Wiggle wiggle ♔ MARSHEY /!HOT

Ses mains trouvèrent mon dos et je savais pertinemment qu’elle m’empêcherait d’aller plus loin. Elle ne pouvait tout simplement pas me laisser continuer sans perdre la tête, je le savais bien. Aussi ne fus-je pas surpris lorsqu’elle m’obligea à remonter. Mon regard croisa le sien et elle posa un baiser au coin de mes lèvres. Une envie pressante de l’embrasser m’envahit et je la chassai en fermant les yeux. « J'en ai marre de jouer à ce jeu.... Alors je me déclare game over. » J’ouvris les yeux et lui souris, vainqueur. « Thanks God.. » Elle plaqua ses lèvres contre les miennes et je cru que j’allais exploser sur place. Mon érection était maintenant bien présente dans mon pantalon –à un point tel qu’elle était douloureuse. Ses jambes autour de mes hanches, je n’eus d’autre choix que de coller mon corps au sien, me pressant sensuellement contre elle, pétrissant fermement son sein d’une main et caressant sa cuisse jusqu’à sa fesse de l’autre. J’avais terriblement chaud malgré la légère brise qui nous balayait en cette fin de soirée qui ne semblait qu’être le début pour nous…

Son corps contre le mien ne faisait qu'attiser l'envie insoutenable en moi. Je l'embrassai de plus belle lorsqu'il empoigna mon sein. J'étais incapable de résister à ce genre de geste. Je laissai ma main se diriger jusqu'à son membre, prenant celui-ci par-dessus son jeans. Il était cambré comme jamais et devait étouffer sous ce tissu. Je souris en sachant que j'étais toujours aussi attirante qu'auparavant. Disons que garder son corps de jeune femme suite à un accouchement, c'est affreusement difficile. Je le poussai légèrement pour reprendre le dessus, mordillant son cou à mon tour, traçant un chemin avec mes lèvres jusqu'au rebord de la ceinture. Je déboutonnai son pantalon tout en le regardant avec cette étincelle d'excitation. J'embrassai son sexe par dessus son jeans, souriant de satisfaction. « Finalement, je pense que t'es autant perdant que moi. » lui dis-je en remontant pour l'embrasser de nouveau, attrapant son membre de ma main droite. Je l'extirpai de sa prison pour la caressai avec désir.

God bless les femmes en chaleur! Qui aurait cru que je baiserais avec Abbey ce soir? Certainement pas moi en tout cas. Et puis, d’un sens, c’était peut-être pas une très bonne idée. Elle qui voulait voir si j’étais digne de confiance, je prouvais une fois de plus que ma queue pensait plus fort que moi. N’empêche, elle avait mis de l’huile sur le feu et s’y était même jeté elle-même alors… Me poussant sur le côté, je me retrouvai sur le dos à la regarder avec un regard de braise, la désirant plus que jamais. « Finalement, je pense que t'es autant perdant que moi. » J’haussai un sourcil, comment ça? C’est elle qui avait flanché la première! J’allais protester, mais elle m’embrassait déjà pour m’en empêcher. Tant pis, si ça lui faisait plaisir de croire ça. Sa main se faufila dans mon boxer et je poussai un soulagement d’aise quand elle le sortit enfin de cet espace restreint. Caressant ma verge qui pointait joyeusement sur mon ventre, j’en profitai pour glisser moi une main derrière son dos pour défaire son soutien-gorge et ainsi pouvoir admirer sa poitrine parfaite et ses tétons percés. D’un geste habile, je détachai son jeans et y introduit une main pour venir caresser son intimité à l’aide de deux doigts.

Je m'étais ennuyais de ce genre de proximité et, encore plus de ce que je tenais dans ma main droite. Je comprenais maintenant pourquoi on avait passé la fin de semaine à s'envoyé en l'air. J'étais sûrement tombé accro à ce qu'il a entre les jambes. Je sentis mon soutien gorge se détacher. Je m'en débarrassai correctement avant de poursuivre mon massage sur sa partie génitale. J'y allais délicatement, me retenant pour ne pas passer au niveau suivant. Je voulais profiter de chaque instant, ne rien gâché, car peut-être que c'état notre dernière baise? Non... Impossible. Une Abbey entêtée peu obtenir ce qu'elle veut. Marshall finit par me rendre l'appareil en usant de sa main pour me faire plaisir. J'échappai un petit gémissement, ne me souvenant pas qu'il était si doué. Je ne pris pas grand temps avant de me sentir fléchir des jambes. Je n'avais plus de force dans mes cuisses et ce n'était que le début. C'est la preuve irréfutable que je dois me remettre à pratiquer ce sport pour de bon! Je me détachai de lui pour lui retirer son pantalon au complet, riant sous l'effet de l'excitation. J'essayai de faire pareil avec mon jeans, riant de plus belle en voyant que j'avais toute la misère du monde pour me déshabiller. Coucher sur le dos, je sentie la pièce sous ma tête. Je la pris et la flippai dans les airs. Lorsqu'elle retombai sur le symbole de Marshall, je le regardai avec désir. « Tu te crois capable de m'emmener au septième ciel? » dis-je d'un ton provoquant.

Entendre une femme gémir, vous pouvez me dire ce qu’il y a de plus satisfaisant pour un mec? Bon, en dehors de l’orgasme, bien entendu. Quoi qu’il en soit, je m’activais déjà bien avec Abbey sans plus me soucier de quoi que ce soit d’autre que ce que nous étions en train de faire. Franchement, je crois que j’avais même réussi à mettre tout le reste hors tension rien que pour me concentrer sur elle et son corps de rêve. Putin. Elle se redressa, m’empêchant de continuer ce que je faisais pour me retirer mon pantalon. Je ne rechignai pas, riant avec elle comme si la situation était contagieuse. Elle tenta ensuite de retirer son propre jeans et, comme elle semblait avoir un mal fou, j’entrepris de l’aider, impatient de passer à la suite. Elle s’arrêta soudain, trouvant apparemment la pièce qui trainait sous sa tête. J’arquai un sourcil en la voyant le balancer dans les airs. « Tu te crois capable de m'emmener au septième ciel? » J’eu un sourire en coin avant de lui arracher pratiquement son jeans et de plonger vers elle, attrapant un de ses seins dans ma bouche pour le lécher et le sucer avant de remonter vers sa bouche, tenant sa gorge avec une main et caressant déjà habilement son intimité de l’autre. « D’après.. » je l’embrassai à nouveau « ..toi? » et une autre fois pour la forme.

La provocation est un art que je maîtrise habilement. En relaçant le dé et en tombant sur le signe de Marshall, je savais exactement quoi lui poser comme question pour définitivement clore le jeu et passer véritablement à l'action. En moins de deux, il était repasser à l'attaque, m'embrassant entre deux souffle pour me répondre. J'agrippai sa verge pour manipuler soigneusement mon va et vient incessant. J'étais tellement surexcitée que je n'avais pas envie de passer par les trente-six-milles étapes du sexe, alias les préliminaires. Je voulais sauter tout de suite au dessert. Tout en mordillant sa nuque pour monter jusqu'à son oreille, je lui demandai calmement : « J'espère que t'as une capote... Car je pense pas que t’as envie d'avoir une deuxième cordes au cou. » Ouais, car déjà avec Autumn, il devait assumer son rôle de père. Alors imaginez avec un deuxième gosse. Ce serait la folie furieuse.

J’avais franchement l’impression qu’elle allait me faire perdre la tête avant qu’on n’arrive aux choses sérieuses. Merde, vraiment, si je m’étais déjà posé la question quant à notre week-end, maintenant, je ne m’en posais plus aucune. Elle était bonne, elle avait du mordant et elle savait s’y faire. Sa main avait habillement attrapé ma verge alors qu’elle me mordillait la nuque, je frissonnai, soupirant doucement. « J'espère que t'as une capote... Car je pense pas que t’as envie d'avoir une deuxième corde au cou. » J’écarquillai les yeux, cette simple idée aurait pu me refroidir si ce n’avait pas été la mère de ma fille qui me l’avait balancé. Heureusement, j’étais toujours prévoyant. Je reculai un peu, ne lâchant son intimité que pour m’étirer jusqu’à mon portefeuille. J’en sorti deux capotes, les lui montrant. « Avec rainures ou sensation chaud froid? » J’eu un sourire en coin, avant de les lui poser sur le ventre, glissant quant à moi jusqu’à son intimité que je pris en bouche sans plus attendre. Je dévorai ses lèvres, glissant ma langue sur son clitoris bien gonflé tout en lui insérant deux doigts dans un mouvement de vas-et-viens. Elle pouvait bien prendre son temps pour choisir, moi, j’étais bien occupé.