Fernando Lopes ► Links & Topics

on se suit, où ça se passe comment ? c'est fou quand même, de croiser deux trois fois une personne à Miami, qui n'est pas une ville si petite que ça, pour ensuite retrouver cette personne dans les couloirs de Harvard. c'est peut-être le destin, qui sait. je ne te connais pas beaucoup, car dans les couloirs ce n'est pas toujours évident d'échanger quelques mots. en tout cas, tu as bien choisis tes études, si je redouble trois fois, on sera peut-être dans la même classe.

c'était lorsque nous avions 14 ans, rappelle toi, dans cet hôtel, au coeur de la neige. quelle belle amourette de vacances. et le pire, c'est qu'après, nous avions continué ! à chaque vacances, nous nous retrouvions, gardant le contact lorsque nous n'étions pas ensemble. l'amour à distance, enfin, si on peut vraiment appeler ça de l'amour, car je ne sais pas si j'ai vraiment été amoureux un jour... et un jour, paf, plus rien, plus de nouvelles. c'est sans doute ce jour là qu'on m'a annoncé une bien triste nouvelle. il me semble que je t'ai croisé, dans ces couloirs somptueux, mais je n'en suis pas vraiment sur. il y a longtemps que nous nous sommes pas vus, et nous avons beaucoup changés.

ça fait bien trois ans qu'on se connait, souvent fourrés ensemble, on s'est lancé le défi de rentrer dans la maison des whinthrop. tu y est depuis déjà quelques semaines, et moi je galère toujours autant pour y accéder. on se voit moins qu'avant, c'est sur, mais ne t'en fait pas, dès l'instant que j'aurais été accepté à tes côtés, nous reprendrons comme avant, car on ne peut pas oublier trois ans de sa vie comme ça, d'un claquement de doigts !

c'est la première fois qu'une fille me résiste à ce point. à cette soirée, je n'avais qu'un seul objectif, c'est que tu finisse dans mon lit. je suis venu, je t'ai charmé, je t'ai dragué, et pourtant rien n'y faisait, tu me repoussais sans cesse. mais je comprends enfin ce que tu fais. tu t'amuse en fait, tu t'amuses à me repousser. pour toi, ce n'est rien d'autre qu'un jeu. tu veux jouer ma belle ? ok, on va jouer.

pourtant on s'est juste foncé dedans dans les couloirs de l'université, ce n'est rien d’exceptionnel, et pourtant c'est étrange, c'est étrange la façon dont je te vois. c'est pas comme avec les autres filles, c'est un peu plus. tu m'attires, tu m'attires physiquement comme un fou. nous verrons bien où cela nous mèneras...

ça fait longtemps qu'on se connait tout les deux. et tu es sans doute le mec envers lequel j'ai le plus de respect. toi, tu ne m'as jamais laissé tomber, quand tu as appris pour la fille.. je connais ton histoire, je connais l’événement tragique qui a fait éruption dans ta vie. ta présence me rappelle des souvenirs certes, mais ta présence me permet aussi de ne pas oublier qui je suis, et pour cela, je ne te dirais jamais assez merci.

lien à créer : t'es un des premiers sur qui je suis tombé en entrant chez les winthrop. et depuis, on fait toutes nos sorties ensemble. la drague ça y va, entre nous deux, les demoiselles n'ont plus qu'à bien se tenir !

bientôt quatre ans qu'on se connait.. il faut dire que la première impression fut plutôt mouvementée. j'ai adoré me prendre des tampons en pleine tête parce que madame était en retard, et très maladroite. mais c'était bien marrant. et je pense que sans ça, nous ne serions pas aussi proche que nous le somme aujourd'hui ! au passage, si je retrouve le salopard qui t'as fait souffrir, il risque de manger sévère. on se complète parfaitement, on sait quand l'autre ne va pas bien, nous sommes en harmonie parfaite, un peu comme si nous lisions dans les pensées de l'autre. sache que je serais toujours là pour toi, quoiqu'il arrive. ma meilleure amie ♥

à l'origine, je devais te guider dans tes études de journalisme, au final nous sommes sortis boire un verre. peut-être avons nous beaucoup trop bu.. on partage la même peine. avoir perdu son ou sa meilleur(e) ami(e), c'est dur, et c'est quelque chose de très dur à surmonter. pour ça, on se comprend, et c'est peut-être ton histoire qui fait que tu doit bien être l'une des seules que je ne désire pas attirer dans mon lit.

on s'est rencontré en cours de journalisme, et, tout les deux proches de Damen, et on a finit par s'adresser vraiment la parole. on a fait connaissance, comme deux adultes civilisés, et au final, nous sommes devenus de bons amis

pardonne moi. pardonne moi pour tout le mal que je t'ai causé sans le vouloir. j'ai joué au con, j'ai merdé.. si tu savais comme je regrettes.. la mort de ta sœur par ma faute n'était pas programmée loin de là. je ne me doutais pas un instant qu'elle m'aimait. pardonne moi. et même si aujourd'hui tu me détestes, sache que dans mon cœur, tu seras toujours ma ptite sœur.

bla bla bla