« And then the destiny is here again... » ✿ Orion & Candice

Orion & Candice

C'est fou comment le temps peut soudainement sembler s'arrêter quand quelque chose de bien ou de mal peut ce produire dans la vie. Comment qualifier l'instant présent? Bien ou mal? D'un point de vue il peut-être bien parce que je suis enfin avec lui, lui Orion mon fantasme absolu, je peux enfin l'embrasser et même le toucher, le sentir tout contre moi alors que je pensais jusqu'à récemment que cela resterait pour toujours un simple rêve. En plus il n'y avait plus cette barrière entre nous, barrière nommée Alice. Bien aussi parce que c'était sacrément agréable et ça pouvait l'être encore plus. Mais d'un autre côté c'était mal, mal car Alice est toujours là à quelque part sur le campus à souffrir de cette rupture entre eux, et que moi son amie j'en profitais alors qu'ils avaient à peine rompu le soir d'avant... Etais-je un monstre? Et lui? Pourquoi on en est là?! Pourquoi est-ce qu'on arrive pas à attendre, à résister... Pourquoi il me rend si, si étrange, je n'arrive pas à mettre de mots sur ce que je ressens pour lui et quand je me retrouve avec lui, je m'enflamme littéralement.

Et les flammes ne sont pas prêtes de s'éteindre puisque notre baiser est devenu plus intense lorsqu'il m'a permis de l'approfondir et qu'on se bat sensuellement pour savoir qui gagnera se combat de langues. J'ai l'impression de me sentir vivre ainsi, peut-être surtout de me consumer de désir lorsque mes mains touchent enfin son corps parfait dont j'ai tant rêvé, Orion Matthew était sacrément bien fichu mais ça j'en avais aucun doutes! Lorsque j'avais glissé mes mains sous son t-shirt d'abord sur son torse puis dans le bas de son dos pour le coller contre moi, je l'avais senti frémir. Lui aussi semblait apprécier le moment présent. Ses mains allèrent sur mes hanches avant de les faire descendre jusqu'aux poches de mon jeans et de les glisser dans celles-ci, ses bras m'entouraient, j'étais vraiment bien là. Je me sentais comme protégée et au chaud dans ses puissants bras musclés, contre son torse. Après un instant il retira ses mains de mes poches pour les faire glisser sous mon petit top, elles remontaient lentement jusque vers mon soutien-gorges. Mon souffle s'accélérait tout seul, je sentais l'excitation monter en moi parce que ses mains étaient chaudes, douces, puissantes, qu'elles savaient y faire. Encore une fois j'avais l'impression de toucher au Saint-Graal. En parlant de Saint-Graal, mes mains bougèrent aussi avec plus de rapidité cette fois, alors que je gémissais légèrement en sentant ses mains arrivées à sa destination, les miennes allèrent se poser sur ses fesses à lui. J'avais souvent rêvé de pouvoir toucher Orion de partout, surtout à cet endroit-là, il semblait vraiment... bon à toucher. Malgré moi je me sentis rigoler un instant, à cause de la situation, du plaisir, de la joie et parce, bah je touchais enfin son petit cul que j'avais tant rêvé de toucher et qu'il était exactement comme je m'y attendais. Il me regarda un instant alors je répondis « T'es simplement... bien foutu de partout... Enfin de ce que je peux voir ou toucher pour le moment... » dis-je toujours amusée mais à la fois avec sensualité.

(Invité)

« And then the destiny is here again... » ✿ Orion & Candice - Page 2 141s6kp

Être soi-même, utiliser les talents que Dieu nous a donnés et défendre ce qui nous semble juste, même aux prises avec la douleur, la peur et la persécution, est la véritable manière de vivre. Cette vieille citation me trottait en tête. Mon père m’avait tant répété ces mots lorsque ma mère fut décédée. Il ne voulait pas que je désespère et passait son temps à m’encourager dans tout. Je n’étais pas le meilleur dans une certaine matière à l’École, ni en sport, mais je savais au moins une chose, que tout au long de ma vie, j’avais été authentique, moi-même. Malgré les encouragements de mon père, j’avais tout tenté, j’avais perdu et maintenant me revoilà gagnant de belle années scolaire. J’avais fait en sorte que ce dont mon père m’avait fait part tout au long de sa vie, soit mis en œuvre. Sauf qu’aujourd’hui me voilà devant la douleur d’avoir laissé Alice, d’avoir fait de moi un monstre avec toute cette vieille histoire d’amour. La douleur de voir ces gens parlé de moi comme si j’étais le pire des connards. Pourtant j’en étais un, je l’assumais, mais gardait une réserve au fond de moi en sachant très bien que je n’étais pas ce connard dont tout le monde connaissait. Me voilà devant la peur. La peur de perde à la fois tous mes amis pour ce qui se passait avec Alice. La peur de me faire prendre ici avec Candice qui pourtant j’aimais plus que tout. Enfin que j’aimais pour le moment c’était plutôt que j’appréciais tous les petits moments inattendus passé avec elle. La peur de perde Candice par rapport à son amitié avec Alice. La peur de moi-même, j’ignorais qui j’étais … J’avais basé ma réputations sur toutes les conquêtes, toutes les bêtises faites, les cours manqués, les matières échouer et mon gros sens de la fête. Puis devant la persécution. J’avais peur de recevoir un mauvais traitement. Ce que je veux dire j’Avais peur de toutes ses idées dont je pouvais me faire. Que tout ce qui pouvait se réaliser se réalise. Que du coup je me retrouve seul au monde pour des choses que j’ai commis. Des choses que j’aurais peut-être jamais faites si je n’avais pas été Orion connard de service aux yeux de tous… Enfin je repris vite mes esprits en souriant aux paroles de Candice. Elle était si jolie, si chaude, si parfaite… Qu’est-ce qu’elle pouvait bien vouloir de quelqu’un comme moi ? Étais-je seulement un autre garçon sur son tableau de chasse ? Enfin je laissai balader mes mains sur son corps ne sachant pas tellement quoi lui répondre… Un toi aussi aurait pu faire l’affaire, mais je me sentais un peu tcheep de copier ses paroles. Puis ce petit jeu de séduction me plaisait beaucoup, elle me faisait rire, me faisait sourire… Ça faisait si longtemps que j’avais pas passé de bons moments comme celui-là, comme l’autre jour au bar , puis comme le premier baisé échanger, qui était d’ailleurs un peu trop intense… Voir comme aujourd’hui.J’avais d’accrocher sur mon visage le sourire en coin que j’avais l’habitude de faire puis lui dit : « Je dirais touché… Parce que pour le moment t’as encore rien vu puisque j’ai encore tous mes vêtements sur le corps. » Bah quoi ? J’allais quand même pas me déshabiller ici à bibliothèque. Si ?

(Invité)