"This one's for the torn down, The experts at the fall" | DENZELINA

Lawrence ? C'était donc dans ses bras qu'elle avait trouver du réconfort. Denzel s'était préparé au faite que Valentina ai trouvé quelqu'un d'autre mais apparemment pas assez. Le jeune homme avait les sourcils froncés pendant tout le monologue de Valentina. Il s'en voulait et en même temps lui en voulait à elle : il avait mal au cœur, il avait mal que quelqu'un d'autre ai essuyé les larmes de Valentina, il avait mal au cœur parce qu'elle n'avait pas attendu longtemps avant de passer à autre chose. Il le savait, c'était ce qu'il avait voulu : qu'elle refasse sa vie , qu'elle tourne la page. Mais maintenant qu'il savait ça, il n'avait qu'une envie c'était de trouver ce Lawrence et de l'étrangler. Denzel était très possessif avec les gens qu'il aimait, mais il ne l'exprimait qu’intérieurement et se contentait de le garder pour lui. Mais la il sentait ses mains trembler : il voulait s'en aller et en même temps serré Valentina contre lui pour que plus jamais elle ne parte dans les bras d'un autre. Il eu à peine le temps de réfléchir qu'elle sauta de nouveau sur ses lèvres et qu'ils se retrouvèrent à nouveau sur le canapé. Il ne pouvait plus réfléchir comme ça, et pourtant tant de pensé envahissait son esprit à l'instant. Tant de questions aussi banales que surprenantes : es qu'il lui avait dit qu'il l'aimait, es qu'il l'avait touché comme il le faisait ? Denzel voulait tout savoir et en même temps il savait que le fait de savoir le casserait en mille morceau . Il lui reprochait d'être partit, elle avait dit qu'il ne pouvait pas s’indigner après être partit trois mois . Mais … Pensait-elle qu'il l'avait fait de bon cœur ? Pensait-elle qu'il s'était éclaté pendant trois mois ? Et lui contrairement à elle avait été incapable de regarder une autre fille, il avait été trop cassé pour ça. Il repoussa doucement Valentina , se leva et passa une main dans ses cheveux nerveusement. Il la regarda : elle était si belle, elle lui avait tellement manqué. Denzel était déchiré entre le manque et la colère . Il saisit la main de Valentina la ramenant rapidement debout face à lui , la portant de façon à ce qu'il soit entouré de ses jambes et la plaqua contre le mur collant leur deux entre jambes l'une contre l'autre et lui donnant des baiser hardant dans le cou. Il s'arrêta un moment et la regarda dans les yeux. « Sache que je suis pas partit avec plaisir Val . J'ai des tords je me suis excusé, mais tu n'es pas innocent non plus ... » ; Denzel caressait son ventre tout en parlant. « Allé voir un looser pour te consoler de mon départ c'est pas la meilleur des solutions ! La seul pensé qu'il ai pue te toucher me donne envie de vomir. Il a été la contrairement à moi, mais le rapprochement n'était pas essentiel. » ; il tapa doucement sur le mur prêt de la tête de Valentina avant de soulevé son t-shirt de caressé sa poitrine et de dégrafer lentement son soutient gorge.
 

Valentina était déchirée entre l'excitation et la colère à son tour. Comment osait-il traiter Lawrence de looser? Premièrement, elle n'est pas allée le voir, mais c'est bien lui qui l'a retrouvé sous la pluie en train de pleurer. Deuxièmement, elle n'est pas avec Lawrence pour se consoler du départ de Denzel.. Enfin, pas principalement. Bien que cela l'empêchait de penser à son premier amour qui l'a quitté, être avec Lawrence lui donnait à nouveau la sensation de ne pas être seule. De ne pas être abandonnée. Il a décidé d'aller contre les ordres de son meilleur ami juste pour être avec elle, et elle savait qu'il était prêt à faire bien plus encore. Un grand romantique dans l'âme. Donc non, Lawrence n'était pas un loser, et Denzel n'avait pas le droit de l'insulter ainsi. Cependant, les attouchements de Dez et sa manière de parler excitaient Valentina au plus au point. Un Denzel doux c'est bien, mais un Denzel dur était le truc le plus sexy au monde. C'était une des raison pourquoi elle a été attiré par lui. Sa froideur, son petit air mystérieux et ses crises. Ouep, la petite italienne avait des goûts bizarres. « En effet ce n'était pas essentiel, mais si ça peut te rassurer, je n'ai pas encore couché avec Lawrence. » rajouta-t-elle en l'aidant à retirer son soutien gorge avant de le balancer par-terre. Elle recaptura les lèvres de Denzel pour un baiser passionné tout en serrant ses jambes autour des hanches de son ex petit-ami. Elle dirigea ses baisers sur la mâchoire puis vers le cou de Denzel, suçotant et mordillant sa peau, marquant son territoire à nouveau. Elle ondula son bassin contre lui, de plus en plus excitée par leurs caresses et dispute. « Tu sais, mon lit est encore plus confortable. » dit-elle en pointant du regard le lit à l'étage du loft.

Denzel n'avait jamais été aussi partager . Il n'avait ressentit un sentiment pareil à celui qu'il ressentait à présent. Le corps de Valentina lui avait manqué, plus qu'il ne l'aurais jamais imaginé. Quand elle lui déclara qu'elle n'avait rien fait avec Lawrence. Malgré lui il ne pouvait pas nié qu'il était soulagé. Elle l'embrassa et Denzel n'eut pas vraiment de réaction , il caressait passionnément a poitrine et la regardait dans les yeux d'un air énervé et excité à la fois. Lorsque Valentina resserra ses jambes autour de sa taille et qu'elle ondula tout contre lui , Denzel continué progressivement de perdre le contrôle. Il écouta à peine ce qu'elle lui disait et se contenta de se diriger vers le lit qu'elle avait pointé du doigt,il l'a déposa dessus avant de retiré son propre t-shirt et le bas de Valentina. Denzel regardait son première amours avec envie et il en ressentait une légère culpabilité parce qu'il allait cédé à une tentation. Il avait un goût amère dans sa gorge, l'histoire de Lawrence n'était pas passé, non, même si il n'avait rien ajouté et qu'il ne comptait rien ajouté. Il ne savait pas pourquoi mais c'était comme un couteau qu'on lui avait planté dans le dos et il le sentait bien, il aurait bien voulu pensé à autre chose, mais sa fierté avait prit un gros coup ! Pour le moment, la seule chose sur laquelle il était concentré c'était Valentina. Il vint allongé doucement son corps sur elle appuyant bien son entre jambe sur la sienne. Quelque part ce n'était pas vraiment Denzel qui comptait faire l'amour à Valentina, comme la première fois qu'ils l'avait fait. Quelque part c'était pour marqué de nouveau son territoire, satisfaire sa fierté, se convaincre que le corps de Valentina lui appartenait toujours. Il avait été le premier, Valentina lui appartenait il en était convaincue et c'était peut-être pour ça que ça lui faisait si mal de savoir qu'il avait été « remplacer » aussi facilement. Il donna de léger baisers dans le cou de Valentina , descendant sur sa poitrine lentement en caressant ses hanches et ses cuisses. Il passa une main en dessous de sa culotte pour massé sa fesses : il se mordit la lèvre avant de retiré la culotte de Valentina sauvagement. «Tu es à moi.» ; lui chuchota-t-il à l'oreille
 

Elle se laissa complètement faire. Elle était comme dans une transe, hypnotisée par les caresses de son premier amour. C'était comme à avant, quand il la touchait, il n'y avait rien d'autres qui comptaient sur Terre. Il pourrait y avoir une apocalypse et elle ne s'en renderait même pas compte. Seulement Denzel importait. Elle sentait l'envie de Denzel appuyée contre elle, et cela l'excita encore plus. Elle le voulait, là, maintenant. S'il y avait une personne qui mériterait de dévierger ce nouveau lit dans ce nouvel appartement, c'était bel et bien Denzel, celui qui a volé son coeur et sa virginité. Elle gémit de plaisirs sous les baisers qu'il déposa dans son cou, et enlaça ses jambes autour de la taille de Denzel pour l'attirer encore plus près d'elle, se frottant à son désir. « J'ai toujours été juste à toi Denzel, je le suis encore. » murmura-t-elle dans un souffle, son excitation montant rapidement au geste brusque de Denzel. Elle le trouvait terriblement sexy quand il jouait à Monsieur Possessif. Valentina passa une main dans les cheveux de son premier amour, puis glissa sa main sous le menton de Denzel pour relevé son visage vers le sien et le regarder droit dans les yeux. « Fait-moi l'amour comme tu me faisais avant Dez' .. » Elle jouait avec le feu, elle n'aurait pas dut dire ses mots mais ils étaient sortit sans trop y réfléchir. Son désir pour lui était plus fort que sa conscience. La culpabilité peut attendre encore un peu.

Tout le monde entier aurait dit que c'était une incroyablement mauvaise idée de faire ce que Denzel s'apprêtait à faire. Oui une très mauvaise idée parce qu'il y avait encore plein de choses à mettre au claire avec Valentina. Tellement de question en suspend, tellement de doutes … Mais Denzel, à son propres étonnement, il les envoya valdingué tout ses doutes . Pour une fois il voulait faire quelque chose sans pensée aux conséquences : il les assumeraient plus tard. De toute façon ce n'est pas comme si il avait le choix. Il désirait tellement violemment le corps de Valentina qu'il ne pouvait se contenir. C'était donc ça les pulsion animal dont son père lui avait parler lorsqu'il avait eu LA conversation quand Denzel était arrivé à l'age de la puberté. Il n'avait pas compris ce dont son père lui parlait sur le coup, mais la il le découvrait pleinement !
Valentina le rendait dingue, elle le rapprochait encore plus qu'il ne l'était déjà. Lui chuchota à l'oreille tellement de chose, tellement de paroles qu'il aimait entendre. Le jeune homme ne pue se retenir une seule seconde de plus ! Il retira rapidement son bas et glissa d'abord lentement, puis plus rapidement en elle. A ce moment précis il n'y avait plus de lui, il n'y avait plus d'elle, il formait à nouveau une unité. Denzel regardait Valentina dans les yeux en caressant ses cuisses. Il aurait pue rester ainsi enchaînant avec plaisir les va et viens en elle pendant des heures. Le plaisir montait considérablement à chaque seconde et le cœur du jeune homme tambourinait dans sa poitrine mais, Denzel était serein.
Une fois le plaisir à son comble il se retira mais resta un moment au dessus de amante. Pourquoi était-elle si belle ? Pourquoi avait-il succombé ? Il ne savait pas mais « putain comme c'était bon » ; pensait-il presque sans regret. Il caressa doucement ses côtes, puis ses hanches : mais sans aucune hardeur, comme si il cherchait seulement à refaire connaissance avec son corps. Il voulait l'embrasser, mais il ne le fit pas : son cerveaux commençait à reprendre du service et à le faire culpabilisé de sa faiblesse. Denzel se laissa tomber prêt d'elle et enfila son boxer, il laissa le silence s'emparer de la pièce un moment. « Et maintenant ? »
 

Valentina n'arrivait plus à penser. Une fois que leurs corps étaient unis, son cerveau a décidé de partir en vacances. Sentir Denzel en elle, c'était le paradis. Mieux que ce qu'elle a ressentit durant leur seule et unique fois à Punta Cana. Son excitation et son envie pour l'ex Dunster augmentait de plus en plus, lâchant des soupirs de plaisirs pour montrer comment elle aimait ça. Elle perdit la notion du temps, et rapidement, ce fut terminé. Et très rapidement, Valentina réalisa une chose: elle avait peu de regret, mais la seule chose qu'elle regrettait fut que ce ne soit pas aussi doux et tendre que leur première fois. Cette fois-ci, ils n'ont pas fait l'amour. C'était différent. C'était du sexe. La petite italienne se passa une main dans les cheveux en essayant de rattraper son souffle. Elle fixa le plafond, perdue dans ses pensées et ses émotions, puis Denzel prit la parole. Elle tourna légèrement la tête, et posa son regard sur lui. Il était si beau, mieux que dans ses souvenirs. Et en boxer? Irrésistible. Valentina se releva légerement pour retrouver ses culottes et son soutif, et les enfila. « Et maintenant, on parle. » Elle se recoucha sur le lit aux côtés de Denzel. Elle décida que tant qu'à être dans le trouble, autant y aller jusqu'au bout, donc Val se colla à Denzel, déposa sa tête sur son torse. « J'ai encore le cadeau que tu m'as offert pour ma fête.. » dit-elle avec un léger sourire au souvenir du dessin qu'il lui a apporté à son anniversaire, soit le jour de la Saint-Valentin. Elle glissa ses doigts le long du torse à Denzel, touchant ses nouveaux muscles. « C'était toute une magnifique journée la Saint-Valentin quand même.. » dit-elle en repensant à leur déjeuner, la patinoire et le souper de couple au restaurant.

Elle voulait qu'ils parlent mais Denzel ne voyait pas ce qu'ils avaient à se dire . A vrais dire il était encore un peu sous le choc de ce qu'elle lui avait dit sur ce gars des photos : il avait déjà oublié son prénom. Il n'avait pas envie de se remémorer le bon vieux temps comme semblait vouloir le faire Denzel. Alors il enfila son bas et se leva dés qu'elle mentionna la saint-valentin, il alla à la cuisine sans dire un mot. Il avait besoin d'être un peu loin d'elle un moment, comme pour réfléchir.
Oui elle lui avait manqué plus que tout, oui il était partit et l'avait laissé démunie mais non ce n'était pas pour autant qu'elle avait le droit de faire ce qu'elle avait fait. Denzel se sentait un peu trahit, comme elle avait du se sentir à son départ en fait. Il ne voulait pas tirer un trait sur tout ce qu'il s'était passé auparavant, avant qu'il parte, mais sa fierté, son égo en avait prit un coup. Il avait du mal à encaissé. Il retourna auprès d'elle après une petite minute d'absence ou il en avait profité pour boire un peu d'eau. « Je … Je sais que tu as eu mal quand je suis partis. Mais ce que tu sais pas toi c'est que … Même si je l'ai pas montré ça m'a fait mal aussi et pourtant je suis pas partit voir ailleurs … Me consoler dans les bras de quelqu'un d'autre … Je … Je peux pas faire comme si tout allait bien et on se retrouve et tout et bien qui finis bien … Je … Je peux pas »