(+ Hippo) Ca se prononce ir-ré-vé-ren-cieux !

ELIE & HIPPO.

La passion entoura longuement le couple de jeunes mariés avant qu’ils ne reposent bientôt dans les bras l’un de l’autre, Elisandra éclatant de rire face au commentaire d’Hippolyte, et qui suivi la seconde d’après. « Lui racheter, carrément ? Je nous ai trouvé sages encore ! » Ils avaient déjà été plus passionnés que cela, dans le bureau du jeune homme notamment. « Tu me pardonnes ? » répéta-t-elle, ne trouvant pas qu’il n’y ait rien à pardonner.

Ça se prononce ir-ré-vé-ren-cieux !

HIPPO & ELIE.

« Je n’ai pas vraiment envie qu’elle me trucide »rigolais-je en secouant la tête. Je n’étais pas certain qu’elle apprécie beaucoup que nous ayons baptisé son salon mais c’était un cas de force majeure alors hein ! Elle n’allait pas me faire un trou où j’en avais déjà un. « Eli… Je t’assure qu’il n’a rien à pardonner. Nous nous sommes disputes et sûrement que cela nous arrivera encore. Je n’ai pas envie d’y repenser, on pourrait simplement passer à autre chose. Qu’en penses-tu ? » soupirais-je avant de me redresser sur un coude pour déposer un baiser sur ses lèvres.

Ca se prononce ir-ré-vé-ren-cieux !

ELIE & HIPPO.

« C’est un argument ! Mais je croyais que tu n’aimais pas le shopping ? » Et spécifiquement le shopping de meubles, à vrai dire. Mais ça, Elisandra ne se permit pas de le préciser, se contentant de sourire et de l’embrasser tendrement alors qu’il lui assurait n’avoir rien à pardonner. « Okay, je change de sujet… je crois qu’il faut que j’arrête de me mettre une pression aussi monstrueuse, surtout. Je vais me trouver une occupation le temps que tu sois en vacances ! »

Ça se prononce ir-ré-vé-ren-cieux !

HIPPO & ELIE.

« En fait, je pensais surtout lui faire un chèque »haussais-je les épaules. Elisandra connaissait mon amour du shopping alors hors de question même pour ma sœur, de me flanquer cette corvée entre les pattes. Elle n’aurait qu’à prendre cela pour une carte cadeau. « Tu sais pourquoi tu te mets cette pression ? Tu sais, tu pourrais venir au bureau avec moi, mon assistante prend quinze jours de vacances alors tu pourrais la remplacer » lui proposais-je histoire de passer plus de temps en sa compagnie.

Ca se prononce ir-ré-vé-ren-cieux !

ELIE & HIPPO.

« Haha démasqué, je le savais ! » Elisandra éclata de rire en voyant à quel point elle le connaissait bien et spécifiquement sur son amour immodéré du shopping. Autant Hippolyte pouvait être imprévisible sur beaucoup de choses mais pas là-dessus. « C’est vrai, tu m’accepterais comme ton assistante ? Oh mais moi je veux bien, plutôt deux fois qu’une ! Tu verras, je saurai me rendre indispensable… ceci dit pour te répondre, je ne sais pas. Je me dis qu’après quatre ans d’horreur, j’ai envie de t’offrir un vrai grand bonheur. »

Ça se prononce ir-ré-vé-ren-cieux !

HIPPO & ELIE.

Cela me faisait du bien de l’entendre rire à nouveau après ces derniers jours de froideurs et mon regard se fit bien plus tendre et caressant qu’à l’accoutumée. « Indispensable, tu l’es déjà mon étoile mais c’est peut-être moi que tu rêveras d’étrangler à la fin de ces quinze jours car je peux être imbuvable comme patron »lui répondis-je avant de l’embrasser avec amour. Je ne voulais pas qu’elle se mette la pression surtout à cause de moi. « Elisandra, le simple fait de te parler, de te toucher, de te voir les yeux ouverts, c’est pour moi un bonheur en soi. Je n’ai pas besoin que tout soit parfait ou que tu en fasses des tonnes. Je suis heureux à cet instant précis ! »

Ca se prononce ir-ré-vé-ren-cieux !

ELIE & HIPPO.

« Pas grave, je mettrais des tailleurs sexy pour t’assouplir ! Tu sais que j’ai plus d’arguments que la majeure partie de tes employées ? Mais je parlais indispensable professionnellement parlant, pour le grand homme d’affaires que tu es » fit-elle en lui embrassant le bout du nez sans que son sourire ne diminue d’un millimètre au passage. « Je sais que tu es heureux comme ça et que d’un côté tu auras toujours peur de me perdre mais j’ai envie de t’ôter cette peur… et puis j’ai tellement hâte d’agrandir notre famille ! »

Ça se prononce ir-ré-vé-ren-cieux !

HIPPO & ELIE.

« En même temps, je n’ai pas envie de coucher avec mes employées… C’est de la triche le coup des tailleurs sexy » fis-je semblant d’être en colère mais mes yeux avaient une expression rieuse. « Je crois que cette peur restera tapie en moi Elisandra malgré tous tes efforts. Je t’ai perdu une fois, je n’ai pas envie que cela recommence.. Et puis qui sait, nous avons peut-être lancé le deuxième ce soir » repris-je sur un ton un peu plus léger que le début de ma réplique. Je voulais m’attacher aux choses positives ce soir. « Je veux rentrer à la maison Eli »

Ca se prononce ir-ré-vé-ren-cieux !

ELIE & HIPPO.

« C’est petit mais on dirait que ça marche ? Mouhaha je suis un génie ! » fanfaronna-t-elle en sautillant joyeusement sur le canapé avant de prendre le visage d’Hippolyte en coupe pour mieux l’embrasser. « Tu ne vas pas le perdre chéri… jamais. Je suis Madame Holmes maintenant, ne l’oublie pas ! J’espère bien… ça va être long jusqu’à ce que je puisse faire un test » soupira-t-elle doucement avant que ses lèvres ne s’étirent en un magnifique sourire. « Ça tombe bien, moi aussi… puis faut que je te fasse un défilé de tailleurs ! On se rhabille et on s’en va ? »

Ça se prononce ir-ré-vé-ren-cieux !

HIPPO & ELIE.

« Vilaine fille ! Tu mériterais vraiment une fessée pour le coup » rigolais-je de la voir sautiller joyeusement sur le canapé. Elle était complétement nue en prime de quoi me donner des idées surtout en voyant sa poitrine se mouvoir… Bref, je devais redescendre sur Terre et rapidement. « Je crois que je ne suis pas prêt d’oublier notre mariage mais j’impose une condition à ce fameux défilé : j’aurais le droit de te déshabiller après coup » lui répondis-je avant de me relever non sans lui voler un baiser et me rhabiller. Je laissais un petit mot à ma sœur ainsi qu’un gros chèque puis, Eli et moi quittions leur maison pour regagner notre appartement. « Dis-moi, les travaux avancent ou pas ? Je crois que j’en ai marre de cet appartement »

Ca se prononce ir-ré-vé-ren-cieux !