you and me, a new story. † KOACE.

Koace † you and me, a new story.

C'est vrai que ça devait plus sembler bizarre de pouvoir vivre tout ça, un coucher de soleil, un pique-nique sur une péniche, surtout venant de moi, elle me connaissait absolument par cœur et elle savait que j'étais un flemmard dans l'âme, plutôt égoïste mais je la surprenais avec cette surprise. Je me rapprochais d'elle, adossée contre la barre de la péniche, elle glissait ses mains dans le bas de mon dos puis me parlait du pique-nique, et riait presque à la réponse qu'elle entendit Totalement. je rigolais aussi, j'adorais qu'elle s'occupe de moi puis je sais qu'elle adore ça alors j'en profite tout simplement mais ce soir, c'est moi qui m'occupe d'elle. C'est délicieux. dis-je fièrement puis sa remarque qui suivait me fit légèrement un peu plus sourire après qu'elle est prolongée notre baiser Je t'ai pas fais cette surprise pour avoir un accès à tes cuisses. lui dis-je petit sourire aux lèvres Mais oui tu va presque pas dormir. ça non, on allaient pas beaucoup dormir cette nuit.

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C’était beau, c’était grandiose et tu savais que tu allais passer une des plus belles soirées de ta vie. Votre relation était un véritable conte de fées et jamais tu ne voudrais redescendre de ton petit nuage où vit les licornes et les lapins – ouais, ouais, y’a de la drogue quand même -. Enfin bref, tu déposais ton sac à tes pieds et tu attrapais la taille de ton amoureux, tu l’embrassais pour le remercier et puis vous échangiez quelques paroles, sur la nourriture puis sur votre folle nuit que vous risquiez de passer tous les deux. Déposant alors ton index sur les lèvres de Konrad, tu secouais négativement la tête. « Dans un contexte, comme ça tu n’as pas le droit de parler aussi vulgairement de l’accès à mes cuisses. » Tu riais doucement avant d’ajouter. « De toute façon, tu sais très bien que tu n’as pas besoin de surprise pour ça mais juste de me regarder dans les yeux et de me dire tout un tas de balivernes que tu nous sors à nous toutes, fille trop naïves sous ton magnifique sourire. » Tu souriais en coin, avant de reposer ta tête sur son torse alors qu’il admettait que tu n’allais pas beaucoup dormir cette nuit. Tu souriais avant de le regardais à nouveau. « Buvons un coup alors. Champagne j’espère. » Tu le quittais doucement après avoir déposé un baiser dans son cou et te voilà parti vers le panier afin de voir ce que ton homme t’avais préparé.

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Elle était sur un petit nuage à ce moment même, c'était tout ce que je voulais, qu'elle oublie sa vie pour ne penser qu'à ce moment présent. Elle me rapprochait d'elle, m'embrassant, je souriais, moi aussi sur un petit nuage puis après avoir échangés quelques mots sur le repas qu'il y avait dans le pique-nique, nous voilà à parler de la nuit qu'on allaient passer C'est vrai autant pour moi. je lâchais un petit rire avant de répondre à sa remarque plutôt réaliste Oui je sais. Je suis Konrad Sheffield quoi. j'ai assez valorisé mon égo pour le moment je crois, elle quittait mes bras voulant une coupe de champagne Tu espères bien. elle allait s'asseoir sur la nappe que j'avais installé et commencer à fouiller dans le panier, je souriais venant la rejoindre pour sortir de celui-ci la bouteille de champagne et deux coups, nous servant. Je lui donnais sa coupe, je posais la bouteille et prenait la mienne On trinquent à quoi ? dis-je aussi innocemment que possible, j'étais pas crédible.

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C’était magique et c’était pour toi. C’était vraiment une magnifique preuve d’amour et tu comptais en profitait toute la soirée et toute la nuit s’il le fallait. Te dirigeant vers l’eau, tu l’as regardais faire des clapotis, avant que Konrad ne vienne te rejoindre et que tu te retournes pour l’embrasser un bon moment. Tu le remerciais avant de lui faire des compliments mais ce dernier en profitait. Tu riais en secouant doucement la tête. « Fais gaffe à tes chevilles Sheffield ! » Tu lui faisais un clin d’œil avant de partir vers le pique-nique pour voir s’il avait prévu du champagne et Konrad la sortais avant même que tu ne l’as trouve. Il servait les coupes avant que tu ne te redresse. Prenant la tienne, tu lui souriais. « Je pense qu’on pourrait trinquer à toi, à moi, à nous quoi. En faisant tout pour que plus jamais ça ne s’arrête. Sauf si tu veux trinquer au voisin qui a retrouvé sa carte bleue dans la machine à laver. » Tu venais trinquer ta coupe dans la sienne en déposant un tendre baiser sur ses lèvres après avoir émis un doux rire cristallin. « Je t’aime. » Tu t’écartais doucement, buvant une gorgée dans ta coupe de champagne, faisant un peu le tour de la péniche.

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