Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityIris & Théo ❥ Anything to see you again - Page 2
-25%
Le deal à ne pas rater :
PC Portable Gamer 16,1” HP Victus 16 – 16 Go /512 Go
749.99 € 999.99 €
Voir le deal


Iris & Théo ❥ Anything to see you again

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

« Mmh... Je peux le devenir si tu veux, mon chou. N’importe quand. Et juste pour toi. » Si j'aurais eu autre chose que des restes de fumée dans la bouche, je me serais probablement étouffer avec. Elle me cherchait et je le voyais amplement. L'on aurait dit qu'elle avait un caractère assez joueur et qu'elle cherchait à me tester. Soit ça, soit elle cherchait juste à faire de l'effet à mini Théo. Et pour dire la vérité, c'était la deuxième option qui rentrait le plus en vigueur. D'ailleurs, elle me regardait toujours avec un grand sourire et je me passais alors la langue sur les lèvres avec un sourire en coin. «  Ne joue pas avec moi, car je te prends au mot et...d'autres façons aussi. » Et plus de machine arrière mademoiselle ! Et alors que je lui avais répondu que c'était avec plaisir que je toucherais volontiers sa poitrine, la jeune femme se colla subitement contre moi, frottant sa poitrine contre mon torse alors que son bras libre était venu se nicher derrière mon cou. Elle était tout bonnement en train de me tuer à petits feux. « Tu attends un gros pourboire pour ce que tu es en train de faire ? » J'avais croisé son regard et le mien était plus joueur que déconfis. «  C’est c’que j’disais. Un autre putain d’Apollon dans cette famille... J’le connais, très bien même. On fait d’la moto ensemble, souvent. Non, pas de jumelle à ma connaissance. Mais un seul exemplaire de moi-même, je crois que ça suffit... J’peux très bien suffire seule aux hommes qui le souhaitent. » Oh ouais, définitivement elle voulait que je m'étouffe. Déjà parce qu'elle connaissait Diego -d'ailleurs je priais déjà intérieurement pour ne pas qu'il se la soit déjà faite- et ensuite car elle me parlait de satisfaire les hommes qui le souhaitaient. « J'peux aussi t'emmener faire un tour de moto, histoire que tu puisses me suffire dessus ? » Quel délicatesse je sais. Je réalisais alors un clin d’œil dans sa direction en écrasant ma cigarette au sol. Quand je lui montrais ensuite mes abdos, je l'observais se mordre la lèvre et j'eus subitement envie de la lui mordre moi-même. « Miam! J’espère que ça dégonflera pas, ça... » Je me mis à rire en les rangeant à leur place sous mon vêtement. « Oh non t'en fais pas, c'est du béton armé tout ça... » De par ma ceinture noire de judo et mes entraînements quotidiens à la salle de sport. La tableau qui vint ensuite me laissa bouche-bée. Parlant de sa souplesse, Iris se recula pour se retourner et m'offrir ce qui se trouvait en-dessous de son dos. « Cette souplesse, tu veux dire ? » Se replantant face à moi avec un sourire, je mimais le fait que je m’essuyais la bouche. « Et la bave qui coule par sa faute.» Souriant à mon tour, je prenais nonchalamment appuie contre un mur sur le côté, croisant bras et jambes. « Alors... ? Si je te demande un show privé, tu me fais un prix ? Quoi que non...tu mérites vraiment à ce qu'on paie le prix fort pour t'admirer. »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« Ne joue pas avec moi, car je te prends au mot et...d'autres façons aussi. » Oui c'est vrai, je dois bien l'avouer. Je joue avec le feu, et j'adore jouer avec le feu. Je suis une vilaine joueuse et je l'assume. Est-ce le fait d'être devenue stripteaseuse qui m'a rendue comme ça? Ou la prison, où tout était difficile? Le sarcasme était quelque chose de très présent en taule, et entre prisonnières - puisqu'il n'y avait que des filles, dans mon cas, si certaines ne couchaient pas ensemble, dont moi puisqu'avant mon arrivée à Cambridge je n'avais jamais eu d'expérience homosexuelle, on s'donnait du plaisir solitaire en groupe. Pourquoi pas? Fallait bien s'chauffer un peu. Et depuis, j'étais comme ça : joueuse. Sur scène j'étais provocatrice et là, maintenant avec Théo, encore plus. '' D'autres façons? J'me demande bien à quoi ça ressemblerait, il faudra que tu me montres, un d'ces jours... '' Je jouais dangereux, j'devrais pas, oh non que je devrais pas. Mais merde, c'était Théo quoi, vous l'aviez observé deux secondes, au moins? Impossible de détourner le regard. C'est bien pour ça que je m'étais approchée de lui pour qu'il sente ma poitrine contre son torse. En plus, je faisais pas que rester là, je bougeais un peu contre lui pour qu'il les apprécie un peu. Pourquoi pas? « Tu attends un gros pourboire pour ce que tu es en train de faire ? » J'éclatai de rire et me mis à réfléchir, sans trop de sérieux. '' Mmh.. un très gros pourboire, mon cher... '' J'le disais pas, mais je lui faisais un clin d'oeil pour qu'il comprenne : des caresses suffiraient. J'lui annonçait ensuite connaître son demi-frère, Diego, très bien même. Il venait souvent me chercher ici d'ailleurs pour qu'on parte ensemble on ne savait jamais où. L'adrénaline nous faisait décider en cours de route. Mon regard de tigresse s'accentua à la réplique de Théo par rapport à la moto. « J'peux aussi t'emmener faire un tour de moto, histoire que tu puisses me suffire dessus ? » C'est là que j'me mordis la lèvre. Parce qu'il entrait dans le jeu lui aussi. Et j'aimais ça. Je penchai doucement la tête sur le côté en l'observant. '' Pourquoi pas? J'accepterais, avec grand plaisir même, mon chou! '' Quoique sur une moto, c'était plutôt dangereux. Mais c'était juste le fait de se l'imaginer, qui pimentait la chose, là tout de suite. On parlait de ses abdos, ses magnifiques abdos bien dessinés qu'il venait de me montrer et moi j'fondais. Et puis vint le sujet de ma souplesse. Oh oui, tu voulais que j'te montre ma souplesse, ein Théo? C'est ce que je fis, en répétant un moment de mon petit numéro de sur la scène tout à l'heure, qu'il sembla tout particulièrement apprécier à l'instant. Je me relevai et me tournai pour lui faire face, en s'approchant contre lui qui se trouvait dos au mur. Je venais à quelques centimètres à peine de lui en me passant la langue sur les lèvres. '' Personnellement... si c'est en dehors du boulot, j'te le ferais gratuitement. Cadeau d'une amie particulièrement sexy qui pourrait te suffire, ein? '' Je lui fis un clin d'oeil. Rien qu'à être près de lui comme ça, je n'arrêtais pas d'essayer de le provoquer. J'étais comme ça, ein... '' Maiiiis, si tu veux faire un paiement... pourquoi pas en nature? '', dis-je en rigolant sincèrement cette fois.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
La jeune femme était joueuse, et elle ne faisait strictement rien pour le cacher, pour mon plus grand bonheur, je me rendais compte que j'adorais ça. Un seul mot de sa part et j'étais prêt à la prendre à même une des ruelles qu'il y avait dans le coin. D'ailleurs, elle se frottait contre moi, me laissant chancelant, car désormais j'avais envie de plus, de beaucoup plus. Elle savait comment me rendre chaud. Enfin, elle devait savoir faire ça avec tous les hommes, je n'étais pas une exception à la règle. « D'autres façons? J'me demande bien à quoi ça ressemblerait, il faudra que tu me montres, un d'ces jours... » Comment qu'elle me cherchait...Je réalisais un sifflement admiratif avant de passer ma main sur son dos jusqu'à ses fesses, d'une caresse très brève et délicate. « De toute les façons dont il est possible de te prendre très chère. Un mot de ta part, et tu pourras voir ça très rapidement. » Moi aussi je savais jouer et je ne privais pas pour lui montrer. Comme elle était en train de se frotter à moi, je lui demandais si elle attendait un pourboire pour ce qu'elle était en train de faire. «  Mmh.. un très gros pourboire, mon cher... » Son clin d’œil, me poussa à passer ensuite mes doigts sur son épaule. « Je vois... » Je laissais un sourire ravageur flotter sur mes lèvres alors qu'elle continuait à me taquiner toujours plus. « Pourquoi pas? J'accepterais, avec grand plaisir même, mon chou » Je me mis doucement à rire, appréciant à sa juste valeur sa proximité. Quand elle s'éloigna pour me montrer sa souplesse, je restais très admiratif, lui demandant ensuite un show de particulier à particulier. Quand elle revint vers moi, le mur bloquait mes pas et sa langue sur ses lèvres à quelques centimètres de moi, me fit plisser les yeux. Plus d'envie qu'autre chose. « Personnellement... si c'est en dehors du boulot, j'te le ferais gratuitement. Cadeau d'une amie particulièrement sexy qui pourrait te suffire, ein? Maiiiis, si tu veux faire un paiement... pourquoi pas en nature? » Elle se mit à rire et je restais presque haletant. « Demandes-moi tout ce que tu veux en contre-partie pour ce show et tu l'auras...Surtout en nature. » Réalisant un clin d’œil, je fis glisser une nouvelle fois ma main sur son corps. « Je peux néanmoins te poser une question.. ? Tu comptes te rendre au Summer Camp ? » Je ne savais même pas si elle étudiait à Harvard ou pas.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J’aimais bien avoir l’attention sur moi. Pas que j’étais une tête enflée, mais j’adorais faire naître le désir chez l’espèce masculine. Sentir leur regard se poser sur moi en me considérant comme une vraie femme, et pas que comme un jouet, comme à peu près tous les clients cochons du Nirvana. Prendre un malin plaisir à jouer la provocante pour admirer le désir du partenaire ou de l’interlocuteur, ici Théo, augmenter, encore et toujours plus. Et c’est ce que je faisais, parce que je ne pouvais m’en empêcher. J’étais une femme qui avait besoin d’agir de la sorte, et pourtant je n’étais pas une pute, vous savez. Théophyl me sifflait, ce qui fit naître un sourire sur mon visage, puis lorsqu’il passa doucement ses doigts sur le bas de mon dos, vers mes fesses, que je bombai légèrerement pour permettre un accès plus facile à sa main. « De toute les façons dont il est possible de te prendre très chère. Un mot de ta part, et tu pourras voir ça très rapidement. » Mon sourire ne fit que s’étirer un peu plus à ses paroles. ‘’ Je préfère te faire languir un peu... C’est plus amusant ‘’, fis-je en me léchant les lèvres. Il remonta ensuite sa main sur mon épaule et glissa ses doigts gentiment, ce qui me provoqua un léger frisson. « Je vois... » Bien sûr qu’il voyait. Il ne pouvait plus détacher son regard de sur moi, et je savais qu’il voulait me prendre, de toutes les façons dont il était possible de me prendre, pensai-je, en reprenant ses mots. Je lui montrais mon exceptionnelle souplesse, qu’il semblait apprécier, bien évidemment. Puis lorsque je revins vers lui, me collant contre lui, passant ma langue sensuellement sur mes lèvres à peine à quelques centimètres de son visage, pour le provoquer un peu plus, il se mit à rire : « Demandes-moi tout ce que tu veux en contre-partie pour ce show et tu l'auras...Surtout en nature. » Je secouai la tête en rigolant de nouveau, puis sans prévenir, ma bouche s’entrouvrit légèrement pour permettre à mes dents d’agripper sa lèvre inférieure. Un pur délice. Je n’osais même pas imaginer le goût de ses lèvres encore : un plaisir à la fois. « Je peux néanmoins te poser une question.. ? Tu comptes te rendre au Summer Camp ? » Je laissai sa main agrippée à moi, sur mon corps, puis la mienne agrippa la ceinture de son pantalon, permettant à quelques-uns de mes doigts de passer à l’intérieur, pendant que je ne le quittais pas des yeux. ‘’ Bien sûr que je vais au Summer Camp. T’as envie de savoir si mon corps sera à proximité du tiens? ‘’ , murmurai-je d’une voix sensuelle, ondulant mon corps pour que ma poitrine vienne le frôle de nouveau, comme tout à l’heure. Impossible de me résister, surtout en mini tenue comme celle-ci. J’approchai mes lèvres de son oreille pour ajoutai dans un presque soupir : ‘’ Et si tu me faisais tout? Absolument tout? Un bel homme comme toi a bien droit à tous les plaisirs... ‘’
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Vous n'avez jamais ressenti une envie si puissante qu'il vous fallait tout votre sang-froid pour la réprimer au maximum ? Un mélange d'impulsivité et de violence qui donnait un désir fou et limite brutal ? Parce que justement c'était ce que j'étais en train de ressentir avec la jeune femme qui se trouvait juste face à moi et dont j'avais eu la chance de voir les atouts sur scène un peu plus tôt et ce que je ressentais plus précisément était l'envie de la plaquer contre le mur et de l'embrasser follement et durement. Je me souvenais d'ailleurs pertinemment de la jeune femme qui m'avait acheté lors de la vente aux enchères des Winthrop et avec laquelle j'avais fini par partager un délicieux moment dans une ruelle, contre un mur. C'était donc pour ça que je devais à tout prix me contenir, au lieu de me comporter comme un gros goujat et une brute. C'était une dame. Une aguicheuse certes, mais une femme quand même que je devais traiter avec la plus grande politesse. Enfin, acte très difficile lorsque ladite femme frotte sa généreuse poitrine contre votre torse rien que pour vous en faire voir de toutes les couleurs. Je ne me privais pas d'ailleurs de caresser de façon assez distraite les courbes les plus accessibles de son corps. De son bras, au bas de son dos, en espérant qu'aucun vigile n'allait me sauter dessus en m'accusant d'être trop près d'une des filles de son club. « Je préfère te faire languir un peu... C’est plus amusant. » Levant les yeux au ciel, je tentais de détacher mon regard de sa langue qui se passait sur ses lèvres et qui me donnait envie de les lui lécher moi-même mais je tentais tout de même de rester de marbre ne pouvant la toucher plus intimement qu'avec mon regard vert qui se baladait sur elle. « Tu es une tortionnaire. » J'avais dit cela avec un petit sourire en coin, pensant totalement mes paroles car en effet, elle était en train de me faire souffrir. Mais pas vraiment dans le mauvais sens du terme. Quand ses lèvres s'entrouvrirent pour agripper ma lèvre inférieure, je laissais un gémissement s'échapper de ma gorge. Je me contrôlais, vraiment, j'essayais et quand ses doigts se faufilèrent dans la ceinture de mon pantalon, je crus que j'allais devenir fou. « Bien sûr que je vais au Summer Camp. T’as envie de savoir si mon corps sera à proximité du tiens? » J'avais chaud là. Vraiment très chaud. « J'ai surtout très envie de voir ton corps sous le soleil et... à proximité du mien ce serait encore mieux oui. » Je réalisais un sourire de crâneur alors que ses lèvres venait à frôler mon oreille. «  Et si tu me faisais tout? Absolument tout? Un bel homme comme toi a bien droit à tous les plaisirs... » Maman... Me demandant si je n'allais pas perdre le contrôle, la réponse à ma question apparut tout simplement lorsque je retirais sa main de la ceinture de mon pantalon et que j'enroulais un bras autour de ses hanche. « Tu vas beaucoup trop loin, chérie. » Je n'étais un homme qu'on pouvait faire languir de désir et jeter comme une vieille chaussette. La surlevant, je vins à la plaquer contre le mur qui se trouvait derrière moi, de façon brutale sans lui faire de mal pour autant. Le judo et ma force me servait beaucoup dans ce genre de moment. « Je vais tout te faire puisque tu insistes... » Passant ma langue sur mes propres lèvres, je plaquais mon corps au sien, remerciant silencieusement l'obscurité de l'endroit qui nous cachait quelque peu. Je penchais ensuite mon visage dans son cou, le frôlant avec mes lèvres à plusieurs endroits tandis qu'une de mes mains remontait l'une de ses jambes autour de ma hanche, faisant entrechoquer nos bassins. Puis lorsque mes lèvres arrivèrent près des siennes, j'hésitais un instant, fixant son regard avec un sourire en coin. « Et si je t'embrassais là maintenant...Tu voudrais ? »

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« Tu es une tortionnaire. » Que voulez-vous? Ce ne sont pas toutes les filles sur cette planète, et encore moins dans l'université qui avaient la chance de posséder et profiter des atouts physiques que toi tu possédais. " Tu me connais mal... " Rien qu'à ces mots, ils aurait pu te traiter de menteuse. Eh oui, tu étais une tortionnaire, une vraie. Ce que tu aimais par-dessus tout, c'est qu'on te désire, qu'on veuille de toi, qu'on rêve de toi, qu'on fantasme sur toi. Et à voir les réactions de Théophyl, comment il réagissait à tes petites provocations, tes caresses sur lui, ta poitrine évidente se frottant sur son torse, c'est qu'il semblait être l'esclave de tes désirs les plus fous, à l'heure actuelle. Si tu n'avais pas été si joueuse, tu aurais rapidement pris pitié de lui et aurais vite cessé ces souffrances que tu t'amusais à lui procurer. Tu te plaisais toi-même à ce jeu qui ne faisait que commencer et pourtant, tu savais pertinemment qu'à un moment ou à un autre, peut-être même plus rapidement que tu ne pourrais l'imaginer, ce serait toi qui perdrait à ton propre jeu. Mais ce n'était pas pour te déplaire, puisque tu aimais autant chasser qu'être chassée, comme on dit. Ou des termes plus...sexuels, dominer ou être dominée. En autant que tu goûtais au plaisir, tu risquais d'être satisfaite et comblée. Ton corps se frottait sensuellement au sien, et vous parliez à présent du Summer Camp. Alors là, cet été, ça risquait d'être chaud, très chaud. Et pas qu'à cause du soleil, si vous voyez ce que je veux dire... « J'ai surtout très envie de voir ton corps sous le soleil et... à proximité du mien ce serait encore mieux oui. » Tu te mordais la lèvre inférieure, et en l'observant, tu te rendais compte, avec joie et inquiétude à la fois, que tu te sentais de plus en plus défaillir et que tu ne serais pas longue avant de succomber à tes propres envies et à ses agréables plaintes. " Comme je dirais... tes désirs sont aussi les miens! " T'armant d'un sourire provocateur, tu avais dit ça d'une voix si sensuelle et pleine de malice que tu te surprenais toi-même. Pourtant, ta voix tremblait légèrement, ce qui ne faisait que confirmer tes précédentes pensées : tu avais envie de lui, et au plus vite. C'est toi qui le faisait souffrir, et tu t'enfilais toi-même les pieds dans ton propre filet. Une vilaine joueuse est aussi une mauvaise joueuse. C'est Théo qui retourna la situation à son avantage, retirant ta main de ce endroit qui lui serait fatidique si tu venais à t'aventurer trop loin. Il te le fit remarquer et c'est en te surélevant légèrement qu'il te plaqua avec vigueur sur le mur de brique derrière toi. Tu souris en coin en fermant les yeux comme pour amortir le choc de ta tête sur le mur, mais ce n'est pas douloureux. Ça démontre seulement que le jeune homme n'en peut plus de ta vilaine torture et qu'il veut reprendre le contrôle de la situation, contrôle qu'il avait perdu bien avant même que tu ne sortes le rejoindre. " Vil;ain garçon... J'aime les hommes sauvages. " Ton coeur bat si vite à cause de l'excitation du moment, de l'endroit où vous êtes et de cette tension sexuelle qui se sent entre vous. " Oh oui, j'insiste mon chou. ", dis-tu en te mettant à rire, relevant ta jambe à souhait contre lui, sentant son corps contre le tien, ce qui ne fait que faire grimper ton envie en flèche. Tu te sens déjà sur le point d'exploser, alors que ce n'est pas commencé. Pas réellement, enfin. C'est à ton tour de prendre les guidons de la situation, il te torture et ça te fait plaisir. Tes yeux se ferment sous l'envie et l'attente, ta main vient se poser dans le creux de son dos pour l'empêcher de fuir. « Et si je t'embrassais là maintenant...Tu voudrais ? » Tu ouvres les yeux et c'est avec plaisir et délice que tu remarques votre soudaine proximité. Tu entrouvres légèrement les lèvres, pour murmurer d'une petite voix : " Bien sûr que je voudrais. Même que j'en ai plus qu'envie. Alors fais-le... et à volonté. " En même temps, ta main qui se trouve dans le creux de son dos descend légèrement plus bas pour agripper d'une bonne poignée ferme ses fesses. Miam. À croquer, selon ce que tu tâtes. Tu souris, puis tu remontes et redescends ta jambe contre lui, pour le chauffer un peu, ce qui t'arraches toi-même un soupir.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« Tu me connais mal... » Secouant la tête, je me rendais compte que ce n'était pas vraiment le problème. Au contraire, je ne demandais que ça moi, de la connaître. Elle était en train de me charmer comme pas possible et je ne pouvais que réagir au quart de tour alors qu'elle posait ses mains sur moi et qu'elle me caressait doucement, frottant sa poitrine contre mon torse et plus littéralement, son corps contre le mien. Elle était en train de me tuer à petits feux et sa se voyait largement qu'elle le savait pertinemment et qu'elle y prenait un malin plaisir. Je me surpris alors à comprendre que j'avais très envie de plus que de me retrouver là à me comporter comme un petit adolescent puceau et en chaleur et que ce serait volontiers que j'embarquerais la jeune femme afin de l'emmener dans un grand lit pour y faire milles folies. Parlant du Summer Camp, je ne résistais pas à la tentation de lui dire que je voulais plutôt voir son corps sous le soleil et près du mien, ce qui déclencha un mordillement de la lèvre inférieure chez la jeune femme. Putain ce que je donnerais pour pouvoir lui mordiller moi-même. «  Comme je dirais... tes désirs sont aussi les miens! » Ah oui ? Elle ne pouvait pas mieux m'enchanter. Je laissais d'ailleurs ma main glisser du long de son dos jusqu'à son postérieur avec un certain regard malicieux et une grande envie. « Oh, merci Père Noël ! » Sa voix, son odeur, son corps, son regard et même ses cheveux, m'attirait chez cette jeune femme. Tellement que j'en comprenais pas moi-même ce qui m'arrivait, même si c'était tout à fait normal de ressentir ce genre de choses pour une telle créature qu'elle. Quand je ne fus plus à même de contenir la pression et la tension sexuelle, je surélevais la jeune femme afin de la plaquer contre le mur qui se trouvait derrière moi. Évidemment, je fis en sorte de ne pas lui faire de mal avant de plaquer mon corps contre le sien, et de le presser sensuellement. «  Vilain garçon... J'aime les hommes sauvages. » Un sourire en coin se dessina sur mon visage alors que j'humais l'odeur de la peau dans son cou de façon aguicheuse. « Alors avec moi tu risque d'être servie, mon cœur. » Je remontais alors une de ses jambes le long de ma hanche pour l'enrouler autour, pressant mon bassin contre le sien. « Oh oui, j'insiste mon chou. » Avait-elle envie de moi comme j'avais envie d'elle ? Probablement, dans tous les cas, il n'y avait plus de retour en arrière. Relevant alors mon visage vers le sien, je lui demandais si cela lui plairait que je l'embrasse, là tout de suite alors que sa main s'était posé dans mon dos, m'arrachant un soupir. «  Bien sûr que je voudrais. Même que j'en ai plus qu'envie. Alors fais-le... et à volonté. » C'était comme si elle s'offrait sur un plateau d'argent et je laissais un gémissement grave sortir de ma gorge lorsqu'elle agrippa presque sauvagement mon postérieur alors que sa jambe s'amusait avec mon flanc. « Je ne te le ferais pas répéter deux fois. » Plongeant alors sur ses lèvres, je les mélangeais aux miennes de façon douce d'abord puis bientôt très brutalement, entremêlant ma langue à la sienne, remontant ma main sur sa poitrine pour la caresser sensuellement. Attrapant alors son autre jambe, je remontais celle-ci ainsi que sa jumelle sur mes hanches pour les enrouler autour, plaquant littéralement mon bassin contre le sien, commençant des mouvements bien suggestifs avec celui-ci. Plus de retour en arrière, j'avais définitivement très envie d'elle. Coupant court au baiser, je reculais mon visage pour fixer son regard. « Fini de jouer, on passe aux choses sérieuses chérie. » Descendant mes lèvres dans son cou, je vins à mordiller celui-ci, jouant à laisser des traces avec ma langue, tandis que je maintenais son corps plaquer contre le mur à l'aide du mien et que mes mains venaient à se faufiler sous son petit haut pour la caresser et frôler sa peau alors qu'elle était en train de me rendre fou.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)