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(+ Ludwick) Even Gandalf has a satisfying sexlife !

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L'après-midi, lorsqu'il faisait beau et chaud, Eugene avait pour habitude de s'attabler à une terrasse avec quelques "amies" Cabot, à comprendre par là que seuls leurs désirs de vie de luxe les rassemblaient, si ce n'était pas les potins. Une eau à la grenadine pour lui postée devant lui, il était temps de diminuer sa dose d'alcool en journée, il écoutait sans grande attention les différentes tribulations de ses copines. Elles repassèrent en boucle les événements mouvementés de la Mather Party Hard du week-end dernier et la maintenant très célèbre altercation entre Feldt et Andy. Pas plus étonné, et n'apprenant rien de nouveau, l'allemand décida qu'il était temps de quitter ces bécasses qui ne se complaisaient que de la vie des autres. C'était qu'il avait un copain maintenant, un charmant polonais qui commençait à manquer à sa journée. Ni une ni deux, il quitta la table, paya l'addition de tout le monde, s'assurant ainsi l'exclusivité des prochains ragots, et se mit en direction de la Dunster House. Sur le chemin, le jeune homme jubilait à l'idée de retrouver son cher et tendre, en plusieurs jours, il avait considérablement pris de la place dans sa vie. Certes, c'était encore compliqué pour lui d'en parler à un tiers, s'imaginant qu'ils ne comprendraient pas, doutant qu'ils seraient content pour lui, le garçon arrogant et détestable par excellence. Pourtant, être avec Ludwick l’adoucissait, et le polonais pouvait se targuer d'avoir converti Eugene en véritable amoureux transit. La majestueuse maison Dunster apparut enfin, agrandissant un peu plus le sourire que le jeune homme portait sur son visage. Il y avait encore une semaine, il n'avait jamais mis les pieds ici, maintenant, c'était comme sa deuxième demeure vu qu'il y passait un temps non négligeable. D'ailleurs, il eut à peine le temps de faire deux pas qu'on lui indiqua d'un mouvement de tête qu'il était bien en haut l'élu de son cœur. Il escalada les marches de l'escalier quatre à quatre et se posta finalement devant la porte de Ludwick. Comme d'habitude, il privilégia une entrée remarquée, ouvrant la porte comme s'il s'agissait de sa chambre et, se tenant dans l’entrebâillement, lança un « Salut toi » des plus aguicheurs à son amant qui .. Eh bien qui jouait à son jeu. Great.
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Assis confortablement dans son fauteuil, le polonais s'arma de sa manette de jeu, son écran d'ordinateur allumé et c'était parti pour une escapade dans la Terre du Milieu. Le Comté avait sûrement dû souffrir pendant son absence, subir une invasion de créatures maléfiques ... et la colère de ses semblables. Un à un, grinçant des dents, le cœur lourd, il lisait les messages de ses compatriotes lui reprochant son absence ; certains de ses rivaux avaient même augmenté de niveaux et sa clique le lâchait. Tout cela à cause d'Eugène, de son couple, de son temps passé à ses côtés. Pourquoi l'Amour, la relation sérieuse, était contraire à tout ? Pourquoi aucune once de compréhension pouvait être ressentie à son égard ? Le Dunster devait se l'avouer ; depuis la fête des Mather, il passait la majorité de son temps avec son copain, à se promener, à s'embrasser et à faire des choses beaucoup moins catholiques. A son goût, beaucoup trop de temps était consacré à leurs ébats. Du temps qui pouvait être consacré au sauvetage de la Terre du Milieu. Il devait l'expliquer au Mather, lui faire comprendre qu'une meilleure gestion du temps et moins de galipettes leur serait bénéfique ... ou pas. C'est sûr ; son copain était désirable, un peu trop parfait et il pourrait passer tout son temps dans son lit avec mais d'autres parts, il avait des obligations, des charges même si elles restaient virtuelles. Etant vivement concentré, il se balada dans le Comté à la recherche de montres lorsque la porte s'ouvrit brusquement pour présenter son copain. Depuis des mois, hormis Ruben, Eugene avait été le seul à pénétrer dans sa chambre à son plus grand bonheur. Il lui lança une salutation, ignorée par le polonais, voulant en finir au plus vite avec le loup. « Hey Eug' » S'il parlait, il serait déconcentré. Décochant la flèche, le polonais s'écria de joie devant son ordinateur ; adversaire vaincu et il était l'heure de la pause. Fermant l'écran, il se retourna pour faire face à son copain,avec un petit sourire gêné. « Désolé ! Bref, comment vas-tu ? Moi, très très très ... très bien même ! » Il se leva pour se diriger vers lui, lui accordant un doux baiser, veillant à le caresser quelque peu. Il fallait qui lui parle sérieusement , vis-à-vis de tous les problèmes accumulés depuis qu'ils étaient ensemble. Le regardant avec un sourire heureux, il lâcha comme un bombe ; « Ca te dirait qu'on fasse une grève de sexe ? » Dit naturellement, peut-être qu'il n'y aurait pas d'impact grave, qu'il accepterait sans démordre et le tour serait joué.
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Dans sa tête, le jeune allemand élaborait déjà tout un tas de schémas coquins, incluant par ailleurs ce fauteuil où le beau polonais trônait fièrement en jouant à son jeu. Jeu vraiment captivant puisque c'est à peine si le jeune homme avait suscité quelconque réaction de son compagnon. Aussitôt, Eugene abandonna sa posture, ne souhaitant plus être coquin du tout. Il était vexé. Pour sûr, les elfes à demi à poil de son jeu en ligne avait vite fait de le combler pendant son absence. Autant il aurait pu le trouver mignon au plus haut point, concentré comme ça dans son jeu, réfléchissant au meilleur moyen de gagner ou d'exécuter il ne savait quelle quête, autant il avait envie de tout débrancher. Mais il s'exposerait là à de sérieuses sanctions, et bien qu'il était téméraire, Eugene n'était pas un courageux. Debout comme un imbécile devant le pas de la porte, il se demanda combien de temps allait durer ce fichu gameplay pour avoir enfin les faveurs de son petit ami. Au final, Ludwick s'excita, fier comme un paon, et cette image réussit à le racheter aux yeux de son amant: au moins, il gagnait. Un soulagement immense vint envelopper le petit snob qu'il était lorsque le geek avait qui il entretenait une relation vint enfin le prendre dans ses bras. « Ça va, j'm'ennuyais donc je me suis dit que je pourrais venir te payer une visite » répondit-il, en profitant au maximum du câlin que lui accordait son copain, lui caressant les hanches. Ils échangèrent à nouveau ce regard, celui qui faisait fondre Eugene comme neige au soleil, celui qui alimentait son profond bonheur et surtout son insatiable désir. Jusqu'à ce que son visage se décompose lors de la suggestion de son amant. Il était quand même pas sérieux ? Muré dans un profond silence, c'est un éclat de rires qui vint radoucir les traits de son visage. « Tu m'as presque eu » s'esclaffa-t-il, en s'écartant de son copain le temps de recouvrer son sérieux. Reprenant son souffle, il repensait à la plaisanterie. Une grève de sexe, bien la dernière chose qu'il pouvait attendre de son copain, vu son tempérament de feu et son extrême satisfaction lorsqu'ils s'unissaient chaque soir, chaque matin, à peu près chaque fois qu'ils se voyaient à vrai dire. Eugene avait toujours apprécié l'humour décalé du garçon, cette blague ne dérogeait pas à la règle.
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Eugene était venu voir Ludwick parce qu'il s'ennuyait ; la belle excuse, même si le polonais fit mine d'accepter, il se doutait qu'en réalité, le Mather s'impatientait de le voir. Soit, le Dunster jubilait de l'intérieur, heureux qu'il pouvait avoir cet effet-là sur son copain. Gardant son sourire fier et empli de bonheur, le jeune homme s'était lancé, déballant brusquement son idée du moment ; faire une grève du sexe. Seulement parce qu'ils passaient trop de temps au lit à son goût et qu'il n'avait plus le temps pour s'accorder d'autres loisirs en communauté. La réaction de l'allemand fut sans appel ; il explosa de rire, le regardant avec une main à la bouche tellement il riait. Un Tu m'as presque eu vint couronner le tout pour démontrer qu'il ne le croyait pas. Forcément, il aurait dû hausser le ton, refroidir ses paroles et elles auraient été plus percutantes. Inquiet, Ludwick décida de passer par une manière plus brutale afin que son compagnon comprenne ; « Je suis sérieux. » Son ton s'était durci, son regard refroidi, ne voulant pas rire afin d'essayer d'aborder le sujet d'une manière sérieuse. Il appréhendait ; il douterait qu'Eugene prenne mal l'idée ; presque à chaque fois qu'ils se voyaient, ils s’unissaient, y prenaient plaisir et n'hésitaient pas à remettre le couvert lorsqu'ils étaient en forme. Tout arrêter serait dur et pourtant, dans l'idéal, le polonais se sentait capable de le faire, pour le bien de sa vie sociale et virtuelle. « On m'a reproché de ne pas être assez actif sur le serveur et du coup, j'avais pensé que si on éliminait tout le temps passé au lit, ce serait du temps de gagné pour moi et mes jeux. » Il allait se faire frapper, insulter ou réduire en miettes, il le sentait. Il fixait Eugene, avec cette peur au visage. Il gardait un sourire forcé, gêné d'imposer ses conditions après des journées de concubinage. Ils étaient en couple que très récemment et voilà que Ludwick entachait tout avec ses idées qui résonnaient à la perfection pour lui, mais pour les autres, c'était une toute autre affaire.
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Il avait beau aimé le bel apollon qui se tenait en face de lui, Eugene était incapable de déterminer où se situait sa limite entre le sérieux et l'humour, ne sortant avec lui que depuis récemment et n'ayant jamais eu de conversations sérieuses avec lui, à entendre par là, des conversations non entrecoupées par des sourires doux, des câlins affectueux et autres regards ravageurs. Chez l'allemand, c'était simple: il souriait et riait s'il s'agissait de plaisanteries ou de railleries douteuses, et il faisait la gueule quand il parlait sérieusement, ce n'était ni plus, ni moins compliqué que cela. Le calme recouvré, le jeune Mather s'avançait déjà vers son copain, comme pour le remercier de l'avoir diverti, mais il s'arrêta net dans cette adorable attention lorsqu'il réalisa à quel point cette suggestion était sérieuse. Sans réfléchir, un « Tu te fous de moi » vint s'échappa de la bouche de l'allemand, accompagné d'un regard noir. Ludwick n'avait pas encore eu à voir sa tête des mauvais jours. Eh bien bravo, même pas une semaine et déjà il avait le droit d'assister à l'une des expressions faciales les moins classes que pouvait lui offrir son compagnon. Et il persistait dans son idée, évoquant le serveur. A ces mots, Eugene se projetait déjà dans les cinq secondes à venir: lui, se jetant sur l'ordinateur qui venait se poser comme obstacle dans son couple et le réduire à néant. Là, il fanfaronnerait tout comme l'avait fait Ludwick quelques minutes auparavant. Non, il refusait de se laisser dicter sa vie sentimentale, et charnelle, par une communauté de grands frustrés de la vie. « Toi et tes jeux ? » répéta-t-il, sentant à nouveau ce fichu rire lui remonter dans la gorge, souhaitant absolument faire passer cette situation comme un premier échec pour le jeune homme. « TOI ET TES JEUX ? » brailla-t-il soudainement, révolté. Devait-il partir ou le frapper ? Finalement, il vint se planter devant lui, il allait la jouer intelligente et pas trop énervé. « ADMETTONS que je prenne conscience de la gravité de la situation, et qu'HYPOTHETIQUEMENT j'accorde à ces trous du cul du net tout ton temps libre .. Le soir, quand TOI ET MOI on se couche, il me reste au moins ça ou pas ? » poursuivit-il avec un ton saccadé par l'irritation, ponctuant les mots clés par une voix bien plus forte, et surtout, désignant par "ça" les câlins et autres caresses qu'ils aimaient en général s'accorder, sans qu'un foutu jeu ne vienne les déranger.  
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Le danger était trop proche, beaucoup trop proche et ça, Ludwick le sentait. Brusquement, il lui explosait en plein visage avec un Tu te fous de moi, impulsif, énervé et spontané. Lui en demandait-il trop ? Apparemment vu sa réaction. Il aurait peut-être pensé qu'ils pourraient discuter sans hausser le ton, mettre un accord en deux secondes mais les pensées du polonais restaient trop utopiques pour cette situation. Gêné et se mordant la lèvre inférieure, le blond fixa son compagnon qui le fusilla du regard, prêt à commettre l’irréparable pour remédier à la situation. Déglutissant, il écoutait le Mather répétait une partie de sa phrase. Puis, encore une fois, en haussant le ton, l'air probablement énervé. En cet instant, il croyait que son compagnon se jetterait sur lui pour lui foutre un coup de poing et procéder à une défiguration. Ludwick, apeuré, ressentit la révolte du brun, prêt à tout pour ne pas céder à son couple et s'imposer, quitte à éliminer ses potentiels concurrents. Le fixant avec un sourire gêné, Ludwick grinça des dents. Au moins, il voulait comprendre, ne restant pas avec les oreilles fermées, admettre sa solution, reconsidérer la situation. Cependant, la suite ne lui plairait pas ; c'est que la vie en communauté virtuelle avait son règlement, ses avantages mais ses contraintes. Son bref sourire disparu lorsqu'il révéla quelque chose d'affligeant ; « Beh, ils ont prévu des soirées justement. Les parties commencent vers vingt-deux heures jusqu'à trois heures du mat'. C'est que tuer de l'orque, ça demande du temps. » Le polonais savait qu'il s'enfonçait de plus en plus dans des sables mouvants dangereux, il avait essayé de chercher une sortie, une issue ou un compromis mais il n'avait pas trouvé de résultat -ou c'est parce qu'il n'avait pas vraiment cherché aussi, hein- Lui prenant ses mains, il les caressa délicatement, dressant un petit sourire confiant ; « C'est l'affaire de quelques semaines, voire mois. juste le temps que je redresse mon niveau, que je devienne premier, voilà. » Eugene allait définitivement le détruire. Une grève de sexe pour une durée indéterminée, c'était l'idée de Ludwick, confiant de résister à tout désir avec Eugene. Il se sur-estimait un peu trop,en même temps.
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Plus les mots de Ludwick faisaient leur petit bonhomme de chemin jusqu'aux oreilles du garçon, et plus Eugene avait envie de tout envoyer dehors. L'ordinateur, ses jeux, le polonais aussi, il l'aurait mérité après tout. On aurait retrouvé tout un tas d'ordures en bas de sa fenêtre, en plus d'un cadavre qui viendrait alimentait les journaux de faits-divers. Des envies de meurtres, mais aussi des envies de le prendre dans ses bras, de l'embrasser passionnément et lui faire entendre raison. Cette fois, pourtant, Ludwick se montrait assez ferme, même s'il essayait de minimiser la situation avec de veines tentatives de séduction.  Séduction .. de manipulation oui, il savait à quel point Eugene adorait quand il se comportait ainsi, en vrai amoureux transit, tendre et adorable. Ça aurait presque fonctionné s'il ne s'agissait pas d'Eugene et de ses besoins, de ses envies. L'égoïsme du jeune homme, qui avait toujours rongé son être depuis son enfance, alimenté par son argent et le pouvoir qu'il procurait, n'allait pas permettre abdication. Loin de là. D'ailleurs, on pouvait lire la déception qui venait enlever toute lumière du visage du jeune allemand. « J'en ai marre » lâcha-t-il, dégageant ses mains de celles du garçon et venant se poser sur le lit du Dunster. « T'aurais pas dû me faire ta déclaration l'autre soir si c'est pour en venir là » se désola-t-il, les bras croisés, essayant de tenir ce coeur qui lui semblait si lourd à porter. Du moins, un coeur qu'il voulait faire paraître lourd, car même s'il avait la tête baissé, prêt à faire couler quelques larmes, le jeune homme avait un petit sourire satisfait qui s'affichait, caché par ses plus grands soin d'un petit ami qu'il essayait de faire culpabiliser. Perdre ? Eugene ne connaissait pas ça, et il était ravi de pouvoir montrer quel grand comédien il aurait pu être, dans une vie.
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Ses jeux, Ludwick en était légèrement addict. Il faut dire qu'il avait eu un lourd passé avec les jeux vidéos. Il avait commencé à s'y réfugier dès le collège, n'arrivant pas à se faire d'amis et donc à développer sa sociabilité. Petit à petit, ses heures de jeu s'étaient agrandies, il passait plus de temps devant l'écran, développant une légère myopie qui l'incitai à porter des lunettes durant les activités visuelles. Au lycée, de nouveaux jeux, de nouvelles consoles et il pouvait rester scotché une journée entière devant son écran. A Harvard, il s'était quelque peu guéri au début pour avoir une moyenne excellente, puis son aventure avec la belle blonde l'avait poussé à arrêter de jouer pour s'occuper d'elle. Cependant, sa rupture avec avait causé une grave chute, le replongeant dans cette addiction malsaine. Il pourrait guérir de nouveau avec Eugène, mais cela faisait des mois qu'il était ancré dans ce fauteuil, à pianoter furieusement sur son clavier pour gagner ses combats virtuels. Cela, personne le comprenait et apparemment pas le Mather aussi. Brusquement, il lâcha son ras-le-bol général, se délaissant des mains du polonais qui désirait l'adoucir. Il était mécontent, déçu et il comptait bien le montrer. Ce fut l'effet d'une claque pour le blond qui ressentait une once de culpabilité ; son Eugene, il l'aimait à la folie mais il avait des responsabilités d'autres parts. Scrutant la tête blessée, Ludwick déclara d'un air timide ; « Je t'aime mais ... tu peux essayer de me comprendre ? Ca s'appelle faire des compromis comme moi qui en fait en te laissant tranquille avec tes amies pour ne pas te faire honte ou encore moi qui vient au Summer Camp alors que ... » Ses yeux s'écarquillaient brutalement sous l'effet de sa pensée. Il venait de réaliser que le départ pour le Summer Camp s'approchait dangereusement. Comment allait-il faire ? Son cœur s'affolait ; il devait trouver une solution. Il ne pouvait pas confier son compte délibérément à quelqu'un. « Il faut que j'annule mon départ, que je reste à Cambridge ou aloooooors ... peut-être, l'emmener, y'aura forcément une connexion à l'hôtel. » Ouais la bonne solution, il la tenait. Il la tenait tellement bien qu'il en oubliait Eugene.
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L'espoir de faire ouvrir les yeux à son petit ami le guidait dans sa comédie, n'ayant pas de honte à jouer sur la sentimentalité de son tendre amoureux. Si un Gégène emprunt au désarroi et à la misère ne touchait pas le grand coeur du blondinet, alors la partie était perdue d'avance. C'était frustrant tout de même, ils couchaient ensemble depuis des semaines, une relation qui a évolué en quelque chose de plus sérieux par la suite. A force de voir ce jeune polonais dans sa virilité, dans ses éclats de rire, dans sa tendresse, il en était tombé amoureux. De coutume, l'allemand ne sortait pas avec ce genre de garçon, casanier, appréciant plutôt la compagnie des ordinateurs que celles des êtres humains. Il était plutôt attiré par les beaufs, comme lui, mais en plus virile, plus désagréable, avec des centres d'intérêts aussi superficiels que les siens. Lukas avait été le parfait exemple de son type d'hommes, et il lui avait brisé le coeur lui préférant ce geek qui avait su l'envoûter. Eugene se souvenait encore de sa bouche qui s'était décrochée de la mâchoire lorsqu'il l'avait aperçu en boîte de nuit, faisant son strip-tease. Cette bouche avait carrément quitté son corps lorsqu’il l'avait recroisé, plus tard, afin qu'il lui vienne en aide pour combattre un virus. Ce langage inconnu, ces lunettes épaisses qui le rendaient Ô combien sexy, son côté geek avait joué dans son attirance pour lui. Mais ce monde venait le rattraper, et ses rêves d'avoir pu pensé qu'il était l'homme parfait s'émiettaient. « J'adorerais que tu rencontres mes potes, mais comment je suis censé réagir quand tu me dis que t'as plus envie de ma présence ? » souffla Eugene, le coeur sincère. Ce n'était qu'avec les prochaines phrases du jeune homme que l'allemand se rendit compte de la gravité de la situation. Cette obsession qu'il avait avec ces jeux tournait à la folie, il n'y avait pas d'autres mots. Même s'il faisait la moue, il ne pouvait se résoudre à laisser son amoureux dans cet état. Il se redressa et vint se coller à lui, l'enlaçant, lui chuchotant de se calmer à l'oreille. « Tu ne vas rien annuler, amour, on va trouver une solution » le rassura-t-il, abandonnant sa voix des mauvais jours pour plus de douceur et de calme, le maternant presque. Il caressa doucement les cheveux de son copain, essayant de le rassurer un maximum. Il ne voulait pas  lui avouer qu'ils embarqueraient sur des bateaux et que la connexion wi-fi allait certainement être difficile à atteindre, mais hors de question de renoncer au seul moment de plaisir qu'ils pouvaient partager ensemble.
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Les disputes germaient, Ludwick le sentait. Il avait malencontreusement déclenché une étincelle qui serait flamme sur une mèche. Il ressentait cependant le besoin d'être à son écran d'ordinateur ; de pianoter sur son clavier dans le but de récolter des objets, d'accomplir des quêtes même si tout ce bouquet d'envies restait virtuel et éphémère. D'un autre côté, il ne voulait pas voir son copain malheureux, triste et regrettant ce qu'il s'était passé entre eux deux ces derniers jours. En l'écoutant, le polonais commençait à avoir un haut le cœur, un petit pincement qui le rongeait. Il voulait réussir dans sa vie virtuelle sans pour autant gâcher sa vie de couple. « Ce n'est pas que je veux pas de ta présence, chouchou. On peut se voir, mais pas de sexe... » Les conditions étaient grosses, trop immenses. La base d'un couple ;c'était la confiance et puis le sexe. Enlever un pilier équivalait à faire effondrer les fondations et donc détruire le couple. Voulant le consoler, Ludwick vint l'accueillir dans ses bras musclés, voulant une étreinte. Il ne voulait pas rompre avec lui, il ne voulait pas le quitter pour sûr, il l'aimait trop, tout ce qu'il voulait en soit, c'était du temps pour lui mais était-ce vraiment trop demandé dans une vie de couple. Les mots de l'allemand chuchotés dans l'oreille vinrent calmer quelque peu le polonais, affolé à laisser la Terre du Milieu en son absence de deux mois. A la limite, il y avait peut-être une solution. Le blond ne voulait pas passer par cette manière car il la jugeait comme de l'anti-jeu -surtout parce qu'il était jaloux de ceux qui pouvaient y accéder- « Pour aller plus vite, le seul moyen que je connaisse, c'est acheter un abonnement prémium pour des potions et compagnie. Mais j'peux pas dépenser pour ça. » déclara t-il d'une manière timide et enfantine. Il avait pas vraiment d'argent et la gestion du budget était sacré ; autant il adorait son jeu en ligne, autant il ne pouvait pas se permettre de payer cher quelque chose de virtuel. C'est décidé, il amènerait son ordinateur si une autre solution ne se présentait pas à lui. « J'viens au Summer Camp et j’emmène mon ordi comme ça. » Légèrement accro ? Du tout !
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