi que se soit d’autre. Je partais, si il voulait me revoir il avait mon numéro.
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