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Après la tempête, le calmejackie and Aidan
Ici tout était hors du temps, les minutes défilaient doucement et le désir lui augmentait à une vitesse folle. « Je suis un grand pervers tu le sais bien. » Bien sûr, je le savais et pour tout l’avouer cela lui faisait son charme. J’affichais un grand sourire amusé avant de profiter de ce doux moment. Mes mains baladeuses caressaient sensuellement le torse du jeune peintre avant qu’il ne dise : « Voyons, je pourrais te faire un strip-tease » je me mis à sourire davantage et fermai les yeux : « hum… je ne suis pas contre » dis-je doucement en accentuant chaque mot. Les mains du Lowell se posèrent sur mes joues. « Ou bien… » il m’embrassa doucement avant de continuer son chemin. Je levais légèrement la tête, fermant les yeux et profitant de l’instant. Aidan savait y faire, provoquant à chaque instant un élan de frisson. Il se mit à genoux et me releva. « Tu trouves pas que ces vêtements sont superflus ? » je me mordillais doucement la lèvre avant de lever la tête au ciel « Faut croire que tu lis dans mes pensées Norrington » dis-je en rigolant avant d’enlever mon haut. Je m’approchais encore un peu plus de lui, ne laissant aucun espace de libre entre nous. « tu me fais tourner la tête… nanah mon manège à moi c’est toi » dis-je en rigolant et en l’embrassant sur la bouche. Une de mes mains attrapa la ceinture du peintre et la retira. " va falloir m'aider, monsieur le président " dis-je en déboutonnant le haut de son jean.
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Chassez le naturel, il revient au galop. Aidan a du mal à se départir du sourire qui trône sur ses lèvres complices tandis que ses mains parcourent le corps de Jackie. Le temps écoulé depuis leur dernier corps à corps ne fait que raviver le désir qu'il a pour elle et l'histoire de leurs parents lui semble à cet instant bien lointaine. Cela lui fait tellement de bien qu'il ne veut même pas penser à l'attitude que la Cabot adoptera après. Peut-être qu'elle décidera finalement de leur laisser une chance, ou bien peut-être pas, mais en tout cas, il se contente de saisir l'instant présent. « Je ne te savais pas chanteuse. » lui dit-il un brin taquin. Ses mains s'affairent à son propre pantalon ainsi qu'à son caleçon, se retrouvant finalement rapidement dans le plus simple appareil. « Prépare-toi à un sacré tour de manège Stevensen. » lui dit-il en riant. Se relevant, il l'attire fortement contre lui et décide de s'occuper des vêtements qui lui reste en la noyant d'attentions affectueuses et de baisers. Enfin, il sent son corps contre le sien et à cet instant réellement, il se sent bien.