Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityTome III: When I fight with you, I'm really fighting for us. Because if I didn't care, I wouldn't bother at all. - Page 2
-28%
Le deal à ne pas rater :
-28% Machine à café avec broyeur à grain MELITTA Purista
229.99 € 318.99 €
Voir le deal


Tome III: When I fight with you, I'm really fighting for us. Because if I didn't care, I wouldn't bother at all.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tome III: When I fight with you, I'm really fighting for us. Because if I didn't care, I wouldn't bother at all.

Nous étions maintenant très calme. Adonis était toujours reposé sur moi et j’avais écouté son histoire qui était assez traumatisante. J’avais promis à ma petite chouquette que j’allais être avec lui pour surmonter cette épisode stressantes dans la vie d’Adonis. J’allais tout faire en mon possible pour que tout se déroule bien et que rien ne dégénère comme aujourd’hui. Je devais lui parler de ma vie. Ma vie s’était déroulée sans majeur pépin. Une vie dans le luxe et bien régulière. J’avais reçu une des meilleures éducations, malgré que j’aie essayé de me rebeller. Après lui avoir raconter mon histoire, je lui demandais s’il avait des questions. Adonis m’avoua qu’il en avait deux. J’écoutais sa première et il me demanda si j’allais l’emmener nager un jour. Ensuite, il me raconta qu’il était au bon nageur et qu’il était près de battre des records mondiaux. Je souriais un peu quand il me dit qu’il manquait presque de se noyer dans les compétitions. «Ouais c’est sur qu’on pourrait allé nager. J’adore la nage et je fais partis du club de natation d’Harvard aussi. J’ai hâte qu’on se vois là-bas.»

Adonis se retourna vers moi et me caressa la joue à l’aide de son pouce et déposa un doux baiser sur mes lèvres. Il posa sa deuxième question en s’appuyant la tête sur mon épaule en me donnant quelques baisers dans le cou. Il voulait que je lui promettre de jamais l’abandonner. Je n’avais pas l’intention. «Jamais je ne t’abandonnerais, je te le promet» C’était les dernières paroles qu’Adonis put entendre, car il s’endormi sur mon épaules pendant que je lui caressais la jambe.

Moi, je l’aimais aussi !

(Invité)