Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityjackie ▬ erased memories - Page 2
-19%
Le deal à ne pas rater :
PC portable MSI Gaming Pulse 16” -Ultra7 155H -16Go/512 Go
1299 € 1599 €
Voir le deal


jackie ▬ erased memories

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Jackie & William


Erased memories


Jackie semblait penser la même chose que William au sujet des porte-bonheur. Enfin, il ne croyait aux pouvoirs magiques de ces petits objets mais elle, si. Du coup, elle semblait penser que son grigri lui avait porté malheur, bien joué Kane, tu remportes la palme de la connerie. Il n’avait pas voulu lui dire la vérité pour qu’elle soit soulagé d’un poids, bien qu’il ne soit pas non plus insurmontable, mais tout de même. Au final, il s’enlisait, c’est tout ce qu’il gagnait. Revenant sur ses pas, il lui confia ; « Tu sais, j’ai arrêté de croire aux pouvoirs magiques de ce genre de truc. Il aurait du me porter bonheur à moi, et te voir ici ce n’est pas vraiment ma définition du bonheur. » Certes, il lui avait prêter, il ne l’avait donc pas eu sur lui et on aurait pu croire qu’il avait donc cesser de fonctionner. Mais pourquoi ne serait-il pas équipé du même système que les oreillettes sans fil ? Une sorte de porte-bonheur qui émet sur longues distances ? Mon dieu, tout ceci était stupide. Mais si Jackie avait un coup de mou, il pourrait peut-être lui en parler pour lui remonter le moral. Lorsqu’elle voulut savoir pourquoi il lui aurait prêté son objet fétiche, il haussa les épaules, avouant ; « Je ne sais plus, ce n'était pas le plus important. Un exam je crois. » Il soupira, mentir, il n’aimait pas ça. Il regarda Jackie lorsqu’elle constata que le fameux objet ne lui avait apporté que des ennuis et, tentant de la faire sourire un peu, il lui dit ; « Et un beau bouquet de fleurs. » Il sourit, mais ça ne dura pas. C’était pathétique, il le savait, mais il était quelque peu largué. Il voulait que son amie se souvienne de lui, mais pas de cet incident. Il ne voulait pas lui faire de mal, mais ses tentatives pour la faire sourire restaient vaines ; il avait du mal à être persuasif avec cet air de chien battu agrafé à son visage. Qu’allaient-ils faire ?
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Peut-être que toi aussi tu devrais arrêter de croire à la magie de ces bibelots. L'horoscope, c'était déjà bien suffisant comme débilité pour toi non ? Quand il parla de bonheur et de toi dans la même phrase, tu sentis ton coeur accélérer. C'était étrange, tu n'avais aucun souvenir de cet homme et pourtant tu ne te méfiais pas, comme si sa présence t'était indispensable. J'pense qu'à partir du moment où tu prêtes un porte-bonheur, il perd confiance en toi.. du coup il t'apporte du malheur à toi, et à la personne à qui tu l'as prêté. Moi. Tu en déduis que c'était un peu à cause de lui que tu te retrouvais dans ce lit d'hôpital. Mais tu ne lui en voulait pas, parce que tu n'étais même pas certaine d'avoir raison. A vrai dire, tu ne te souvenais absolument pas des conditions de l'accident, tu as juste entendu un homme crier et après c'était le vide. Et puis tu n'as rouvert les yeux que dans cette chambre, devant Cody, ton meilleur ami. Malgré l'accident, on verra si ça a quand même marché pour mes exams ! dis-tu avec un petit sourire sur le bord des lèvres. De ce côté là, tu n'avais quand même aucun doutes : tu allais avoir ton année, les doigts dans le nez. Lorsque tu venais de constater que son grigri dit porte bonheur ne t'avais apporté que des malheurs, William sortit d'un air amusé qu'il t'avait aussi apporté un bouquet de fleurs. Instinctivement, tu fis tourner la fleur que tu en avais extirpé entre tes doigts, la posant contre ta poitrine. William ? Parle moi de nous. Comment on s'est rencontré ? Qui est venu voir l'autre ? Qu'est ce qu'on s'est dit ? Tes yeux n'avaient pas quittés la fleur, ta voix était douce, mélodieuse. Tu avais envie de te souvenir parce que tu étais persuadée que vous vous entendiez super bien avant de ne te rappeler de rien.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Jackie & William


Erased memories


Jackie semblait avoir bien des théories sur le pourquoi du comment qui faisait qu’un porte-bonheur cessait de fonctionner dès lors qu’il quittait son propriétaire. Il devrait peut-être lui parler du système d’émission longue distance auquel il avait pensé, à défaut d’être sérieux, ça la ferait peut-être rire un peu. D’ailleurs, bien qu’elle ait eu un accident, elle ne se lamentait pas. Elle avait tenté de se lever mais n’y était pas arrivée, elle avait pris ça à la rigolade. William envia sa légèreté l’espace d’un instant avant de se demander si ce n’était pas de la pudeur. Avec son mensonge, William se sentait coupable de quelque chose qu’il n’avait pas fait, et plus le temps passait, plus il doutait que la vérité soit si terrible comparé à ça. Préférant ne plus y penser pour l’instant de peur de tomber dans un cercle vicieux, il répondit simplement, chassant ces pensées de sa tête ; « Peut-être.. » cette histoire lui plaisait de moins en moins, il aurait peut-être mieux fait de dire la vérité. Il soupira, avouant ; « Après ça, je ne pense pas croire encore à tout ça. Ce sont surement des placébos, des pensées magiques. Comme « si je ne touche pas les lignes entre les pavés du trottoir, j’aurais une bonne note ». Tu vois, ce genre de truc. » Il secoua négativement la tête, terminant ; « Je n’ai pas envie que des interstices entre des pavés décident de ce que je vais réussir ou non. » Il rit une seconde, dit comme ça, il se sentait un peu ridicule. Puis il posa ses mains, jointes ensemble, sur sa jambe lorsque Jackie lui demanda de lui parler d’eux. Il acquiesça, commençant ; « Je dormais dans le salon des Lowell, des gars bourrés squattaient ma chambre. Et j’ai été réveillé par une fille, saoule également, qui pensait que je ne l’avais pas vu. Elle était genre… Il se leva, voulant reproduire la scène. Il fit mine de tituber, posant son index sur sa bouche il avançait, prenant la voix de Jackie ; Shhh.. Tu m’as pas vu.. Ok ? » Il reprit son attitude normale, commentant ; « J’étais complètement dépité, j’en avais ma claque des gens bourrés pour ce soir. Et puis la fille s’est effondrée sur le canapé voisin. Le lendemain, elle errait dans le salon en demandant ce qui s’était passé. Je lui ai répondu qu’elle s’était endormie dans le salon, et elle m’a demandé d’arrêter de hurler. Ca doit être sympa la gueule de bois. Enfin bref, cette fille, c’était toi. » Il reprit place sur le lit, poursuivant ; « On aurait pu ne jamais se reparler, mais je t’avais trouvé drôle. Même quand tu avais dessaoulé, tu me faisais rire, avec ton mal de crâne et tes remarques sur les Lowell qui passaient. Je crois que c’était la première fois que je voyais une personne aussi spontanée, légère. Un peu comme si elle voyait ce qui se passait autour d’elle d’un regard extérieur. » Il regarda la jeune femme jouer avec la fleur, elle semblait toujours aussi légère, même après son accident. Il regretta qu’elle ne se souvienne peut-être jamais de lui.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)