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KOLIZIE ♥ When I was your best friend

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Ton coeur se serre un peu plus fort à chacun des mots de Kol. Tes larmes coulent dans le silence de devoir vivre ce moment tant redouté. Mais il le fallait. Il fallait que tu fasses comprendre à Kol que lui et toi, c'était fini. Tu faisais cela avant tout pour ton bien, car tu avais tellement souffert de cette histoire que tu en pouvais tout simplement plus aujourd'hui. Tu devais reprendre les choses en mains et même si ça te déchirait le coeur, ça en était devenue une obligation. Tu savais bien que Kol avait ce penchant pour les femmes mais ça, ce n'était pas toi, tu ne vivais pas comme lui. C'était soit toi, soit rien. Tu avais cru à cet espoir tout au long de l'année mais Kol avait apparemment préféré sa femme et ça t'avais brisé le coeur en mille morceaux une énième fois. Il l'avait pourtant choisi mais il te criait qu'il t'aimait plus que tout, que tu lui étais indispensable. D'un côté, cela réchauffait ton coeur que tu lui sois toujours importante à ses yeux mais de l'autre, tu restais incomprise. S'il n'était plus heureux avec Keyla, pourquoi ne t'avait-il pas choisi ? Tu restes silencieuse près de lui quand il avoue enfin avoir été un lâche mais ta main se serre un peu plus contre lui quand il commence son même discours de justifications. Il ne pouvait pas vivre sans Keyla et toi. Tu essayes de rester calme mais quand il se met a hurler qu'il ne veut pas te laisser vivre, qu'il ne veut pas te voir avec un autre homme, tu le lâche brutalement. T'as juste envie de hurler, t'étais pas sa chose, merde ! À disposition quand il le voulait. Arrête Kol de dire ça ! Je te l'interdit ! Va falloir que tu mettes ton égoïsme de côté car c'est juste injuste que toi t'es le droit d'avoir ta p´tite vie, ta p´tite famille ET femme, et moi j'dois me terrer dans le silence et apparaitre comme une fleur dès que tout va mal avec Keyla. J'en ai marre d'être la bouée de sauvetage, j'en ai marre d'être constamment épiée dès que je suis avec un autre homme que toi. Franchement t'aurai dû réfléchir à deux fois avant de me tromper, car si t'avais pas fait ça, j'aurai été toute à toi, juste à toi ! J'suis pas Keyla, faut que tu le comprennes, je reviendrai pas cent mille fois. J't'ai accordé une nouvelle chance, j't'ai offert comme une conne mon coeur et regarde moi maintenant ? Alors laisse moi vivre Kol, laisse moi si tu veux pas que le peu d'amour que j'éprouve encore pour toi se transforme en haine ! t'avais dit au bord de la crise de larmes. Quand soudainement tu vois Kol se retourner brutalement et tu te rends compte de la dureté de tes mots. L'espace d'un instant, tu t'en veux de lui avoir balancer toutes ses choses à la figure mais c'est ce que tu ressentais au fond de toi, ce qui te déchirait de l'intérieur. T'arrive juste à entendre ce qu'il te dit et ton coeur se serre dans ta poitrine lorsque tu l'entends pleurer. Tu es soudainement envahie par une tristesse très violente, tu es bouleversée, t'as envie de crier, de hurler, pourquoi l'amour était-il si dure à vivre ? Tu décides de t'approcher du jeune homme, tu te mets face à lui, prend son visage entre tes mains pour essuyer ses larmes Arrête Kol, je t'en pris.. Me torture pas encore plus.. Tu sais à quel point pour moi aussi c'est tellement dure de vivre ça.. Que ça me déchire le coeur de devoir mettre brutalement cette distance entre nous alors que j'aurai préféré une alternative mille fois plus heureuse. Mais il faut que tu me rends ma liberté... tu dis d'une voix tremblante alors que tu vois le visage du jeune homme des plus tristes Il faut que tu me la rende Kol, je t'en supplies.. Car je veux pas détester l'homme que j'aime le plus au monde. L'oublie pas Kol ça s'il te plait. oui malgré le fait que ça soit paradoxal que tu voulais être de nouveau libre, tu l'aimais toujours car il était ton essentiel. Ton tout, tes plus beaux rêves comme tes pires cauchemars.
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« Cause my heart breaks a little when I hear your name »
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A croire que nous deux c'était réellement fini après tout ? Toute chose avait une fin dans ce monde et notre histoire ce terminé peut-être ici et maintenant, notre amour allait finir par disparaître, je n'arrivais à me faire à l'idée qu'il fallait que j'oublie tout ce que je pouvais ressentir pour elle, parce qu'après tout c'était ça qu'elle me demandait, c'était la fin durant le bal de fin d'année, qui devait normalement être l'un des moments de l'année le plus joyeux, malheureusement pour moi c'était loin d'être le cas depuis deux ans. Il fallait que je lâche enfin l'affaire, il fallait que je la laisse tranquille comme elle le disait si bien, c'était ça qu'elle me demandait depuis le début, depuis que j'avais choisi l'une des femmes que j'aimas le plus au monde, si cela n'avait dépendu que de moi, je n'aurais jamais pu choisir, mais c'est arrivé et je ne plus plus revenir en arrière désormais, il fallait que je la laisser vivre, elle ne voulait plus être attaché à moi, et c'était surement ça le plus douloureux, elle ne voulais plus que je contrôle sa vie. Il fallait que j'arrête de faire l'égoiste de première, de penser qu'à moi, il fallait que tout ça cesse une bonne fois pour toute. Il fallait qu'elle refasse sa vie, il fallait qu'elle vive le bonheur qu'elle désirait tant. « Je vais te laisser vivre ... c'est d'accord, je ferrais plus ce que j'ai fais à la fête de la musique ! Si t'es heureuse avec un autre mec que moi, que je vois ce sourire sur ton visage que je te donnais quand on été encore ensemble tous les deux, qu'on été heureux, je ferrais rien, je partirais, c'est tout ! Mais compte surtout pas sur moi pour devenir le meilleur ami de ce mec que j'ai frappé l'autre jour, je le respecterais c'est tout, juste pour toi ... » J'arrivais plus à contenir toute la tristesse qui s'était emmagasinée en moi durant toute la soirée, je supportais pas non plus de voir pleurer Liz', tout ça m'avait fait craqué moi aussi, j'avais fini par verser quelques larmes, moi qui n'avait franchement pas l'habitude de dévoiler mes sentiments cette fois c'était la goutte d'eau qui avait fait déborder le vase. Je détestais ça, je détestais quand j'étais faible comme ça, pleurer ce n'était pas moi. « Tu veux que je fasse quoi Liz' ? Que je saute de joie peut-être au fait que nous deux, ça sera plus jamais comme avant ? Que je te dise peut-être que c'était la chose que j'attendais ? Non ça c'est un mensonge ! » J'étais à bout de nerfs, je la regardais mais je ne voyais plus son visage, il s’effaçait petit à petit. « Pourquoi t'es revenue ? Pourquoi t'es venue ici, rappelle le moi ? T'as foutu la merde dans ma tête Liz' ! T'as tout foutu en l'air ... tu veux que je te dise, moi aussi je pourrais te détester, OH OUI, crois moi, je pourrais te haïr autant que toi tu pourrais me haïr, mais c'est dingue à quel point j'y arrive pas, parce que je suis carrément fou de toi, des que je t'ai vu dans ce putain de bac à sable, des qu'on s'est parlé en bafouillant des trucs qui n'avaient surement aucun sens ! Tu vois je t'aime tellement que j'arrive même pas à te dire qu'au fond de moi y'a une partie de mon être qui te hait pour avoir faillie tout gâcher avec Keyla ! » Il fallait que je lui dise tout ça, et même si ça devait encore plus dégénérer entre nous, il fallait qu'elle le sache. « T'es une partie de moi Liz', mais si tu ne voulais pas souffrir, il ne fallait pas venir à Harvard ! Tu savais que j'y été, tu savais que tout allé se finir mal ... et pourtant t'es restée en dépits de toute la souffrance que je t'avais fais endurer ... » C'était encore une fois une déclaration d'amour caché, ma dernière chance, mon unique chance de la retrouver, mais je savais déjà que c'était peine perdu.




HJ : c'est un truc de malade comment elle est contradictoire au fond ma réponse, mais c'est fait exprès KOLIZIE ♥ When I was your best friend - Page 2 1881463262 parce que ça montre bien, ce que ressent Kol en fait :sifle:
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Tu sentais que ton coeur allait bientôt lâcher, qu'il allait bientôt rendre son dernier souffle. Cette situation te dépasse complètement, tu as mal, tellement mal de devoir renoncer à Kol, mais tu avais l'impression que c'était la seule solution pour ne plus souffrir, il fallait mettre un terme à tout cela. Mais c'était tellement dur, à chacune de tes paroles, tu revoyais les lointains souvenirs heureux que tu avais partagé avec l'homme. Cette ancienne partie de ta vie te manquait tellement, que tu donnerais n'importe quoi pour la revivre. La tristesse avait pris possession de chaque parcelle de ton corps, les larmes qui coulaient sur ton visage te brûlées, ton coeur allait exploser, comme la colère de Kol qui éclata devant tes yeux suite à tes derniers mots. Tu restes sans voix face à tant de déclarations. D'un sourire tu le remerciais, qu'il comprenne et qu'il veule enfin te laisser vivre toi aussi de ton côté. Tu comprenais aussi la tristesse profonde qu'il pouvait éprouver tout comme toi. On n'oubliait pas un premier amour, encore moins Kol. Il avait touché ton coeur dès les premiers regards, dès les premiers mots, et dieu seul sait à quel point il était dure pour toi, pour vous de s'en détacher. Kol ne voulait pas, mais toi, tu essayais tant bien que mal. Peut-être que tu ne voulais pas une fin à votre amour, mais tu ne pouvais pas continuer à vivre dans cette tristesse permanente qui te détruisait encore un peu plus à chaque instant. Mais une chose te choqua dans ses paroles et tu ne pouvais pas l'accepter. Tu lâchas brutalement le visage du jeune homme que tu avais auparavant entre les mains et tu le repousse dans un excès de colère. Tu tremble des mains de ton acte si soudain que tu n'avais pas toi-même vu venir. Tu regarde tes mains et t'as encore plus mal au coeur de ce que Kol venait de te faire. Il venait de t'accuser de ton retour, il voulait te faire culpabiliser ? JE T'INTERDIS DE DIRE CA KOL ! tu hurles avant de t'avancer de nouveau vers lui, le pointant du doigt Je rêve là, ou t'es en train de m'accuser d'être revenue, et d'avoir foutu le bordel ? J'trouve ça gonflé de ta part, alors que si on revient au début c'est de ta faute, t'as commis l’irréparable ! Et c'est toi qui a foutu le bordel de NOTRE bonheur ! J'comprends pas pourquoi t'as pu nous faire ça alors qu'on s'aimait tellement ! J'ai fait quoi pour que tu foutes tout en l'air ? Je n'étais pas assez bien pour toi ? Arrête de me faire encore plus souffrir et culpabiliser de mon retour, ça me fait encore plus mal sachant que toi aussi t'es une partie de moi que je le veuille ou non  ! N'ose pas m'accuser d'avoir foutu le bordel quand j'suis revenue, car figure toi, que j'avais réussi à me remettre de ce que tu m'as fait après des années, et ancre toi bien ça dans la tête, j'suis PAS que venue exclusivement pour toi ! J'avais réussi à reconstruire ma vie, à suivre mon rêve de comédienne et j'suis venue ici principalement pour mes études ! t'avais dit essoufflé d'avoir tout déballer ce que tu avais dans le coeur. Arrête de me faire souffrir Kol! ARRETE ! J'veux pas de ça.. j'veux pas de tout ça.. pourquoi tout est si compliqué... t'avais continué tout en baissant la tête. T'avais été consciente de tous ses risques en débarquant ici, mais t'étais partie sur de nouvelles bases en arrivant. Tu croyais qu'elles resteraient uniquement amicales, mais tu sais pas ce que Kol avait fait, mais il avait réussi à te refaire tomber amoureuse J'veux pas.. j'veux pas.. parce que je t'aime.. t'avais continuer à bafouiller en un murmure presque inaudible.


HJ : moi aussi c'est le gros bazar contradictoire KOLIZIE ♥ When I was your best friend - Page 2 1365124802
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Il fallait que je lui dise, il fallait que je lui avoue tout ce que je pensais de nous, de notre vie, de ce qu'on avait pu faire tous les deux, de notre amour impossible, de notre idylle impossible et interdite en même temps. Je lui avais demandé pourquoi elle était venue à Harvard, pourquoi ici après tout, pourquoi elle m'avait rejoins surtout à cette université alors qu'il y en avait d'autres bien mieux, en clair je m'étais lâché, je n'avais pas pu garder ça pour moi, c'était trop à garder. « Tu veux que je te dise quoi Elizabeth ? Que je suis heureux que ma vie de couple à complètement implosé depuis ton arrivé ici ? C'est quoi ? C'est juste une simple coinsidence ? Moi j'y crois pas, vraiment pas ! Non, je peux pas dire ça, je te le dirais jamais, quoi que tu peux penser j'ai été réellement heureux et je lui suis toujours un peu avec Keyla. Même si j'ai été heureux de te retrouver parce que je croyais que je pourrais jamais plus voir tes yeux, plus voir ton visage, plus entendre ta voix, je peux pas te hurler que ta venue ici à été bienfaitrice pour moi. » Fallait qu'on arrive à parler nous deux, et aujourd'hui c'était le bon moment. « T'étais même trop bien pour moi Liz', t'étais trop parfaite, trop toi, tu m'as étouffé complètement avec ta perfection ! J'ai jamais été l'homme qu'il te fallait, mais je t'aime, je suis carrément fou d'amour pour toi, j'ai toujours ressenti ça pour toi, depuis toujours et c'est comme ça, je peux pas effacer ce que je ressens pour toi, j'ai essayé mais j'y arrive pas ! Et je comprend que ça peut être un fardeau pour toi ... et puis cette fille avec qui j'ai couché c'était rien, une aventure sans lendemain, je sais même plus son prénom, je me souviens même plus de son visage, alors que toi ça a toujours été différent ... c'est con ce que je peux raconter mais faut que tu le saches, je peux plus me taire, surtout plus maintenant ! » J'en pouvais plus, tout ça c'était trop d'émotions, trop de tristesse d'un seul coup. « Je suis tellement désolé que tout soit aussi compliqué entre nous ... je m'en veux tellement de tout ça, je m'en veux tellement de t'aimer si tu savais ! » J'avais pris son visage entre mes mains, pour qu'elle puisse me regarder, une nouvelle fois, une fois de plus. « Je suis désolé ... t'avoir quitté à peut-être été la pire erreur de ma vie, mais notre destin à fait que ça c'est passé comme ça, t'es tombée amoureuse d'un connard qui ne peut pas se contenter d'une seule femme dans son lit ! » c'était vrai, j'y arrivais et pour ça je maudissais de toute mes forces mon père pour ce qu'il avait pu me faire devenir, je n'étais qu'un monstre.


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A peine avais tu eu le temps de baisser ton regard, que tu sens les mains de Kol se glisser contre tes joues et relever ton visage. Tu croises son regard et t'y perd. A travers ses yeux, tu arrivais à revoir le jeune homme de tes rêves, cet homme dont tu étais tombée amoureuse, il te faisait tellement tourné la tête, et retourner ton coeur dans tous les sens. Tu te détestais d'être tombée amoureuse du parfait connard, mais tu l'aimais. Votre amour restait un mystère total. Il t'avait dit que tu étais trop parfaite pour lui, pour toi la perfection n'exister pas, car il était tout simplement impossible d'atteindre la perfection, tout comme votre amour qui semblait impossible. Tant d’obstacles devant vous, détruisaient vos coeurs, pour vous faire souffrir à n'en plus finir. Vous étiez l'incarnation parfaite des Roméo et Juliette des temps modernes, vos deux mondes vous opposez. Il était un homme à femmes et toi, tu ne pouvais que vivre de fidélités et de loyauté en amour, tout le contraire de Kol. Il te le dit une nouvelle fois, qu'il ne pouvait se passer des femmes, ça te fait mal au coeur, sachant qu'il était fou de toi. Tu ne comprenais pas pourquoi cela était aussi compliqué. Tu n'arrives pas à le quitter des yeux, tu ne sais même plus quoi lui répondre, vous vous étiez déballés tant de choses, que tu ne savais plus du tout où donner la tête J'dois être vraiment conne pour aimer un connard comme toi. tu lui dis en prenant sa main et entrelaçant vos doigts Je suis désolée d'avoir semée la pagaille dès que je passe quelque part... t'approche doucement ton visage du sien, comme poussé par une force inconnue car tu devais mettre un terme à tout cela, tu ne voulais plus souffrir, tu étais la seule à pouvoir prendre cette décision, celle qui te semblait la mieux pour toi. Tes lèvres te brûlent, car si tu devais faire ce choix, tu devais dire adieu au doux visage de l'homme que tu aimais. Tu sais que ça me fait mal au coeur de devoir faire ça Kol, que j'aurai aimé une fin plus heureuse, que j'aurai aimé mieux pour nous. Mais ça ne peut pas continuer entre nous, ça me fait tellement mal, ça ne fait que nous détruire. ta voix est emplie de tristesse Promet moi de ne jamais oublier à quel point je t'aime. tu avais en un souffle avant de déposer tes lèvres sur celles de ton amour.

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C'était tellement difficile de savoir que tout allé se terminer aujourd'hui, au bal ...je ne voulais pas, je ne pouvais pas admettre ça, c'était impossible pour moi, la seule chose qui était certains c'était que je ne renoncerais jamais aux sentiments que je pouvais resentir pour elle, pour la femme qui m'avait vu grandir et qui connaissait tout de moi. « Surement Liz et moi je suis fou de continuer à t'aimer comme un dingue alors que tu me demandes une seule chose, c'est d'arrêter ! Normalement en amour on devrait faire ce que dit l'autre non ?  Je dois être fou pour ne pas le faire ... » lui avais-je dis tout en la regardant toujours et encore dans ses yeux, ses yeux bleus  qui pouvaient envoûter n'importe qui, même le plus homo des mecs. « Qu'est-ce que tu veux t'es pas Elizabeth Leroy pour rien ! » lui avais-je dis en plaisantant et en lui souriant légèrement . « Je ne veux pas que tu sois malheureuse ... alors je te laisse être libre, c'est mieux pour toi, je ne te courais plus après même si je suis malheureux, même si plus rien ne va, je te laisserais faire tes propres choix désormais ! » Elle m'avait ensuite dit une phrase, que je ne pourrais jamais oublier, malheureusement je ne pouvais pas répondre à ça, elle le savait très bien cependant, je l'aimais comme un fou, ses sentiments que je pouvais ressentir pour elle ne s'éteindraient jamais, mais tout ça elle le savait très bien, je lui avais dis de nombreuses fois. Elle m'avait ensuite embrassé ... je ne l'avais pas vu venir et j'aurais voulu que ce moment ne s'arrête jamais, qu'il dure éternellement parce que ce moment était unique et éternel, c'était peut-être la dernière fois que je touchais ses lèvres et il y avait dans ce baiser quelque chose de nouveau, d'infini et cela pour toujours.

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Ce baiser, tu ne sais pas ce qui t'avais prise. Ca t'étais venue comme ça, de façon inexplicable. Tu voulais que ce moment s'éternise dans le temps car il était tout simplement parfait. C'était l'incarnation de votre amour impossible parmi tous vos problèmes. Tu voulais un peu de tendresse parmi toute cette colère et tristesse qui vous submergez. L'espace d'un instant, tes lèvres contre les siennes et ton coeur battant, tu arrives à ressentir ce sentiment lorsque vous étiez ensemble, cette sensation d'avoir des papillons dans le ventre. Tu ne lâches pas ses mains, tu ne quittes pas ses lèvres, tu te laisse juste planer, rêver, gouter à cette petite parcelle de bonheur interdit qui devenait si rare. Quand soudainement tu entends un bruit qui te fait sursauter, des étudiants à moitié saouls s'approchaient dangereusement de vous. Et peur d'être surpris, tu te détaches de Kol et bafouille Excuse moi.. Je.. Je sais pas ce qui m'a prise. Oui tu ne savais pas, tu savais juste que tu devais renoncer à cet amour auto destructeur. C'était tellement dur de renoncer à l'amour de ta vie, que l'embrasser était comme un adieu. Un adieu qui te déchirait le coeur. Tu le regardes une dernière fois dans les yeux, tu voyais dans son regard qu'il était aussi triste que toi car tu savais qu'il t'aimerait toujours. Vous étiez condamné à cet amour interdit, vous étiez des amants maudits. Et c'est le coeur lourd, que tu finis par lui lâcher la main, faire quelques pas dans la pénombre de la nuit avant de disparaitre dans l'obscurité.
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