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Emrys & Charlie | Just a talk with each other.

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Le bal lui rappelait toujours les grandes soirées mondaines auxquelles elle assistait petite. Elle n'aimait pas ces ambiances grandiloquentes et pédantes et, à choisir, aurait préféré se réunir dans un bar chaleureux avec ses amis pour la fin d'année. Mais Harvard était ainsi, le bal était une tradition, rares étaient ceux qui y échappaient : même elle avait fini par y assister. La chaleur dans la salle avait néanmoins fini par l'étouffer et elle s'était éclipsée, allant s'asseoir dehors sur un banc pour prendre l'air. Charlie envoya un sms à Emrys pour l'informer qu'elle ne s'était pas enfuie et rangea son portable, appréciant le calme extérieur.
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La soirée battait son plein et on voyait que c'était la soirée de l'année puisque carrément, la nuit se profilait et ne semblait vouloir toucher à sa fin. Nous pouvions faire milles choses rien qu'à cette folle soirée aux thèmes si élégants. Je m'en voulais beaucoup car je ne me trouvais que mauvais cavalier surement parce que je me sentais pas à l'aise avec Charlie, je la sentais gênée par moi alors j'avais préféré fuir et j’avais à présent honte. Vu mes péripéties en plus, j'avais remarqué que les sentiments se faufilaient bien dans mon être. Quand je revenais à la table m'excuser platement après avoir un peu dessaoulé, elle n'était plus là mais en regardant mon téléphone, je trouvais un message plus rassurant et je l'imaginais dehors alors je courrais vers la sortie imaginant la rattraper si elle décidait de partir. Là, je la trouvais sur un banc, pensive. Je venais m'assoir à ses cotés, timide et je lui dis : Je suis désolé pour tout Charlie ... Je baissais le regard, honteux face à elle et perturbé.
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Elle sursauta légèrement en entendant des pas, ne s'attendant pas à ce que quelqu'un arrive. Son visage sourit cependant en reconnaissant Emrys qui, tout en s'installant près d'elle, s'empressa de s'excuser. Il avait disparu depuis quelques temps et, à l'odorat, elle constatait qu'il avait dû bien boire pendant ce temps. Charlie ne lui en voulait pas d'être parti, elle ne désirait pas être collée h24 à Emrys ; elle était trop sociable pour être absolument exclusive. Elle devait cependant avouer que se retrouver seule dans ce bal qui ne l'enchantait guère n'était pas des plus agréables et puis, il avait l'air tellement désolé qu'elle se demandait s'il n'avait pas fait quelque connerie à cause de l'alcool. « C'est pas grave. » dit-elle en passant un bras autour de ses épaules. « Il ne s'est rien passé de grave ? » lui demanda-t-elle, légèrement suspicieuse.  Son visage était si honteux qu'elle risquait de se faire des films rapidement.
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Elle était belle, éblouissante devrais-je dire comme un oiseau parmi le noir, un oiseau blanc, si blanc, une colombe je dirais tellement elle était d'une pure beauté au naturel incroyable. Je regardais ses grands yeux me racontaient tant de choses en un simple instant puis m'excusant, je l'écoutais m'excuser une fois de plus, laisser passer des choses que j'imaginais qu'elle ne devrais laisser courir et plutôt me disputer au lieu de ça, rien n'était grave mais elle se demandait simplement si il ne s'était rien passé de grave. Ces yeux avaient tout bonnement changé d’apparence laissant une lueur de peur apparaitre et je vis l'inquiétude pourrir son regard si frai. Je grimaçais et préféra; surement pour la première fois dans ma vie, jouait la totale honnêteté. J'étais mal à l'aise à table à cause des filles qui semblaient me vouer une guerre et vis à vis de toi pour l'autre jour ... alors je voulais prendre l'air mais j'ai vu Demyan, là, tout m'a échappé... j'ai bu avec les gars et Roxanna .. Là, je me suis rendue compte que tu me touchais plus que ce que je voulais bien dire ... avais-je dit en poussant son bras qu'elle avait mis autour de moi pour échanger nos positions et la coller doucement contre moi pour la réchauffer du froid du soir. Je montrais qu'elle ne devait pas prendre mal d'un sourire montrant que ça allait mieux. Ouais, en étant bourré, je suis allé avec Wyatt m'extasier au loin sur ta petite personne ... ta du succès ma chère .. avais-je dit les joues lègèrement rosées avant de rire pour montrer l'air détendu.
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Elle ne s'attendait pas du tout à ça. En général, l'alcool conduisait plutôt à renverser une ou deux tables, chanter, crier, faire n'importe quoi. Elle pensait qu'Emrys allait lui avouer quelque anecdote gênante qui s'était produite. Mais... Non. C'était un tout autre registre. Il s'était « extasié sur sa petite personne », carrément. « T'as vraiment trop bu, hein. » dit-elle en riant à son tour. « Tu sais que tu fais des trucs bizarres quand t'es bourré ? Moi, j'ai plutôt tendance à chanter, danser et sauter partout. Puis aller étouffer les gens en leur faisant des câlins aussi. Mais tu peux toujours courir pour que j'aille m'extasier en public sur tes charmes capillaires mon vieux ! » plaisanta-t-elle en lui donnant une petite tape derrière la tête, un sourire amusé aux lèvres. Elle ne voyait pas, dans la pénombre, qu'il avait rougi. Et elle ne savait pas vraiment comment réagir face à ce genre de déclarations. L'humour restait le plus sûr, d'autant que mister Zacharias avait dû beaucoup boire pour en arriver à dire des choses pareilles avec Wyatt, donc elle n'était pas sûre qu'il soit en cet instant tout à fait lui-même non plus.
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Je ne savais pas si je devais dire la vérité sur le plus gênant mais peu importe, je l'avais fait parce que voilà, je m'étais juré d’être honnête avec cette fille de A à Z, qu'on vive plus de notre amitié ou non. Je tenais trop à elle rien qu'en amitié alors inutile de perdre quelqu'un pour une raison de ce type : malhonnêteté ! Bien sur, ne voulant aucunement prendre les compliments ou accepter une vérité, elle nia en m'accusant d'avoir vraiment trop bu : si elle savait que meme a jeun j'étais capable de la regarder en m'extasiant la trouvant si formidable en fait. Elle n'était tellement pas comme les autres. Un peu vexé, je ne répondais rien et me contentais de l'écouter divaguer comme je l'aimais tant en la regardant avec de grands yeux. Elle ironisa le tout voulant encore une fois éviter le sujet de notre attirance, en tout cas de la mienne et m'annonça clairement qu'elle me trouvait bizarre bourré, que je faisais des choses bizarres ; oh j'en faisais aussi des choses normal mais lui dire que j'étais un peu violent par moment, c'était être honnête pour un rien réellement. Enfin, elle me tapa dans le dos en terminant par m'annoncer que jamais elle ne s’extasierait devant mes charmes capillaires et je la regardais un peu en mode "mais t'es sérieuse là ?" tout en gardant le sourire ne pouvant tirer la gueule face à son beau minois. Là, je me décidais enfin à reprendre la parole : Je te demande pas de t’extasier devant moi... je sais que tu t'en fous de moi et je le comprend ... tu dois avoir de meilleur gout .. avais-je dit en accentuant bien mon jeu montrant que je jouais les martyrs avant de reprendre ; tu m'en veux pas trop pour la soirée ? tu ne t'es pas trop fait suer hein ? Dis-je en souriant montrant une certaine déception.
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Lorsqu'Emrys parla, elle se demanda s'il plaisantait totalement ou s'il croyait un peu à ce qu'il disait. Après le théâtre, elle espérait que non mais il lui semblait que l'écrivain avait tendance à ne pas croire en lui, aussi n'était-elle pas très sûre. Néanmoins elle renchérit : « Je n'aurais pas dit  mieux ! On sait tous que je fantasme plutôt sur les Eliot. Toi tu me dégoûtes tellement que jamais je ne me risquerais à aller au bal avec toi... ou à t'embrasser dans un théâtre. » répliqua-t-elle, le regard appuyé et fixé sur Emrys mais un sourire malicieux aux lèvres. Son sourire se transforma en un léger rire quand le Winthrop reprit la parole. Lui alors ! Qui diable pouvait le prendre pour un sale type alors qu'il passait son temps à s'inquiéter de la sorte ? « Bien sûr que non, je ne t'en veux pas. Je suis une grande personne tu sais ! Et rassure-toi, je ne connais pas que toi à Harvard, je suis autonome et sociable, alors j'en ai profité pour aller parler avec mes amis. Tout va bien. » l'assura-t-elle avec un large sourire. « Tu t'es bien amusé au moins ? » lui demanda-t-elle dans un rire.
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Clairement, j'étais blasé de voir qu'elle semblait n'avoir aucun intérêt pour moi. je desespérais pourtant ces mots me touchèrent car l'ironie était extrêmement présente. Elle m'annonça adorer les Eliot ce qui sonna bien faux et ça me fit lègèrement rire alors qu'elle poursuivait en me disant qu’évidemment, elle se faisait suer à venir avec moi au bal parce que je la dégoutais, de meme pour le baiser au théâtre. J'avoue avoir sentir la chaleur monter à mes joues tout comme le rouge. Fièrement, je me redressais mais ne répondais rien faisant comme si ça ne me touchait guère mais déjà, sérieuse, elle renchérissais en disant qu'elle ne m'en voulait pas et fit style de m'apprendre qu'elle avait des amis, je fis une moue pleine de honte en voyant que surement je l'avais vexé du coup, je me repris tout de suite : j'ai pas dit que t'avais pas d'ami ! Je souriais. Déjà, il reprenait pour me demander si je m'étais amusé et j'en profitais pour dire mes véritables pensées : Oui, j'ai eu des moments mais j'aviue sans honte que tu m'as manqué ! Je sais que nous n'étions pas ensemble, qu'on n'était encore que des amis qui s'attirent mais je faisais ce que je voulais là de suite, impulsion, pulsion simple et hop, je l'attirais vers moi et l'embrassais au coin des lèvres la serrant fort contre moi, un sourire aux lèvres.
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Face à sa moue honteuse, Charlie rit doucement. « Mais non, je sais que tu n'as pas dit ça. » dit-elle avec un sourire. Emrys répondit alors à sa question. Qu'il lui dise qu'elle lui avait manqué aurait pu passer pour une simple gentillesse mais l'écrivain la serra dans ses bras et l'embrassa à la commissure de ses lèvres. Charlie ne s'y attendait pas. Si ce n'avait pas été Emrys, elle n'aurait eu aucun problème à réagir, aurait passé ses mains dans son dos puis se serait détachée avec un grand sourire. Mais elle était paralysée. Pourquoi fallait-il qu'elle soit sociable ordinairement et si... Si effrayée quand il s'agissait d'Emrys ? Pourquoi ne parvenait-elle pas à faire comme tout le monde, à montrer quand elle aimait quelqu'un ? Son comportement était absolument illogique. Elle-même se trouvait stupide. Malgré tout, son corps restait figé. Elle avait beau apprécier l'étreinte du Winthrop, elle ne parvenait pas à bouger. Mais si elle ne faisait rien, Emrys allait croire qu'elle n'appréciait pas son geste – voire lui-même. Et si elle continuait comme ça, il allait finir par se lasser de son incapacité à agir avec lui et finirait certainement par aller voir ailleurs – il aurait certainement raison. Sauf qu'elle se rendait compte que cette perspective ne l'enchantait absolument pas. Charlie parvint à se mettre en action, mais elle se dégagea doucement des bras du Winthrop. Elle baissa les yeux, gênée par elle-même. Il fallait qu'elle fasse quelque chose. Qu'elle montre à Emrys que ça ne la dérangeait pas. Au moins qu'elle cesse d'être muette et bêtement immobile. « Quand j'étais petite, mon frère... » Elle s'arrêta une seconde et jeta un coup d'œil à l'écrivain. Il ne devait même pas savoir qu'elle avait un frère, elle n'en parlait jamais - pire, elle en avait deux ! « ... Mon frère me disait que si quelqu'un... Enfin... Qu'on ne tomberait pas amoureux de moi, mais qu'on s'envolerait. Ça me faisait rire. » dit-elle avec un sourire nostalgique. Les idiots jeux de mots d'Alban. « Je crois qu'il n'avait pas prévu que je ne parvienne pas à suivre le mouvement. » Elle restait comme une idiote, pétrifiée, accrochée au sol, incapable de bouger comme si elle était enracinée. Alors qu'en temps normal elle était si vivante. Mais elle devait absolument trouver la force de se désancrer. D'être... Naturelle, voilà tout. Elle cessa de fuir le regard de son ami, portant le sien dans ses yeux. « Emrys... » Elle aurait voulu dire quelque chose, continuer, mais elle n'y parvenait pas. Elle abandonna, changea de ton. « Je dois être la pire cavalière que tu aies jamais eue. » dit-elle dans un rire gêné, l'air désolé. Elle décida de faire quelque chose de gentil qu'elle savait bien faire, pour se rattraper. Elle attira à son tour Emrys dans ses bras et le serra contre elle. Les câlins, ça, au moins, quand elle n'était pas paralysée du moins, elle réussissait. Elle n'avait pas besoin de dire « Désolée de ne pas parvenir à te rendre la pareille, ce n'est pas que je ne veux pas, c'est que je ne suis pas habituée à ce genre de sentiments et que je n'arrive pas à dépasser mon stress. Mais t'inquiètes pas, hein, moi aussi je t'aime bien. Vraiment bien, même. », c'était intrinsèque. Le meilleur moyen pour consoler/exprimer qu'on était désolé/signifier qu'on tenait à quelqu'un. Exactement ce qu'il lui fallait.
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Evidemment, Charlie avait bien compris mon erreur de phrase quand je parlais en quelque sorte de la laisser seule sans vouloir dire qu'elle n'avait pas d'amis évidemment, ça se voyait qu'elle pouvait qu'en avoir avec sa folie et sa joie de vivre adorable. Je ne comprenais pas que moi, je puisse autant trouver une personne formidable quoique j'avais beaucoup d'amis que je voyais ainsi mais elle, ça m'impressionnait. Je l'avais serré contre moi comme dans une pulsion soudaine, presque extrême et sans un mot nos lèvres se touchèrent presque quand je décidais de l'embrasser à la commissure de ses lèvres. Je frissonnais un instant mais je vis que le trouble chez elle était bien présent. Oui, elle n'était jamais à l'aise avec une certaine proximité et j'avais comme l'impression qu'elle avait peur de moi ce qui commençait lègèrement à me saouler ; j'aurai préféré qu'elle me dise qu'elle veut pas plutôt que de rester pétrifier comme une faible. Je levais les yeux, trouvant ce comportement insupportable ça changeait de tous ce que je voyais positif, ça je ne supportais plus du tout, je devais bien l'avouer. Je grimaçais et je l'écoutais enfin parler, me lâcher quelques brides de son histoire, son frère, les mots de celui-ci. Je n'écoutais qu'à moitié, trouvant la peur de moi pitoyable, je le voyais comme ça et ça me foutait en rogne si bien que je m'énervais. Pensait-elle comme les autres que je n'étais qu'un queutard ? Je sais pas mais on dirait vu sa peur de notre proximité. Elle terminait par un truc que j'entendis ; elle était la pire cavalière qui soit ? surement, si elle le dit ... là, je m'en foutais, je voulais l’honnêteté donc aussi crever l'abcet. Je ne pouvais pas en rester là alors je me levais, me plaçant face à elle, montrant qu'un truc me chiffonnait et je pris mon inspiration pour ne pas m'énerver de trop ou trop élever la voix malheureusement la dureté ne s'envola pas de ma voix : Bon écoute Charlie, ça me saoule ... tu ne dis rien, tu te pétrifie, tu évites les sujets, ça me gave ! Avais-je dit durement en posant bien mes yeux sur elle avant de la fusiller de celui-ci plantant mes deux billes dans les siennes. Ça me faisait presque mal de devoir parler comme ça à ma jolie rouquine mais je devais le dire sous peine de mentir sur mon avis et je voulais plus mentir, ou cacher les trucs importants, et voilà une chose importante !J'y arrive plus tu me dis que je te plais et dans ta façon d'être avec moi j'ai l'impression que plus on avance, plus tu crois tous les connards car tu ne fais pas de pas vers moi, je te jure que je veux pas te baiser merde ... Je ne suis pas là pour te forcer à faire des choses que tu veux pas alors au lieu de te raidir, dis moi que tu ne veux pas de mes câlins, de mes baisers, merde mais bouge ! Je rougissais en terminant autant de montrer aussi d’honnêteté dans mes mots aussi.
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