Reprend le dessus sur ses émotions, ou pas! [Théo]

Abby était venue a la fête de l’été, elle essayait de se changé les idées le mieux possible. Elle avait franchi le cap, elle était venue seul à la fête de l’été. Cela faisait maintenant une semaine qu’elle savait se qu’on son oncle avait osé lui faire. La jeune fille commençait tout juste a mangé a nouveau quelque peut car jusque la elle ne mangeait quasiment pas, rien ne passait. Elle s’était habillé correctement ce qu’elle n’avait pas fait depuis qu’elle avait appris la nouvelle. Elle avait fait un tour vite fait dans les stands. Quand un inconnu avait commencé a l’approché de trop prêt et a être très entreprenant. Elle était arrivé a se sortir de son emprise sans qu’il aye plus loin. Mais cela suffit pour la faire complètement paniqué. Elle se mi en retrait dans un coin et elle s’effondra en larme au pied d’un arbre. Elle était en pleine crise d’angoisse, totalement paniqué et seul, elle n’arrivait pas à reprendre le dessus.

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Marchant à l'aide de grandes enjambées, celles-ci pouvaient prouver et démontrer mon énervement. Il avait fallu que Jasper me tombe dessus et que je m'engueule avec Emrys. Cette dernière information était géniale. C'était quand même mon colocataire quoi. M'enfin en même temps il m'avait bien cherché. Me stoppant, je respirais un grand coup et relevant mon regard, je remarquais une petite masse sombre recroquevillé sur elle-même près d'un arbre. Ce détail piquant ma curiosité, je me rapprochais tout doucement pour comprendre qu'il s'agissait d'une fille. Et reconnaissant plus au moins la forme, mes sens tombèrent en alerte. « Abby c'est toi ?! »

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La jeune fille était effondré dans un coin totalement paniqué. Son passé qui venait de lui sauté au visage il ya tout juste quelque jour. Abby a commençait tout juste a prendre le dessus, quand un inconnue c’était trop rapproché d’elle, et lui avait fait des avance très osé. Elle était arrivé a s’enfuir mais cela avait suffit a faire remonté les images du viole de ses 7 ans en mémoire. La jeune fille pensait qu’elle commençait a remonté la pente mais en réalité c’était loin d’être le cas. Elle avait totalement rechuté. Elle était en pleine crise de panique quand elle entendit son prénom d’une vois dont elle connaissait le propriétaire. D’une voix sanglotante elle arriva a sortir un
« Oui »
Juste audible, elle tremblait, elle était en plein craquage de nerf, elle espérait bien tombé sur un visage familier en qui elle avait confiance.

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Je n'aimais pas voir les gens pleurer. Mais alors pas du tout. Et même si je me trouvais moi-même mal et en colère, je ne laissais jamais une personne dans le besoin. Je n'étais pas le pire des connards. Et pour le coup, une jeune femme semblait avoir un peu beaucoup besoin d'aide, recroquevillée dans son coin au pied d'un arbre. Me rapprochant alors, je reconnu Abby, la jeune femme qui était très timide mais qui apprenait à se lâcher avec moi. Lui demandant alors si c'était bien elle, son oui à peine audible m'arracha une moue triste. Je m'agenouillais alors à ses côtés, posant une main sur son épaule, un peu perplexe et hésitant. « Abby qu'est-ce qui se passe ? Pourquoi pleures-tu ? » Lui avait-on fait du mal ? Beaucoup de questions se bousculaient dans mon esprit à présent.

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La jeune fille était recroquevillée au pied d’un arbre. Abby essayait de remonté la pente, suite a l’annonce de se viole il y a 12 ans, être violé par son oncle et cette horrible monstre a été protégé par sa mère. La jeune fille avait été anéanti par la nouvelle, cette annonce datant de quelque jour, elle avait essayé de reprendre le dessus le tant d’une soirée pour s’amusé, jusqu’au moment ou un inconnu lui avait fait des avances un peut déplacé, mais qui restait acceptable pour une fille normal, mais vu les circonstances Abby fit une rechute quasiment immédiate, c’était touché le fond a ses yeux. Quand elle entendit quelqu’un arrivé, une personne qui l’avait reconnu et c’était agenouiller devant elle, c’est a cette instant qu’elle reconnu son ami Théo, ce n’était pas la personne a qui elle se confiait mais elle était assez proche de lui pour avoir confiance en lui. Elle releva la tête face a son ami. Elle le regarda les yeux rouge de larme, que qu’elle personne savait. Devait-elle lui dire ?
En même temps il était la a coté d’elle et le connaissant il ne se contentera pas d’aucune réponse, il était du genre a aller au fond des choses. Autant tout lui sortir d’un coup, elle prit une grande inspiration et sorti d’une tirade extrêment rapide et a peine voir pas compréhensible :
«Mononclem’avioléa7ansetmamèrelaprotégé,jesaissagraçe
al’hypnotiseurdepuis6jours,etunabrutiviendemetoucher » (Mon oncle m’a violé à 7 ans et ma mère a la protégé, je sais grâce a l’hypnotiseur depuis 6jours , et un abruti viens de me touche )
Après cette tirade que Théo n’avait pas du comprendre, la jeune fille tremblais et ses larmes commencèrent a coulé de nouveau , d’avoir ressortie ses mots lui faisait la sensation de lui brulé les lèvres a chaque mot. Ces images défilaient dans sa tête.

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C'était bien Abby qui pleurait, seule au coin d'un arbre. La jeune femme que je n'avais pas vu depuis que nous avions mangé une glace ensemble. Levant son visage vers le mien, ses yeux rouges rencontrèrent mon regard alors qu'elle se remettait à pleurer de plus belle, lâchant ensuite dans une langue qui restait totalement incompréhensible pour mon cerveau : «Mononclem’avioléa7ansetmamèrelaprotégé, jesaissagraçeal’hypnotiseurdepuis6jours, etunabrutiviendemetoucher » Nia ? Elle me disait quoi là ? Elle avait parlé d'une voix trop rapide pour mes oreilles, redoublé par ses pleurs qui rendait la chose difficile à comprendre. M'assayant alors dans l'herbe en soupirant, je lui ouvrait grand les bras pour qu'elle vienne se consoler dedans et qu'elle ne cesse de trembler. « J'ai pas vraiment tout compris mais si tu veux que j'ailler refaire le portrait de quelqu'un, tu n'as qu'un mot à dire... » Marquant une pause, je repris. « Et si tu me redisait ça d'une voix plus calme, en articulant bien ? »

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La jeune fille était pas bien du tout, son ami Théo venait de la rejoindre, elle lui avait tout lâché, mais elle n’arrivait pas a le dire calmement. Elle voyait bien que son ami n’avait rien compris du tout. Quand il lui ouvrir grand les bras elle ne pu refuser elle se jeta dedans, Abby adorait les câlin de ses amis sa avait le don de la calmé et de la rassuré. Même si vu la situation elle ne pourrait pas se ce calmer en un instant. Quand il lui ^proposa d’aller refaire le portrait a quelqu’un, elle ne pu s’empêcher de lâché
« Mon oncle, ma mère et heu celui de ta leur je sais même pas qui sais »
quand il lui demanda de lui redire tout cela en articulant et d’une voix calme, elle ne releva pas. Elle se sentait incapable de lui dire. Il allait lui poser des questions, elle savait très bien qu’il ne se contenterait pas de si peu.

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La jeune fille que j'avais à présent reconnue et qui sanglotait au pied d'un arbre, ne semblait pas aller bien du tout. D'ailleurs, je décidais d'aller la voir et m’asseyant à ses côtés, je lui ouvris les bras, bras dans lesquels elle se jeta afin de sangloter. Je tentais alors de lui caresser les cheveux afin de la réconforter. Elle avait tenté de m'expliquer ce qui lui arrivait mais je n'avais pas compris un traître mot. Je lui demandais alors qui elle aimerait que j'aille frapper pour elle. « Mon oncle, ma mère et heu celui de ta leur je sais même pas qui sais » Pardon ? La partie sur sa mère m'arracha une grimace. « Désolé...Je ne tape pas les femmes... Mais pourquoi tu veux ruiné physiquement ton oncle et je ne sais qui là ? » Je marquais une pause, reprenant d'une voix calme. « Abby parles-moi mais doucement.. »

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Abby était a présent entrain de pleurer dans les bras de son ami, il lui avait proposé d’allé démonté quelqu’un pour elle. Ces larmes avait cesser de coulé. Elle lui avait dit son oncle et sa mère. Il voulait qu’elle lui parle. En même temps sa se comprenait. Elle prit une grande inspiration, elle devait lui raconter.
« Tu te rappel notre conversation ? Quand je t’avais dit que je devais aller voir un hypnotiseur. »
Elle sentait qu’une boule se formait dans sa gorge, et ses larmes recommencèrent a couler. Elle ne s’arreta pas pour autant

« J’y suis allée, il ya moins d’une semaine … »
Abby avait vraiment plus en plus de mal a parlé
« Mon oncle m’a violé quand j’avais 7 ans, ma mère l’a protégé, c’est atroce de se rappeler tout sa, et un abruti m’a fait des avances trop poussé et sa ma perturbé …. »
« J’avais l’impression de relever un peut la tête mais l’a il l’a enfoncé très bas ….. »
Elle explosa en larme elle se collait a théo, elle se sentait en sécurité dans ses bras. La jeune fille avait l’impression d’être une loque, elle était vidée de son énergie.

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Même si je réconfortais Abby comme je pouvais, la jeune femme pleurait à chaudes larmes et je me sentais mal parce que je devais affronter son mal-être et que je me sentais bien plus impuissant qu'autre chose. Je lui demandais donc de me parler tranquillement en articulant pour que je puisse tout comprendre, étant déjà assez satisfait qu'elle ne daigne se confier à moi et que du coup, elle me faisait confiance. « Tu te rappel notre conversation ? Quand je t’avais dit que je devais aller voir un hypnotiseur. » Hochant la tête pour prouver que je m'en souvenais, je la laissais continuer. « J’y suis allée, il ya moins d’une semaine … Mon oncle m’a violé quand j’avais 7 ans, ma mère l’a protégé, c’est atroce de se rappeler tout sa, et un abruti m’a fait des avances trop poussé et sa ma perturbé …. J’avais l’impression de relever un peut la tête mais l’a il l’a enfoncé très bas ….. » Doux Jésus ! Ses pleures redoublèrent alors et je resserrais encore plus la pression de mes bras autour d'elle. « Je suis tellement désolé...Shh calme-toi je suis là et je te promet que je ne vais te faire aucun mal. » Ça c'était sur. « Tu as demandé des explications à ta mère ? Tu es en contact avec cet oncle ? Tu as pensé à aller en parler avec la police ? Porter plainte ? » Je lui posais beaucoup de question certes, mais sur le coup, elles étaient nécessaires.

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