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ATHENA-LUCA SHENGELIA fiche; en cours. C'est le 26 mai 1988 à ville de naissance, que la famille Shengelia m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Athena-Luca. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidé de poursuive des études à Harvard en relations internationales, je suis maintenant en Sixième année. Et pour terminer, je fais partie des Eliot House. |
Études Athena a choisi d'étudier en major les relations internationales afin de prendre en jour en main la société de son père mais surtout de s'étendre. Carriériste jusqu'au bout des ongles, elle est déterminée et compte bien faire des ravages sur le marché européen et pourquoi pas américain mais chaque chose en son temps. Elle a longuement hésité à stopper ses études au bout de 4 ans mais les a finalement continuée pour avoir un diplôme en béton. Bien que fêtarde, étudier durant des heures ne lui a jamais fait peur, puisqu'elle ne perd pas son objectif de vue. En minor, elle étudie le théâtre qui a toujours été une passion pour elle. Athena n'a pas l'intention de faire carrière dans ce domaine mais prend plaisir à avancer dans ses cours. Sur le campus, elle continue de se la jouer un peu princesse par moment - les habitudes! - mais elle est assez appréciée en général. Elle n'aime pas qu'on lui marche sur les pieds et ne se laissent pas faire mais si quelqu'un a besoin de son aide - surtout lorsqu'il s'agi des cours ou de l'organisation d'un événement -, elle est la première à se proposer. | Caractère Lorsque vous la voyez, il est quasi impossible d’avoir envie de faire sa connaissance. Athena marche toujours la tête haute, sûre d’elle et prend tout le monde de haut, avec ce regard vif qui en effraie plus d'un. N’y voyez pas une manière de se protéger, loin de là, elle montre simplement qui décide et jusqu’à preuve du contraire, c’est elle. Carriériste jusqu’au bout des ongles, son boulot et ses études passent avant tout. Malgré son absence récente, elle est bien déterminée à reprendre le travail aussi bien qu’avant. Pendant longtemps, Luca était remise à l'image de sa mère et elle a dû travailler dur pour prouver qu’elle n’avait pas qu’un physique mais bien la tête sur les épaules. Intelligente, elle a non seulement obtenu la reconnaissance de tous mais en a aussi beaucoup jouer, en utilisant ses atouts pour continuer d’obtenir tout ce qu’elle voulait. Manipulatrice ? Si peu. Elle est aussi très directive et froide, tout doit être respecté à la lettre et fait comme elle le désire, elle accepte difficile l'échec. Athena a le don d’être une vraie oratrice et sait toujours comment s’adresser au public ou la personne devant elle. N'y voyez pas un démon, elle peut aussi être la plus adorable des personnes, notamment lorsqu'il s'agit de sa famille ou de ses amis les plus proches, aussi rares soient-ils. Et oui, la demoiselle a tendance à se méfier de tout le monde, en vue du nombre de personnes qui cherchent seulement à profiter de son argent. |
Everyone Has Their Own Story
CHAPITRE I ৩ « Cette peste avec un short troué. Troué, tu entends ? Je refuse d’y retourner » « Tes caprices ne prennent pas, contente toi donc d’observer ton short et non celui de tes partenaires » Dieu que je la détestais dans ces moments là. Cette mère qui pensait tout savoir mieux que nous, foutaise! Nous n’étions pas fait pour les cours de sports publics, je vénérais chaque jour mon père de nous avoir sauvé des écoles publics. Malheureusement, il avait encore tant à apprendre en autorité. Comment pouvait-il plié en un sourire ? N’avait-il pas honte des personnes que je me voyais forcée de côtoyer pour les plaisirs de madame ?
Forcément, je l’imitais et me voyais forcée d’admettre que sa technique fonctionnait parfaitement bien sur les hommes. Il n’empêche que cela ne prenait pas avec moi, je n’en avais que faire de son sourire ou ses états d’âme. « J’arrête la gymnastique, je n’aime plus y aller, c’est inutile » lui annonçais-je quelques semaines plus tard en haussant les épaules. « Tu adores cela, tu veux simplement changer de club » « Je déteste cela, je ne pense pas que tu puisses savoir mieux que moi ce que j’aime! » « Tu n’arrêteras pas, pense un peu à ta ligne qui est et restera parfaite. » Elle le restera. Je n’avais pas besoin de maudis cours de gymnastique avec la racaille pour conserver un corps souple et longiligne. « Je verrai donc avec papa. » Lançais-je alors qu'un sourire mi amusé mi mesquin s’affichait alors sur mon visage. Papa qui ne résisterait pas à mes larmes, papa qui approuverait que sa princesse quitte ce genre de club pour basses classes, c'était un vrai Prince, il me comprenait, lui. A son air offusqué, je savais que j’avais gagné. Maman-Athena : 1-0.
« J’ai arrêté la gymnastique, c’en est fini le mélange avec ses moins que rien. » affirmais-je fièrement en entrant dans la chambre de Louis. En une minute, je me trouvais assise sur son lit, non sans marcher en sautillant, donnant presque l’impression que je ne touchais pas le sol. « Tu devrais en faire de même Louis, ces gens-là ne sont pas de notre monde, c’est toi qui me l’a appris. » dis-je en appuyant ma phrase d’un bref mouvement de tête. « Marie n’épousera jamais son Prince, ils ne sont pas du même monde. » C’en était pareil pour nos cours, nous n’avions rien à faire avec eux.
Petite mais perspicace et surtout intelligente, je savais qu’en parlant de ces gens-là, je parlais également de notre mère. Elle n’était que la femme de monsieur Shengelia, celle dont tout le monde veut prendre la place mais que personne n’envie et n’apprécie vraiment. Les gens l’enviait pour sa capacité à avoir obtenu tout cela, à avoir eu notre père, mais certainement pas pour ce qu’elle était sans lui, puisque elle n’était rien sans lui. « Maman n’est pas vraiment comme eux, n’est-ce pas ? » demandais-je à mon frère. Non, bien sûr que non, nous n’étions pas les enfants d’une personne qui manquait autant d’éducation. « Maman n’est pas une princesse tu sais, elle est… »Je coupais immédiatement la parole à mon frère, refusant d'accepter la réalité que je connaissais déjà. « Mais elle a épousé un prince, parce qu’elle est belle et intelligente, elle en est une maintenant.» CQFD, par le statut de mon père, par leur mariage elle en devenait une, fin de l’histoire. Je savais que sur ce point nous n’avions pas tout à fait le même avis avec Louis. Maman avait eu papa grâce à sa beauté et son intelligence. J’étais fière d’elle, de ce qu’elle avait accompli, même si je le montrais rarement. Louis ne comprenait pas papa, il ne comprenait pas comment il avait pu s'intéresser à une roturière.
CHAPITRE II ৩ « J’en ai marre tu sais Louis… » Je cessais de le regarder tristement pour m’allonger contre lui, de façon à entendre les battements de son cœur. « Ça va passer…» Je ne pus m’empêcher d’avoir un petit sourire, aussi triste soit-il. Il mentait, ça ne passerait jamais mais au moins, il était là pour moi. Jamais il ne renonçait à son rôle de grand frère, il me rassurait du mieux qu’il le pouvait même si avec le temps, j’apprenais à faire la part des choses. Là, je savais que c’était faux. « Tu mens, hein ? Mais je ne t’en veux pas… » Comment lui en vouloir ? En guise de réponse, il me serrait simplement un peu plus dans ses bras, déposant un baiser sur mon front, en précisant que ce n'était pas très charmant d'ajouter des "hein" en bout de phrases. Évidemment.
Nous étions réunis au salon en appréhendant le sujet de cette soudaine réunion familiale. Assise à côté de Louis, je lui serrais la main en faisant face à mes parents. La panique se lisait clairement sur mon visage, j’avais peur de l’annonce qui pouvait suivre. Le pire était peut-être que du haut de mes onze ans, ma plus grande crainte était qu’il y ait un problème avec l’entreprise de mon père. Ma mère me regardait avec une certaine tristesse et après l’avoir fixée quelques secondes, craintive, je baissais les yeux puisqu’elle ne prononça pas un mot. Je ne relevais la tête que lorsque mon père posa, enfin, son portable en s’éclaircissant la gorge pour attirer notre attention. « Nous devons parler de choses importantes… Vous êtes loin d’être stupides, vous avez du remarquer que ces derniers temps, avec votre mère, nous avons de nombreux différents… » Il marquait une pause comme pour nous laisser le temps d’assimiler cette information. Quelques temps n’étaient qu’un euphémisme, je n’arrivais même pas à me souvenir de l’époque où il n’y avait pas de cris dans la maison. Je serrais un peu plus la main de Louis tout en me rapprochant, pour le peu que c’était encore possible. « Nous avons décidé de nous séparer… c’est ce qu’il y a de mieux pour nous, comme pour vous. Nos différences nous ont rattrapés et il est devenu impossible pour nous de continuer. Ne doutez surtout pas de l’amour qu’on vous porte, nous vous promettons de faire tout pour que ça ne bouscule pas trop vos vies. » Mon père était un vrai orateur, qu’est-ce que j’aimais ça. Parfois, j’aurais aimé qu’il se rende compte que nous n’étions que des enfants, que lorsqu’il s’adressait à sa fille d’une dizaine d’année, il pouvait employer des phrases bien plus simples que ce langage pompeux auquel nous étions habitués. Mais justement, on s’y était adaptés Louis et moi à ce langage, et lui avait appris à ne plus faire la différence entre une conversation entre adultes ou avec ses enfants. J’avais du mal à comprendre comment il pouvait quitter notre mère sans bousculer nos vies, mais je savais qu’il n’y aurait plus de cris ou de larmes. Aussi triste que ça paraisse, je me sentais soulagée de l’entendre nous l’annoncer, j’avais sans doute espérer ce moment, même si je ne savais pas de quoi notre avenir serait fait. Allions nous vivre avec l’un ou avec l’autre ? Je refusais de déménager, ce serait donc avec celui qui garderait l’appartement.
CHAPITRE III ৩ « Ne fais pas la même erreur que papa, tu te souviens ? Une princesse n’a rien à faire avec un gars comme lui. » Je jaugeais mon frère pour savoir jusqu’où je pouvais aller dans mes déclarations. Dieu que je détestais qu’il se mêle de ma vie, d’autant plus de ma vie sentimentale. Roturier ou prince d’Espagne, je l’appréciais moi ce petit ami. Et puis lui ou un autre, ceux-ci n’avaient jamais assez de qualités pour plaire à Shengelia fils. « Il faut peut-être oublier ces histoires de princesses et son royaume à un moment Louis… La Yougoslavie n'existe même plus, notre titre ne sert à rien ! Personne n’est jamais assez bien pour moi si je m'en tiens à toi. » « Parce que tu ne trouves personne qui mérite mademoiselle Athena Shengelia! Ouvre les yeux un peu, c’est notre argent qui l’intéresse, comme tous les autres, pas toi. Tu étais la première à te méfier, ne me dis pas que tu es amoureuse ou une connerie dans le genre ? » Je réfléchis un quart de seconde à la question avant de hausser les épaules. « Bien sûr que non… Je me dis juste qu’il doit bien y avoir des personnes avec de bonnes intentions sur Terre. Et je reste persuadée que c’est le cas de Feliciano. » Mon frère était presque outré de m’entendre parler de cette façon. Jamais je n’avais été le genre de fille aveuglée, notre fortune, c’était ce qui me représentait aux yeux de tous, ce que tout le monde tentait de me voler et je ne laisserais personne la toucher, ne fus-ce que du bout des doigts. Là, j’avais simplement envie de croire qu’il voyait en moi autre chose qu’un compte en banque, j’étais littéralement charmée par son accent espagnol – et peut-être par les abdos qui l’accompagnaient – et même s’il ne ferait pas partie de ma vie à grande échelle, je voulais profiter du temps que je lui accorderais dans le bénéfice du doute. Que cela plaise à Louis ou non!
« De l'argent, vraiment ? » J’observais Feliciano presque outrée en agitant la main sous son nez. Je savais que si mon petit ami avait eu la faculté de disparaître à ce moment précis, il n’aurait pas hésité une seconde à user de ce don vu son air dépité. « Je trouvais que ça t’irait bien ma belle, la pierre est jolie et… » Autant l’empêcher de continuer, dressant ma main face à lui je lui faisais cesser ses jérémiades. « Jolie et? En toc! Tu comptes me demander en mariage avec une bague de je ne-sais-quel distributeur pour enfant ? » Je plaquais ensuite la bague contre sa paume pour la lui rendre, avant de croiser mes bras sur ma poitrine, l’observant de haut même s’il était légèrement plus grand que moi. Ce n’était pas une question de taille mais bien d’assurance. « Bébé arrête… je voulais te faire plaisir, tu crois que je m’y connais en bijou ? Tu auras la plus belle des bagues ce jour là. » Levant les yeux au ciel, j’avais pitié qu’il prenne à la lettre la moindre de mes paroles, il les avalait sans se poser de question. « Commence par ne plus JAMAIS m’appeler bébé… Ensuite engage une conseillère ! Tu t’y connais plus en bague de fiançailles peut-être ? Non parce que j’en déduis qu’elle sera du même niveau! A l’avenir sache qu’on n’offre pas n’importe quoi quand on décide de me faire plaisir. T’aurais mieux fait de t’abstenir… » Je lui tournais ensuite le dos pour contourner le bureau et m’y installer. Je tenais à ce que tout le monde sache que j’étais digne de ce nom, de ce titre, inutile de préciser que le bureau était la pièce la plus spacieuse de l’appartement, la plus rangée aussi ainsi que celle où je passais le plus de temps. « Je te trouve dur Athena, t’abuses là, tes parents ne t’ont jamais appris à dire merci que t’aimes ou non ? » Un sourire amusé s’affichait sur mon visage, faisant mine de réfléchir à cette soit-dite éducation. J’étais pourtant à deux doigts de lui envoyer le premier matériel qui me tombait sous la main à la tête. « Non ? Mes parents m’ont appris à avoir du gout, à savoir ce que je veux, à ne jamais finir avec une personne aussi basse que tu ne l'es! » Que j’aimais avoir raison, cela me faisait un bien fou. Me levant en claquant mes mains sur le bureau, je lui signalais du menton la direction de la sortie. « Tu peux disposer, je crois que tout a été dit ? » Un nouveau sourire fier s’affichait avant que je ne reprenne place à mon bureau. Je l’avais pourtant apprécié à une époque, son accent espagnol – et sans doute aidé de ses abdominaux – m’avait fait craqué mais la touche next était clairement irréversible. Louis avait raison, ou peut-être que j'avais simplement envie de lui prouver que j'avais toujours autant de caractère, lui qui s’inquiétait de me voir manipulée par 'mon' espagnol. louis avait néanmoins eut tord sur un point : ce n'était pas ma fortune qui intéressait Feli, peut-être juste mon lit.
CHAPITRE IV ৩ « Tu oublies cette idée, il en est hors de question. » Je regardais mon frère incrédule mais surtout verte de rage. Il n’était pas à ma place, ce n’était pas son choix, il n’avait rien à me dire. « Tu n’as rien à me dire Louis, tu n’as rien à avoir avec ça, cette décision elle ME revient et c’est tout décidé, demain je serai à la clinique et on en parle plus ! » Je détestais l’idée de porter un enfant, mais encore plus de porter l’enfant de ce salopard. Il était inimaginable que je lui donne la vie, fin de l’histoire. Il était détesté avant même de pointer le bout du nez et je savais que ça ne changerait pas, d’autant plus s’il avait le malheur de ressemblé un tant soit peu à son géniteur. « Fais-le et tu m’effaceras de ta vie aussi rapidement que tu ne le fais avec ce bébé. » Le chantage de mieux en mieux. Pourtant, je venais de me prendre une énorme claque, je connaissais mon frère à cent pour cent, il était la personne qui me connaissait le mieux également et je savais qu’il ne plaisantait pas. « T’es qu’un égoïste. Un putin d’égoïste manipulateur ! J'en veux pas, tu peux comprendre ça? Avant même qu'il ne soit là, je le déteste! Tu penses à moi ? A la société ? Parce que ce n’est pas l’image de Marie que je vais renvoyer aux médias et à tout le monde ! » Ce n’était pas lui qui porterait ce bébé, qui perdrait l'estime de tous, ce n’était pas lui qui encaisserait les critiques et les remarques des médias ainsi que de n’importe quelle personne pas foutue de se mêler de sa vie, ce n’était pas lui qui verrait son corps se transformer au point de devenir dégoutant. « La fille Shengelia enceinte d’un inconnu ! Une vraie trainée. Je vois déjà les titres ! » Une pute. Tout le boulot que j’avais fourni depuis autant d’année pour prouver que j’avais ma place serait détruit à néant. « Tu sais à quel point j’ai eu du mal à prouver que je n’étais pas juste une "Barbie", personne ne me prenait au sérieux et maintenant que j’ai enfin fait mes preuves, tout le monde me respecte. TOUT LE MONDE. Et tu voudrais que je détruise tout pour un gosse que je ne veux même pas ? » Ma tête basculait de droite à gauche, je refusais totalement cette idée, il en était hors de question. Je méritais cette reconnaissance de tous, j’avais bossé des heures, des années pour y arriver et ce n’était pas un embryon de 5 millimètres qui allait changer tout ça. Je pense que même si j’avais été en couple, ma décision n’aurait pas été bien différente. Le regard que venait de me lancer Louis me donnait une nouvelle claque, la pire peut-être que je n’ai reçu dans ma vie. Mon frère qui m’avait toujours aimé plus que tout me méprisait à présent. Il n’avait pas besoin de prononcer le moindre mot, son regard parlait pour lui. « Réfléchis bien à ce que tu vas perdre.» Lui. La personne qui comptait le plus dans ma vie. Attrapant sa veste, il sortait sans le moindre regard pour me laisser seule avec cette décision à prendre. Je ne voulais pas de ce bébé, c’était certain, je ne l’aimerais pas et il serait malheureux. Ce n’était pas le genre de vie et d’avenir qu’on souhaitait à un bébé. A côté de cela, je savais que je ne supporterais pas de perdre mon frère.
CHAPITRE V ৩ « Je pars pour le Massachusetts, je vais suivre mes études à Harvard, j'ai reçu les papiers ce matin, je suis acceptée. » Je parlais sur un ton neutre, sachant parfaitement que je n'obtiendrais aucune réaction de sa part. Inutile de jouer la fille surexcitée, Louis trouverait encore un moyen de me le reprocher. « Fuir, c'est beaucoup plus facile. Tu démissionnes du conseil? Voit avec papa pour signer les papiers. » Nous avions perdu la couronne Yougoslave, mais nous n'en restions pas moins une famille très importante en, ce qui était à présent, la Slovénie. Mon père dirigeait un énorme empire dans lequel nos travaillons Louis et moi depuis nos 16 ans pour un jour être capable de reprendre les reines. « Je ne démissionnes pas. Je suivrai les réunions par vidéo et vous aurez mon avis, ne t'en fais pas pour cela. » Je lui adressais ce sourire qu'il détestait tant avant de monter à l'étage pour commencer à trier mes affaires. Partir avec deux petites valises allait être le plus dur, j'avais tout intérêt à commencer à faire mon choix. Louis allait me manquer, mes parents sans doute un peu aussi, mais c'était mieux comme ça. Je rêvais d'études prestigieuses ou tout le monde me prendrait à égal avec les autres étudiants et non pour la princesse déchue qui venait de se faire avorter. Ce passage m'avait d'ailleurs légèrement adoucie, une chance pour mes futurs compagnons. Là bas, je ne serais qu'Athena Shengelia, je comptais bien laisser mes bonnes manières et mon titre en Slovénie.
Je suis à présent en sixième année et je n'ai pas revu mon frère en dehors des nombreuses réunions pour la société. Il me déteste et est un homme de parole, je l'ai perdu, définitivement. Si cela a été assez dur au début, je m'y suis à présent habituée, je suis même on ne peut plus déterminée à le surpassé et prendre en main la société un jour, seule. Après tout, j'aurai un diplôme en or, pas lui.
the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - Mlle.Brightside ↬ ÂGE - 22 ans. ↬ PAYS/RÉGIONS - Belgique. ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - Topsite. ↬ TES IMPRESSIONS - Actif, c'est le principal. J'aime beaucoup cette version :) ↬ CRÉDIT(S) - furiedheart. ↬ AVATAR - Phoebe Tonkin. ↬ SCÉNARIO OU PI? - Inventé. ↬ LE MOT DE LA FIN - Désolée pour le temps pris pour faire ma fiche ! |
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