you and me, a new story. † KOACE.

Koace † you and me, a new story.

Ça fait déjà quelques jours que le bal de fin d'année à prit fin, les cours ont repris, les habitudes des harvadiens aussi et quelque chose de nouveau est arrivé dans ma vie, ma relation avec Grace St-James, une tournure nouvelle, très différente de celle passée, je l'aime, je suis amoureux et entre nous, c'est officiel depuis le bal. Elle a dormit à l'appartement cette nuit, elle s'est levée tôt ce matin, mademoiselle à cours, j'avais zappé mais qu'elle se prépare et tout le bordel ne m'avait pas empêcher de me rendormir, loque comme je suis, enfin bref. J'avais traîné au lit pour tout dire, je m'étais réveillé à quinze heure, je m'étais roulé deux ou trois pétards histoire de me réveillé avant d'aller à la douche pour me préparé à aller chercher la belle demoiselle. Prêt, je préparais le nécessaire pour la surprise que je lui réservais, le tout emballé, je quittais l'appart pour tout mettre dans le coffre de ma Mustang et monter dedans pour tout installer sur une péniche de la Charles River, un pique-nique qui fait office de dîner, je voulais me donner à fond dans cette relation, tout était installé, le campus n'était pas loin, je laissais la voiture garée sur le parking prêt de la rivière, à cette heure-ci, la péniche n’accueillait pas masse de monde, j'allais être tranquille avec Grace. Arrivé après quelques minutes de marche sur le campus, je m'allumais une clope pour attendre Grace, sortir de sa longue journée de cours.

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Le soleil était quelques peu filtrait par les volets mais ton téléphone sonnait encore et encore pour te dire qu’il était temps que tu bouges ton cul et pourtant tu étais bien là. En effet, ta vie avait pris une nouvelle tournure, car depuis le bal de fin d’année tu sortais avec Konrad, enfin tu étais de nouveau avec Konrad mais c’était pas la même chose qu’avant. Déjà tu ne t’étais pas installée dix minutes après votre officialisation et puis tu comptais encore attendre un peu mais tu l’aimais vraiment et tu voulais vraiment que ça marche. Déposant un baiser sur les lèvres du corps étendu près de toi, tu te levais pour prendre un petit déjeuner, t’habiller rapidement et partir en coup de vent étant déjà en retard pour ton cours de psychologie. Le midi tu mangeais à l’université et à quatorze tu étais déjà dehors à fumer quelques clopes au soleil avec des amis. Ta journée de cours s’était donc passée tranquille sans anicroche. Quittant l’université, tu pensais rentrer chez Konrad histoire de lui faire un petit bisou et de profiter un peu de lui mais une mustang attirait ton regard. Levant doucement les yeux, tu quittais tes amis avec un sourire aux lèvres pour aller en direction de Konrad. « Que fais-tu ici ? » Tu ne savais pas qu’il viendrait te chercher mais ça te faisait vraiment plaisir. Tu déposais un baiser sur ses lèvres en caressant doucement sa joue. « Alors ta journée de fainéant ? » Tu riais doucement.

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Alors que Grace s'était levée tôt, moi j'avais flemmardé au lit, me levant que dans l'après-midi mais je m'étais quand même bouger le cul en fin d'aprèm après deux ou trois pétards, je réservais une surprise à Grace et c'était pas en claquant des doigts que j'allais la lui préparer. J'avais pris tout ce qu'il fallait pour bouger jusqu'à Charles River, la rivière qui traverse Cambridge et c'est à une péniche que j'installais ce pique-nique en guise de dîner, flemmard dans l'âme mais également amoureux alors j'y mettais vraiment du cœur, pour moi, c'était la première fois que je me mettais avec elle, je voulais que ce soit tout comme, lui montrer, lui prouver que je veux vraiment que ça marche. Une fois le pique-nique installé sur la péniche, juste quelques minutes de marche pour arrivé sur le campus et attendre que la brune sorte de cours, je m'allumais une clope en attendant, une attente de courte durée, la voilà déjà dehors, j'avais le sourire aux lèvres, elle était surprise de me voir J'suis venu te chercher., elle souriait avant de déposer ses lèvres sur les miennes et de caresser ma joue. Ma journée de feignant ? Je lâchais un petit rire à sa question Bon ok, j'avais flemmarder jusqu'à dix-spet heures après je me suis bougé le cul. D'ailleurs viens avec moi. lui dis-je sans lui laisser le choix, j'entrelaçais mes doigts aux siens puis on marchaient côte à côté sur le chemin pour aller à la surprise que je lui avais réservé.

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Ta journée avait été tranquille mais assez éprouvante quand même, comme une journée de cours ennuyante alors que tu aurais pu rester dans le lit à câliner ton homme mais non, tu devais avoir ton année, tu ne pouvais pas te permettre de la louper à nouveau sinon c’était fini Harvard pour toi. Enfin bref, ta journée s’émerveillait enfin lorsque tu vis Konrad au loin et tu quittais directement tes amies sans même les prévenir. Arrivant près de lui, tu lui demandais ce qu’il faisait là et tu l’embrassais sur les lèvres en souriant doucement. Et puis, tu lui demandais comment c’était passer sa journée avant qu’il ne t’avoue qu’il n’avait rien fait enfin presque rien et puis il te prenait la main et te demander de le suivre. « Où va-t-on ? » Tu tentais de le faire quelque peu ralentir pour qu’il t’explique mais il était bien décidé à ne rien te dire jusqu’à ce que vous y soyez arrivés. Et franchement, tu ne te doutais vraiment de rien. Et puis, c’était bizarre, c’était pas dans le genre de Konrad de faire des surprises, tu étais un peu perdue pour le coup mais tu le suivais, car au fond tu lui faisais confiance. « Tu vas me demander en mariage ce soir ? » Tu riais doucement, car en vérité, tu trouvais cela absurde de te demander ça alors que vous veniez tout juste de vous remettre ensemble mais c’est aussi pour lui rappeler la phrase que tu lui as toujours dit notamment quand il t’a quitter. Tu lui répétais que quoi qu’il fasse il se rendrait compte que tu es la femme de sa vie. Et bien sûr c’est l’homme de la tienne sans hésitation.

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Clope entre les lèvres, je l'allumais et j'avais juste eu le temps de tirer une latte avant de voir la St-James arriver vers moi, quittant son groupe sans même prévenir pour être prêt de moi et ne pas manquer une occasion d'embrasser mes lèvres. Je souriais, l'embrassant tout aussi amoureusement puis une fois nos lèvres détachées, je lui avouais être venu la chercher, ça se voyait qu'elle était surprise, c'était le but et encore elle était encore loin de se douter de la suite, enfin bref. J'étais impatient alors même si on blablataient, je ne perdais pas de temps à prendre sa main pour qu'elle me suive, elle était du genre curieuse, et ça me faisait sourire J'en sais rien, tu verras. la faire languir c'était plutôt amusant et surtout entendre ses hypothèses T'es la femme de ma vie bébé mais je suis pas crésus, j'ai pas trouver la bague. je riais à ma propre connerie, Grace était irrévocablement la femme de ma vie tout comme je savais que j'étais l'homme de sa vie, mais j'étais pas prêt à me fiancer, pas maintenant, on vient juste de se remettre ensemble, je veux juste que ça dure aussi longtemps que possible. Prêt de la rivière, je lâchais sa main pour venir couvrir ses yeux avec mes mains Joue le jeu, triche pas. lui demandais-je continuant à avancer alors que la péniche se faisait de plus en plus proche.

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Konrad qui venait te chercher sans que tu lui ai demandée c’était déjà un exploit mais en plus il avait une surprise de prévu pour toi. Débile comme tu es tu ne pu t’empêcher de faire des hypothèses bidons le long du chemin comme celle qu’il allait te demander en mariage. Evidemment, Konrad te rassurer en te disant que tu étais la femme de sa vie mais qu’il n’avait pas encore assez de sous pour t’offrir une bague. C’est vrai que Konrad ne roulait pas sur l’or mais tu ne demandais pas une bague dix-huit carras non plus. Marchant avec lui tu le regardais. « Même une bague en bonbon je prends. » Tu riais doucement avant que Konrad ne passe derrière toi pour mettre ses mains sur tes yeux. « Mais qu’est-ce qu’il se passe ? Ce n’est pas mon anniversaire. » Avançant encore de quelques mètres, tu te sentais montait sur quelque chose et puis ton amoureux retirait ses mains de tes yeux et là ce fût le drame. Tu restais bouche bée devant cette chose magnifique qui le serait encore plus avec le coucher de soleil. Te retournant vers Konrad, tu lui souriais. « C’est magnifique ! » Tu venais déposer un long baiser sur ses lèvres, avant de le regarder à nouveau. « Personne n’a jamais fait ça pour moi et je m’attendais encore moins à ce que ce soit toi. » Tu avais les larmes aux yeux tellement c’était beau, tellement t’étais heureuse d’être là, d’être avec lui. Tu n’avais même pas les mots pour décrire ce sentiment qui t’envahissait.

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Elle ne savait vraiment pas où je l'emmenais, elle m'amusait à être autant curieuse, à proposer des hypothèses comme elle venait d'en sortir Tu la boufferais en deux secondes. je riais, c'était la femme de ma vie mais delà à ce que je la demande en mariage et j'en passe, j'étais pas prêt, c'était un renouveau entre nous, on étaient de nouveau ensemble et je voulais vraiment tout faire bien, j'étais le connard d'Harvard et ex-queutard d'Harvard maintenant que je suis à elle, avec ces réputations qui font ma popularité, je veux lui montrer que je sais être une autre personne. Je lui cache les yeux alors qu'on approchent de la rivière, elle enjambe la marche pour accéder à la péniche et je lui laisse découvrir sa surprise, une surprise à laquelle elle ne s'attendait vraiment pas, à tel point qu'elle en avait les larmes aux yeux. Ça te plait ? lui demandais-je alors qu'elle venait de m'embrasser à pleine bouche heureuse comme jamais et de me dire que jamais personne n'a fais ça pour elle, j'avais un petit sourire Faut croire que j'ai fais ça pour toi. je la regardais alors qu'elle découvrait un peu plus en détail sa surprise, le pique-nique, la péniche, la Charles River, le coucher de soleil, ce soir elle était heureuse je crois, et ce n'était pas arrivé depuis longtemps.

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Après moultes hypothèses les plus absurdes les unes que les autres, tu arrivais enfin au lieu de rendez-vous et là surprise Konrad vous avez préparé un pique-nique en amoureux sur une péniche avec un coucher de soleil qui ne tarderait pas à pointé le bout de son nez. Tu en avais les larmes aux yeux, car tu n’étais pas habituée à tout ceci et encore moins de la part de Konrad. L’embrassant pendant de longues minutes, tu le regardais par la suite. « Oui, ça me plait. C’est juste trop beau, t’es trop fort. » Tu lui souriais, avançant un peu plus sur la péniche, tu allais jusqu’à la barre pour te penchait et regarder l’eau qui se jetait un tout petit peu contre la péniche. « Ton but est de faire de moi la femme la plus heureuse du monde ? » Tu souriais en coin, te retournant doucement, t’appuyant sur cette fameuse barre en le regardant. « Je ne suis même pas habillée comme il faut pour un diner tous les deux, je suis désolée bébé. » Tu risquais même d’avoir un tout petit peu froid lorsque le temps allait se rafraichir mais les bras de Konrad seront là pour te réchauffer. Depuis le bal, tu étais sur un nuage mais là ça ne faisait que de se confirmer. Tu ne sais pas quand est-ce que tu redescendrais mais pas tout de suite c’était certain. « C’est toi qui a fait à manger aussi ? » Tu souriais, ne sachant pas très bien s’il était un bon cuisiner puisqu’à chaque fois que tu venais chez lui c’est toi qui faisais à manger par mesure de sécurité.

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On venaient enfin d'arriver sur la péniche, elle ouvrait les yeux et fut plus qu’émerveillée par ce qu'elle voyait, un pique-nique sur la péniche, la rivière brillante par le coucher de soleil qui se présentait, non elle était heureuse, tellement heureuse que je voyais des larmes lui monter aux yeux. Je suis le meilleur je sais. je rigolais remontant mon égocentrisme, elle allait au bor dde la péniche se penchant pour admirer la beauté de l'eau ce soir et de me poser une question à laquelle j'avais la réponse depuis longtemps Oui. je me rapprochais d'elle alors qu'elle s'était retournée, adossée toujours contre la barre de la péniche T'es magnifique même en jogging et débardeur bébé, je m'en fou de comment tu t'habilles tu sais. je rigolais légèrement avant de tourner mon regard vers le pique-nique quand elle voulait savoir si c'est moi qui avait tout préparer Euh ouais, j'suis pas su nul que ça en cuisine tu sais, puis si t'aime pas, tu me le donne tu le sais bien, t'as ce qui faut à l'appart' pour te faire à manger. je riais avant de la regarder et de me taire, de l'embrasser, j'étais heureux, vraiment, j'oubliais ma vie pour penser à elle, rien qu'à elle.

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Tout était parfait, tu avais vraiment l’impression d’être une princesse pour le coup Konrad te traitais vraiment comme telle et ce n’était pas pour te déplaire. Tu adorais t’occuper de lui mais tu aimais tellement qu’on s’occupe de toi, ça faisait tellement du bien mais c’était assez inhabituelle de la part de Konrad tout ça mais bon, tout changent. Tu l’écoutais te dire des mots qui te rendait tellement folle et amoureuse de lui, c’était inimaginable, il avait le don de te faire tourner la tête en moins de deux et ça depuis le début de votre histoire que ce soit amicale ou amoureuse. Alors, qu’il se rapprochait tout doucement de toi, tu venais glisser tes mains dans le bas de son dos en le regardant. Tu ne pu étouffer un petit rire quand il parlait du pique-nique. « Si je résume bien, tu sais très bien te faire à manger mais tu me laisses te servir quand on est à l’appartement. » Tu riais un peu avant de venir prolongeais le baiser qu’il venait de te donner. « Je suis sûre que c’est délicieux mon cœur. » Tu déposais un petit baiser sur ses lèvres avant de déposer un instant ta tête sur son torse regardant l’horizon. « Ca veut dire que ce soir, je ne vais pas beaucoup dormir ? » Tu riais doucement, il savait très bien que tu ne parlais pas de jouer aux cartes.

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