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Emrys & Charlie | Just a talk with each other.

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Tout à coup Emrys se leva. Et l’atmosphère changea radicalement. Il semblait en colère. Non. Il était en colère. Si bien qu’il venait tout juste de la fusiller du regard ce qui durcit en retour les yeux de l’Irlandaise. Elle ne s’attendait pas du tout à ce qu’il s’énerve, là, maintenant, tout de suite. Est-ce que c’était l’alcool qui l’agitait ainsi ? Elle avait certes pensé qu’il finirait par se lasser si elle continuait ainsi, elle n’avait pas imaginé qu’il s’irriterait si rapidement ! La fin de son discours la laissa perplexe. Elle était capable de comprendre ses reproches quant à son comportement qui pouvait, de l’extérieur, paraître incohérent, et ainsi se tempérer pour elle-même ne pas se mettre en colère. Mais qu’il s’imagine qu’elle avait peur qu’il… La baise. Bon sang, c’était comme ça qu’il voyait les choses ? Mais il la prenait pour qui ? Elle n’était pas fragile, ni prude. Elle comprenait qu’il puisse se fatiguer de ses attitudes illogiques. Mais elle n’acceptait pas du tout que depuis le temps qu’ils se connaissaient, il la juge potentiellement influençable par les rumeurs qui circulaient sur son compte. Ni qu’il lui parle ainsi ou la fusille du regard. Et encore moins qu’il la perçoive comme une pauvre fille à protéger. « Emrys ! » s’exclama-t-elle alors, médusée, tout en se levant également. Elle esquissa quelques pas dans l’herbe puis se tourna vers l’écrivain. « Je ne suis pas en sucre, Emrys ! » s’insurgea-t-elle. « Je n’ai pas peur que tu couches avec moi. Je sais que tu ne me forceras pas à faire quoique ce soit si je ne le veux pas. Ce n’est pas ça, le problème. » ajouta-t-elle, légèrement ulcérée qu’il voie les choses sous cet angle. Comme si... Comme si la libido était le centre de toute l'affaire alors que Charlie n'en avait rien à foutre. Elle n'était pas une vierge effarouchée qui voyait Emrys comme un grand mâââle viril prêt à la prendre entre quatre murs. Elle ne sacralisait pas ces histoires de première fois, n'avait aucun problème avec la sexualité, et donc, non, elle n'avait pas peur d'Emrys. Elle n’avait pas non plus besoin qu’on la manipule comme si elle était en cristal, elle se protégeait déjà toute seule depuis de nombreuses années. Ce n’était pas là ce qui la bloquait. « Comment tu peux croire que je me fie à ce que l’on dit de toi ? Comment tu peux me juger assez stupide pour accorder du crédit à des rumeurs qui ne se sont jamais vérifiées sous mes yeux ? » l’interrogea-t-elle en le fixant dans les yeux, presque blessée qu’après plus d’un an d’amitié il croie encore qu’elle le jugeait en fonction de rumeurs – rumeurs dont elle n’avait vu la couleur que par la bouche d’Emrys ou les articles du CS par ailleurs. « Si tu penses que ma seule crainte c'est que tu me baises, Emrys, c'est que c'est toi qui les écoutes ! Tu les écoutes tant que tu es persuadé que chaque personne qui pose son regard sur toi le fait en comparant ton attitude et les dires que deux ou trois imbéciles ont pu, un jour, proférer. » répliqua-t-elle. Elle refit quelques pas dans l'herbe, soufflant. Elle ne pouvait pas expliquer à Emrys pourquoi elle se figeait tant parce qu'elle ne le savait tout simplement pas. Elle avait beau réfléchir, elle ne savait pas. Mais il avait l'air si irrité qu'elle craignait qu'en lui disant qu'elle n'avait pas d'explication à fournir, il ne s'énerve de plus belle. Il y avait pourtant un tel contraste entre ses propos si vifs et son visage qui rougissait. Après quelques instants, elle revint vers lui, adoucie. « Écoute... Je ne sais pas si j'ai peur de quelque chose, et encore moins de quoi. Mais ce n'est pas de toi. » dit-elle en espérant qu’il se rassurerait. Elle se rapprocha de lui. « Je… Je n’ai rien contre le fait que tu me prennes dans tes bras ou que tu m’embrasses. Rien. Simplement… Je crois que je ne suis pas habituée à ce genre de… De gestes dans un tel contexte. D’habitude… D’habitude, tout est si facile. Je sais quoi faire, comment, ça me vient spontanément mais là… Là je crois que ça me touche trop pour que je parvienne instantanément à trouver les bonnes réponses. J’ai tendance à tout relativiser pour réagir avec facilité. Mais là je ne peux pas. C’est trop personnel. Au fur et à mesure, je gagnerai sûrement en confiance mais il faut juste que… Un peu de temps passe. Tu peux comprendre ? » demanda-t-elle, essayant tant bien que mal de démêler une situation à laquelle elle ne comprenait rien. Elle ne savait même pas si ses explications étaient fondées.


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Ouais, je pétais mon câble parce que ça me foutait en l'air qu'elle puisse me traiter ainsi. Après tout les mois où nous avions été si proche, je la trouvais plus distante que jamais sous prétexte qu'une attirance s'était crée alors que je ne cherchais que de la proximité, pas un couple, pas de la baise, de l'évolution : merde ! Ouais, c'était pas trop compréhensible, moi j'arrivais quand même a essayer de tolérer enfin je sais plus ; faut le dire ! Elle se leva à la suite de mon intervention qui ne lui plaisait pas du tout, je le voyais dans son regard tout aussi noir que le mien. J'avais battu le chaton en elle pour laisser apparaitre un petit ogre je crois parce qu'elle commença directement à s'imposer. Ouais, elle ne voulait pas que je la crois en sucre mais alors qu'elle ne se la joue pas, madame muette qui tremblote comme ça pour rien. Je ne savais pas comment réagir donc j'avais réagi spontanément pour mon plus grand malheur, je crois vu comment elle se révélait forte au final. « Je n’ai pas peur que tu couches avec moi. Je sais que tu ne me forceras pas à faire quoique ce soit si je ne le veux pas. Ce n’est pas ça, le problème. » Vu le ton employé, elle n'appréciait pas du tout mais alors pas du tout et je ne pouvais pas en placer une. Ce n’était que des "mais" ou des "oh" qu'elle me laissait placé car déjà, elle s'agitait follement face à moi montrant sa hargne soudaine. Ce n'était pas ça le soucis ? Mais alors qu'elle parle, qu'elle m'explique. Je prenais ma tête entre mes mains montrant mon énervement et la prise de tête que ça pouvait engendrer chez moi. Je sentais presque ma tète me faire mal parce que je me foutais trop de stresse, d'énervement, tellement je suis sanguin. Et le pire, c'est qu'elle ne s’arrêtait plus du tout, elle ne voulait plus, elle était comme une tornade et je grimaçais en voyant ce que j'avais provoqué chez elle. Je cherchais désespérément à la couper pour qu'elle ne se prenne pas plus la tête quitte à tout arrêter net mais rien n'y faisait, elle s'énervait en flèche. Elle m'en voulait clairement de croire qu'elle avait pu croire ou se fier aux dires des journaux, des gens, de papiers chelous, et j'avais à présent honte de l'avoir sous entendu parce que justement, j'avais vanté ses mérites à mes amis et face à elle, je disais le contraire et je la vexais. Je la sentais comme entrain d'exploser intérieurement par le trop plein de chose qui la prenait. Je l'avais donc définitivement vexé et je rougissais d’avoir fait ça tout en me mordant les lèvres de stresse. Je réagissais mal en la faisant souffrir de la sorte si bien que je m'appuyais contre un arbre désespéré n'osant plus tenter de prendre la parole et attendant en silence qu'elle termine mais ça me semblait interminable. « Si tu penses que ma seule crainte c'est que tu me baises, Emrys, c'est que c'est toi qui les écoutes ! Tu les écoutes tant que tu es persuadé que chaque personne qui pose son regard sur toi le fait en comparant ton attitude et les dires que deux ou trois imbéciles ont pu, un jour, proférer. » Je baissais le regard un peu plus, me rendant en cachette dans les tréfons d'un trou de marmotte surement parce que là, c'était clairement la honte. Là-bas, on voyait des couples sortir et certains nous regarder. J'avais honte, non pas d'elle et de ses petits cris mais de moi, de l'avoir poussé à bout, de lui faire du mal parce que habituellement, je m'en saurais surement foutu mais là, c'était Charlie et je me rendais compte que ça me faisait plus mal que ce que je le pensais. Preuve en est que je ne répondais pas, je ne disais rien, je la respectais trop et elle devait le voir à mon regard quand j'osais par instant lever un œil vers elle, désespéré. Charlie... Mais elle reprenait de plus belles et marchait toujours, je ne la suivais pas, c'était pas la peine, je l'entendais bien de là où j'étais et la voir virer tomate tant je l'avais énervé, ça me brisait peu à peu le cœur. « Écoute... Je ne sais pas si j'ai peur de quelque chose, et encore moins de quoi. Mais ce n'est pas de toi. » Je n'osais réellement plus la regarder du tout, là, c'était trop parce que je me rendais compte que j'aurai mieux fait de me taire, qu'elle avait surement juste besoin de temps ce qui se confirma, dans ses paroles suivantes alors qu'elle faisait toujours les cents pas et que mon cœur semblait battre de plus en plus fort comme la boite qui se calait dans ma tête tant j'étais nerveux. Je tombais dans un autre monde tellement j'étais perdu si bien que seulement des brides de mots pouvaient parvenir à mon  esprit, à mon cerveau. Des brides réellement, telles les pensines de Dumby dans Harry Potter, les souvenirs de Docteur Who à ses arrivées, les souvenirs d'une vie antérieure d'un sénior, ouais, simplement des mots arrivaient à mes oreilles parce que je m'étais perdu et je ne savais pas comment faire pour me faire pardonner. Je la regardais de nouveau, ne pouvant que voir mais rien entendre comme si j'avais subi l'attaque du son des mandragores et que je ne pouvais plus ouvrir mes écoutilles. Alors quand j'entendais la fin, toute la fin, en ayant presque plus rien compris, j'entendais simplement une demande, celle de la recherche de ma compréhensible. Je fonçais la prendre dans mes bras simplement. Emrys, le Emrys que tous voyait... il n'était pas là, il était parti face au désespoir d'une femme tant appréciée, face au mal fait à une demoiselle qui ne demandait rien. Alors je la serrais fort et je murmurais à son oreille : Je suis désolé. Désolé de ne pas te comprendre, de te brusquer ... Je soufflais dans son cou doucement, l'embrassant doucement en la serrant ensuite beaucoup plus et je laissais mes pensées vogues dans mon esprit flouté, ne sachant quoi faire, quoi dire, quoi développé. C'était comme si toutes mes pensées flânaient et que je ne savais pas vraiment comment tout régler dans mon esprit. je revoyais toute la soirée, tous ces mots que j'avais dit sur elle à mes meilleurs amis, l'aimais-je ? je ne le savais justement pas mais le truc, c'est que sans elle, je pensais à elle. J'avais fait l'amour avec Lola en pensant à Charlie, j'avais quitté Cambridge sans elle pour un voyage avec Wyatt et Charlie était revenue sur le tapis, au Kenya, j'avais fait de même et elle me rendait tous ce que j'avais tant cherché alors surement qu'un truc de plus était présent, surement que ce petit truc au fond de moi signifiait que c'était elle, je ne savais pas. Et là, mon cœur qui battait dans ma poitrine, menaçant d'en sortir après tant de peine lui étant incombé, je susurrais à son oreille, la voix tremblante : Je sais que ce n'est pas ton cas mais ... ma vie sans penser à toi reste impossible ! J'embrassais alors sa joue et me reculais montrant que je ne cherchais aucune réponse ou que je n'avais aucune attente, je la pris par le bras touchant sa main au bout et la serrant fort puis je lui dis comme si de rien n'était lui laissant la possibilité d’oublier mes dires en demandant comme un boulet : Je peux te faire danser malgré tout ? Un sourire, un sourire si timide, si vrai, si beau.
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Il n’était pas dans son naturel de s’énerver mais cela n’empêchait pas qu’elle excelle autant dans la colère que dans l’expression de la joie. Au théâtre, c’était par ailleurs les scènes de colères qu’elle préférait jouer parce qu’alors elle pouvait laisser place à toute son énergie, prendre autant d’espace qu’elle le voulait, laisser libre champ à la puissance de sa voix. Dans la vie réelle, elle se maîtrisait. Elle ne criait pas aussi fort, atténuait ses gestes théâtraux. Mais elle n’en demeurait pas moins indiscrète et vive. Aussi, elle ne s’aperçut de l’expression accablée d’Emrys qu’une fois adoucie. Le voir si désespéré balaya sa fureur et elle s’en voulut de s’être énervée à son tour alors que, si elle avait pris deux secondes pour réfléchir, elle aurait certainement pu parler avec calme. Mais Charlie était impulsive, instinctive, exubérante et, surtout, inévitablement théâtrale. Il lui arrivait souvent de réfléchir seulement après avoir agi et c’est ce qu’il se produisait ici. Sur son visage, la colère laissait place à un calme désolé tandis que l’écrivain vint soudain la prendre dans ses bras. Cette fois, elle agit comme elle le faisait d’habitude, en le serrant à son tour. Ses remords s’accentuèrent quand elle l’entendit s’excuser et elle fut presque soulagée qu’il ose l’embrasser – cela signifiait donc qu’elle ne l’avait pas complètement terrorisé, hein ? « Désolée de m’être mise en colère. » répondit-elle avec un sourire timide. Elle n’avait jamais vécu ce genre de choses. Cet entre-deux de « on n’est plus complètement des amis mais on n’est pas non plus en couple ». Quand elle était sortie avec Rory adolescente, il n’y avait pas eu cela. Il était le meilleur ami de son aîné et elle le voyait souvent mais rarement seul. Alors, le jour où ils s’étaient mis ensemble, ils l’avaient fait parce qu’ils venaient tout juste de discuter de leurs sentiments déjà présents. Ça avait été clair. Emrys avait eu plusieurs petites-amies, il avait même été fiancé… Il était bien plus habile qu’elle avec ce genre de situations. C’était aussi à elle de comprendre que des jeunes femmes de vingt-quatre ans qui n’ont pratiquement pas été en couple, ça ne courait pas les rues à Harvard et que l’adaptation était difficile pour chacun. Elle sut qu’elle touchait là la véritable explication à son comportement hésitant, mais elle ne savait si elle devait remettre sur les tapis les explications qu’il attendait tout à l’heure et qu’elle avait maladroitement formulées. Son hésitation coupa court, le Winthrop raffermit son étreinte et ce qu’il lui avoua la toucha autant qu’elle la troubla. Elle ne pouvait pas nier. Ce n’était pas son cas. Ou pas consciemment. Charlie était assez impressionnée de la facilité avec laquelle Emrys parlait, agissait, exprimait ce qu’il ressentait. Peut-être que cela lui était plus facile justement parce qu’il avait déjà eu plusieurs relations et qu’il savait mieux comprendre ce qui l’animait. Peut-être qu’elle n’y parvenait pas si bien parce que c’était nouveau pour elle et que la rousse ne savait pas interpréter tout ce qu’elle ressentait. Ou peut-être que ce soir, Emrys y parvenait parce que, tout simplement… Il avait bu. Beaucoup. À vrai dire, Charlie était prête à proposer à l’écrivain d’aller prendre un verre – toutes ces émotions lui avaient grandement donné envie d’un mojito. Même un peu plus de deux, elle n’aurait pas dit non. Mais le jeune homme, armé d’un sourire adorable qui contamina le visage de Charlie, lui demanda une danse et l’Irlandaise lui sourit avec toute la douceur dont elle était capable. « Bien sûr, bien sûr que tu peux. » dit-elle en serrant sa main qui tenait la sienne, le regard fixé dans celui de son cavalier. Elle adorait danser. C’était le premier art avec lequel elle avait eu un contact, c’était l’art qui renvoyait à la part la plus personnelle de son âme. Danser avec Emrys, c’était lier deux éléments de sa vie terriblement personnels, avec lesquels elle n’était justement pas à l’aise, mais qui étaient peut-être les plus chers. Elle s’apprêtait à l’entraîner pour qu’ils aillent danser mais elle virevolta sur elle-même et posa sa main libre sur le costume de l’écrivain, se décidant à expliquer ce qu'elle avait compris plus tôt, afin que tout soit clair et qu'ils n'aient plus à se confronter à ce genre de scènes. « Emrys. » dit-elle pour capter son attention. « Je veux juste te dire que, si parfois je deviens distante, c’est parce que c’est nouveau pour moi, tout ça. Tu as déjà eu des petites-amies, tu as été fiancé… Mais je n’ai eu qu’une seule relation, il y a huit ans, et il n’y avait pas ce… Cet avant assez étrange, où les frontières entre amitié et amour ne sont plus délimitées. Alors je ne sais pas encore comment apprivoiser cela, et je suis désolée si je te blesse. Je vais essayer de… Faire comme d’habitude et ne pas me prendre la tête, il paraît que je suis douée pour ça – enfin trop, à ce qu’on dit. Voilà, c’est tout. Maintenant que j’ai compris ce qu’il se passait, je me tais. Allons danser ! » lui expliqua-t-elle, cette fois elle-même convaincue par ce qu’elle avait dit. De douce et calme lors de ses explications, elle reprit son ton naturellement enjoué et vif lorsqu’elle parla d’aller danser, ses pieds sautillant déjà dans l’herbe malgré ses huit centimètres de talon (comme si elle n'était pas assez grande).
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Mon énervement vif et soudain avait du la booster, la choquer si bien que son énervement me choqua au plus haut point. Je me retrouvais perdu face à une Charlie partie dans une folie que je n'aurai pas imaginé possible vu son caractère habituel. Je me sentais si mal d'avoir créer cela et bien que j'avais deux choix de réactions à savoir la vérité et le mensonge pour garder sa fierté, je voyais en une honnêteté plus grande, un espoir de garder la rouquine auprès de moi alors susurrant son prénom, je m'étais excusé face à une Charlie découvrant que je pouvais connaitre le désespoir rien que par la peur de la perdre. Une réalité qu'elle ne pensait surement pas possible. Nos mots me suffisaient pas mais nos gestes, nos regards étaient nos meilleurs expressions. Elle aussi voulait s'excuser mais d'un battement de paupière, je montrais qu'elle ne devait pas l’être car c'était uniquement moi qui pouvait m'excuser vu mes agissements de fou furieux. J'étais fou, fier et sanguin. Je ne savais pas de quoi l'avenir serait fait mais Charlie se devait de rester à mes cotés pour que je ne meurs pas de tristesse, je crois. Je srentais parfois dans la lueur de ses yeux, la peur, une peur qu'elle ne savait imagé, ou expliquer mais je la sentais et cela me suffisait pour me dire que je n'étais qu'un salop égoïste qui la forçait alors que son esprit ne le pouvait. Mon baiser fut un étonnement pour l'esprit de Charlie et cela se ressentit à un petit tremblement qui aurait été considéré comme nul par certains ou imperceptible rapidement mais je l'avais ressenti, cherchant chacune de ses émotions sans honte. J'aimais la sentir, la ressentir et la comprendre. Je touchais son corps frêle doucement, avec délicatesse dans les endroits simples, normaux et en tout bien tout honneur puis après ce baiser, un autre sur la joue, sans signification, soit surement une tendresse infinie. La danse semblait bienvenu puisque son sourire devint plus qu'éclatant. « Bien sûr, bien sûr que tu peux. » Sa main serra la mienne provoquant un sourire plein de béatitude et une vive frénésie dans mon cerveau tandis que déjà, elle m'entrainait à dépasser le coin d'herbe pour rejoindre la salle de bal mais elle m'étonna, virevoltant rapidement pour que ses mains puissent atterrir sur mon costume et qu'elle prononce mon nom de cette voix si belle, claire. Je sentais mon corps parcouru de frisson, ne plus rien comprendre tout comme mon esprit et elle poursuivait en expliquant ses pensées. « Je veux juste te dire que, si parfois je deviens distante, c’est parce que c’est nouveau pour moi, tout ça. Tu as déjà eu des petites-amies, tu as été fiancé… Mais je n’ai eu qu’une seule relation, il y a huit ans, et il n’y avait pas ce… Cet avant assez étrange, où les frontières entre amitié et amour ne sont plus délimitées. Alors je ne sais pas encore comment apprivoiser cela, et je suis désolée si je te blesse. Je vais essayer de… Faire comme d’habitude et ne pas me prendre la tête, il paraît que je suis douée pour ça – enfin trop, à ce qu’on dit. Voilà, c’est tout. Maintenant que j’ai compris ce qu’il se passait, je me tais. Allons danser ! » Peu à peu, au fil de son discours, un sourire plus timide et perturbé, tombait sur mes lèvres parce que je ne savais quoi penser mais j'avais profité pour mettre mes mains sur ses hanches et caresser doucement son dos en la regardant droit dans les yeux montrant que je ne voulais plus me laisser prendre par la peur. J’acquiesçais simplement, comprenant tout, comprenant rien. Je ne répondis rien, ne voulant me dévoiler plus alors qu’elle-même ne le pouvait et préférais reprendre sa main en la serrant fort et l'attirait, excité, vers la salle de bal avec galanterie. j'ouvrais chaque porte pour la faire passer, un sourire charmeur sur mes lèvres et une douceur infinie dans mes gestes. Je la regardais quand nous passions l'arcade menant à la salle de bal et lui demanda ; Tu te sens prête à affronter ça ? Dis-je en essayant de mettre de l'humour jouant les mecs qui savent pas danser, lui montrant presque à l'entrée de mauvais pas alors qu'en réalité, je me dirais plus danseur hors pair. Je la prenais par la taille avec précipitation de profil toujours, et la prenait plus vers moi en embrassant amicalement sa joue rosées avant de prendre sa main et la tirer sur la piste. Main sur les hanches, nous dansions enfin, nos pieds déjà heureux de ce choix de notre part et je me contentais de susurrer dans son oreilles : Merci. Je lui souriais, un sourire rayonnant cette fois.
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Charlie s'était finalement décidée à dire ce qui lui était passé par l'esprit plus tôt, sa spontanéité se manifestant de nouveau. En soi, c'était à peu près ce qu'elle avait déjà énoncé auparavant mais il lui semblait que c'était plus clair. Emrys ne disait rien, mais il la regardait dans les yeux et cela suffisait. Elle sentait sa main dans son dos et, contrairement à sa gêne précédente, elle ne se tendit pas mais le laissa très (très) volontiers faire. Ils se dirigèrent vraiment cette fois-ci vers la salle et la rousse leva les yeux au ciel en riant quand Emrys ouvrait touuutes les portes. Ah ces Winthrops, ils tiennent à leur image hein ! Bon, elle ne crachait pas dessus, c'est vrai. Arrivés, l'écrivain fit de l'humour et Charlie rentra dans son jeu. « Je crois que personne ne sera jamais assez prêt pour danser avec toi, mais je suis teeeeellemnt gentille que je me sacrifie ! » dit-elle en lui lançant un sourire espiègle. Ils entrèrent alors dans la salle et l'Irlandaise se rapprocha de son cavalier quand il la prit par la taille, lui adressant même un sourire quand il donna un baiser sur la joue. Elle faisait des progrès vous voyez ! Finalement, Emrys se révéla être un très bon danseur contrairement aux dires de ses plaisanteries. Charlie était beaucoup plus à l'aise avec lui quand il s'agissait de danser et elle ne se formalisa absolument pas quand il mit ses mains sur ses hanches, d'autant qu'elle l'imita. Il la surprit néanmoins lorsqu'il la remercia, ne voyant pas en quoi elle méritait un quelconque remerciement. Elle n'avait rien fait de particulier, si ? « De quoi ? » lui demanda-t-elle doucement en le regardant dans les yeux, un sourire doux aux lèvres en réponse au rayonnant sourire que le Winthrop affichait et qui rendait Charlie allègre.
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Je tentais l'humour tout en osant toucher son corps qui m'attirait tant. Ses bras me fascinait comme ces courbes doucereuses. Je ne pouvais que virevolter à l'approche de cette demoiselle si belle. Je passais l'arcade en la tenant par la taille simplement, touchant finement son dos alors que je tirais de très bas un rire aux éclats suite à mes dires. Je lui faisais alors croire que la danse était la dernière chose que je savais faire alors que j'étais pourtant un bon danseur et déjà, elle s'était remise de notre petite altercation car sans soucis, elle joua dans mon jeu et me charria en disant qu'elle se dévouait car personne ne serait jamais prêt et elle sembla presque trop réceptive à mon baiser sur sa joue devenu très rosée. Un effort fourni qui me plaisait tout comme sa facilité cette fois, pour une danse, à coller son corps contre le mien, se montrer réceptive à une caresse sur sa hanche délicate tandis que nos pieds débutaient le tournoiement tout doux puis un instant ses bras vinrent toucher mon cou et je sentis ma peaux frissonnaient. Elle ne comprit pas mes remerciements tirant une expression étrange qui m'attendrit et tira un sourire angélique sur mes lèvres puis elle demande doucement, tendrement, gardant le calme et le sensualité de l'instant : « De quoi ? » Ses yeux croisèrent les miens, les captant et je fus transporté dans un monde meilleur dès l'instant où le lac de ses pensées parvint à mon esprit. Je plongeais sans soucie à l'intérieur y trouvant un monde meilleur car avec elle, il était impossible de ne pas trouver tout parfait, tout meilleur, tout beaucoup plus bon. Je caressais sa joue d'une main tandis que l'autre poursuivait la danse en tenant sa hanche et lui dit, la fixant sans peur : d’être toi.. d’être là.. de me supporter, de me rendre plus fort ! Je souriais en lui faisant un clin d'oeil et amenais sa tete doucement à se poser sur mon épaule pendant notre magnifique slow qui semblait interminablement bon. Elle me provoquait l'envie d'etre vrai, de dire vrai, de rester sincère, de tout dire, de ma lâcher, d’être moi en somme et c'est là que je comprenais la perfection qu'elle représentait à mes yeux, le joyaux qu'elle était. Je caressais ses doux cheveux gardant le coté de son visage sur mon épaule, au creux de mon cou sans peine et je souriais en disant, protecteur ; je suis là pour toi, Charlie ! J'embrassais sa chevelure en bon ami, en bon protecteur montrant une presence bénéfique ou bien ... romantique.
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De quoi diable Emrys pouvait-il al remercier ? Elle ne voyait pas ce qu'elle avait fait qui le méritât. Elle était tout empruntée avec ses sentiments et réagissait très mal. Un coup elle était distante, l'autre elle était à l'aise (comme à présent où être tout près d'Emrys ne la dérangeait pas du tout). Elle devait être difficile à suivre, fatigante et... Il la remerciait. D'être elle, d'être là, de le supporter et le rendre plus fort. Charlie secoua légèrement la tête et lui sourit. « Tu n'as pas à remercier. » Elle n'avait pas l'impression qu'elle parvenait à déclencher tout ça chez le Winthrop et elle était un peu impressionnée. Pas par elle-même mais bien par ce que ressentait Emrys de la situation. Elle le rendait plus fort ? Comment, elle ? Elle égarait les gens en général puisqu'elle ne les fortifait. Il l'attira à lui et elle se laissa faire tandis qu'elle sourit quand il lui assura être là pour elle. « Merci. » dit-elle, avec un petit sourire espiègle pour elle-même parce que ça la faisait rire de le remercier alors qu'elle venait de protester contre ses remerciements. Mais au fond, elle était vraiment touchée qu'il lui dise cela. Ils étaient rares les gens à être là pour vous, pour de vrai. Et elle sentait bien qu'Emrys était sincère. Du moins l'espérait-elle.
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