Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityEven the strongest wind ever could not destroy a friendship ▲ Elisandra & Dwight
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Even the strongest wind ever could not destroy a friendship ▲ Elisandra & Dwight

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J’avais toujours mal au crâne depuis que ce connard de Mather m’avait balancé cette fichue bouteille d’alcool dans la figure durant la fête. Ah je m’en souvenais comme si c’était hier ! Or cela faisait quatre jours que ça s’était déroulé et mes souvenirs étaient encore intacts. Avec mes camarades de la Eliot House nous étions venus faire chier notre monde à la soirée des Mathers et ça s’était presque mal fini ! Andy avait frappé une gonzesse et il s’était fait tapé par le Président des Mathers… J’avais du me jeter dans la mêlée pour sortir mon cousin de toute cette merde et je les avais tous menacés de les tuer si jamais ils venaient à retoucher Andy. J’avais été vert de rage mais c’était fini maintenant ! J’en étais revenu avec énormément de sang sur le front à cause de cette fameuse bouteille. J’avais eu de la chance avait dit le médecin lorsqu’il m’avait examiné. Qu’importe, il fallait que je fasse quelque chose d’intéressant aujourd’hui ; j’avais énormément besoin de sortir parce que depuis samedi je restais coincé pour me remettre un peu de mes émotions. C’était à ce moment-là que je recevais un message de mon amie Elisandra. Elle me demandait de venir chez elle ! Je sautais immédiatement sur l’occasion parce qu’elle me manquait et j’avoue que nous avions pas mal de temps à rattraper. Je sautais ma Mustang et je conduisais tranquillement à cause de ma tête convalescente. Je portais un chapeau afin de masquer un peu mon bandage crânien. J’arrivai rapidement devant chez Eli. « Coucou ! »
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Autant dire qu’Elisandra peinait à trouver quelques marques que ce soient au sein de cet appartement. Il appartenait à Hippolyte et non à elle, la jolie norvégienne n’y avait donc vécu aucun souvenir particulier et ne faisait que lui remémorer que sa propre tanière avait été louée à un nouveau locataire peu de temps après le début de son coma. Chienne de vie… il serait tellement facile pour Elie de tomber dans la facilité en s’enivrant les sens à grands coups de verre d’alcool… et pourtant elle résistait, verre d’eau à la main, l’air pensif. Sûrement avait-elle très bien fait de joindre Dwight par message, non seulement parce qu’il lui manquait, qu’elle avait besoin de lui parler mais aussi parce qu’il apaiserait sûrement ses angoisses mieux que personne, surtout maintenant qu’Hippolyte était absent et injoignable. La demoiselle attendit donc son ami d’enfance avec une impatience quasi enfantine, jouant de son verre d’eau pour occuper son esprit avant de se ruer vers la porte d’entrée dès que la sonnerie en retentit… pour mieux se jeter dans les bras de son pote afin de lui offrir une longue étreinte. « Dwight bordel que tu m’as manqué mon chou ! Entre, entre ! » s’exclama-t-elle à la cantonade après l’avoir lâché, se poussant pour le laisser passer. « Je suis trop contente que tu sois venu, si tu savais ! »
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Après deux jours à l’hôpital parce que vous avez reçu une bouteille de vodka pleine en pleine tronche, c’était trop cher payé tout de même ! Et dire que ce n’était qu’un prêté pour un rendu aux Verts qui avaient osé foutre la merde durant notre grande soirée du NIGGAS au mois d’avril donc il fallait s’y attendre que nous autres Eliots, nous allions riposter et faire regretter à ces connards de verts d’exister. Mais voilà ça avait trop dégénéré et le bandage que j’avais actuellement sur mon front en était la preuve vivante de tout ce qu’il s’était déroulé. J’étais totalement écoeuré que ce Konrad ait eu le dessus sur moi mais c’était un lâche, il avait usé d’un artifice au lieu de ses propres poings pour me mettre hors d’état de nuire… Pfff, il ne perdrait rien pour attendre, la prochaine fois je lui arracherais les testicules et les lui ferais avaler… Euh il fallait que je me calme ! Il fallait que je me dise que j’allais passer une meilleure journée parce que j’étais sur le chemin pour rejoindre mon amie d’enfance Elisandra. J’avais donc tâché d’être le plus heureux possible et lorsque j’avais appuyé la sonnette, elle m’avait immédiatement ouvert et elle s’était jetée dans mes bras en me disant que je lui avais manqué. J’étouffais presque mais je lui rendais son accolade et oui Dieu seul savait à quel point elle m’avait manqué aussi… Ces années où elle avait été dans le coma, j’avais tellement espéré qu’elle revienne à elle. « Toi aussi tu m’as manqué ma belle » lui répondis-je en tâchant de reprendre mon souffle tout en retirant mon chapeau et en entrant dans l’appartement. Elle me disait qu’elle était contente que je sois venu, je me tournai vers elle pour lui sourire d’un air radieux malgré ma douleur au crâne encore. « Je n’allais pas passer les derniers jours à Harvard sans passer te voir. Comment vas-tu ? »
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A peine Dwight avait-il enlevé son chapeau que déjà, Elisandra remarquait son bandage à la tête. « Il t’est arrivé une tuile ?? » s’inquiéta-t-elle aussitôt en observant légèrement le bandage quelques secondes pour mieux l’inciter à s’asseoir, en bonne maman poule qu’elle était restée. Ces quatre années ne semblaient pas avoir eu la moindre prise sur elle, Elie restait la même blondinette enjouée, au langage relativement châtié et qui prenait soin de ses meilleurs potes bien au-delà des mots. « Je peux t’offrir un truc à boire ? Éventuellement un cacheton pour la tête ? » lui proposa-t-elle en s’asseyant tout de même quelques instants sur le fauteuil en face de celui choisi par Dwight, alors que son sourire radieux ne la quittait pas. Lors de moments tels que celui-ci, elle ne pouvait que se sentir vivante et heureuse… après tout, cela prouvait que ses amis ne l’avaient pas oubliée mais bien attendue, n’est-ce pas ? « Pour être honnête, je galère un peu. La rééducation ça a été l’horreur si bien que je l’ai quittée un peu en avance, contre avis médical… mais je devenais marteau dans cet hosto de malheur, j’avais envie de respirer l’air du dehors moi ! Hippolyte m’héberge ici, dans l’appartement où nous sommes mais là aussi c’est compliqué… je peux pas lui en vouloir d’avoir comblé sa solitude mais ça me fait mal de savoir que ces quatre années pourries se sont passées de cette façon… enfin j’vais arrêter de me plaindre hein ! Et toi quoi de neuf ? Raconte-moi tout : ta vie, tes amours, tes emmerdes… je suis toute ouïe ! »
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Malgré mon fichu mal de crâne, j’étais très content de me retrouver en compagnie d’Elisandra parce que sa jovialité et son sourire m’avaient énormément manqué pendant ces quatre longues années durant lesquelles elle se trouvait dans un coma. Je me souvenais parfaitement de ma réaction le jour où on m’avait annoncé la nouvelle ; j’étais complètement effondré, c’était comme si je venais de perdre un membre de ma famille… Eli était vraiment importante pour moi et la revoir ainsi en meilleure santé et d’une aussi bonne humeur, cela me réchauffait amplement le cœur et ça me faisait complètement le fait que je m’étais comporté comme un idiot quelques jours plus tôt. Cependant, cela me rattrapait plus vite que je ne l’aurais cru parce qu’elle venait de me demander s’il m’était arrivé une tuile. Je lui souriais en répondant tout simplement : « Je te raconterai, ne t’inquiète pas ». Puis on s’était installés dans des fauteuils tandis qu’elle me proposait à boire ainsi que prendre un cachet pour ma tête. « Un verre d’eau s’il te plait et je veux bien un cachet. J’ai l’impression d’avoir des coups de marteau dans la tête… » disais-je sur le ton de la plaisanterie mais en fin de compte, j’avais vraiment super mal au crâne. Mais je décidais d’ignorer ma douleur pour profiter de ce moment en compagnie de mon amie qui me racontait ce qu’il y avait de neuf dans sa vie. Elle finissait ses palabres en me demandant de lui raconter ma vie. « Eh ben tout d’abord, saches que je suis toujours là et que si tu as besoin de quoique ce soit, tu m’appelles et je rapplique aussitôt » commençai-je en la regardant dans les yeux avec un sourire rassurant, puis je poursuivis : « Sinon en ce qui me concerne… Je vais très certainement validé ma cinquième année d’études en politque et en relations internationales donc je passe en sixième. Mes amours ? Je suis attiré par ma meilleure amie mais mes parents m’ont officiellement fiancé à la petite fille du Président Kennedy, Ariana… Et pour ce qui est de mon bandage, c’est le résultat de la guerre entre les Mathers et les Eliots… Le 31 mai, les Mathers ont organisé une giga party mais pour nous venger de ce qu’ils nous avaient fait en avril où ils avaient détruit notre fête, nous autres les Eliots nous leur avons fait une petite surprise qui a mal terminé… J’ai reçu une bouteille dans la figure… »
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Elisandra se releva aussitôt pour lui servir un grand verre d’eau fraîche, non sans lui apporter un bon vieux doliprane avec. Il semblait plutôt sonné mais qui ne le serait pas avec un bandage de cette taille sur la tête ? Dwight devait s’être pris un sacré coup et Elie se retenait vraiment de justesse de poser mille et une questions en la matière… « Tu es adorable, heureusement que je t’ai, je suis trop chanceuse ! » s’exclama-t-elle car de son côté, en dehors d’Hippolyte et maintenant de son ami Eliot, la famille de la demoiselle s’était désintéressée de son cas et ses parents n’avaient même pas pris la peine de faire le voyage depuis la Norvège. Certes, Elie comprenait qu’un roi et une reine soient affublés de nombreuses obligations mais merde… leur fille venait de se réveiller de quatre ans de coma ! Ce n’était pas la nouvelle lambda de l’année… « Félicitations pour tes études chou ! Mais en même temps c’est normal, t’es le meilleur… pour ta meilleure amie, hum… t’es vraiment obligé de te marier à la fille Kennedy ? Non parce qu’aucune loi oblige d’écouter ses parents hein, tu parles à une spécialiste en la matière ! Mais franchement la guéguerre entre Eliots et Mathers, je pensais que ça leur avait passé, tu m’en apprends une belle… l’autre couillon, tu lui as mis ton poing dans la tronche au moins pour t’avoir assommé avec une bouteille ? Non parce que sinon je vais lui apprendre la vie moi ! »
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Après qu’elle m’ait ramené un grand verre d’eau fraîche ainsi qu’un doliprane, je m’étais mis à répondre finalement à ses questions le temps que mon cachet se désintègre dans l’eau. Je lui avais assurée que je serais toujours présent pour elle, et aussitôt elle s’était exclamée qu’elle était trop chanceuse de m’avoir et que j’étais adorable. J’avais souri à ses mots avant de poursuivre et parler de ma vie actuelle. J’avais commencé par parler de mes études actuelles puis j’avais poursuivi sur mes amours lui expliquant par la même occasion que j’étais officiellement fiancé à la fille des Kennedy, et finalement je lui avais expliqué la raison pour laquelle je me retrouvais avec un bandage sur le front… La grande guerre légendaire entre les deux maisons ! Je me mis à boire mon verre en attendant la réaction de mon amie. Elle me félicita tout d’abord pour mes études tout en me complimentant sur le fait que j’étais le meilleur. « Non quand même pas » répondis-je en souriant avant de finir d’une traite mon verre d’eau, puis je reportai mon attention sur elle alors qu’elle poursuivait maintenant sur la question de mes fiançailles avec Ariana Kennedy. Elle avait raison mais je me demandais comment réagiraient nos parents respectifs à Ari et moi… Je souris en entendant ses derniers mots, franchement je l’adorais la fille qui se trouvait en face de moi et elle m’avait terriblement manqué. Sans cesser de sourire, je pris une grande inspiration puis je repris la parole d’une voix sérieuse : « Ariana et moi allons devoir nous marier pour soi-disant unir nos deux lignées présidentielles et parce que pour nos parents, nous sommes faits l’un pour l’autre… Ils vont tout faire pour que ce mariage ait lieu. Fin bon… Non je n’ai pas eu le temps de lui foutre mon poing dans la figure mais il a reçu un coup de pied dans les couilles par mon cousin Andy, le vice-président des Eliots »
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« Faut dire que limite, c’est toi le plus intelligent des deux c’est ce qui faut se dire ! » s’exclama-t-elle bien qu’Elisandra n’ait aucune intention de jouer les arbitres en pleine guéguerre Eliot/Mather. Ça ne l’intéressait pas et puis elle avait suffisamment à gérer avec ses propres problèmes pour ne pas s’en rajouter en prime… il ne fallait pas oublier qu’elle devait rattraper l’intégralité de quatre ans de vie, ce qui n’était pas une mince affaire. « Waw… tu sais, je suis princesse et mes parents n’ont pas intérêt à m’imposer le moindre mariage, sinon ils sont certains de ne plus jamais avoir de mes nouvelles ! Depuis quand sauvegarder une lignée signifie forcément un mariage arrangé… je veux dire, tu es d’accord avec ça ? » lui demanda-t-elle, l’air désolé, cherchant à démêler la situation dans sa tête même si les trames complexes avaient une fâcheuse tendance à l’embrouiller dernièrement. « Tu féliciteras cet Andy pour moi alors ! Finalement, je crois qu’on galère autant, toi et moi… toi pour ton mariage et moi parce que j’arrive pas à me dire que j’ai loupé quatre ans de la vie de mon fils. »
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Les compliments de la jeune femme me faisaient toujours chaud au niveau de la poitrine parce que je savais qu’elle était des plus sincères et cette sincérité poussait très souvent les gens à la confidence. Comme moi aujourd’hui où je lui racontais ma vie actuelle et ce qu’il s’était passé ce fameux 31 mai où je m’étais pris la bouteille de vodka dans la tronche. J’essayais de rattraper ces quatre longues années où nous avions été séparés par son coma. Elle me disait en guise de réponse que si jamais ses parents s’avisaient de lui imposer le moindre mariage, ils ne la verraient plus jamais… Et sa dernière phrase me faisait réfléchir parce qu’elle avait tout bonnement raison. « Je suis totalement d’accord… Mais je crois que mes parents se croient encore à l’ancienne époque où les mariages arrangés entre deux grandes lignées faisaient un meilleur ménage. Et ne fais pas cette tête ma belle, je parviendrais certainement à empêcher ce mariage. » rajoutai-je en voyant son air désolé. Par la suite, elle me dit de féliciter Andy pour ce qu’il avait fait à Konrad, puis elle poursuivit sur le fait que nous étions tous les deux en galère… Elle n’arrivait pas à se dire qu’elle avait loupé quatre années de la vie de son fils. Je vins lui prendre la main pour lui apporter du soutien avant de répondre d’une voix tendre : « Ce n’est pas ta faute si tu n’as pu assister à ces quatre années et je ne pense pas que ton petit Prince s’en offusquerait. Il doit être le plus heureux des enfants depuis qu’il a retrouvé sa maman non ? »
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« Franchement les parents donnent l’impression d’avoir des siècles de retard des fois ! » s’exclama-t-elle en soupirant doucement, Elisandra demeurant désolée que Dwight soit obligé de composer avec deux géniteurs ayant décidé de son mariage à sa place. Pour un peu, elle trouverait presque étrange que ses parents ne se soient pas amusés à la même chose, car après tout, Elie sortait actuellement avec un roturier, milliardaire certes, mais dépourvu de tout titre… restait à savoir s’ils se souvenaient, au bout de quatre ans, qu’elle ait décidé de côtoyer intimement Hippolyte car rien n’était moins sûr ! « J’espère que tu arriveras à déjouer leurs plans en tout cas, histoire de pouvoir te marier si t’en as envie, quand t’en auras envie, et pas parce que ça leur aura pris comme une envie de pisser ! » reprit-elle en usant de son langage châtié histoire d’appuyer au maximum sa façon de penser. Son ami d’enfance n’en serait certainement pas choqué, après tout il était habitué depuis le temps… « Archie est super content que maman soit réveillée, c’est moi qui déconne à plein tube. Je veux dire, c’est juste top de pouvoir enfin prendre soin de lui mais intérieurement, j’ai l’impression d’avoir loupé le plus important… lorsqu’il a ouvert les yeux, émit son premier son, puis son premier mot, quand il a appris à marcher… ça me tue tu peux pas savoir » fit-elle en serrant aussi fortement qu’elle le put la main de Dwight, même si sa poigne restait moindre. L’absence de sa fin de rééducation y était sûrement pour beaucoup…
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